études Flashcards
étude de Wen et al. :
Quantité d’exercice minimal pour prolonger la vie
- intensité de l’exercice a un impact sur la mortalité
- marche et course
étude de Renaud et Bherer (2005) :
- études longitudinales
- études transversales
- études d’intervention
étude de Barnes et al. (2003) :
Illustration d’étude longitudinale
- sédentaire vs modérément actif vs actif
- sur 5-6 ans
- actifs ont un déclin cognitif moindre
étude de Larson et al. :
L’activité physique est associée à une réduction de risque de démence chez les 65 ans +
- suivi pendant 6,2 ans
- activité = ou + de 3x/semaine ou moins que 3x/semaine
- écart de risque relative de 32%
étude de Renaud, Bherer et Masquetiaux (2010) :
Meilleure attention préparatoire et rapidité d’exécution chez les plus en forme
- pas d’effet d’âge chez les highfit vs effets d’âge chez les lowfit
- meilleure santé cardiovasculaire et activité physique compensent pour l’effet de l’âge = meilleure attention préparatoire et rapidité d’exécution
- PA actifs ont la même rapidité d’exécutions qu’ados
Colcombe et Kramer :
Effets de l’activité physique sur les fonctions exécutives des PA
- + grande t’aille d’effets observés sur des entrainements combinés, de durée modérée, à long cours
- + grands bénéfices au niveau des tâches exécutives ou qui requièrent un contrôle attentionnel
Renaux, Mesquetiaux et al. (2010) :
Effet d’un entrainement aérobic de 3 mois chez des PA :
- l’entrainement a fonctionné = le groupe training a une meilleure santé cardiorespiratoire après l’entrainement
- amélioration de 18 à 22 mm (VO2 max)
- pas d’amélioration chez les groupe contrôle
pas seulement une question d’aérobie :
L’entrainement de la force musculaire peut aussi améliorer le fonctionnement cognitif
- amélioration de la performance mnésique et de l’abstraction verbale chez 62 ainés de la communauté après un entrainement en résistance d’intensité modéré à élevée (3x/semaine) pendant 6 mois
- amélioration au test de Stroop (fonctions exécutives) dans un échantillons de 155 femmes âgées de 65 à 75 ans après un entrainement progressif de la force (2 sets de 6-8 répétitions) sur 12 mois (1-2x / semain)
Barnes et al. (2014) :
Exercice, fonctions cognitives et vieillissement
- flux sanguin cérébral augmenté avec l’exercice intense/modéré
- dysfonction vasculaire (altérée avec l’âge) diminuée avec l’exercice
- flux et fonction vasculaire maintenus chez les actifs
- amélioration hémodynamique
- amélioration de la réactivité cérébrovasculaire
effet de l’activité physique sur la cognition via quels mécanismes ?
- effets indirects : amélioration du sommeil, réduction du stress, changements dans la diète, diminution des maladies chroniques (ex. : maladies cardiovasculaires) qui sont tous des facteurs qui influencent les fonctions neurocognitives
- effets directs : de l’exercice sur le cerveau
étude de Colcombe, Erikson et al. (2003) :
Préservation du volume cérébral dans la matière grise et la matière blanche
- les régions préservées sont celles qui sont le plus sensible au vieillissement normal
Erikson et al.
L’activité physique prédit le volume de matière grise à l’âge adulte
- les + actifs (4e quartile) ont tjr une plus gros volume de matière grise après 9 ans
- l’activité physique prédit un + gros volume dans les régions frontales, occipitales, endhorinales et les régions de l’hippocampe
- il faut marcher 72 blocs pour voir une hausse de volume de matière grise
- + de marche = + gros volume de matière grise = moins de risques associée au déclin cognitif avec l’activité physique
Pentikainen et al. 2017 :
La santé cardiovasculaire et le volume cérébral chez les hommes et les femmes
Contraste entre le volume cérébral en fonction du niveau de VO2 max chez l’homme et la femme :
- hommes : + bonne est la santé cardiovasculaire, + le VO2 max est bon, - il y a de perte corticale
- femmes : on ne voit pas vraiment cet effet là, moins de baisse au niveau du VO2 max en général
Dupuy et al. (2015) :
Une meilleure santé cardiovasculaire est associée à de meilleures fonctions exécutives et une oxygénation préfrontale
- les highfit cardiovasculaires ont une meilleure performance à la tâche de Stroop
– corrélé à un meilleur recrutement préfrontal, et donc une meilleure réactivité dans une tâche fonctionnelle d’imagerie cérébrale
Erikson, Prakash et al. 2009 :
Les PA qui faisaient du training aérobic étaient associées à un plus gros volume de l’hippocampe
- ces résultats prédisaient les compétences en mémoire
Erikson et al. (2011) :
L’entrainement augmente le volume hippocampique et la mémoire
- 120 PA divisées en 2 groupes : aérobic et stretching
- diminution du volume hippocampique chez le groupe contrôle, mais augmentation du volume hippocampique chez le groupe aérobic
- seulement observable au niveau de l’hippocampe et pas dans les autres régions et cerveau
- pas juste l’entrainement cardiovasculaire qui améliore la volume hippocampique, mais l’entrainement en coordination aussi
conclusions :
L’activité physique régulière semble avoir un effet protecteur contre le déclin cognitif et l’atrophie cérébrale dans les régions sensibles au vieillissement normal
Dans les études d’intervention, de 3-6-12 mois, les PA qui participaient aux programmes d’exercice physique voyaient des améliorations dans plusieurs domaines cognitifs
- attention
- vitesse du traitement de l’information
- mémoire visuo-spatiale
- mémoire de travail
- mémoire épisodique
Importance de l’entrainement en endurance (aérobie) pour la santé cardiovasculaire
Effets positifs de l’entrainement de la force musculaire (résistance), idéalement en entrainement combiné
Une marche à faible intensité, mais de façon régulière (tous les jours) semble avoir un effet positif sur l’atrophie corticale
Les effets bénéfiques pour la cognition sont importants à long terme (+ de 6 mois)
Les effets protecteurs contre la démence pourraient prendre plusieurs années, il faut + d’essais clinique pour confirmer l’efficacité