DTM 1 Flashcards
LDR
OIM, le disque est en avant du condyl
repositionnement du disque sous le condyle lors
de l’ouverture + claquement au moment du franchissement du bourrelet postérieur du condyle
perçu à la palpation
LDNR
R (disque en avant du condyle pendant tout le mouvement + pas de claquement + limitation
de l’ouverture buccale = déviation du côté atteint
Collage discal :
❖ Déviation toujours au même moment + claquement
❖ Latérodéviation
❖ Recentrage
LDR : disque peut se situer plus ou moins proche du condyle alors que dans un collage discal, le disque développe des adhérences et donc le franchissement est toujours au même moment
Arthrose :
❖ Forme arrondie du condyle dans le plan sagittal
❖ Evolution anatomique : aplatissement du condyle et réduction de l’espace intra articulaire +
bruit caractéristique = crépitation bruits de sable mouillé
❖ Perception latérale à la palpation d’un crépitement et utilisation du stéthoscope.
❖ Distinguer les périodes inflammatoires des périodes silencieuses
❖ Limitation du mouvement possible
Lorsqu’il y a une limitation d’amplitude ou douleurs =
troubles avérés, on s’intéresse à la luxation
Il existe 3 catégories de DAM :
- Les dysfonctionnements musculaires : Contractures par exemple.
- Les dysfonctionnements discaux : Luxations discales réductibles ou non réductibles par
exemple (qu’on peut toujours objectiver lors de l’examen exo-buccal) - Les pathologies dégénératives (arthrose ou arthrite par exemple)
classification
RDC/TMD en 1992
DC/TMD en 2010
RDC/TMD en 1992
différents axe
L’axe I correspond à l’aspect clinique, physique et l’axe II correspond à l’aspect psychologique des
TMD (associé au psychosocial), plus le trouble est ancien plus l’axe II est prédominant.
RDC/TMD en 1992 Axe I
3 catégories de TMS : les dysfonctionnements musculaires (limitation de
l’ouverture buccale), les dysfonctionnements discaux (luxation discale réductible et irréductible) et les pathologies dégénératives (arthrose et arthrite).
DC/TMD changement
avant
1a : myofacial pain sans limitation
1b : myofacial pain avec limitation
mtn
1a : douleur sans douleur référée
1b : avec douleur référée
savoir quels muscles sont concernés via la palpation des muscles extra buccaux : masséter
et temporal
8 diagnostics différents
- DTM non douloureux
- Douleur intra orale sympto et céphalée (odontalgie,…)
- Douleur musculaire localisée (myosite, contracture)
- Douleur musculaire généralisée (fibromyalgie,..)
- Douleur ATM (capsulite, entorse,LDNR,…)
- Douleur articulaire généralisée (polyarthrite)
- Douleur neuro
- Algie orofaciales idiopathique
le diagnostic intègre
retentissements psychologiques et sociaux. Il faut toujours prendre en
compte:
- Douleurs somatiques
- Douleurs neuropathiques
- Etat psychologique
- Santé et qualité de vie
Finalement, les douleurs chroniques sont en rapport avec :
- La nociception
- Impact cognitif et affectif de la douleur
- Modifications comportementales et sociales
- Contexte familiale et professionnel
- Qualité de vie
Lors de l’entretien clinique, il faut systématiquement caractériser la douleur :
- Qualité
- Fréquence d’apparition et rémission (douleur continue , intermittente)
- Durée
- Intensité (EVA)
- Facteurs aggravants (fonction , lumière , odeur, émotion, stress)
- État de prise de conscience de ces facteurs par le patient
Évaluer l’état douloureux :
- Capacité à contrôler la douleur
- État psychologique (anxiété, dépression)
- Retentissement professionnel (arrêt de travail etc)