Examen 1 médicaments du système neuro et musculo Flashcards

1
Q

structure du système nerveux

A

encéphale
nerfs crâniens
moelle épinière
nerfs spinaux
ganglions
plexus entériques
récepteurs sensoriels

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

SNC composantes

A

encéphale
moelle épinière

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

SNP composantes

A

SNS somatique
SNA autonome
SNE entérique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

dans quel système sont les nerfs crâniens et spinaux

A

système nerveux périphérique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

encéphale

A

contribue homéostasie
réception influx sensitifs
intégration infos
prise de décisions
déclenchement activités motrices

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

cellules gliales SNC *

A

épendymocytes : liquide céphalo-rachidien
astrocyte : capillaire, fente synaptique
oligodendrocyte : myéline (plusieurs axones)
microglie : phagocytose

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

cellule gliale SNP *

A

satellite : entoure neurone sensoriel et autonome
Schwann : myéline ( 1 axone)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

moelle épinière

A

rejoint encéphale par foramen magnum
31 paires de nerfs spinaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

nerfs

A

regroupement axones associés à du tissu conjonctif et aux vaisseaux sanguins
ni dans l’encéphale ni dans la moelle épinière
suit un trajet précis et innerve une région

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

ganglions *

A

petites masses de tissu nerveux
contiennent des corps cellulaires des neurones
situé EN DEHORS de l’encéphale et moelle épinière
étroitement associés aux nerfs crâniens et spinaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

récepteurs sensoriels

A

dendrites des neurones sensitifs et cellules spécialisées distinctes qui détectent les modifications de la valeur d’un facteur contrôlé
expérience sensorielle peut avoir une réaction immédiate ou mémorisée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

fonctions du SN

A

sensorielle
intégrative
motrice

but = communication

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

fonction sensorielle

A

récepteurs détectent un stimuli
neurones sensitifs afférents
transmission info sensorielle à l’encéphale et moelle épinière par intermédiaire des nerfs crâniens et spinaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

fonction intégrative

A

traitement info sensorielle
perception : prise de conscience existence des stimuli
interneurones : neurone à axone court qui communique, majorité des neurones du corps

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

fonction motrice

A

info sensorielle est intégrée, SN peut y répondre
neurone moteur (efférent)
transmission info provenant encéphale vers moelle épinière vers les effecteurs par intermédiaire des nerfs crâniens et spinaux
contraction musculaire
sécrétion glandulaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

SNS

A

sensitif : transmission info provenant des récepteurs sensoriels SOMATIQUES de la tête, peau, articulations, muscles, ouïe, goût, odorat
moteur : influx vers muscle squelettique
activité volontaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

SNA

A

sensitif : transmission info provenant des récepteurs sensoriels AUTONOMES (vaisseaux sanguins et viscères)
moteur : influx vers muscle lisse, cardiaque et glandes
involontaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

2 catégories du SNA

A

sympathique : réaction de lutte ou fuite
parasympathique : repos et digestion

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

SNE

A

sensitif : détecte modification valeur des facteurs contrôlés en lien avec des changements chimiques dans le tube digestif et étirement des parois
moteur : régissent contraction muscle lisse, sécrétion organe digestifs et activité cellule endocrine
avant avec SNA maintenant séparé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

tube neural *

A

encéphale et moelle épinière se développent à partir de l’ECTODERME qui forme une structure tubulaire appelée tube neural
partie antérieure = 3 renflements distincts appelés vésicules encéphaliques primitives

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

3 vésicules encéphaliques primitives *

A

prosencéphale (antérieur)
mésencéphale (moyen)
rhombencéphale (postérieur)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

5 vésicules encéphaliques secondaires *

A

télencéphale P
diencéphale P
mésencéphale M
métencéphale R
myélencéphale R

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

parois qui proviennent du prosencéphale *

A

télencéphale : hémisphères cérébraux
diencéphale : yeux, thalamus, hypo et épi

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

parois qui proviennent du mésencéphale *

A

mésencéphale : mésencéphale (tronc)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
parois qui proviennent du rhombencéphale *
métencéphale : pont (tronc) , cervelet myélencéphale : bulbe rachidien
26
cavités qui proviennent du télencéphale *
ventricules latéraux
27
cavités qui proviennent du diencéphale*
3ème ventricule
28
cavités qui proviennent du mésencéphale*
aqueduc du mésencéphale
29
cavités qui proviennent du métencéphale*
région supérieure du 4ème ventricule
30
cavités qui proviennent du myélencéphale *
région inférieure du 4ème ventricule
31
os de la tête
22 8 = crâne (neurocrâne) 14 = face (massif facial)
32
fonctions os de la tête
protection encéphale protection organes des sens point de fixation pour les muscles qui permettent mvt de la tête, expressions faciales point de fixation des méninges
33
foramen magnum *
bulbe rachidien et ses membranes (méninges) nerf accessoire 11 artères vertébrales et spinales
34
3 méninges crâniennes *
dure-mère arachnoïde pie-mère
35
3 prolongements de la dure-mère *
faux du cerveau (sépare 2 hémisphères) faux du cervelet (sépare 2 hémisphères du cervelet) tente du cervelet (sépare le cerveau du cervelet)
36
dure-mère crânienne *
2 feuillets largement fusionnés tissu conjonctif dense irrégulier¸ présence nocicepteurs pas entouré par espace péridural
37
dure-mère spinale *
1 seul feuillet forme un sac qui s'étend du foramen magnum jusqu'à S2 espace péridural sépare dure-mère et paroi osseuse du canal vertébral et contient tissu adipeux et conjonctif
38
arachnoïde
avasculaire fibres collagènes et élastiques en-dessous dure-mère continuité entre arachnoïde crânienne et spinale
39
espace sous-dural
liquide interstitiel crânien : veines méningées
40
espace sous-arachnoïdien
contient liquide céphalo-rachidien se termine hauteur de S2
41
pie-mère
méninge plus profonde couche mince de tissu conjonctif vascularisé qui tapisse la surface externe de l'encéphale et de la moelle épinière
42
méningite
inflammation pie-mère et arachnoïde (encéphale, moelle épinière ou les 2) origine bactérienne, virale ou médicamenteuse
43
4ème méninge *
SLYM fine membrane entre arachnoïde et pie-mère qui représente la 4ème méninge
44
irrigation sanguine encéphale *
tout ralentissement, même bref, de l'irrigation de l'encéphale peut provoquer évanouissement
45
ischémie *
arrêt de l'irrigation 1-2 mins : altération fonctionnement des neurones 4 mins : dommage permanent
46
apport encéphale *
pas de réserve de glucose nécessite un apport glucidique continue teneur en glucose est insuffisante = désorientation, étourdissement, convulsion, évanouissement
47
trajet artères encéphale *
tronc brachio-encéphalique artère carotide commune et artères vertébrales artère carotide externe = visage artère carotide interne = encéphale
48
polygone de Willis *
anastomoses des artères carotides internes avec artère basilaire forment près du selle turcique un réseau de vaisseaux appelé cercle artériel irrigue quasi-totalité encéphale équilibre la pression artérielle
49
artères polygone de Willis *
cérébrale ant, moyenne et post communicante ant et post carotide interne basilaire vertébrale
50
drainage veineux (veines)
3 paires de veines jugulaire interne jugulaire externe vertébrale
51
drainage veineux
veines débouchent dans les sinus de la dure-mère puis dans les veines jugulaires internes sinus de la dure-mère sont des canaux veineux tapissés endothélium et situés entre les feuillets de la dure-mère
52
barrière hémato-encéphalique
protège contre substance toxique et pathogène jonctions serrées = fusion cellule endothéliale astrocyte = maintien étanchéité
53
régions exemptes de barrière
organe circumventriculaire
54
composantes barrière
cellule endothéliale lame basale péricyte (muscle lisse) astrocyte neurone
55
solution pour ouvrir barrière
injection solution concentrée sucrée forte pression osmotique permet de rapetisser cellule endothéliale pour ouvrir passage entre les jonctions
56
liquide céphalo-rachidien
formé dans plexus choroïde éliminé par villosités arachnoïdiennes protège encéphale contre agressions chimiques et physiques circule continuellement dans ventricule et cavités
57
fonctions LCR
mécanique : coussin, permet de flotter chimique : propice émission potentiels d'action, infimes variations composition ionique = perturbe circulation : permet échange nutriments et déchêts
58
circulation LCR *
ventricules latéraux 3ème 4ème cavité subarachnoïdienne villosités arachnoïdiennes (sinus veineux dure-mère)
59
obstruction écoulement LCR
anomalie congénitale enfant lésion occupant espace adulte augmentation pression intra-crânienne (hydrocéphalie)
60
principales régions encéphale
tronc (bulbe, pont et mésencéphale) cervelet diencéphale (thalamus, hypo et épi) cerveau (diencéphale et tronc)
61
tronc cérébral
bulbe rachidien pont mésencéphale formation réticulaire
62
bulbe rachidien
prolonge partie inférieure du tronc s'étend du foramen magnum jusqu'au bord inférieur du pont substance blanche abrite tous les faisceaux axones sensitifs et moteurs qui relient la moelle épinière aux autres régions de encéphale
63
pyramides balbulaires
renflements sur face antérieure composé gros faisceaux corticospinaux qui vont du cerveau à la moelle épinière
64
décussation pyramidale
au-dessus de la jonction du bulbe rachidien et moelle épinière 90% changent de côté
65
olives bulbaires
renflements sur face ventro-latérale de l'extrémité rostrale du bulbe renferme noyau olivaire caudal dans lequel des neurones acheminent vers cervelet les influx nerveux provenant des propriocepteurs
66
noyaux
masses de substance grise dans lesquelles les neurones font synapse entre eux
67
synaptogramin
sensible au calcium protéine vésiculaire entrée calcium stimule la fusion avec membrane pour déverser le contenu
68
fonctionnement SN
réseau de neurones communication interneuronale transmission synaptique implique le transfert info entre neurones
69
neurotransmetteur ou neuromédiateur
substance chimique spécifique libérée au niveau synapse suite à la stimulation élément présynaptique et qui stimule (dépolarisation) ou inhibe (hyperpolarisation) élément postsynaptique
70
principaux neurotransmetteurs
acétylcholine noradrénaline adrénaline dopamine sérotonine GABA glutamate opioïde endogène histamine
71
synapse
transmission synaptique implique transfert info entre neurone
72
présynaptique
rétrocontrôle libère + ou - excès = diminue manque = augmente agoniste
73
postsynaptique
transmission onfo antagoniste
74
transporteur
inhibiteur transport = absence de recapture = augmente concentration fente pas effet joue un rôle de transport ramène du côté pré pour recommencer spécifique ou similaire
75
agoniste
rx qui après sa liaison à un récepteur spécifique provoque un effet comparable à celui du médiateur naturel (effet mimétique) réponse max varie agoniste à un autre : facteur alpha propre à chaque agoniste activité intrinsèque post = stimulation pré = inhibition
76
antagoniste
substance qui se lie à un récepteur spécifique sans provoquer effet mais qui peut ainsi bloquer action du médiateur endogène en s'opposant à la liaison du médiateur à son récepteur post = inhibe pré = stimule
77
neurotransmetteurs SNA
acétylcholine noradrénaline adrénaline
78
neurotransmetteurs monoamine
noradrénaline adrénaline dopamine sérotonine histamine
79
neurotransmetteurs cathécholamine
noradrénaline adrénaline dopamine
80
neurotransmetteurs acide aminé
GABA glutamate
81
enzyme acétylcholine
assemble = choline acétyltransférase ChAT dégrade = acétylcholine estérase ou butyrycholinestérase AChE acétyl co-a = cycle de krebs choline = alimentation
82
2 récepteurs acétylcholine
nicotinique muscarinique
83
récepteur nicotinique
inotrope activité canal ionique 5 sous-unités + pore = entrée et sortie + rapide mais dure moins longtemps 2 sous-unités alpha pour fonctionner ligand-dépendant
84
récepteur muscarinique
monomérique couplé à la protéine G métabotrope 7 domaines transmembranaires + lent mais dure + longtemps protéine G active un effecteur 3 éléments : Rc, protéine G et effecteur
85
4 effets acétylcholine
effet muscarinique = repos effet nicotinique = stimulation effet plaque motrice = système somatique effet SNC = Alzheimer, mémoire et cognition
86
récepteur muscarinique pair
M2 et M4 inhibiteur inotrope et chronotrope
87
récepteur muscarinique impair
M1-M3-M5 activatrice contraction musculaire sécrétion glande exocrine prolifération cellulaire
88
effet récepteur muscarinique coeur
inotrope chronotrope dromotrope
89
effet récepteur muscarinique vaisseaux sanguins
vasodilatation hypotension (indirect nerf vague)
90
effet récepteur muscarinique poumons
constriction bronche bronchoconstriction ralentissement respiratoire augmentation sécrétion bronchique
91
effet récepteur muscarinique yeux
myosis
92
effet récepteur muscarinique intestin
augmentation tonus et péristaltisme
93
effet récepteur muscarinique vessie
contraction muscle viscéral relâchement sphincter
94
effet récepteur muscarinique encéphale
apprentissage vigilance mémorisation motricité régulation appétit nociception
95
implications clinique acétylcholine
maladie neurodégénérative cause plus fréquente de démence Alzheimer tx : inhibiteur AchE empêche dégradation acétylcholine
96
définition anesthésiques locaux
molécules qui bloquent la conduction nerveuses de façon réversible inhibent formation et transmission des stimuli électriques dans nerfs fin action = retour complet conduction nerveuse sans évidence dommage structure nerf
97
intérêt et usage AL
pratiquer intervention douloureuse (chirurgicale ou dentaire) faciliter procédure diagnostique utilisé médecine humaine et animale, dentisterie et esthétique
98
structure chimique AL
portion lipophile et portion hydrophile lié par une chaîne hydrocarbure ester ou amide relie anneau aromatique à la chaîne intermédiaire
99
caractéristiques chimiques
modifications structure chimique AL = altération caractéristique pharmacologiques et pharmacodynamie liposolubilité, pKa, métabolisme, liaison protéique puissance, début action, durée action
100
potentiel d'action
au repos = intérieur négatif potentiel repos = concentration Na extra> intra stimulus = dépolarisation (entrée Na intra) = potentiel action fermeture canaux NA et ouverture K (repolarisation) potentiel repos rétabli par transport actif du na vers extra
101
mécanisme d'action AL
empêche formation et transmission potentiel action en inhibant passage des ions Na à travers les canaux sodiques bloque canaux Na voltage-dépendants de l'intérieur (étape limitante)
102
mécanisme action AL bases faibles
forme non-ionisée liposoluble forme ionisée hydrosoluble 1. diffusion sous forme NI à travers membrane 2. rééquilibration forme NI et forme I à l'intérieur 3. forme ionisée = active pharmaco, liaison avec récepteur ce qui bloque entrée NA et inhibe la conduction
103
conformations canaux Na+
forme repos (mode fermé et activable) forme activée (ouvert) forme inactivée (mode fermé et réfractaire)
104
conformation canaux et AL
plus affinité pour la forme inactivée une fois fixé aux canaux inactivés, AL stabilise les canaux dans cette conformation ce qui empêche leur passage au mode de repos et activé état inactivé = canaux Na sont imperméables au Na, la propagation des potentiels action = impossible
105
sensibilité différentielle
fibre petit diamètre = plus sensible fibre myélinisée = plus sensible fibre localisée en périphérie d'un nerf = plus sensible en premier
106
pharmacocinétique AL
administration différentes façons locale régionale neuraxiale systémique
107
absorption AL
absorbé par circulation systémique lorsqu'il est administré par injection à proximité d'un nerf ou plexus
108
facteurs qui influencent la vitesse et degré absorption AL
site injection : IV > trachée > intercostal > épidural > SC ajout épinéphrine : vasoconstriction locale, diminue absorption (augmente durée action, diminue toxicité) propriété pharmaco : si fortement lié aux protéines = absorption plus lente
109
liaison protéique AL
alpha-glycoprotéine acide : haute affinité + faible capacité albumine : faible affinité + haute capacité plus liaison protéique est importante = augmente durée action
110
métabolisme esters AL
durée action plus courte que amide hydrolysé rapidement par cholinestérase plasmatique et hépatique métabolite excrété dans urine durée action prolongée si pseudocholinestérase atypique procaine et benzocaine = métabolisé en PABA
111
métabolisme amide AL
inactivé par amidase hépatique cytochrome P450 métabolite excrété dans urine plus complexe et plus lent que esters concentration plasmatique plus soutenue, plus grand potentiel de toxicité systémique
112
relation structure-activité AL
bases faibles liquide biologique = pH 7,4 NI = lipo = traverse membrane I = hydro = active pharmaco proportion 2 formes varie selon pH du milieu et pKa du produit
113
pKa AL
pKa = pH pour lequel 50% des molécules existent sous forme non-ionisée et 50% sous forme ionisée
114
un pKa plus bas (plus proche du pH physiologique AL
forme non-ionisée prédominante plus de molécules non-ionisées vont traverser membrane début action plus rapide
115
pH du milieu faible (acide) AL
molécule existera sous forme ionisée infection (acide) = injection sera moins efficace car milieu favorisera fraction ionisée niveau anesthésie pauvre lorsqu'injecté dans tissu infecté
116
ajout épinéphrine ou bicarbonate AL
épinéphrine = acide, diminution forme non-ionisée ce qui entraine début plus lent bicarbonate = augmente pH ce qui augmente non-ionisée plus de molécule passe la membrane, début plus rapide
117
administration topique
application peau ou muqueuse cornée, nez, oro-pharynx, oesophage, trachéo-bronchique, génito-urinaire crème, onguent, gargarisme, nébulisation usage topique seulement benzo ou pramoxine
118
attention application ORL AL
suppression réflexe protection des voies respiratoires supérieures -> risque aspiration éviter de boire 4h suivant administration
119
administration infiltration locale
accès veineux réparation plaie dentisterie
120
administration anesthésie régionale
bloc plexus brachial
121
administration anesthésie neuraxiale
péridurale : injection espace péridural, juste avant dure-mère, souvent utilisé en obstétrique rachidienne : injection LCR
122
administration IV
utilisation exclusive lidocaine sous monitoring cardiaque et supervision médicale bloc IV : membrane avec garrot brève chirurgie < 45-60 mins systémique : anti-arythmique classe 1b, co-analgésique péri-opératoire, diminuer réflexe toux extubation. ACLS
123
dose max AL
lidocaine avec épinéphrine = 7 mg/kg lidocaine sans épinéphrine = 5 mg/kg bupivacaine = 2,5-3 mg/kg ropivacaine = 2,5-3 mg/kg
124
intoxication AL
concentration systémique élevée (injection intravasculaire accidentelle ou absorption trop importante)
125
intoxication AL sx SNC
excitation (goût métallique, paresthésie péri-buccale, acouphène, agitation, anxiété, convulsion) dépression (altération état conscience, coma, apnée)
126
intoxication AL sx cardiovasculaire
excitation (tachycardie, hypertension, arythmie ventriculaire) dépression (bradycardie, BAV, asystolie)
127
intoxication AL bupivacaïne
affinité plus grande pour canaux sodiques que lido se lie aux canaux sodiques en systole et dissocie en diastole bupi se dissocie plus lentement que lido plus de dépression myocardique
128
prise en charge toxicité AL
cesser injection appeler aide assurer oxygénation et ventilation stopper convulsions maintenir un débit cardiaque RCR, épinéphrine émulsion lipidique (intralipide 20%)
129
facteurs influençant toxicité AL
site action : varie en fonction vascularisation choix agent : absorption lente si fortement lié aux tissus dose : dose max en mg/kg co-administration vasoconstricteur : ajout adrénaline = diminue pic de concentration FR : âge, insuffisance cardiaque, hépatique ou rénale, grossesse
130
allergie AL réaction vagale
anxiété syncope bradycardie
131
allergie AL injection intravasculaire
signe et sx toxicité AL épinéphrine : tachycardie, hypertension
132
autres allergies AL
autres rx concomitants au latex (30-60 mins après exposition) agent de conservation (sulfite, méthylparabène)
133
allergie AL esters
métabolites inactifs, acide PABA PABA = allergène connu parabène additif dans lotions cosmétiques et aliments allergie croisée plus fréquemment associé réaction retardée type 4
134
allergie AL
< 1% = vraies réactions allergiques rare esters + fréquentes qu'avec amides (sensibilisation croisée PABA, réaction 4, tous les esters impliqués) réaction type 1 peu rapporté (rash, angiooedème, oedème laryngé, hypotension, bronchospasme)
135
allergie croisée AL
entre esters bien connue entre amides = plus en plus documentée typiquement pas allergie croisée entre ester et amide
136
alternative lors allergie
généralement sécuritaire de changer de classe bénadryl solution injectable en infiltration sous cutanée allergie amide : chloroprocaine (nesacaine)
137
toxicité prilocaine et benzocaine
dose élevée = accumulation métabolite qui peut induire methémoglobinémie fer incapable de lier oxygène = diminution transport O2 cyanose, léthargie, céphalée tx : administration IV agent réducteur qui reconvertit methémoglobine en hémoglobine
138
antidote AL
pas de véritable antidote oraverse (phentolamine) vasodilatateur (alpha-bloquant) utilisation dentisterie, infiltration locale vasodilatation locale augmente absorption AL et diminue concentration locale
139
douleur définition
expérience sensorielle et émotionnelle désagréable indispensable survie dommage tissulaire réel ou potentiel avec libération de substance modifiable : facteurs physique, psychologique, pharmaco
140
nociception définition
activation récepteurs et de fibres nerveuses provoquée par une stimulation potentiellement dangereuse pour organisme
141
définition nocicepteur
récepteurs nerveux préférentiellement sensibles aux stimulations nociceptives ou à une stimulation devenant nociceptive si elle persiste
142
définition nociceptif
stimulation intensité suffisante pour activer des nocicepteurs
143
définition algie
douleur localisée sans présumer de sa cause
144
définition algique
relatif à la douleur physique
145
définition algésiogène
qui provoque la douleur
146
définition antalgique
propre à calmer la douleur
147
définition esthésie
désigne la sensation, la perception
148
définition paresthésie
sensation anormale, non douloureuse, spontanée ou provoquée
149
définition dyesthésie
sensation anormale désagréable
150
définition seuil de perception
la plus faible intensité de stimulation perceptible par un sujet
151
définition seuil de douleur
la plus faible expérience de douleur qu'un sujet peut connaitre
152
définition seuil de tolérance
la plus importante douleur qu'un sujet est prêt à tolérer
153
définition hypoesthésie
diminution sensibilité à une stimulation somesthésique non douloureuse
154
définition hypoalgésie
diminution de douleur en réponse à une stimulation normalement douloureuse
155
définition anesthésie
perte de la sensation somesthésique locale, générale et loco-régionale
156
définition analgésie
absence de douleur à la suite d'une stimulation normalement douloureuse peut être provoquée médicalement
157
définition hyperesthésie
exagération des divers modes de sensibilité
158
définition hyperalgésie
réponse exagérée à une stimulation normalement douloureuse seuil de douleur anormalement bas
159
définition allodynie
douleur produite par une stimulation habituellement non douloureuse
160
définition névralgie
douleur siégeant dans le territoire de un ou de plusieurs nerfs
161
définition névrite
inflammation un ou plusieurs nerfs juste si inflammation se traduit généralement par douleur sur territoire desservi par nerfs atteints
162
définition neuropathie
dérangement fonctionnel ou changement pathologique un nerf mononeuropathie 1 seul nerf multineuropathie plusieurs nerfs polyneuropathie (atteinte symétrique et bilatérale)
163
réaction inflammatoire
réaction de défense non spécifique déclenchée en réponse à une lésion tissulaire
164
cause réaction inflammatoire
agent pathogène traumatisme physique substance chimique
165
fonctions réaction inflammatoire
circonscrire microorganisme, toxine et substance étrangère aux environs lésion empêcher propagation vers tissus préparer site pour réparation tissulaire en vue rétablir homéostasie des tissus
166
5 signes cardinaux inflammation
douleur chaleur rougeur oedème perte de fonction
167
phases inflammation
1- phase vasculaire aigue (vasodilatation et augmentation de la perméabilité des vaisseaux) 2- phase cellulaire sub-aigue (migration vers site) 3- phase réparation chronique (phagocytose, réparation)
168
phase vasculaire inflammation
vasodilatation chaleur-douleur augmentation perméabilité oedème-douleur cause : substance sécrétée histamine, kinine, prostaglandine, leucotriène, cytokine
169
histamine
synthétisée par mastocyte et basophile vasodilatation, augmentation perméabilité capillaire, hypernociception, oedème, prurit, production eicosanoïde
170
prostaglandine
migration des leucocytes adhésion plaquettaire réparation tissulaire perception de la douleur température corporelle
171
COX1
isoforme constitutive impliquée dans production prostaglandine à fonction protectrice (homéostasie) protection gastrique (estomac) homéostasie vasculaire (plaquette, cellule endo) fonction rénale
172
COX2
isoforme induite dans cellules inflammatoires (neutrophile, mastocyte) suite exposition aux endotoxines bactériennes ou aux cytokines responsable formation prostaglandine au lieu inflammation ou lésions tissulaires exprimé constitutivement par certains tissus rein et cerveau
173
COX3
variant de COX1 exprimé dans SNC
174
prostaglandine E2 PGE2 *
dilatation et augmentation perméabilité des microvaisseaux effet pyrogène hyperalgésie
175
définition pyrexie
terme médical utilisé pour désigner fièvre
176
définition pyrogène
substance qui provoque la fièvre exogène LPS endogène IL-1, TNFalpha, INF
177
définition cryogène
substance qui possède des effets antipyrétiques en inhibant la synthèse de cytokines pyrogènes cytokines anti-inflammatoires IL-10 peptides aMSH
178
thermorégulation
mécanisme physiologique qui permet de maintenir la température corporelle constante quelque soit les variations de la température extérieure centre contrôle thermorégulation : aire préoptique hypothalamus antérieur
179
température normale corps
36,9 + 0,4
180
fonctionnement fièvre
s'élève au-dessus normale par modification du réglage du thermostat hypothalamique défense non spécifique libération substance pyrogène par macrophage provoque fièvre en stimulant production prostaglandine par neurone aire préoptique hypothalamus interleukine IL, TNF
181
explication fièvre
thermogénèse fonctionne (vasoconstriction, accélération métabolisme, frisson) pour atteindre la nouvelle température même si 38 = peau reste froide et grelotte une fois atteint = frisson disparait pyrogène disparait = valeur revient normale thermolyse s'active (vasodilatation, transpiration
182
phases de la fièvre
montée thermique plateau hyperthermie défervescence
183
bénéfice fièvre
renforce action interférons stimule phagocytose obstacle réplication agent patho leucocyte se rend plus rapidement production anticorps et prolifération lymphocytes T chaleur accroit vitesse réactions chimiques
184
physiopathologie fièvre
cytokines agissent dans cerveau pour augmenter synthèse COX2. enzyme responsable de oxydation acide arachidonique en PGE2 PGE2 considéré comme médiateur principal fièvre
185
récepteurs de la douleur
terminaisons nerveuses libres branches périphériques des axones nociceptifs structure somatique structure viscérale
186
encéphale et douleur
ne possède pas de récepteurs de douleur douleur vient des vaisseaux sanguins, muscles et nerfs, méninges augmentation pression pour tumeur, hémorragie, infection = gonflement = douleur
187
classification des nocicepteurs
mécanique = pression ou déformation mécanique thermique = température chaud et froid chimique = molécule et stimulants polymodaux = plusieurs types de stimulation silencieux = inflammation, résultat de la lésion
188
stimulation des nocicepteurs
directement = mécanique, thermique indirectement = traumatique, ischémique, inflammatoire seuil action élevé capacité à coder intensité stimulus pas ou peu adapatation
189
définition algogène
qui provoque ou maintient la douleur directement ou indirectement
190
fibres nociceptives
Adelta (peu) : large, myélinisé, vitesse 20 ms, premier temps douleur, aigue et intense C (abondante) : petite et moins myélinisé, vitesse 2 ms, 2ème temps douleur, douleur sourde et pulsatile, moins intense mais persistante
191
mécanorécepteurs
fibre Ad sensible déformation mécanique peau à une pression intense
192
thermorécepteurs
fibre Ad sensible aux températures extrêmes <10 et > 45
193
récepteurs polymodaux
fibre C sensible aux effets mécaniques et températures (les plus nombreux)
194
sensibilisation des nocicepteurs
prostaglandine = augmentation sensibilité nocicepteur, diminution seuil de dépolarisation cytokine facteur de croissance neuronale
195
substance P
neuropeptide contenu dans fibre sensitive dégranulation mastocyte (histamine) vasodilatation activation cellule inflammatoire libération monoxyde azote à partir des cellules endothéliales (vasodilatation secondaire) Area postrema
196
hyperalgésie
stimulation douloureuse perçue plus intense tissu déjà endommagé ou soumis inflammation (peau, muscle, articulation) = particulièrement sensible diminution seuil activation augmentation réponse apparition activité spontanée recrutement de nocicepteurs avoisinants site lésion et voisin = seuil douleur plus bas
197
diverses réactions stimulation nociceptive
érythème (rougeur) augmentation chaleur locale (secondaire vasodilatation) oedème (extravasation plasmatique, augmentation perméabilité vasculaire) hyperalgésie (si stimulation perdure)
198
2 types de douleur
nociceptive = stimulation des nocicepteurs neuropathique = fonction nerveuse anormale
199
2 types de douleur nociceptive
somatique (tendon, ligament) viscérale
200
2 types de douleur neuropathique
SNP (diabète, névralgie trijumeau) SNC (sclérose en plaque, lésion moelle)
201
douleur somatique
tissu cutané, musculaire, ligamentaire, osseux, articulaire (lacération, douleur postopératoire, fracture) bien localisée augmentée à la pression de la structure en cause par mobilisation
202
douleur viscérale
organe interne douleur constante sourde et diffuse ou sous forme de coliques mal localisée, peut être référée (projeté)
203
douleur neuropathique
lésion ou dysfonctionnement SNP ou SNC spontanée ou provoquée constante ou intermittente choc électrique, coup de couteau, brûlure, fourmillement, picotement hyperalgésie et allodynie
204
douleur mécanique
raideur matinale < 15 mins augmente avec effort (pas nocturne) peu ou pas signe inflammatoire pas de sx systémique
205
douleur inflammatoire
raideur matinale > 1h augmente repose (nocturne) signe inflammatoire (rougeur, chaleur, oedème) sx systémique (fièvre, fatigue)
206
douleur rapide
0,1 s fibre A myélinisée aigue ou vive
207
douleur lente
au moins 1s et augmente graduellement fibre C amyélinisée atroce, chronique, cuisante, lancinante, pulsatile provient peau, tissu profond ou organe interne
208
localisation douleur
rapide = très précisément somatique lente = bien localisée mais plus diffuse viscérale lente = région stimulée, ressentie peau qui couvre l'organe stimulé = DOULEUR PROJETÉE
209
douleur projetée/référée
localisé grâce convergence des afférences viscérale et somatiques nociceptives sur les neurones de la corne postérieure rein = tout bas du dos coeur = bras gauche
210
douleur fantôme
illusion membre amputé = tjrs présent fourmillement, brûlure, douleur violente discordance interne entre représentation cérébrale et schéma afférence tactile périphérique activité centrale mémorisée et non activité périphérique cerveau s'adapte tranquillement perte du membre pour modifier la représentation somatique intrinsèque
211
douleur radiculaire
radiculopathie pathologie liée compression racine nerveuse mono ou poly douleur radiculaire = aigue et vague, augmentée toux, effort et mvt déficit sensitif et moteur segmentaire
212
céphalée
difficile de savoir la source exacte de la provenance de la douleur extra ou intracrânienne
213
céphalée de tension
intensité légère à modérée (rare sévère) sensation étau autour tête bandeau évolution lente durée plus ou moins continuelle sur plusieurs jours épisodique ou chronique (plus de 15j par mois) accompagnée de nausée, vomissement, photophobie, phonophobie pathophysiologie demeure mystérieuse
214
soulagement douleur
analgésique entrave formation prostaglandine anesthésiques locaux empêchent propagation influx nerveux opiacé ne supprime pas douleur mais modifie la perception pour ne plus sembler nocive
215
soigner un malade et non une maladie
patient = seul expert douleur douleur subjective composante psychologique, émotions = impact lésion pas toujours visible neutralité bienveillante
216
rôle prostaglandine fièvre, douleur et inflammation
tissu endommagé libération médiateurs dont prostaglandine fièvre = modification régulation hypothalamique inflammation = stimulation réaction inflammatoire locale douleur = sensibilisation nocicepteurs
217
pourquoi anti-inflammatoire
inflammation = essentiel pour guérison inflammation excessive = douleur non nécessaire et oedème
218
COX 1
constitutive estomac, rein, intestin, plaquette, endothélium estomac, reins, plaquette fonction = protection organe
219
COX 2
inductible site inflammation inflammation, protéase, cytokine fonction = inflammation, douleur
220
fonctions COX1
homéostasie protection muqueuse agrégation plaquettaire flux sanguin rénal
221
fonctions COX2
inflammation douleur fièvre
222
analgésique définition
médicament qui supprime ou atténue la sensibilité douleur
223
antipyrétique définition
médicament qui combat la fièvre
224
anti-inflammatoire définition
médicament qui combat inflammation
225
mécanisme action AINS
AINS inhibe COX 1 et COX 2 COX 2 = responsable effet thérapeutique COX 1 = effet indésirable
226
AINS
acide faible groupe hétérogène de rx classé en fonction : structure chimique et sélectivité des COX
227
dérivé acide propionique
ibuprofène naproxène
228
dérivé acide salicylique
acide acétylsalicylique ASA
229
sélectivité AINS
inhibiteurs non sélectifs de la COX1 et 2
230
indications AINS général
analgésique antipyrétique anti-inflammatoire utiliser la dose minimale efficace pour courte durée via inhibition des Pg COX
231
indications approuvées par santé canada ibuprofène
oui = douleur légère ou modérée accompagnée inflammation pour enfant et sans ordonnance pour auto tx oui pour fièvre enfant
232
indications approuvées par santé canada naproxène
oui = douleur légère ou modérée accompagnée inflammation pour sans ordonnance auto tx oui pour fièvre auto tx pas enfant
233
propriétés pharmacocinétiques AINS
bien aborsbé pic concentration 2-3h bonne biodisponibilité prise aliment = négligeable bonne diffusion forte liaison aux protéines plasmatiques (augmentation fraction libre et EI si altération concentration protéine) = albumine et faire interactions CYP-2C9 élimination rénale
234
3 types de demi-vies
longue = > 24h = 1x/jour intermédiaire = 12-18h = 1-2x/jour courte = 2-6h = 2-3-4x/jour
235
risques AINS
risque GI = cox1 = production mucus risque cardiovasculaire risque rénal DOSE et DURÉE RÉVERSIBLE
236
toxicité GI AINS
risque plus élevé : faible affinité COX2 pharmacocinétique longue exposition t1/2 dose et durée tx patient affaibli ATCD ulcère ou hémorragie infection H pylori consommation alcool tabagisme emploi plusieurs rx
237
truc pour diminuer risque GI
prendre en mangeant pour diminuer irritation gastrique utilisation cos entérosolubles
238
suppositoire AINS
n'élimine pas le risque de toxicité G1 via inhibition COX 1
239
altération fonction rénale
COX1 et COX 2 présente a/n rénale -> PG vasodilatatrice impliquée dans homéostasie rénale effet mineur si bonne santé toxicité rénale > si T 1/2 plus longue débit sanguin rénale affecté si : insuffisance rénale ou cardiaque, cirrhose, déshydratation glomérule ne doit pas manquer de sang
240
inhibition agrégation plaquettaire
AINS et AAS inhibent COX1 an plaquette inhibition TxA2 qui est reponsable agrégation plaquettaire augmente temps saignement et risque de saignement
241
toxicité cardiovasculaire AINS
augmentation risque même individu en santé risque augmente avec dose et durée tx augmentation tension artérielle normal ou hyper ICC ou HTA = risque décompensation
242
hypersensibilité AINS
allergie : réaction immunomédiée = essayer un autre molécule pseudo-allergie : découle inhibition COX1 = tous les AINS pas juste 1
243
grossesse AINS
plus expérience avec ibu et naproxène éviter si ATCD avortement spontané en début de grossesse = PG pour foetus 20ème sem = dysfonctionnement rénal foetal 3ème trimestre = ne pas utiliser 26-28 sems bloque trou coeur pour assurer sang aux poumons
244
allaitement AINS
compatible avec allaitement agent 1ère intention ibuprofène et napro
245
personnes âgées et AINS
susceptible d'avoir des facteurs de risque intoxication par AINS et tolère moins bien
246
contre-indications AINS
hypersensibilité allergique ulcère trouble hémorragique insuffisance rénale, hépatique ou cardiaque grossesse
247
comment choisir un AINS
facteur risque individuel toxicité AINS réponse antérieure fidélité potentielle présentation rx coût preuve efficacité
248
mécanisme action AAS
inhibition irréversible COX1 et COX2 via acétylation diminution PG et TxA2
249
dose utilisée selon indication AAS
faible <300mg/jour = protection cardiovasculaire 80-325mg/jour intermédiaire 300-2400mg/jour = antipyrétique et analgésique haute 2400-4000mg/jour = effet anti-inflammatoire
250
indications rares AAS
analgésique = diminution pg anti-inflammatoire = dose élevée fièvre pas chez enfant
251
indication première AAS
inhibition irréversible agrégation plaquettaire via inhibition TxA2 durée action = 7-10 jours tx maladie coronarienne
252
syndrome de reye
complication rare infections respiratoires virales chez enfants qui cause dommages au cerveau et au foie sx : vomissement, nausée, changement personnalité mortel 20-30% cause des dommages cérébraux permanents varicelle <18 ans
253
absorption AAS
rapide pic 1-2h vitesse influencée par désintégration et dissolution des cos, pH muqueuse et nourriture rectale = erratique et lente
254
métabolisme AAS
acide salicylique (actif) et acide acétique (tissu et sang)
255
élimination AAS
t1/2 : 20 mins acide salicylique : 2-3h, 12h et 15-30h
256
posologie adulte AAS antipyrétique et analgésique
325-650mg q 4-6h PRN max 4000 mg/jour
257
posologie adulte AAS anti-inflammatoire
2400-3900mg/jour en 4 doses fractionnées
258
délai et duré action AAS
délai = 1h durée = 4-6h
259
interactions AAS
rx fortement liés aux protéines : augmente effet rx anticoagulant : risque saignement ROH : irritation et saignement AINS : EI GI, interfère antiplaquettaire (au moins 2h AVANT AINS
260
contre-indications AAS
enfant < 18 ans = syndrome de reye hémophilie ulcère actif insuffisance cardiaque, hépatique et rénale grossesse et allaitement allergie AINS ou aspirine ATCD bronchospatique, urticaire, rhinite ou oedème
261
triade de widal
augmentation leucotriènes complétement déréglé acide arachidonique = COX ou leucotriène
262
indications ibuprofène et naproxène
analgésique, anti-inflammatoire et antipyrétique inhibition COX1 COX2 inhibition réversible au niveau des plaquettes
263
posologie ibuprofène enfant de plus de 6 mois
5-10mg/kg/dose q6-8h PRN max : 40mg/kg/jour ne pas dépasser la dose adulte
264
posologie ibuprofène adulte MVL
200-400mg q6-8h PRN max : 1,2g par jour pendant <7jours
265
posologie ibuprofène adulte Pr
400-800mg q4-6h PRN max : 2,4g par jour
266
délai et durée action
délai : 0,5-1h durée : 4-6h
267
absorption ibuprofène
orale rapide pic plasmatique : gel : 0,66-0,7h suspension : 1h comprimé mâcher : 1-2h
268
métabolisme ibuprofène
hépatique CYP 2C9 (CYP2C8)
269
élimination ibuprofène
rénale t1/2 : 2-3h
270
interactions rx ibuprofène/naproxène
antihypertenseurs : diminution effet hyper anticoagulant : saignement ISRS : saignement ISRS lithium diminution élimination rénale = augmentation concentration ROH : irritation et saignement
271
contre-indications ibuprofène/naproxène
ulcère saignement GI HTA ICC IR hypersensibilité AINS ACTD asthme, réaction allergique grossesse
272
posologie naproxène MVL patient 12-65 ans
220 mg q8-12h
273
posologie naproxène MVL patient plus de 65 ans
220 mg q12h
274
dose maximale et durée maximale naproxène
440 mg par jour douleur : 5 jours fièvre: 3 jours
275
délai et durée action naproxène
délai douleur : 0,5-1h durée action : 4-6h
276
absorption naproxène
orale complète pic plasmatique : 1-2h
277
métabolisme naproxène
hépatique CYP 2C9 (CYP1A2 et 2C8 mineur)
278
élimination naproxène
rénale t 1/2 : 5-17h
279
indications acétaminophène
mécanisme incertain : inhibiteur faible COX1 et COX2 dans tissus périphériques analgésique : inhibition COX an SNC antipyrétique : thermorégulateur = augmentation VD = dissipation chaleur
280
posologie acétaminophène enfant
10-15mg/kg/dose q4-6h max : 75mg/kg/jour
281
posologie acétaminophène adulte libération immédiate
325-1000 mg q 4-6h PRN
282
posologie acétaminophène adulte libération prolongée
1300 mg q 8h
283
dose maximale acétaminophène
4g par jour < 10 jours IH ou ROH : 2g/jour prolongé : 3,2g par jour personne âgée : 2,6g/jour warfarine : 2g/jour
284
délai er durée action acétaminophène
délai oral < 1h durée 4-6h
285
absorption acétaminophène
oral biod = 75% 30-60 mins pic rectal biod 30-40%
286
métabolisme acétaminophène
hépatique SULFOCONJUGAISON glucoronidation CYP450
287
élimination acétaminophène
t1/2 2-3h adulte 4h nourrisson 3h enfant-ado 2-5h IR
288
intermédiaire toxique acétaminophène
NAPQI toxique et détruit cellules hépatiques charbon bois activé NAC par IV
289
exigences étiquetage acétaminophène
mise en garde + sévères consommation alcool recommandation inclure dispositif de mesure avec produit liquide pour enfant plus info sur innocuité lésion grave au foie
290
contre-indications acétaminophène
allergie maladie ou insuffisance hépatique dépendance ROH ou abus chronique ROH
291
interactions médicamenteuses acétaminophène
augmente effet warfarine tuberculose rx avec CYP450 rx avec combinaison acétaminophène ROH éthanol = NAPQI
292
acétaminophène vs AINS
pas anti-inflammatoire altère pas fonctionnement plaquettaire généralement mieux toléré moins interactions rx effet neutre TA ok avec MCV
293
enzyme dégradation sérotonine
MAOa
294
synthèse et métabolisme sérotonine
cellule entérochromatine si destruction importante : libération grande qté sérotonine nausée et vomissement rx qui bloque récepteur sérotoninergique régulation sommeil et vigilance + humeur
295
récepteurs sérotonine
5-HT 1-2-4-7 = couplé protéine G 5-HT3 = canal ionique = nausée et vomissement présynaptique = stimule bloque libération = migraine
296
récepteur 5HT1D
adénylcyclase Ago = sumtriptan 5-CT SNC
297
5HT3
ouverture canal ago = 2-méthyl-5HT, m-cp système limbique CTZ antago : sétron
298
implications cliniques sérotonine
dépression inhibiteur SERT nausée et vomissement antagoniste 5HT3 constipation migraine sumatriptan agoniste 5HT1D
299
glutamate
neurotransmetteur excitateur le plus important pour le fonctionnement normal cerveau distribution dans toutes régions cérébrales
300
récepteurs glutamate
NMDA réponse postsynaptique excitatrices mg = rôle important glycine = co-agoniste pour stimulation récepteur
301
récepteurs glutamate
NMDA réponse postsynaptique excitatrices mg = rôle important glycine = co-agoniste pour stimulation récepteur
302
implications cliniques glutamate
épilepsie alzheimer hyperalgésie et anesthésie
303
épilepsie glutamate et GABA
décharge paroxystique ensemble de neurones qui s'activent spontanément et avec synchronie anormale -> apparition crise brutale manifestation anormale et excessive activité neuronale substance grise du cortex diminuer glutamate ou augmenter GABA
304
alzheimer et hyperalgésie glutamate
excitotoxicité = maladie neuro tx : antagoniste rc NMDA
305
GABA
neurotransmetteur inhibiteur le plus important distribution dans toutes régions cérébrales
306
enzyme GABA
dégradation : GABA transaminase assembler : GAD
307
2 récepteurs GABA
GABA-A : ionique GABA-B : métabotropique, (pré-post) = hyperpolarisation et diminution libération des neuromédiateurs
308
implications cliniques GABA
épilepsie anxiété agoniste GABA = benzo ou barbiturique agitation troubles du sommeil agoniste GABA
309
3 grandes familles opioïdes endogènes
enképhalines endorphine (beta-endorphine) dynorphine
310
implications cliniques opioïdes endogènes
douleur diarrhée tx de substitution
311
nerfs crâniens sensitifs
1 et 2
312
nerfs crâniens moteurs
3 4 6 7
313
corps cellulaires des neurones
sensitif : ganglions extérieur encéphale moteur : noyau intérieur encéphale
314
nerf olfactif
foramen lame criblée os ethmoïde fonction odorat
315
nerf optique
rétine fonction vision
316
nerf oculomoteur
mixte surtout moteur sensitif : proprioception somatique : mvt paupière et globe oculaire autonome : cristallin, ajustement pupille
317
nerf trochléaire *
PLUS COURT mésencéphale sensitif : proprioception somatique : mvt globe oculaire
318
nerf trijumeau
NERF CRÂNIEN LE PLUS GROS pont sensitif : toucher, douleur, température, proprioception somatique : mastication
319
nerf abducens
pont sensitif : proprioception somatique : mvt ABD du globe oculaire
320
nerf facial
pont sensitif : proprioception et goût somatique : expression visage (mimique) autonome : sécrétion salive et larme
321
nerf vestibulocochléaire
pont sensitif vestibulaire : équilibre somatique : cilié sensitif cochléaire : ouïe somatique : cilié en réponse aux ondes sonores
322
nerf glossopharyngien
bulbe sensitif : goût, déglutition, surveillance pression artérielle, oxygénation somatique : élévation pharynx autonome : stimulation sécrétion salivaire
323
nerf vague
bulbe sensitif : goût, épiglotte et pharynx, pression artérielle somatique : déglutition, toux et phonation autonome : contraction, relâchement muscle lisse, ralentissement battement cardiaque, sécrétion
324
stimulation électrique nerf vague
épilepsie, dépression résistante du tx, migraine effet secondaire : toux, essoufflement, difficulté à parler, arrêt cardiaque recherche : anxiété, obésité, alcoolisme, arythmie, fibromyalgie
325
nerf accessoire
bulbe sensitif : proprioception somatique crâniale : déglutition somatique spinale : mvt tête, épaule
326
nerf hypoglosse
bulbe sensitif : proprioception somatique : mvt langue pendant la parole et déglutition
327
structures protectrices moelle épinière
méninges spinales vertèbres liquide céphalorachidien
328
méninges spinales
recouvre racine des nerfs spinaux racine ventrale et dorsale = ancre nerf spinal à la moelle épinière moelle suspendue au centre de son enveloppe durale par des prolongements membraneux pie-mère ligament dentelé = émerge latéralement pie-mère, fusionne arachnoïde et dure-mère
329
ponction lombaire
prélever LCR (diagnostic) administrer antibio, anesthésique et antinéoplasique injecter agent de contraste mesurer pression LCR évaluer effet tx méningite
330
colonne vertébrale
2/5 hauteur totale du corps 26 vertèbres colonne + sternum + côtes tige robuste et souple soutient tête point attache ; côtes, ceinture pelvienne, muscle du dos
331
nombre de vertèbres
cervicale = 7 thoracique = 12 lombaire = 5 sacrum = 5 coccyx = 4
332
anatomie moelle épinière
bulbe rachidien jusqu'au bord supérieur 2ème vertèbre lombaire élongation moelle s'arrête vers âge 4-5 ans contrairement à la colonne 2 renflements : cervical et lombaire cône médullaire : en-dessous du renflement lombaire filum terminale : émerge cône médullaire
333
queue de cheval
racine de ces nerfs s'infléchissent vers bas ressemblent aspect de mèches de cheveux
334
racine dorsale (postérieure)
sensitive afférente chaque racine dorsale présente renflement qui contient corps cellulaires des neurones sensitifs ganglion spinal mixte
335
racine ventrale (antérieure)
fibres motrices efférentes mixte
336
substance grise
forme H et entouré substance blanche dendrite et corps cellulaire de neurone, cellule gliale, axone amyélinisé corne dorsale = noyau sensitif corne ventrale = noyau moteur corne latérale = moteur autonome
337
substance blanche
fissure médiane ventrale et sillon médian dorsal 3 cordons : dorsal, ventral et latéral voie sensitive ascendante voie motrice descendante
338
fonction moelle épinière
conduction = propagation influx = faisceaux substance blanche réflexe = intégration info PPSE PPSI = substance grise
339
seul nerf spinal qui sort pas foramen intervertébrale
nerf petit occipital
340
enveloppe nerfs spinaux
endonèvre périnèvre épinèvre vaisseaux sanguins = péri et épi
341
plexus cervical plexus brachial plexus lombaire plexus sacral plexus coccygien
nerf phrénique = diaphragme nerf ulnaire = main nerf fémoral = + gros nerf sciatique = + long
342
caractéristiques réflexes
inné ou acquis spinal ou crânien somatique ou autonome
343
arc réflexe
trajet influx récepteur -> neurone -> centre intégration -> neurone moteur -> effecteur
344
réflexe étirement tendineux retrait extension croisée
longueur muscle en contractant = innervation réciproque tension intersegmentaire, éloigner un membre controlatéral, équilibre
345
terminaisons nerveuses libres
dendrite dénudé qui ne possède aucune spécialisation structurale visible douleur, chaleur, froid, chatouillement, démangeaison, toucher
346
terminaisons nerveuses capsulées
dendrite enveloppé dans une capsule de tissu conjonctif toucher, pression, vibration
347
cellule spécialisé
récepteur sensoriel de certaines organes des sens audition, équilibre, goût, vision
348
extérocepteurs
surface du corps sensation auditive, visuelle, olfactive, gustative, tactile, pression, vibration, douleur, chaleur, froid
349
intérocepteurs
dans vaisseaux sanguins, viscère, muscle et SN ne sont généralement pas consciemment perçus
350
propriocepteurs
dans muscle, tendon, articulation et oreille interne position corps, longueur, tension muscle, position et mvt
351
récepteurs sensoriels
mécano thermo noci photo chimio osmo
352
synthèse et métabolisme noradrénaline et adrénaline
tyrosine -> étape limitante tyrosine hydroxylase DOPA -> DOPA décarboxylase dopamine -> DBH noradrénaline -> PNMT adrénaline
353
transformation métabolique NAD
COMT (mieux comme cible) MAO a = NAD, sérotonine MOA b = dopamine
354
transporteur noradrénaline
VMAT = transporteur vésiculaire des monoamines
355
récepteurs et localisations noradrénaline et adrénaline
alpha 1 = yeux, vessie et vaisseaux sanguins beta 1 = coeur beta 2 = poumon
356
effets noradrénaline et adrénaline
mydriase stimulation sphincter et relâchement detrusor VC inotrope, chronotrope, dromotrope bronchodilatation glycogénolyse, néo
357
implications cliniques noradrénaline
transmission SNA psychiatrique
358
récepteur dopaminergique D1 et D5
couplé protéine G active AC + phospholipase C augmente entrée calcium inhibition NA/H
359
récepteur dopaminergique D2, D3 et D4
inhibition AC stimulation sortie K inhibition entrée Ca activation Na/H
360
implications cliniques dopamine
nausée et vomissement maladie parkinson psychose schizo drogue et trouble usage
361
démangeaison
résulte stimulation terminaisons nerveuses libres par certaines substances chimiques suite réaction inflammatoire locale
362
chatouillement
résulte stimulation terminaisons nerveuses libres et Pacini ne peut pas être provoqué par soi-même
363
thermorécepteurs 2 importants
menthol = TRP M8 et C5 capsaïcine = TRP V1 et M3 + ANO1
364
centre de contrôle thermorégulation
aire préoptique hypothalamus antérieur
365
température centrale vs de surface
centrale = en profondeur trop basse ou élevée = mort surface = peau et fascia, 1-6 inférieure température centrale
366
thermogénèse
froid déséquilibre diminution t peau et centrale récepteurs envoient influx aire préoptique SNA, SNS, hypophyse effecteurs réponse = augmentation température
367
hypothermie
centrale < 35 froid intense métabolisme ralenti hypo drogue et rx brûlure malnutrition
368
thermolyse
chaud augmentation t peau et centrale récepteurs envoient influx aire préoptique SNA vaisseaux et glandes sudoripares réponse = diminution t
369
hyperthermie
centrale > 37.5-38 exposition chaleur ou soleil effort intense drogue fièvre
370
plexus choroïdes
réseaux de capillaires situés dans les parois des ventricules cérébrales capillaires recouverts épendymocytes qui élaborent LCR par filtration et sécrétion à partir du plasma sanguin
371
barrière hématoméningée
contrôle passage sang-LCR cellule épithéliale et jonction serrée des plexus choroïdes sang -> LCR = faible LCR -> sang = perméabilité grande
372
noyaux graciles et cunéiformes
partie postérieure du bulbe noyaux associés au toucher, proprioception, vibration axone sensitif synapse avec neurone post transmet info senso vers thalamus
373
lemnisque médial
bande de substance blanche axone monte jusqu'au thalamus s'étend bulbe, pont et mésencéphale
374
centre bulbaire de la rythmicité
situé centre respiratoire établit fréquence respiratoire de base
375
centre respiratoire
bulbe : groupe respiratoire dorsal = inspiration groupe respiratoire ventral = expiration pont : groupe respiratoire pontique = rythme et profondeur centre pneumotaxique et apneustique
376
lésion du bulbe rachidien
coup violent nuque = mortel dysfonctionnement nerfs crâniens ipsi paralysie et perte sensibilité contra irrégularité rythme cardiaque et respiratoire
377
malformation de Chiari
partie inférieure cervelet = dans foramen magnum prend la place du tronc augmente pression sur moelle épinière et cerveau
378
centre de vomissement
area postrema = zone gachette chémo = exempte de barrière hémato et détecte toxines dans sang et LCR provoque excitation vagale qui déclenche réflexe de vomissement éliminer patho SD, poison SI et expluser cellule morte
379
nerfs crâniens associés au bulbe
8 à 12
380
pont
protubérance annulaire juste au-dessus du bulbe avant du cervelet noyaux de substance grise et faisceaux axone de substance blanche relie certaines parties de encéphale avec axone
381
axones transversaux pont
pédoncule cérébelleux moyens relient cortex cérébral moteur au cervelet relie hémisphère gauche et droit du cervelet
382
axones longitudinaux pont
faisceaux sensitifs et moteurs relaient centre cérébraux supérieurs à la moelle
383
nerfs crâniens associés au pont
5 à 8
384
mésencéphale
pont jusqu'au diencéphale traversé par aqueduc du mésencéphale contient axone et noyaux
385
pédoncules cérébraux mésencéphale
faisceaux partie antérieure neurone moteur coricospinaux corticopontique corticobulbaire neurone sensitif bulbe au thalamus
386
tectum du mésencéphale
partie postérieure 4 protubérances arrondies appelées colliculus tubercule quadrijumeaux
387
colliculus supérieur vs inférieur
sup : centre réflexe activité visuelle, mvt yeux, tête et cou inf : centre réflexe sursaut, voie auditive, ouïe au thalamus
388
substance noire mésencéphale
2 gros noyaux foncés neurone dopaminergique activité musculaire subconscientes
389
noyaux rouges mésencéphale
forte vascularisation et pigments ferreux axone provenant cervelet et cortex assure coordination des mvts musculaires
390
nerfs crâniens associés mésencéphale
3 et 4
391
formation réticulaire
petits amis de corps cellulaires en forme de réseau fonctions sensitives et motrices partie sup moelle à la partie inf diencéphale SRAA = axone sensitif état veille et réveil fonction motrice régulation tonus musculaire
392
cervelet
partie + volumineuse après cerveau contient 1/2 des neurones fond et arrière (derrière bulbe) séparé du cerveau par fissure transverse du cerveau et tente du cervelet
393
fonctions cervelet
compare position recherchée avec position actuelle pour produire mvt complexe précis et bien coordonné régit posture et équilibre
394
pédoncules cérébelleux cervelet
inf = bulbe et moelle, info sensorielle moyen = pont, mvt volontaire sup = noyau rouge, thalamus
395
parties du cervelet
vermis = partie centrale, rétrécie et plissée hémisphères lobe ant et post = régit mvt subconscient muscle squelettique lobe flocculonodulaire = intervient maintien équilibre
396
diencéphale
thalamus hypo épi
397
thalamus
80% diencéphale paroi supérolatérale 3ème ventricule 2 masse ovale jumelle peut avoir adhérence interthalamique entre relai influx sensitif + fonction motrice + perception + régulation capsule interne lame médullaire interne forme Y
398
4 régions hypothalamiques
mamillaire tubérale supraoptique préoptique
399
région mamillaire*
noyau hypothalamique postérieur thermorégulation
400
région tubérale*
noyau dorsomédial = pression noyau ventromédial = glucose, agression, sexe noyau arqué = alimentation
401
région supraoptique*
noyau paraventriculaire = axe neuro endo
402
fonction hypothalamus
régulation : SNA production hormonale émotions et comportements ingestion alimentation température corporelle rythme circadien et état de conscience
403
POMC
noyau arqué hypothalamus hormone métabolique et nutriment mélanocortine qui réduise prise alimentaire lien avec obésité
404
organe circumventriculaire
pas de BHE plus perméable organe sensoriel et sécrétoire (éminence médiane)
405
épithalamus
arrière du thalamus épiphyse (glande pinéale) = mélatonine horloge noyau habénulaire = olfaction avec émotion
406
cerveau
diencéphale + tronc cérébral plus grande partie encéphale hémisphères séparé par faux couche superficielle = grise masse interne substance blanche et noyaux gris centraux
407
cortex cérébral
couche superficielle substance grise grise croît plus vite que blanche qu'elle recouvre = plissement gyrus = bosse fissure = rainures profondes (longitudinale = hémisphère; transverse cervelet hémisphère) sillons = rainures superficielles
408
corps calleux
relient hémisphères large bande substance blanche contenant axone qui relie entre les hémisphères
409
lobes et sillon du cerveau
lobe frontal lobe pariétal lobe temporal lobe occipital lobe insulaire =invisible sillon latéral = entre frontal et temporal sillon central = frontal et pariétal sillon pariétooccipital
410
4 gyrus cerveau
frontal inférieur = broca temporal supérieur = Wernicke précentral = motrice postcentral = somesthésique
411
3 types de faisceaux substances blanches
association = influx nerveux entre gyrus même hémisphère commissuraux = gyrus de l'autre hémisphère ant et post projection = cerveau au partie inf SNC, capsule interne
412
noyaux gris centraux
globus pallidus médial = adjacent putamen et proche thalamus putamen latéral = adjacent pallidus et proche cortex noyau caudé = forme de virgule
413
noyaux gris centraux fonctions
contractions subconscientes muscle squelettique = amorce, exécution, tonus, balancement amorce et exécution processus cognitif = attention, mémoire, planification, émotion
414
lésion noyaux gris centraux
tremblement incontrôlables raideur musculaire mvt musculaire involontaire + système limbique : TOC, schizo, angoisse
415
fonctions système limbique
émotions douleur, plaisir, docilité, affection, colère contribue olfaction et mémoire hippocampe = mémoire
416
dopamine et parkinson
déséquilibre entre ACH et dopamine altération posture, tremblement, rigidité, akinésie (initier) et bradykinésie (lenteur)
417
acide arachidonique
plusieurs devenirs dans le corps comme COX
418
fibres nociceptives
issue corps cellulaires situés dans ganglions spinaux entre dans moelle dorsale de la racine dorsale synapse avec neuone localisé dans les lames superficielles 1 et 2 5 pour adelta seulement
419
médiateurs inflammatoires causant douleur
substance libéré par tissu lésé augmente réponse fibre nociceptive activation électrique nocicepteurs provoque libération peptide et neurotransmetteurs qui contribuent à augmenter davantage réponse
420
voie ascendante douleur
faisceau spinothalamqiue latéral (distingue site et intensité) faisceau conduisant messages vers hypothalamus et amygdale (affective et émotionnelle)
421
voie descendante
système corticaux, diencéphalique, mésencéphalique, noyau neurotransmetteurs anti-nociceptifs = sérotonine et noradrénaline, opioïde endogène
422
avantage AINS
efficace grande variété affections recommandé court terme dose plus faible plusieurs options différentes
423
avantages acétaminophène
1ère intention pour tx douleur faible risque interactions sécuritaire et bien toléré
424
désavantage acétaminophène
toxicité augmente >4g/jour pas effet anti-inflammatoire
425
désavantage AINS
risque interactions rx effet indésirable dose thérapeutique EI GI, rénal et cardiovasculaire = souvent CI pour plusieurs patients