cours 9: mémoire de travail Flashcards

1
Q

qu’Est-ce que l’imagerie visuelle?

A

Habileté à recréer le monde visuel dans notre esprit, en absence d’un stimulus physique.

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2
Q

quel est l’historique de l’imagerie visuelle?

A

wundt : introspection, l’introspection a pris le bord à cause du débat pensée avec/sans image, fût ensuite rejeté par Watson (1920), fin des années 60/révolution cognitive : imagerie comme un champ d’études (utilisation de mesures objectives).

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3
Q

quelle est la question principale de la MLT?

A

Est-ce que l’imagerie, soit les images qu’on se créée dans notre tête imite la perception visuelle? Est qu’elle est analogue ou figurative? Est-ce qu’Elle respecte les mêmes caractéristiques que la vision dans le monde réel? Est-ce qu’on voit l’image dans notre esprit et est-ce qu’on s’en sert?

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4
Q

quel est le but, matériel, tâche, la variable-clé, les conditions et l’hyp de l’exp sur la rotation mental d’objets 3D?

A

But = dét si l’imagerie visuelle procède comme la perception et étudier les limites de l’imagerie visuelle. Matériel = paires d’images représentant des figures 3D de 10 cubes connectés et structure ressemblant à un bras avec 3 coudes à angle droit. Tâche = dét si les 2 dessins en perspective proviennent de la même figure 3D. on présente 2 images côte à côte donc un original et une seconde image qui pourrait être ou non une rotation de l’image originale. Objets diff : réflexion suivie d’une rotation, impossible de faire une rotation et d’obtenir la même forme puisqu’elle est à l’envers. La variable-clé est le temps de réaction (RC). il semble il avoir une vitesse max pour faire la rotation de la figure dans notre tête surprenant car on n’est pas dans le vrai monde et donc pas lois de la physiques
Conditions =les participants informés avant chq essai. Différence angulaire= 0/20/40/60/80/100 /120/140/160 degrés de rotation. Hyp= + grande différence angulaire, + grand TR.

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5
Q

quels les sont les résultats et l’interprétation de l’exp sur la rotation mental d’objets 3D?

A

Résultats des paires ‘’mêmes’’ : forte relation linéaire entre la diff angulaire et le TR, approximativement 45 à 60 degrés/seconde. Donc plus tourne la figure, plus ca prend de temps Aucun impact du type de rotation sur les TR. Pour les paires diff +1 sec + lent que la moyenne, rotation complète, puis ensuite, décision. Résultats semblable pour la rotation sur le plan de l’image et pour la rotation en profondeur.
Interprétation : robustesse dans la linéarité des résultats donc preuves claires de processus additif  0 à 40 degrés = 0 à 20 + 20 à 40 + …, cohérent avec la proposition selon laquelle les participants utilisent une version interne similaire à une rotation ext pour rendre les objets congrus et processus analogue peut être réalisé à un taux limite max de rotation. Il y a un degré de similarité entre les images 2D statiques qui n’est pas pris en compte par les participants. Les participants performent les opérations mentales en 3D analogues donc interprétation et rotation (même si on leur montre des images 2D). Cet exp est un soutien pour les représentation figuratives (depictive). Représentation figurative= On utilise l’image dans notre esprit pour réaliser la tâche et que l’image respecte certaines caractéristiques de ce qui se passe en perceptive visuelle dans le monde réel

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6
Q

quel est le but, la tâche, la mesure et l’hyp de l’Exp sur le balayage mentale?

A

Si l’imagerie est semblable, donc analogue, à la vision, est-ce qu’on peut se concentrer sur des parties d’un objet imaginé? But = dét si l’imagerie visuelle procède comme la perception et étudier les limites de l’imagerie visuelle. Tâche = phase 1 (étude) regarder les dessins de contours et réussir à reproduire les dessins. Phase 2 (test)entendre le nom d’un objet, imaginer selon 2 condition ( 1= objet complet ou 2= focus sur une extrémité spécifiée), puis entendre le nom de partie et se demande si la partie est sur l’objet. Mesure = TR.
Hyp = équivalent au traitement visuel. Si on regarde l’objet complet, le TR moyen ne dépendra pas de la position de la partie. Si on doit se concentrer sur une partie (‘zoomer’), le TR sera en fct de la distance entre l’emplacement de l’extrémité et propriété.

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7
Q

quels sont els résultats de l’Exp sur le balayage mentale de kosslyn soit le scanning visual images (some structural)?

A

On voit tous l’objets donc pas de diff de TR peut importe ou est situé la partie. Si on est focussé sur un objet, or plus on s’éloigne de cette partie, plus les TR vont augmenter. démontrent un soutien pour les représentation figuratives.

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8
Q

quels sont els critiques de Pylyshyn en 1973?

A

1) introspection n’est pas fiable = les participants pourraient dire ce que l’expérimentateur veut entendre et ne veut pas dire qu’il s’a git d’un phénomène courant. 2) Impénétrabilité cognitive= les humains sont peu conscient de processus mentale et faire l’Exp de l’image ne signifie pas nécessairement d’utiliser l’image ( l’image pourrait être épiphénomène = représentation/proc est non-spatial/non-visuel et image produite après le traitement (stimulation post-decision)).

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9
Q

quels sont les critiques de Pylyshyn en 2003?

A

hyp de connaissance tacite -> utilise le savoir déjà acuis à propos de l’environnement pour accomplir les tâches et la mémoire de la structure des objets/du monde réel (relations entre parties d’objets et distances entre monuments/villes).

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10
Q

quels sont les représentations alternatives des critiques de Pylyshyn?

A

Les représentations proportionnelles (phrase)= les propriétés des stimuli sont représentées symboliquement (comme lorsque les mots du langage représentent les objets et les relations entres objets. Ceci pourrait expliquer la balayage mental.

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11
Q

donnez un ex des représentations proportionnelles.

A

Ex 1 : hélice  cabine (3 propositions) : l’hélice est sous le moteur, le moteur est derrière la poupe (arrière du bateau), la poupe est derrière la cabine, la cabine est derrière la proue (devant le bateau) et l’ancre est sous la proue.
Ex 2 : hélice  ancre (5 propositions) : l’hélice est sous le moteur, le moteur est derrière la poupe (arrière du bateau), la poupe est derrière la cabine, la cabine est derrière la proue (devant du bateau) et l’Ancre est sous la proue). Le nb de proposition utilisées explique le TR. Aucune image nécessaire. Demander d’Aller chercher plus de faits et donc augm des TR.

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12
Q

quel est le but, procédure et la variable-clé de l’exp de Kosslyn, Reiser & Ball sur l’exp des visual images preserve metric spatial info (2ème exp sur le balayage mental)?

A

But = dét si l’info spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels. Procédure = paradigme de balayage mental donc se promener mentalement sur l’image. La variable-clé est le TR.

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13
Q

quelle est la métho de l’exp de Kosslyn, Reiser & Ball sur l’exp des visual images preserve metric spatial info?

A

on demande aux participants de mémoriser et redessiner la carte (à G) en se concentrant sur 7 endroits-clés : hutte, arbre, puit, lac, plage, rocher et champ. Procédure= les participants doivent s’imaginer la carte complète. Ils entendent un mot dénotant un lieu sur la carte et doivent se concentrer sur ce lieu. 5 secondes plus tard, un autre nom de lieu est diffusé. Les participants doivent balayer la carte et indiquer lorsqu’ils atteignent le 2e lieu (pt se déplaçant en ligne D le plus vite possible).

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14
Q

quel est le rationnel et l’hyp de l’exp de Kosslyn, Reiser & Ball sur l’exp des visual images preserve metric spatial info (2ème exp balayage mental)?

A

rationnel= si l’image mentale de l’île est réellement une copie analogue (ou figurative), cette copie devrait préserver les relations en termes de distance. Hyp = augm la distance entre 2 cibles= augm TR et relation linéaire entre la distance et TR causé par la représentation figurative.

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15
Q

quels sont les résultats de l’exp de Kosslyn, Reiser & Ball sur l’exp des visual images preserve metric spatial info (2ème exp balayage mental)?

A

temps de balayage augm linéairement vs la distance. La corrélation quasi-parfaite entre la distance et TR lorsque les 2 objets sont présents. Interprétation= les distances métriques représentées de la même façon que lorsque la carte visuellement perçue et soutien pour les représentations figuratives en tablette VS.

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16
Q

que se passe-t-il si l’imagerie fonctionne comme la perception visuelle?

A

les mêmes facteurs devraient influencer la facilité à classifier une partie d’une perception ou d’une image. Par ex, la taille-> objet + gros = plus détaillés perceptuellement.

17
Q

qu’est-ce que l’overflow?

A

pas d’overflow= on voit l’éléphant en entier car il respecte notre champ de visuel. overflow =rendu proche à un certain pt, l’éléphant va dépasser les limites de notre champ de visuel et on ne pourra pas le traiter au complet. Ce qui dépasse du champ

18
Q

dans l’Exp 1 de Kosslyn sur l’overflow, quel est la tâche, la mesure, la variable d’intérêt et les prédictions?

A

tâche = créer une image mentale d’un éléphant ou mouche, imaginer un second animal à coté et juger si une propriété est appropriée ou non pour le second animal. Mesure= TR du 2e animal. Variable d’intérêt= taille relative entre animaux. Prédiction = 1er animal plus gros  laisse moins de passe pour le deuxième donc 2e animal plus petit  plus lent à juger.

19
Q

dans l’exp 1 de Kosslyn sur l’overflow, quels sont les résultats?

A

taille relative influence le temps nécessaire pour juger la présence d’une propriété. Si éléphant = 1er animal, le 2e animal prend plus de place et jugement plus lent. Si mouche =1er animal, 2e animal prend plus de place et jugement plus rapide. Ceci est un soutien pour les représentations figuratives (connaissance tacite inutile).

20
Q

dans l’Exp 2 de Kosslyn sur l’overflow, quel est la tâche, la mesure, la variable d’intérêt et les prédictions?

A

tâche inverse = créer une image mentale d’un éléphant ou d’une mouche, modifier la taille de l’animal principal en imagerie donc voir un éléphant de la taille d’une mouche ou vice versa puis juger si une propriété est appropriée ou non pour le 2e animal. Mesure = TR. Variable d’intérêt= taille relative prédiction = résultats inverse de l’exp 1 donc tems plus long si imaginé à côté de la mouche et temps plus longs si imaginé à côté de l’éléphant.

21
Q

dans l’exp 2 de Kosslyn sur l’overflow, quels sont les résultats?

A

taille relative influence le temps nécessaire pour juger de la présence d’une propriété. Si éléphant = 1er animal, 2e animal prend plus de place et jugement plus rapide. Si mouche =1er animal, 2e animal prend moins de place et jugement plus lent. Donc soutient pour les représentation figuratives une fois de plus.

22
Q

qu’est-ce que les représentations figuratives?

A

imagerie mentale imiterait la perception visuelle, préservent les caractéristiques physiques des stimuli qui les génèrent donc la distance/taille et la relation entre parties et pourrait donc expliquer les transformations mentales/balayage mental/analyse structurelle.

23
Q

qu’a fait Farah et al comme exp pour démontrer des similitudes dans les lésions cérébrales?

A

tâche démarche mentale= estimer la distance à un objet lorsque cet objet arrive aux limites de notre champ imaginatif (qui serait analogue à notre champ visuel) donc retrait d’une partie du lobe occipital D pour traiter un cas sévère d’épilepsie et mesure des distances avant et après l’opération. Résultats : retrait du cortex visuel rétrécit le champ visuel et imaginatif. Augmente la taille relative de l’objet en vision et imagerie. Le champ visuel et le champ d’imagination ont rétrécis.

24
Q

qu’a fait DeVresse comme exp pour démontrer des similitudes dans les lésions cérébrales?

A

étude de la perception des couleurs en vision et en imagerie. Perception – agnosie visuelle (pas reconnaître objets) : patients ont de la diff à nommer des couleurs présentées visuellement, diff à nommer les couleurs d’objets courants (tâche verbale) et pas de déficit au niveau sensoriel (ex : défaut de la rétine, et capable de diff les couleurs). Imagerie : tâches : ne pas nommer des objets d’une certaine couleur, comparer la couleur d’objet, pâle vs foncé, les sujet montrent des déficits dans toutes les tâches liées aux couleurs dans l’imagerie et incapable d’imaginer des couleurs. Ce qui arrive en vision arrive en imagination donc proc semblable

25
Q

qu’Est-ce que l’héminégligence?

A

ignorance d’un côté. Perceptuelle=ne tient pas compte des objets dans une moitié du champ visuel, pas de déficit au niveau visuel (vision 20/20) et ex = manger seulement la moitité G de l’assiette. Motrice= ne tient pas compte d’un côté de son corps, s’habille à moitiés, se coiffer d’un côté seulement, problèmes d’hygiène (se raser/laver un seul côté) et problème de déplacement (foncer dans des objets), mais héminégligence en imagerie visuelle aussi?

26
Q

qu’a fait Bisiach et Luzatti comme exp pour démontrer des similitudes dans les lésions cérébrales?

A

étude d’héminégligence. Perception-> patient montre syndrome d’héminégligence donc dommage au lobe pariétal et ignore la moitié du champ visuel et même du corps. Imagerie-> même chose donc on demande au patient de s’imaginer à un endroit connu et de décrire les objets présents dans l’image. Le patient ignore les objets qui sont situé à sa G et nomme ceux à sa droite. L’imagerie et la perception sont encore une fois semblable sur tous les pts de l’exp.

27
Q

qu’a fait Gurahlia et al comme exp pour démontrer des diffs dans les lésions cérébrales?

A

étude d’héminégligence. Perception  patient testé pour l’héminégligence perceptuelle ou motrice. Résultats aux tests= négatif (pas d’héminégligence). Imagerie  s’imaginer sur une piazza (place) connue en Italie, on demande face à quel bâtiment il se trouve et doit rapporter autres bâtiments, ne rapporte que ceux à D. il y a donc des diffs sur la perception et l’imagerie.

28
Q

qu’a fait Farah et al comme exp pour démontrer des diffs dans les lésions cérébrales?

A

habileté à dessiner. Perception -> Patient peut identifier les bonnes couleurs pour les objets (Colorier les images avec le bon crayon) et patient peut recopier les objets présentés. Imagerie-> Patient ne peut dessiner des objets de mémoire
(il ne s’en souvient pas) et patient a de la misère à répondre à des questions qui demandent un haut niveau d’imagerie.

29
Q

qu’a fait Behrmann et al comme exp pour démontrer des diffs dans les lésions cérébrales?

A

reconnaissance d’objet.
Perception-> Difficulté à nommer les objets en 3D (mais peut le faire en les touchant), Incapacité à reconnaître des objets dessinés (line drawings), Incapacité à dire quel objet est le plus gros et Difficulté à discriminer entre diff. lettres/reconnaître. Imagerie-> Capable de nommer la couleur des objets en mémoire, Capable de dire quel objet est plus gros de mémoire, Capable de répondre à des questions “haute imagerie”, Capable de décrire des lettres de l’alphabet de mémoire et Peut dessiner des images d’objets.

30
Q

quel est le résumé des exp sur les lésions cérébrales sur els similarités et diff?

A

Similarités = 1) Retrait d’une partie du cortex visuel réduit champ visuel et d’imagerie (Farah et al., 1993) donc Rétrécit le champ visuel 2)Patients qui ne voient plus les couleurs ne peuvent plus imaginer en couleur (DeVreese, 1991) et 3) Héminégligence répliquée en imagerie (Bisiach & Luzatti, 1978).
Différences = 1) Héminégligence en imagerie mais pas en perception
(Guaraglia et al., 1993) 2) Habileté à dessiner, mais pas de mémoire
(Farah et al., 1988) et 3) Impossibilité de nommer des images d’objets, mais habileté à dessiner de mémoire (Behrmann et al., 1994).

31
Q

quel est la plus récente critique de Pylyshyn en 2003?

A

Résultats en neuroimagerie ne sont pas clairs et correspondance entre perception et imagerie n’est pas parfaite. Ex : de phénomènes visuels n’apparaisse pas en imagerie mentale.

32
Q

quel est la conclusion finale?

A

support énorme pour les représentations figuratives, pourrait ne aps tout expliquer donc dissociations neuropsycho ne sont pas parfaites et plusieurs phénomènes visuels impossibles à reproduire. Pylyshyn (1981) : participants pourraient utilsier de multiples sources de connaissance pour résourdre les problèmes dans les exp d’imagerie->  représentations figuratives et proporisitionnelles. Behrmann et al (1994) : mécanismes de perception/imagerie correspondent, mais partiellement donc expliquerait la plupart des diff.