Douleur aigue et chronique (non cancéreuse) --» done Huss Flashcards
Quell est la définition de la douleur selon l’IASP?
Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à, ou ressemblant à celle associée à des lésions tissulaires réelles ou potentielles
La douleur est un phnomène (objectif / subjectif) donc il est important d’____ la thérapie et ce, surtout lors de douleur (aigue/chronique)
subjectif
individualiser
chronique
Pourquoi la douleur est un phénomène subjectif?
Car elle dépend de la nature du stimulus, de l’état physiologique, émotionnel, cognitif et de l’expérience du
sujet qui reçoit ce stimulus.
V/F. La douleur est un des symptômes les plus fréquemment observés en soins de première ligne.
Vrai
V/F. Les pharmaciens sont des professionels de la santé accesible, ce qui veut dire qu’on est bien placé pour la PEC de la douleur.
Vrai
Il y a trois (3) types de douleurs. Les nommer
- Douleur nociceptive
- Douleur neuropathique
- Douleur nociplastique
Les douleurs SOMATIQUES et VISCÉRALES font partis de quels types de douleurs?
douleur nociceptive
La douleur nociceptive est habituellement causé par quoi?
stimulation des Rc spécialisés de la douleur (nociception), situés dans les tissus comme la peau, les os, les articulations et les viscères
QSJ? Douleur qui provient d’une lésion ou d’une maladie du SYSTÈME MULTISENSORIELLE
Douleur neuropathique
dysfonctionement SN : ex: neuropathie diabétique, zona
C’est quoi la douleur nociplastique?
Changement dans la perception douloureuse, d’origine probablement centrale, conduisant à l’amplification de la douleur :
- Hyperesthésie, hyperalgésie et parfois allodynie
- Ex: Fibromyalgie et colon irritable
V/F. Il est essentiel de reconnaître le type de douleur pour offrir analgésie adéquate.
Vrai
Lorsqu’on questionne le patient sur sa douleur, quels élments sont importants à questionner?
LIVD
- Localisation
- Intensité
- Variation dans la journée / selon activités ?
- Description de la douleur
Comment peut-on décrire la douleur nociceptive SOMMATIQUE?
- bien localisée
- augmentée à la pression / mobilisation / mise en charge
- sensibles aux opioïdes et aux non opioïdes (ACET et AINS)
- Co-analgésiques peuvent être aussi utilisés dans certaines situations
Comment peut-on décrire la douleur nociceptive VISCÉRALE ?
- localisation moins précises
- Peut être projetée
- Selon l’organe en cause, elle peut être constante ou d’allurE crampiforme
- Aigue: sensibles aux opiacés et coanalgésiques spÉcifiques peuvent être utiles
- Chronique: les opioïdes peuvent être utiles et on peut considére les co-analgésiques selon la cause
Décrire la douleur neuropathique.
- Constante ou intermitente?
- comment peut-elle être ressentie?
- À quoi peut-elle être aosscié?
- sensibles aux opioïdes?
- co-analgésique?
- constante ou intermitente (peut prendre la forme des deux)
- brulures, picotements et fourmillements
- associés à une atteinte neurologique sensitive ou motrice
- moins sensibles aux opioïdes = doses plus élevés peuvnet être nécéssaires
- associer d’emblée un coanalgésique ou même débuter par ces agents (antidépresseurs, anticonvulisvants, etc)
L’échelle visuelle analogue (EVA) peut être utile pour déterminer l’_____ de la douleur et très utile dans un contexte de douleur (aigue/chronique). Cependant, elle est ______ pour le suivi d’un patient avec douleur (aigu/chronique).
intensité
aigue
imparfaite / chronique
Concernant les stades de la douleur:
1. Une douleur aigue est une douleur de …..
2. Une douleur sub-aigue est une douleur …..
3. Une douleur chronique est une douleur de ….
- 30 jours et moins
- entre 30 jours à 3 mois
- 3 mois et plus
Concernant la douleur AIGUE:
1. V/F. La cause de la douleur est inconnue
2. V/F. Les dommages tissulaires sont identifiables
3. À quoi peut-elle être associée? (4)
4. Répond bien à quelles classes de médicaments?
- Faux, connue
- Vrai
- anxiété, ↑ TA, ↑ FC et ↑ FR
- Analgésiques, AINS, Opioïdes
V/F. Tout comme pour la douleur aigue, la douleur chronique est associé à un dommage tissulaire visible.
Faux, Pas de dommage tissulaire visible OU apparence de guérison
Nommer différentes causes de douleurs AIGUES. (5)
Douleur musculosquelettique
Douleur suite à un trauma
Douleur post-opératoire
Douleur dentaire
Lombalgie
Quels sont les étapes de transmission de la douleur? (4)
- Transduction
- Transmission
- Modulation
- Perception
Quels sont les objectifs de traitements de la douleur AIGUE? (3)
Diminuer l’intensité et la durée de la douleur
Améliorer les fonctions physiques
Prévenir la chronicisation de la douleur
Concernant la douleur MUSCULOSQUELLETIQUE AIGUE:
1. Elle peut affecteur quels parties du corps? (5)
2. Par quoi peut-elle être causé?
3. Nommer les recommandations poor traiter la douleur musculosquelletique?
- muscles, tendons, ligaments, tissus mous, os
- Entorse, foulure, fracture non chirurgicale, contusion
- AINS topique +/- gel de menthol topique (Efficacité comparable à acétaminophène ou AINS PO) / AINS PO ou acétaminophène et Déconseillent l’utilisation d’opioïdes
V/F. Pour les blessures sévères, l’utilisation d’AINS TOPIQUE n’est pas un 1er choix de traitement acceptable
Vrai
logique = si il se blesse très fortement = donne pas voltaren tcomprend
Lire le cas #1
…
QSJ?
- Analgésique « de base », généralement bien toléré
- Début d’action plutôt rapide, durée d’action d’environ 4 heures
- Attention aux combinaisons – ne pas dépasser dose maximale quotidienne (4g / jour) (4 g = max si pas de conditions particulières)
Acétaminophène
Il faut réduire la dose maximale d’acétaminophène si le patient a une ____, inuffisance _____, si il consomme de l’___ ou s’il prend de l’acet de façon _____
cirrhose
hépatique
Alcool
Chronique
Pour le soulagement de la douleur, l’AINS qu’on choisit dépend de plusieurs facteurs.
- Début/durée d’action souhaité (p.ex. début ____ pour douleur aiguë ; ______ ____ pour douleur chronique)
- Formulation du médicament (si problème de tolérance p.ex.)
- Adhésion au traitement problématique – prioriser agents avec longue t ½ (ex. : diclofénac, naproxène, indométhacine, méloxicam, célécoxib)
- Coût
- Présence ou non de C-I (Risque cardiovasculaire, rénal et GI surtout)
- Médicaments actuels (vs risque d’interactions): IECA, ARA, lithium, ASA, corticostéroïdes, anticoagulants entre autres…
- Tolérance/effets indésirables
- Réponse clinique du patient (tenter 2ème AINS si inneficace)
- Début/durée d’action souhaité (p.ex. début rapide pour douleur aiguë ; longue durée pour douleur chronique)
- Formulation du médicament (si problème de tolérance p.ex.)
- Adhésion au traitement problématique – prioriser agents avec longue t ½ (ex. : diclofénac, naproxène, indométhacine, méloxicam, célécoxib)
- Coût
- Présence ou non de C-I (Risque cardiovasculaire, rénal et GI surtout)
- Médicaments actuels (vs risque d’interactions): IECA, ARA, lithium, ASA, corticostéroïdes, anticoagulants entre autres…
- Tolérance/effets indésirables
- Réponse clinique du patient (tenter 2ème AINS si inneficace)
Les opioïdes (lors de douleurs aigues) sont à réserver à qui ?
Patients avec douleur forte ou réfractaire, ou en présence de C-I aux autres options
Nommer certains risques reliés aux opioïdes à garder en tête.
- Dépendance/troubles lié à l’usage des opioïdes
- EI à court terme
- EI à long terme
Nommer des EI à court terme causés par les opioïdes.
- Ralentissement psychomoteur
- somnolence, confusion, étourdissements
- constipation, nausées/vomissements
- rétention urinaire
- dépression respiratoire,
Nommer des EI à long terme causés par les opioïdes.
désordres neuroendocriniens comme
- hypogonadisme
- hyperalgésie
- apnée du sommeil
- troubles de concentration/mémoire
Quels sont les obligations de santé Canada QU’IL FAUT RESPECTER, lorsqu’on remet un opioïdes à un patient?
À CHAQUE service d’opioïde :
- Apposer un autocollant
- Remettre fiche de renseignements sur les opioïdes
V/F. Il faut toujours viser la plus petite dose efficacd et limité la durée d’utilisation des opioïdes. Expliquer
Vrai,
- Certaines références visent traitement opioïde en post-op/douleur aiguë pour un max de 3 jours (ad 7 jours)
- FRACTIONNER LES SERVICES SI NÉCESSAIRE !
De quoi dépend du choix de l’opioïdes qu’on va utilsier pour le traitement?
lire
- Allergies/intolérances du patient
- Médication actuelle (interactions ?)
- Insuffisance hépatique/rénale
- Âge
- Condition médicale/ATCD (vs risque de dépression respiratoire entre autres)
Décrire les interractions importantes de certains opioïdes.
indice tramadol, codéine, fentanyl, dépresseurs SNC
Tramadol et codéine : attention avec les inhibiteurs du CYP2D6 (ou les métabolisateurs lents du CYP2D6) : diminution d’efficacité
Tramadol : inhibe recapture SE, donc attention au risque de syndrome SE (si association de plusieurs Rx)
Fentanyl (et oxycodone dans une moindre mesure) : métabolisme CYP3A4
Dépresseurs SNC : risque d’effets additifs
V/F. Il y a une tolérance croisée entre les opioïdes et celle-ci est parfaite, donc lorsqu’on substitue l’opioïdes on peut prendre la dose équianalgésique.
la tolérance croisée est présente , mais imparfaite et lors de substitution , il faut diminuer de 25-30% la dose équianalgésique
Site de calculateur de dose équivalente:
…
Concernant de conversion des principaux opioïdes:
Apprendre l’algorithme
Morphine = référence
…
Un patient prend 2 mg d’opioïdes PO et on décide de changer la forme pharmaceutique à une forme sous-cutanée. Quelle est la dose équivalente lorsqu’on administre le même opioïde mais sous forme SC.
Prescritpion S/C = 50 % de la dose orale , donc 1 mg
Que veut dire l’entredose d’un opioïdes est de 10% de la dose de 24 heures?
Si un patient reçoit 60 mg divisé en BID de morphine orale par jour, l’entredose (patient peut recevoir) sera de 6 mg entre les deux doses
Lors d’un changement de molécule (opioïdes), il faut réduire de ___ la dose calculée parce que la tolérane croisée d’une molécule à l’autre peut-être incomplète.
1/3
Concernant la douleur aigue post-opératoire:
Les facteurs prédictifs de la douleur post-opératoires:
- ____ et ____ de l’acte chirurgical
- _____ du chirurgien
- Facteurs propres au patient
- Variables _______ : anxiété, dépression, perception du patient de son état de santé
- Habitudes de vie : ____ , facteurs sociaux _____
- ____
- Douleur _______
- Difficulté et durée de l’acte chirurgical
- Expérience du chirurgien
- Facteurs propres au patient
- Variables psychologiques : anxiété, dépression, perception du patient de son état de santé
- Habitudes de vie : tabagisme, facteurs sociaux défavorables
- Âge
- Douleur préexistante
Concernant les objectifs de tx de la douleur aigue post-op? :
1. Soulager la douleur de façon _____ et _____ en fonction des particularités du patient
2. Favoriser une récupération ____ et améliorer l’______ clinique
- efficace / sécuritaire
- précoce / évolution
Le choix de l’analgésique lors de douleur aigu post-op dépendent de plusieurs facteurs. Les nommer.
AAT IEP
- âge
- ATCD médicaux
- Type de chirurgie
- intensité et durée des douleurs post-op attendues
- Efficacité de l’analgésique
- Profil d’EI du Rx
Il faut bien « doser » l’analgésie du patient pour éviter les effets indésirables tels que la _____, qui pourraient empêcher patient de ____ ___.
somnolence / demeurer actif
Que veut dire le terme « analgésie multimodale» ?
Utiliser plusieurs méthodes d’analgésie de manière simultanée OU successive (ex : acétaminophène + AINS + opioïde)
Que permet l’analgésie multimodale lors de traitement de DOULEUR AIGUE OST-OP?
- Mieux contrôler la douleur, en la bloquant à différents niveaux
- utiliser des doses efficaces, mais moindres de chaque médicament, donc généralement moins d’effets indésirables
- AINS : permettrait de réduire inflammation post-op et de réduire les besoins en opioïde
- Si risque de saignement élevé en post-opératoire, éviter AINS
Concernant les chirurgies mineurs:
1. Quelles classes de rx peut-on recommander selon l’intensité de la douleur?
2. Quel est l’objectif (en terme de diminution de douleur)?
3. V/F. Pour des chirurgies minuere, il est pas justifié de prescrire des opioïdes aux besoin
- Acet, AINS
- Objectif : douleur < 3/10
- Faux, Prescription d’opioïde PRN possible en cas de pic de douleur
Concernant les chirurgies majeures:
1. V/F. L’acetaminophene est à privilégier au lieu des AINS.
2. V/F. Il est possible d’adminsitrer des opioïdes par voie parentérale (pendant hospit.) → relais PO au J1-J2 post-op lorsque l’intensité de la douleur diminue
- Faux, AINS seulement (pas vraiment interessant ici le tylenol)
- Vrai
Voir: exemples d’agents utilisés en douleur aigue post-op
…
TRÈS IMPORTANT
Les posologies doivent être le plus précises possibles
- Recommandations canadiennes d’optimiser les ordonnances d’opioïdes pour éviter les erreurs et l’ambiguïté pour patient, pharmacien, infirmière
Durée de la prescription (en externe) doit être adaptée à l’_____ du ___ ____
- Si la douleur persiste au-delà de la prescription, il est important que le patient soit___ par
l’____ _____afin dE _____ la douleur (vs complications possibles) et d’____ le traitement analgésique pour éviter que la douleur aiguë ne devienne _____ …
- importance du choc opératoire
- revu / équipe médicale / RÉÉVALUER / adapter / chronique
Pour la chirurgie colorectale, quelle classe d’analgésique ne doit pas recommander pourquoi?
AINS, CAR Risque de saignement/complications en post-op (et pour permettre la réanastomose)
Quelle analgésique peut-on recommande pour un patient ayant subit une chrirugie colorectale?
association acet régulier et opioïde PRN (analgésie multimodale)
Quel analgésiques peut-on recommander pour une césarienne? quoi faire si constipation?
Administration acétaminophène ET AINS régulièrement pour 24H
puis,
- Acétaminophène PRN si douleur légère
- AINS PRN si douleur modérée
- Opioïde PRN si douleur importante malgré les 2 options précédentes
Gestion de constipation : PEG-3350 prescrit PRN à toutes les patientes en post-partum
Lire:
…
Concernant les différentes intensités de DOULEURS DENTAIRES
1. Quel est le 1er choix de tx lors de douleur dentaire?
2. Si une douleur plus importantre est anticipée, on peut recommander de faire quoi?
3. Les opioïdes sont-ils recommander comme premier choix?
Apprendre tableau
- AINS
- Ajouter Acet
- Non
ON AJOUTE À CHAQUE FOIS
Less opioïdes ne sont pas recommander comme premier choix lors de douleur dentaire et on devrait essayer d’optimiser les doses et fréquences d’administration des autres analgésiques d’abord. De plus, il faut ____ le nombre de cos prescrits (certaines références parlent de 8 à 12 cos max) et la durée d’utlisation ne devrait pas excéder __ jours (parfois 7 jours)
limiter
3 jours
V/F. La lombalgie aigue est très grave et peut durer ad 4 mois.
Faux, il faut rassurer le patient et lui dire que la majorité des cas de lombalgie se résorbent en l’espace de 1 à 6 semaines.
Que peut-on dire lors d’un conseil à un patient qu a une lombalgie aigue?
- Encourager le patient à rester actif (On déconseille le repos au lit)
- Encourager l’auto-prise en charge et la poursuite des activités, y compris le travail, même s’il y a persistance des symptômes
- Déconseiller l’emploi de soutien lombaire
- Enseigner des stratégies permettant de diminuer la douleur et d’augmenter la poursuite des
activités normales (relaxation, respiration, application de chaud/froid, gradation des activités)
Voir
…
Nommer les signaux d’alarmes d’une lobalgie aigue (diriger pt vers URGENCE)
- Apparition récente d’incontinence ou rétention urinaire ou fécale
- Traumatisme grave récent
- Paraparésie (faiblesse aux membres inférieurs)
- Quadraparésie
- Autres signes neurologiques évolutifs
- Perte de poids inexpliquée
- Fièvre, frissons
- Syndrome de queue de cheval (racines nerveuse comprimées ou lésées perturbant voies motrices et sensorielles
des membres inférieurs et de la vessie – sans tx, peut entraîner une paralysie complète) - Douleur aiguë non soulagée par position couchée
- Douleur croissante qui ne faiblit pas
Apprendre (PEC de la lombalgie aigue)
…
LIRE les facteurs à considérer lors du tx pour la lombalgie aigue.
Âge du patient
Facteurs de comorbidité (insuffisance rénale, hépatique, apnée du sommeil)
Profil d’effets indésirables du traitement
Tolérance au traitement chez notre patient
Potentiel d’interactions médicamenteuses (Rx concomitants)
Présence concomitante de dépression, trouble d’anxiété ou trouble du sommeil
Risque d’abus
Risque de surdose
Coût et remboursement du traitement
Nommer l’apporche progressive (choix de tx) à prioriser lors de LOMBALGIE AIGUE
- Acétaminophène
- AINS
- Cyclobenzaprine (relaxant musculaire) si présence de spasmes musculaires
- Opioïdes : LE MOINS POSSIBLE !
- Si opioïde prescrit, devrait être pour très courte période (maximum 7-14 jours), pour douleur sévère/réfractaire
- Plusieurs associations médicales/organismes recommandent d’ ÉVITER COMPLÈTEMENT les opioïdes vu peu d’évidences cliniques
Concernant les patients ayant une douleur aigue et qui sont traités pour douleur chronique:
1. V/F. Il est recommander de changer les doses d’analgésie chronique.
2. Qu’est-ce qu’on doit faire alors en général si un patient traité pour douleur chronique se présente avec traitement aigue?
3. Peut-on ajouter des opioïdes? à quelle condition?
- Faux, Ne pas changer les doses d’analgésie chronique
- Généralement, ajouter médication pour gérer analgésie aiguë « en surplus »
- Si buprénorphine, opioïdes peuvent être administrés au patient, mais souvent moins efficaces :
privilégier autres options (acétaminophène, AINS) et si opioïdes nécessaires, doses + élevées à prévoir
chatgpt: orsqu’un patient sous buprénorphine a une douleur aiguë, l’ajout d’autres opioïdes peut ne pas fonctionner aussi bien, car la buprénorphine bloque l’accès des autres opioïdes aux récepteurs.
V/F. La douleur chronique non cancéreuse affecte 0,5% de la population
Faux, 1 canadien sur 5
Aux États-Unis, 1 américain/3
En Europe, prévalence 25-30%
V/F. Les douleurs chronique ont un cout direct et indirect élevés. En effet, les patients ne peuvent parfois plus mener une vie active (école, marché du travail).
Vrai
États-Unis : 560 milliards $/année en perte de productivité Canada : correspond à environ 56-60 milliards $/année
Coûts directs en soins de santé estimés à 7,2 milliards $/année pour gérer douleur chronique
Nommer des FDR de douleur chronique non cancéreuse. (4)
Âge (plus de 65 ans : 1/3 souffre de douleur chronique)
Femme
Pauvreté
Autres ethnies: personnes Indigènes, Vétérans
V/F. La douleur chronique plusieurs aspects de la vie.
Ex:
- baisse de la productivité (absence travail/école)
- ↓ réseau social
- diminution activités de la vie quotidienne (AVQ)
- Fatigue, troubles de sommeil
- diminution qualité de vie
- diminution du Stress mental et émotionnel (anxiété, tristesse, dépression, frustration)
Vrai
Décrire la physiopathologie de la douleur chronique non cancéreuse.
Neuroplasticité du cerveau: Capacité du cerveau de modifier et réorganiser des circuits neuronaux suite à l’apprentissage ou à des expériences
Nommer trois (3) principes de la douleur chronique non cancéreuse.
- Renforcement de ce qui est utilisé et entraîné
- Perte de ce qui n’est PAS utilisé
- Possibilité de construire de nouveaux réseaux par l’apprentissage neuronal
Lire
Lire
sensibilisation a/n centrale
Lire le cas #3
…
Suite
…
V/F. Il y a seulement les médicaments qui peuvnet aider les douleurs chroniques.
Faux,
Psychologues, Physiothérapeutes, Ergothérapeutes, infirmières et Infiltrations et autres techniques
V/F. Lors de traitement de douleur chronique , gérer les attente du patient est primordial, c’est -à-dire fixer des objectifs réalistes pour que la patient ne soit pas décu.
Vrai
Un traitement jugé efficace correspond à une amélioration de ___% DE LA DOULEUR CHRONIQUE
30%
V/F. Lorsqu’on traite un patient pour sa douleur chronique, on prévoit faire disparaitre la douleur au complet?
Faux, on ne prévoit pas faire disparaître la douleur, mais plutôt la rendre moins intense, plus acceptable, pour permettre au patient de FONCTIONNER.
Il est important de fixer des objectifs ___ avec le patient quand ça vient à traiter sa douleur chronique.
réaliste
Nommer des MNP pour la douleur chronique (5)
- Chaud/froid
- « pacing »
- Alimentation
- Rester actif (marche, exercice)
- Relaxation/respiration (méditation/respiration « pleine conscience »)
Le “pacing” est une stratégie de gestion de l’énergie utilisée pour les personnes souffrant de douleur chronique ou de fatigue chronique. Il s’agit de répartir ses activités sur la journée de manière équilibrée afin d’éviter les cycles d’épuisement et de récupération.
La pleine conscience (mindfulness) est une pratique qui consiste à porter intentionnellement son attention sur le moment présent, sans jugement. Elle est souvent utilisée pour gérer la douleur chronique, le stress et l’anxiété.
V/F. Il y a bcp de données probantes qui disent comme quoi il y a des bénéfices à long terme des opioïdes sur la douleur chronique non cancéreuse.
Faux, peu de données probantes
Concernant la prise d’opioïdes et la douleur chronoque non cancéreuse:
- Il faut bien soupeser les risques/bénéfices et discuter des risques des opioïdes avec le patient, donc il faut évaluer le risque de ____ et les risques à ___ ___ comme l’___, ____ et l’____ du sommeil
- Il faut fixer l’objectif ____ avec le patient _____ d’initier le traitement d’opioïdes.
- dépendance, long terme, hypogonadisme, hyperalgésie, apnée
- fonctionnel, avant
- Autres modalités thérapeutiques à proposer (traitement multimodal)
- Attentes du patient à discuter dès le début de la prise en charge
- Prudence lorsqu’on prescrit un opioïde pour douleur chronique
- Rôle possible à moyen terme pour patients bien ciblés (à faible dose)
On peut faire un ____ avec le patient
- Données probantes de faible qualité, effets équivoques sur l’abus d’opioïdes
- Pourrait être utile pour structurer processus de consentement éclairé, clarifier les attentes et clarifier la nature d’un essai d’opioïde avec le patient
Contrat
Concernant la prise d’opioïdes et la douleur chronique non cancéreuse:
- Il faut optimiser les options de traitement _____. Expliquer
- Il faut privilégier les opioïdes à ___ __
- Devrait-on rajouter des entre-doses?
- V/F. Il faut initier à haute dose les opioïdes
- Quelle est la dose de réflexion d’opioïdes?
La dose de réflexion est un seuil posologique à partir duquel une réévaluation clinique approfondie du traitement opioïde est nécessaire avant d’augmenter davantage la dose.
- non opioïdes (MNP, analgésiques/coanalgésiques) ——» COANALGÉSIQUES : tx pharmaco de 1ère et 2e intention (douleur neuropathique, lombalgie chronique)
- à longur action
- éviter ou limiter
- faible dose augmenter graduellement
- 90mg d’équivalent morphine PO/jour
On remarque souvent des accidents reliés aux opioïdes, donc i faut dire aux patient de les ranger idéalement dans un endroit ____, hors de la vue et de la portée des _____ et des animaux.
vérouillé
enfant
V/F. Lorsqu’un médicament est périmé, il n’y a pas de problèmes si le patient les jette à la poubelle ou dans la toilette.
Faux, Éviter de jeter à la poubelle ou dans la toilette
- Rapporter à la pharmacie pour destruction sécuritaire et dans le respect des normes environnementales
Ne PAS partager ses médicaments avec autrui, sous aucune considération (enjeu de sécurité – risque de surdose)
Lire mm si ça sert a rien
Quand on prend des does entre 50 et 100 mg d’quivalent de morphine par jou, le risque de surdose est 5 x plus élevée par rapport à des patients qui prennet des doses plus faibles.
QSJ? Souvent le premier professionnel de la santé à constater un changement dans le comportement ou dans l’état du patient. Important rôle dans la prévention et intervention rapide vs risque de dépendance aux opioïdes.
Pharmacien
Pharmacien = professionnel de la santé ACCESSIBLE pour les patients Pour le suivi des maladies chroniques, le patient verra son pharmacien 10 fois plus souvent que son médecin de famille !
Concernant le suivi par le pharmacien de la douleur chronique:
1. Comment peut-on évalué l’efficaicté du traitement?
2. Si l’objectif n’Est pas atteint avbec un opioïde, que fait-on?
3. V/F. Il est important Réévaluer régulièrement la pertinence de poursuivre le traitement (risques vs bénéfices).
4. Il faut surveiller quelles EI? et donner des exemples de ce qu,on peut faire en cas d’EI.
Tjrs surveiller l’adhésion bien sur
- Voir si Soulagement la nuit, au repos, puis à la mobilisation, Niveau fonctionnel (activités), Qualité du sommeil ? Ajustement des doses selon intensité de douleur, « fonctionnement » du patient
- Cesser l’opioïde
- Vrai
- effets indésirables particuliers (hyperalgésie, hypogonadisme, troubles de concentration/mémoire)
- Diminuer dose (en ajoutant un coanalgésique si douleur trop importante)
- OU rotation d’opioïde
- +/- traiter l’effet indésirable
Il y a plusieurs outils d’évaluation de la douleur
…
Voir
…
C’est quand qu’il faut envisager un sevrage d’opioïdes? (7)
Si le patient le demande !
Diminution de l’effet analgésique / du fonctionnement
Objectifs d’amélioration du fonctionnement non atteints
Diminution de qualité de vie
Effets indésirables inacceptables (effets à long terme)
Risque médical inacceptable
Comportements déviants
IMPORTANT
DOSE ≥ ______ D’ÉQUIVALENT- _____ _____ /JOUR NE DEVRAIT PAS ÊTRE L’_____ -_____ PRÉSENT POUR INITIER UN SEVRAGE D’OPIOÏDE
DOSE ≥ 90MG D’ÉQUIVALENT- MORPHINE PO/JOUR NE DEVRAIT PAS ÊTRE L’UNIQUE ÉLÉMENT PRÉSENT POUR INITIER UN SEVRAGE D’OPIOÏD
comprendre
Quelles lignes directrices evidence based dit comment quand et comment effectuer un sevrage d’opioïdes? Explique
Aucune, il n’y a pas
discuter avec pt avec écoute, sans jugement = Pt doit se sentir soutenu
LES PATIENTS VIVENT SOUVENT UNE DUALITÉ ENTRE LE FAIT DE CONSTATER QUE LES OPIOÏDES____ _____ (OU TRÈS PEU) ET LA ____ DE DÉBUTER UN SEVRAGE
N’aident pas
peur
Comprendre
…
Nommer les principaux symptômes de sevrage des opioïdes. (11)
LES SYMPTÔMES DE SEVRAGE SONT PASSAGERSSSSSS
Augmentation transitoire de l’intensité de la douleur
Diaphorèse (sueurs excessives)
Diarrhées
Nausées
Frissons
Myalgies
Anxiété / Insomnie
Tachycardie
Céphalées
Fatigue
sevrage
Comment diminuer les doses d’opioïdes?
Premières baisses:
- TRÈS PETITE diminution de dose, pour donner confiance au patient et limiter anxiété
- Planifier un suivi dans les jours qui suivent la baisse (le lendemain ou après 2-3 jours par exemple) pour rassurer le patient
Diminuer de 5 à 10 % à la fois
lire: À adapter selon les formulations disponibles
- Fentanyl : on peut diminuer de 6mcg/h à la fois (soit ½ timbre de 12mcg/h)
- Hydromorphone LA : on peut diminuer de 1,5mg à la fois
- Morphine LA : on peut diminuer de 5mg à la fois
- Oxycodone LA : on peut diminuer de 5mg à la fois
À quelle vitesse diminuer les doses?
En d’autres mots, la rapidité du sevrage devrait être déterminée par quoi?
La capacité du patient à le tolérer
- Pour des patients très “déterminés”, diminution q2-3 semaines est possible
- Pour d’autres patients, diminution q4-6 semaines sera plus adaptée
V/F. Il faut toujours dminuer la dose d’opioïdes et on ne peut pas faire de pause.
Faux, généralement pas d’urgence et on peut faire pause PRN
Ex:
- Étape de sevrage plus difficile pour le patient (éviter de réaugmenter la dose autant que possible)
- Événement spécial pour le patient ou suivi impossible alors qu’il a besoin de support
C’est quand qu’il faut mettre fin à un sevrage ?
Lorsque le patient a atteint un certain plateau
- Chaque diminution de dose entraîne une augmentation de l’intensité de la douleur qui ne s’estompe pas dans le temps ou qui prend plusieurs semaines à se stabiliser.
ou
lorsque l’opioïde est cesser complétement
Nommer des éléments clés pour réussir un sevrage?
- Renforcement et réassurance
- Relation de confiance
- Éviter de compenser la baisse par des entre-doses (courte action)
- Ralentir ou faire une pause du sevrage au besoin – ce n’est pas une course
- Suivis
- Collaboration avec les autres professionnels de la santé impliqués auprès du patient (informer des objectif du plan initial de sevrage et permettera au pt d’Avoir support de ceux-ci (rassurant pour le patient) et favorisera l’adhérence au plan puisque les objectifs seront communs)
Voir
…
Lire la fin du power point FYI (pas à l’exam)
…