Développement psychosexuel à l’adolescence et à l’âge adulte émergent : agir sexuel Flashcards

1
Q

Comment le paradigme des relations entre adolescents a-t-il évolué au fil du temps ?

A
  • Approche centrée sur les problèmes
  • Approche centrée sur le développement d’attitudes et d’habiletés
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2
Q

Comment expliquer la baisse de l’âge médian du premier rapport sexuel ?

A

Pourrait s’expliquer par ce double mouvement contradictoire: d’augmentation des échanges entre adolescent·e·s par médias interposés, mais de diminution de la fréquence de leurs contacts en face-à-face.

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3
Q

Quelle est la séquence des comportements auto-érotiques chez les adolescents ?

A
  • Éveil sexuel : manifestations d’excitation sexuelle, curiosité à l’égard de la sexualité, attirances
  • Fantasmes affectifs et sexuels
  • Masturbation
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4
Q

Quelle est la séquence des comportements alloérotiques chez les adolescents ?

A
  • Étreintes
  • Baisers
  • Caresses du haut du corps, du bas du corps par-dessus les vêtements et sous les vêtements
  • Caresses aux organes génitaux
  • Relations orales-génitales
  • Relations sexuelles avec pénétration
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5
Q

Quelles sont les caractéristiques des comportements sexuels des adolescents ?

A
  • Des expériences exploratoires qui sont sources d’apprentissages
  • Des expériences qui varient considérablement d’un jeune à l’autre
  • Des expériences qui se déroulent majoritairement en contexte amoureux
  • Des expériences spontanées
  • Des expériences sexuelles graduelles
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6
Q

Quand les adolescents commencent-ils à se masturber ?

A

▪ Une étude réalisée en France auprès de jeunes âgés de 15 à 24 ans indique que près de 50 % des jeunes ont vécu leur première expérience de masturbation entre 11 et 14 ans, soit :
◦ 32 % des jeunes l’ont vécue à 13-14 ans.
◦ 15 % des jeunes l’ont vécue à 11-12 ans;

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7
Q

Comment les adolescents perçoivent-ils le premier baiser ?

A

Le premier baiser serait perçu comme un geste technique et non comme un geste naturel et spontané.

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8
Q

Quelles sont les inquiétudes des adolescents concernant leur premier baiser ?

A

Le « comment faire » du premier baiser préoccupe les adolescent·e·s.

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9
Q

Comment se passe généralement le premier baiser ?

A
  • Le baiser en contexte de jeu social
  • Le baiser romantique
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10
Q

Quels sont les premiers actes alloérotiques les plus fréquents chez les jeunes ?

A

◦ Avoir déjà tenu la main de quelqu’un;
◦ 39 % des filles* et 43 % des garçons* de 12 à 13 ans
◦ Avoir embrassé quelqu’un sur la bouche;
◦ 30 % des filles* et 34 % des garçons* de 12 à 13 ans
◦ Avoir été touchés sous leurs vêtements;
◦ 4 % des filles* et 6 % des garçons* de 12 à 13 ans
◦ Avoir été déshabillés, touchés à leurs parties privées ou ont touché aux parties privées de quelqu’un;
◦ Entre 1 et 2 % des participant·e·s, peu importe le genre

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11
Q

Comment la satisfaction sexuelle diffère-t-elle d’un groupe d’adolescents à l’autre ?

A
  • Garçons hétérosexuels cisgenres et Filles hétérosexuelles cisgenres son similaires et sont plus satisfaits.
  • Filles de la diversité sexuelle et de genre et Filles de la diversité sexuelle et de genre son similaires et sont moins satisfaits.
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12
Q

Comment mesurer le début de la vie sexuelle dans les études ?

A

La « première relation sexuelle » est sujet à la subjectivité et à l’ambiguïté:
◦ La définition doit être précise, explicite et inclusive.
◦ Les comportements mesurés étaient-ils consensuels ?

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13
Q

Quel est l’âge du passage à l’activité sexuelle ?

A

« off-time » moins de 15 ans
« on-time » Entre 16 et 18 ans
« off-time » 19 ans et plus

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14
Q

Quels sont les risques individuels en termes de rapports sexuels précoces ?

A

◦ Personnes assignées filles à la naissance: précocité pubertaire, historique d’abus sexuel
◦ Personnes assignées garçons à la naissance: Comportements extériorisés (opposition, agressivité) SANS comportements intériorisés (timidité, faible estime de soi, anxiété, dépression)

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15
Q

Quels sont les risques sociaux liés à une sexualité précoce ?

A

◦ Famille non-intacte, risque socioéconomique élevé (+ important chez personnes assignées filles à la naissance)
◦ Faible supervision parentale
◦ Proportion élevée d’ami·e·s à 14 ans (d’un autre genre que le sien)

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16
Q

Quelles sont les conséquences d’une sexualité précoce ?

A

Les jeunes précoces consomment davantage d’alcool au cours de l’adolescence et au début de l’AAÉ et éprouvent plus de problèmes liés à leur consommation.

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17
Q

Quels sont les fantasmes, les intérêts et les comportements sexuels typiques des adultes émergents ?

A

Typiques :
avoir du sexe avec une personne aimée, embrasser quelqu’un, donner ou recevoir du sexe oral, etc.

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18
Q

Quels sont les fantasmes, les intérêts et les comportements sexuels les plus courants chez les adultes émergents ?

A

Communs :
avoir du sexe à l’extérieur, utiliser des objets, avoir du sexe avec deux personnes et plus, etc.

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19
Q

Quels sont les fantasmes, les intérêts et les comportements sexuels les moins fréquents chez les adultes émergents ?

A

Moins communs : être attaché·e ou attacher quelqu’un, avoir du sexe anal, etc.

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20
Q

Quels sont les fantasmes, intérêts et comportements sexuels inhabituels chez les adultes émergents ?

A

Inhabituels :
se masturber en public, se faire mal pour avoir du plaisir, etc.

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21
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’activité sexuelle chez les adultes émergents ?

A

Les fantasmes et les intérêts sont assez alignés, mais peuvent se traduire ou non dans les comportements.
Fantasmes + Intérêts ≠ Comportements

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22
Q

En quoi l’expression sexuelle des adultes émergents diffère-t-elle selon le sexe ?

A

Les résultats soutiennent également les similitudes de genre plutôt que les différences en lien avec l’expression sexuelle.
Expression sexuelle des hommes Expression sexuelle des femmes
=
Répondent aux mêmes normes sociales

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23
Q

Comment expliquer les effets possibles d’une désynchronisation sexuelle (tardive) ?

A

Sexualité obligatoire
* Injonction à devenir actif sexuellement
Horloge sociale
* Dans une période prescrite par les pairs
Stigmatisation

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24
Q

Quels sont les effets de la désynchronisation sexuelle ?

A
  • Stigmatisation associée à un comportement non normatif
  • Limite les possibilités de s’engager dans une relation amoureuse ou intime
  • Diminution du nombre de partenaires disponibles avec l’âge
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25
Q

Quel est le pourcentage de personnes vierges à l’âge adulte ?

A

Environ 15 % des personnes nées dans les années 1990 sont vierges au début de la vingtaine, dans tous les groupes démographiques aux Etats-Unis.
Représente le taux d’inactivité sexuelle le plus élevé depuis 1985.

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26
Q

Combien de personnes n’ont jamais eu de relation à l’âge adulte ?

A

Une proportion croissante d’adultes émergents aux États-Unis, au Canada et en Suisse déclarent n’avoir jamais eu de relations sexuelles

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27
Q

Quels sont les scénarios de la virginité ?

A
  • Script du cadeau
  • Script du processus
  • Script du stigmate
28
Q

Quels sont les résultats de l’étude PEXEL sur la faible perception des risques ?

A

Moins de mise en place de stratégies (prévention et dépistage)

29
Q

Quels sont les résultats de l’étude PEXEL sur les caractéristiques des partenaires ?

A
  • 39% en ont 2 et plus dans la dernière année
  • Concomitance des partenaires
  • Souvent un nouveau partenaire
30
Q

Quels sont les résultats de l’étude PEXEL sur la moins grande utilisation des moyens de prévention ?

A
  • Barrières au dépistage
  • Moins d’usage du condom
  • Moins d’utilisation de la COU
31
Q

Quels sont les résultats de l’étude PEXEL sur la vulnérabilité socio-économique ?

A
  • Moins souvent à l’emploi ou aux études
32
Q

Comment le nombre de partenaires évolue-t-il au cours du secondaire ?

A

Nombre de jeunes ayant eu 3 partenaires ou plus augmente légèrement pour atteindre 33,4 % au niveau secondaire 5.

33
Q

Comment l’utilisation du préservatif évolue-t-elle au cours du secondaire ?

A

Elle diminue pour atteindre 61,6 % (vaginale) et 47,4 % (anale) au niveau secondaire 5.

34
Q

Parmi les élèves du secondaire qui ont eu des rapports sexuels au cours de l’année écoulée, comment l’utilisation de la contraception d’urgence évolue-t-elle au fil du temps ?

A

Il a diminué au fil du temps pour atteindre 17,1 %.

35
Q

Pour les élèves du secondaire qui ont eu des rapports sexuels au cours de l’année écoulée, comment les pratiques sexuelles à moindre risque évoluent-elles au fil du temps ?

A

Les méthodes hormonales augmentent, l’utilisation des préservatifs diminue et le coït interrompu diminue légèrement.

36
Q

Combien de partenaires sexuels les jeunes adultes âgés de 17 à 29 ans ont-ils eu au cours de l’année écoulée ?

A

Aucune 21%
Un seul 41 %.
De deux à six 31%
Sept ou plus 7%

37
Q

Quel est le pourcentage de les jeunes adultes âgés de 17 à 29 ans ayant eu des partenaires concomitants au cours de l’année écoulée ?

A

23%

38
Q

Combien de jeunes adultes âgés de 17 à 29 ans ont eu un nouveau partenaire sexuel au cours de l’année écoulée ?

A

57%

39
Q

Comment l’utilisation des préservatifs par les jeunes varie-t-elle en fonction de la nature de la relation ?

A

27% en couple
36% EX
50% “Fuck friend”
60% One night stand

40
Q

Combien de jeunes femmes sexuellement actives ont eu recours à la contraception d’urgence au cours des 12 derniers mois ?

A

2/10

41
Q

Quelles sont les méthodes contraceptives les plus courantes ?

A

60% Contraceptifs oraux
45% préservatifs
17% la stérilisation ?
10% Méthodes hormonales telles que le patch, l’injection ou l’anneau
4% DIU

42
Q

Sur une échelle de 1 à 10, dans quelle mesure les jeunes se considèrent-ils à risque d’ITSS ?

A

2

43
Q

Quels sont les obstacles au dépistage ?

A

Manque de temps
Peur des résultats
Malaise, honte

44
Q

Pourquoi le consentement est-il un enjeu dans le développement psychosexuel adolescent et à l’âge adulte émergent?

A

En effet, les relations sexuelles mutuellement consenties, agréables, égalitaires et sûres ont plus de chances d’être vécues de manière positive. Ils ont donc un impact positif sur le développement.

Il est important d’apprendre aux jeunes à demander et à exprimer leur consentement (c’est-à-dire à communiquer).

45
Q

Quelles sont les lois canadiennes en matière de consentement ?

A
  • Les personnes âgées de moins de 12 ans ne peuvent en aucun cas donner leur consentement.
  • Les enfants de 12 et 13 ans peuvent consentir si la différence d’âge est inférieure à 2 ans.
  • Les jeunes de 14 et 15 ans peuvent consentir si la différence d’âge est inférieure à 5 ans.
  • Les jeunes de 16 ans et plus peuvent consentir à des activités sexuelles. SAUF si la personne est en position d’autorité.
46
Q

Le consentement sexuel est… ?

A
  • L’accord est clairement exprimé
  • Manifesté de manière volontaire
  • Libre, clair et enthousiaste
  • Pour chaque activité sexuelle
  • Peut être révoqué à tout moment
47
Q

Qu’est-ce que le désir ? (le souhait d’avoir des relations sexuelles)

A

Souhaiter c’est désirer, avoir envie de, vivre de l’excitation sexuelle et ses manifestations (ex. érection, lubrification, cœur qui bat, corps qui a envie de se rapprocher et qui a envie d’être touché, etc.).

48
Q

En quoi le consentement diffère-t-il de l’excitation ?

A

Consentir c’est accepter de faire quelque chose car on se sent en sécurité, protégé, respecté, en confiance, confortable, certain, etc.

49
Q

Quelles sont les composantes du consentement ?

A
  • Volonté interne
  • Acte d’accepter explicitement
  • Comportement interprété comme une volonté
  • Processus continu : évaluation et négociation
50
Q

Qu’est-ce que le consentement verbal explicite ?

A

« Je veux avoir des relations sexuelles avec toi » et « oui (ou non) »

51
Q

Qu’est-ce que le consentement verbal implicite ?

A

« Est-ce que tu as des condoms?»
« Je pense que nous devrions se déplacer dans la chambre à coucher »

52
Q

Qu’est-ce que le consentement explicite non verbal ?

A

Initiation et poursuite certaines activités sexuelles, hocher la tête pour indiquer «oui» à une demande, repousser l’autre, partir, écarter la main

53
Q

Qu’est-ce que le consentement implicite non verbal ?

A

Enlever des vêtements sans parler, laisser un lieu public pour un endroit privé, manifester des signes d’inconfort, ne pas embrasser ou toucher

54
Q

Qu’est-ce que les silences, absences ou non verbaux ?

A

Ne pas résister, ne pas dire « non »

55
Q

Qu’est-ce que le refus par excuses ?

A

Internes : Ça ne me tente pas, j’ai mes règles, je suis fatigué.e
Externes : Je dois partir, on ne se connaît pas très bien, j’aimerais mieux que nous…

56
Q

Quels sont les trois facteurs qui influencent le consentement ?

A
  • Expériences et personnalités individuelles
  • Environnement et circonstances
  • Normes sociales
57
Q

Quelles sont les expériences personnelles et individuelles qui influencent le consentement ?

A
  • Personnalité, attitudes et expériences
58
Q

Quels sont les environnements et les circonstances qui peuvent influencer le consentement ?

A
  • Types et stades de comportements sexuels
  • Durée de la relation et statut relationnel
  • Contextes et éléments temporels
  • Alcool
59
Q

Quelles sont les normes sociales qui peuvent influencer le consentement ?

A
  • Normes sociales reliées aux genres
  • Mythes et préjugés
  • Religion et culture ethnique
  • Groupe de pairs
  • Médias
  • Politiques
60
Q

À quoi se réfère l’éthique du consentement ? (Dr. Harry Brod)

A

◦ Le consentement, ce n’est pas quelque chose qu’on a. C’est quelque chose que quelqu’un nous donne.
◦ C’est à la personne qui souhaite initier une activité sexuelle de demander le consentement.
◦ Le standard du consentement affirmatif : un consentement verbal explicite

61
Q

À quoi se réfère l’érotisme du consentement ? (Dr. Harry Brod)

A

◦ En l’absence d’un consentement verbal explicite clair, il n’est pas possible d’avoir une expérience érotique
◦ Érotisme : sécurité, justice et égalité

62
Q

Comment pouvons-nous enseigner aux jeunes ce qu’est le consentement pendant l’enfance ?

A
  • Consentement lié aux comportements d’affection (ex: câlins, bisous, etc.)
  • Importance d’accepter et respecter le « non »
63
Q

Comment intervenir auprès des jeunes au début de l’adolescence ?

A
  • Définition et caractéristiques du consentement
  • Aspects légaux du consentement
  • Comment demander et manifester son consentement
  • Importance de respecter les limites (de soi et de l’autre)
64
Q

Comment intervenir auprès des jeunes au milieu et à la fin de l’adolescence ?

A
  • Consentement et ses avantages (ex. plaisir)
  • Application du consentement en contexte de relation sexuelle (ex. feu de circulation rouge, jaune, vert)
  • Facteurs qui influencent le consentement (ex. double standard, consommation).
65
Q

Comment intervenir auprès des jeunes qui entrent dans l’âge adulte ?

A
  • Diversification des contextes, des types de partenaires et des comportements.
  • Application du consentement en contexte de relation sexuelle + poussé (ex. ce qui influence l’application du consentement en fonction de l’érotisation du consentement).
66
Q

Quels sont les quatre axes du modèle de consentement ?

A

Servir
Permettre
Prendre
Accepter

67
Q

Sur quoi faut-il insister lors de l’éducation sexuelle des adultes en devenir ?

A
  • Promotion inclusive et soutien à l’adoption de comportements sexuels sécuritaires ;
  • Éducation en matière de consentement en considérant les aspects liés à sa complexité ;
  • Lutte contre les normes sociales et les pressions en matière d’activité sexuelle (pression à en avoir, double-standard, etc.).