douleurs aigues et chroniques Flashcards
quelles sont les questions à poser à un client qui présente une douleur
- localisation
- intensité
- variation
- description
- facteurs aggravants/améliorants
- sx associés
La douleur nociceptive somatique est généralement (localisée/ non localisée). Elle est (augmentée/inchangée/diminuée) par une pression sur la structure impliquée. Elle est sensible aux … et aux … .
localisée
augmentée
opiacés et non opiacés
La douleur nociceptive viscérale est généralement (localisée/non localisée). Elle est (constante/crampes/les deux). Lorsqu’elle est aigue, elle est sensible aux … . En chronique, on utilise généralement …
non localisée (ou localisation moins précise)
les deux
opiacés
opioides ou coanalgésiques selon les cas
les douleurs neuropathiques sont plus ou moins sensibles aux opioides?
moins, des doses plus élevées peuvent être nécessaires
que doit on faire dans le tx des douleur neuropathique
associer d’emblée à un coanalgésique
dans quelle classe de douleur l’échelle visuelle analogue (classer la douleur de 1 à 10) est très utile
aigue
pourquoi est-ce que de noter la douleur sur 10 est moins idéal pour la douleur chronique
parce que le but ce n’est pas tellement de diminuer sur 10 mais plutôt de ramener une qualité de vie et un retour aux activités
quelle est la première étape lorsque quelqu’un se présente avec une douleur aigue
analgésique non opioides, ains
+/- coanalgésiques
nommez des causes de douleurs aigues
post-op
dentaire
trauma
lombalgie
qu’est-ce qui peut influencer la douleur en post op
la difficulté et la durée de l’acte chirurgical
expérience du chirurgien
facteurs propres au patient (anxiété, dépression, perception, habitudes de vie, âge, douleurs préexistantes)
qu’est-ce qui peut augmenter la probabilité de développer une douleur chronique
l’intensité de la douleur au début
quels sont les buts de tx après la chirurgie
- soulager la douleur de façon efficace et sécuritaire
- favoriser une récupération précoce et améliorer l’évolution clinique
quels facteurs influencent le choix de l’analgésie en post op
- âge
- atcd médicaux
- type de chirurgie
- intensité et durée des douleurs post op attendues
- efficacité de l’analgésique
- profil d’e2
pourquoi est-ce qu’il faut bien doser la dose d’analgésique à donner au patient
on ne veut pas trop d’e2 comme de la somnolence qui pourrait diminuer les activités du patient
qu’est-ce que l’analgésie multimodale
utilier plusieurs méthodes d’analgésies de manière simultanée ou successive
quels sont les avantages de l’analgéie multimodale
- mieux contrôler la douleur en la bloquant à différents niveaux
- utiliser des doses efficaces mais moins de chaque (donc moins d’e2)
- ains permettrait de réduire l’inflammation post op et réduire les besoins en opioides
qu’est-ce qu’on doit éviter si risque de saignement élevé en post op
AINS
quel est l’objectif de douleur sur 10 pour une chirurgie mineure
en bas de 3 sur 10
est-ce qu’on prescrit des opioides pour une chirurgie mineure
possible en vas de pic de douleur
quels sont les tx pour une chirurgie majeure
- ains si absence de CI
- opioides parentérale puis relais po au jour 1-2 post op lorsque l’intensité diminue
quels sont les agents non opioides qu’on peut utiliser et leur dose
acétaminophène jusqu'à 1000mg qid naproxen 500mg bid ibuprofène 600mg qid celecoxib 100mg bid ketoralac 10mg qid
quels sont les opioides qui peuvent être utilisés en étape 2 de la douleur
codéine
tramadol
oxycodone
quels sont les opioides qui sont utilisés en étape 3 de la douleur
morphine
hydromorphone
mépéridine
si la douleur persiste après prise de tous les rx de la px, que fait on
ON NE PROLONGE PAS
on demande une réévaluation par le prescripteur car la douleur aurait due être soulagée avec ce qu’on lui a donné donc il y a p-ê un problème
qu’est-ce qu’on doit éviter lors de chirurgie colorectale
ains
lors d’une césarienne, que donne-t-on lors des premiers 24h? et ensuite?
- acétaminophène et AINS
- actéaminophène prn, ains prn si douleur modérée, opioide prn si douleur importante malgré la prise d’ains et tylenol
que fait-on pour la douleur aigue chez un patient qui est déjà traité pour douleur chronique
on ne change pas les doses de l’analgésique chronique
on ajoute une médication en surplus.
que fait-on si un patient qui prend de la buprénorphine se présente pour une douleur aigue
on privilégie ains et acétaminophène et si on doit donner des opioides on doit penser au fait que sûrement que des doses plus élevées seront nécessaires
pour un patient métabolisateur lent du 2d6 ou qui prend un inhibiteur de celui-ci, que peut on suggérer au lieu de la codéine
morphine, hydromoprhone, oxycodone
qu’est-ce qu’on dit pour la prise des rx lorsque la personne a une px de tylenol et de morphine
de commencer par prendre les tylenols et si pas de soulagement essayer la morphine
lors du conseil d’opioides, quels sont les e2 importants à mentionner
somnolence, constipation, nausées
que peut on faire pour diminuer le e2 des opioides
prescrire laxatif, donner du gravol
quelles molécules sont efficaces pour la douleur dentaire
AINS (plu particulièrement ibuprofène)
qu’est-ce qu’on ajoute lors de douleurs dentaires intenses
acétaminophène
qu’est-ce qu’on ajoute lors de douleurs dentaires extrêmes
opioides prn
si le patient a une CI aux ains, qu’est-ce qu’on lui donne
acétaminophène
tramadol
(léger modéré)
acet-codéine
acet-tramadol
(intense)
opioides prn
(extrêmes)
qu’est-ce qu’on fait lorsque la personne ne veut pas prendre d’opioides parce qu’elle dit qu’elle est allergique mais finalement elle était juste constipée
bien expliquer la différence à la patiente entre une allergie et une intolérance
lui prescrire des laxatifs et lui expliquer les MNPs
qu’est-ce qu’on peut donner à une personne réellement allergique à la codéine
mépéridine
quel est le type de douleur relié aux traumas
nociceptive somatique
quels sont le tx pour les traumas
acetaminophène
ains
+/- opioide selon intensité de la douleur
quel est généralement le temps de guérison des lomablgies
1 à 6 semaines
quelles sont les MNPs pour les lombalgies
- continuer de rester actif (pas de repos au lit)
- poursuite des activités même si persistance des sx
- déconseiller soutien lombaire
- relaxation, respiration, chaud froid, gradation des activités
quels sont les tx à envisager pour les lombalgies
analgésiques non narcotiques
relaxants musculaires
analgésiques opiacés (si pas de réponse aux autres agents)
après combien de temps fait-on le suivi de lombalgie
4-6 semaines
quels sont les facteurs à considérer lors de lombalgie
âge facteurs de comorbidités e2 tolérance au tx interactions dépression/anxiété/ommeil abus surdose coût
dans quelles circonstances les relaxants musculaires sont intéressants dans les lombalgies
si spasmes musculaires
pourquoi est-ce qu’il est important que le client ait des attentes réalistes
acceptation diminue l’incapacité, la dépression, meilleur fonctionnement
quels sont les objectifs de tx en lombalgie
contrôler les effets de la douleur sur les activités de la vie quotidienne et sa participation sociale
pourquoi est-ce que la douleur chronique entraine des coûts directs et indirects
patients ne peuvent plus toujours mener une vie active (école, marché du travail)
quels sont les facteurs de risque de douleur chronique
âge femme pauvreté autres ethnies vétérans
quels aspects de la vie sont affectés par la douleur chronique
- productivité (école/travail)
- réseau social
- activité vie quotidienne
- fatigue/trouble sommeil
- qualité vie
- stress mental et émotionnel, frustration
quels sont les 3 principes de la physiopathologie de la douleur chronique
- renforcement de ce qui est utilisé
- perte de ce qui n’est pas utilisé
- construire de nouveaux réseaux de l’apprentissage neuronal
que peut rapidement évaluer le BPI (brief pain inventory)
humeur capacité à marcher sommeil travail relations activités sociales gout de vivre
quels intervenants peuvent faire partie de l’équipe du patient avec douleur chronique
psychologues
physiothérapeutes
ergothérapeutes
infirmières
un traitement jugé efficace en douleur chronique diminue de combien la douleur du patient
30%
quels sont les objectifs de tx en douleur chronique
rendre la douleur moins intense, plus acceptable, pour permettre au patient de fonctionner
quels sont les MNPs pour la douleur chronique
chaud/froid
relaxation/respiration
pacing (se garder de l’énergie pour les autres jours. pas tout dépenser la journée où on va bien)
que peut on noter dans un journal de bord de la douleur
- intensité de la douleur
- activités quotidiennes
- prise de rx
- e2 (selles, no vo, sédation…)
que doit on faire avant d’introduire des opioides dans le tx de la douleur chronique
- bien soupeser risques/bénéfices
- évaluer risque dépendance
- on peut aussi faire un contrat avec le patient
quels forme d’opioide est à privilégier dans le tx de la douleur chronique
longue action
v/f les entre doses sont recommandés en douleur chronique
non, on essaie d’en avoir max 1 ou 2 par semaine
quelle est la dose de morphine qui est la dose de réflexion
90mg d’équivalent de morphine/jour
que doit on vérifier lors du suivi de la douleur
- soulagement la nuit, repose, mobilisation
- niveau fonctionnel
- qualité sommeil
- ajustement de dose
- si trop d’e2, vérifier si le patient est soulagé. si oui on peut essayer de diminuer les doses
que fait on si le patient n’est pas soulagé par l’opioide et présente des e2
ajouter coanalgésique pour réduire les doses opioides
rotation opioides
traiter effets indésirables
quels sont les bons moments pour faire les suivis
sevrage
si e2
si tx inefficace
sinon aux quelques semaines
combien de temps attend-on avant de commencer un sevrage du tx pour la douleur chronique
quelques semaines/mois après le soulagement complet
quelle est généralement la réduction à faire pour le sevrage des opioides
diminuer de 5 à 10% la dose aux 3-4 semaines
mais vraiment ajustable pour chaque patient
qu’est-ce qui peut aider pour le sevrage
rotation opioide
qu’est-il vraiment important lors du sevrage d’opioides
expliquer les sx, qu’ils seront passagers
dans quels cas les magistrales topiques pour la douleur sont intéressantes
douleur localisée
après combien de temps est-ce qu’on vérifie l’efficacité du tx avec les magistrales topiques
3-4 semaines (souvent après le premier tube)
quels sont les sx d’alarme lors de lombalgies
- apparition récente d’incontinence/rétention urinaire/fécale
- traumatisme grave récent
- paraplséie
- quadraplésie
- signes neurologies
- perte de poids inexpliquées
- fièvre, frissons
- syndrome queue de cheval
- pas soulagé par position couchée
- douleur croissante