cours 9 - La cognition dans la vie quotidienne Flashcards

1
Q

La mémoire reconstructive, comme proposé par Schacter, suggère quoi?

A
  • mémoire n’est pas une reproduction exacte desévenement passée
  • plutot une reconstruction active basée sur des éléments disponibles lors de l’encodage et de la récupération.
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2
Q

3 type d’omission

A
  • l’impermanence (ex: estompage ou d’interférence)
  • étourdie: pas nécessaire encoder adéquatement l’information
  • blocage
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3
Q

4 type de commission

A

mauvaise attribution

La suggestibilité: suggestion externe et info trompeuse

biais: distorsions de la mémoire causées par des préjugés ou des perspectives personnelles.

persistance: capacité involontaire de se souvenir de souvenirs

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4
Q

La théorie de la mémoire reconstructive, développée par Bartlett, met en lumière quoi?

A

processus dynamique et créatif de la mémoire humaine

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5
Q

Contrairement à l’approche expérimentale de Ebbinghaus qu’a t’il fait Bartlett de diférent

A
  • adopté une approche plus appliquée
  • examinant comment les gens se souviennent de matériel significatif
  • comment ils reconstruisent leurs souvenirs au fil du temps.
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6
Q

La théorie de la mémoire reconstructive de Bartlett (1932) supose quoi?

A

À chaque rappel, nous reconstruisons l’histoire de manière légèrement différente, ajoutant, modifiant ou omettant des détails en fonction de divers facteurs.

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7
Q

Sulin & Dooling (1974): Cette étude a testé deux implications de la théorie de la mémoire de F.C. Bartlett . nomme les

A
  • l’assimilation thématique augmente avec le temps
  • Texte son stockés sous forme schématique (connaisance/ shémas cognitif)
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8
Q

Les effets reconstructifs (Sulin & Dooling,1974): explore quoi? (question qui cherche a répondre)

A

comment le fait d’associer un thème à un texte neutre pouvait influencer la manière dont les individus se souviennent de l’information présente dans ce texte.

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9
Q

Les effets reconstructifs (Sulin & Dooling,1974): procédure

A

tache de reconnaisance

  • lire un passage avec nom de personnage celeble VS fictif
  • entervalles (5 min VS 1 semaine)
  • choisi le propos qui sont vrai avec l’histoire qu’on a lu
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10
Q

Les effets reconstructifs (Sulin & Dooling,1974): résultat et interprétation

A

Quand la relation thématique est forte (bcp d’info et connaisance pertinente en MLT), plus le score de reconnaissance est faible

ex: hitler

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11
Q

Les effets reconstructifs (Sulin & Dooling,1974): dans quel condition avais une plus grand distorsions de la représentation en mémoire

A

relation thématique haut (nom celebre)
après 1 semaine

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12
Q

V ou F: si on ne connait aucunement le sujet, plus la performance de rappel sera faible

A

Faux

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13
Q

La mémoire pour de l’information avec un certain
sens/signification n’est pas ______________ mais, plutôt,
______________.

A

reproductive
reconstructive

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14
Q

2 sorte d’exactitude

A

technique: le rappel ou la connaisance de l’information, mot pour mot

de contenu: le rappel ou la connaisance du contenu de l’information

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15
Q

les propositions

A
  • des représentation des relation entre chaque mot dans une phrase
  • décrivent la manière dont les mots sont organisés et reliés pour former une unité de sens cohérente.
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16
Q

les scripts

A

= connaissances sémantique + épisodique

représenation larges d’évenement, d’objets, et de personnes (“cas typique” de situation”)

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17
Q

L’intégration sémantique se réfère a quoi?

A

processus par lequel les individus intègrent et organisent l’information dans leur mémoire en fonction des schémas cognitifs ou des structures mentales préexistantes que nous avons sur le sujet.

mémoriser : par le sens global et les relations > de manière isolée

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18
Q

L’intégration sémantique: orsque les individus rencontrent de nouvelles informations, ils cherchent à…

A

les relier à leurs connaissances existantes

integrer dan un réseau de concept déja en place dans leur mémoire sémantique.

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19
Q

Bransford & Franks (1971): L’intégration sémantique:
Les deux phrase ont pas été présenté, mais représente une ____________________ pour former _________.

A

intégration sémantique des idées des différentes phrase

un concept

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20
Q

les scripts influence…
et permet de…

A

la nouvelle information

prédire et emmagasiné la nouvelle information

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21
Q

que se passe t’il lorsque nous changons le script et pourquoi?

A

confusion

possède des attentes cognitives

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22
Q

quel théorie de reconnaisance de forme peut etre coparé au concept de “sripts”. explique

A

la théorie des prototypes

bonhomme allumette qui n’a jamais été présenté auparavant

compare au prototype

difficile a reconnaitre si il est très différent

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23
Q

Blair & Banaji (1996): teste si nous avons des scripts pour le
genre: conclusion et interprétation des résulat

A

L’activation d’un script peut créer certaines attentes. Celles-
ci peuvent changer la vitesse du traitement de l’information
qui suit

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24
Q

le scripts se développe par ____________.

A

exposition

ex: moyenne de toute les bonhome alumette qu’on a vue

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25
Q

comment la psychologie sociale explique le scripts

A

vont l’expliquer comme étant un biais inconscient (ex: stéréotype)

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26
Q

à quel moment reconstruisons notre mémoire selon la théorie de la mémoire reconstructive de Bartlett (1932)?

A

A chaque rappel

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27
Q

qui suis-je? cadre dans lequel les nouvelles expériences peuvent etre comprises

A

scripts

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28
Q

Quel aurais été les résultats si l’hypothèse que « l’assimilation thématique augmente avec le temps » étais fausse?

A

lien plus faible entre le temps écoulé et la capacité à assimiler les informations thématiquement n’est pas aussi fort que prévu.

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29
Q

Quel aurais été les résultats si l’hypothèse que « le texte sont stockés sous forme schématique (connaisance/ shémas cognitif) » étais fausse?

A

N’aurais pas eu de différence entre les condition « célèbre » et « fictif ».

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30
Q

Si nous n’avions aucune connaissance antérieure sur le sujet, il est peu probable que l’assimilation thématique augmenterait avec le temps, pourquoi?

A

repose généralement sur des connaissances préalables et des schémas cognitifs existants

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31
Q

quel étude a expérimentalement démontré le phénomène d’acquisition et de rétention d’idées, le comparant à un point de vue de la mémoire de phrase individuelle.

a) Blair & Banaji (1996)
b) Bartlett (1932)
c) Kintsch (1977)
d) Bransford & Franks (1971)

A

Bransford & Franks (1971) : l’intégration sémantique

32
Q

l’expérience où les participants devais lire des histoires identiques mais le personnage principal était varié

a) qui a fait l’expérence
b) quel effet test t’il?

A

a) Sulin & Dooling (1974)
b) les effet reconstructifs

33
Q

qui s’interesse a la mémoire constructive avant Sulin & Dooling (1974)?

a) Blair & Banaji (1996)
b) Bartlett (1932)
c) Kintsch (1977)
d) Bransford & Franks (1971)

A

b) Bartlett (1932)

34
Q

Kintsch (1977): Les résultats de Sulin & Dooling
démontrent des effets ______a____, __________, et
___________.

A

a) reproductifs
b) reconstructifs
c) constructifs

35
Q

l’étude de Bransford & Franks (1971) : comment la confiance des individus dans leur capacité à reconnaître des phrases spécifiques est influencée par le degré de représentativité de ces phrases par rapport à l’idée globale exprimée dans le texte.

A

L’incertitude augmente lorsque ces phrases ne représentent pas complètement l’idée globale. Vise versa

36
Q

l’étude de Bransford & Franks (1971) : En quoi la présence ou l’absence de relations sémantiques caractéristiques d’une idée complète influence-t-elle la confiance des individus dans leur souvenir des phrases spécifiques?

A

plus ces relations sont présentes, plus la confiance est élevée, et vice versa

37
Q

l’étude de Bransford & Franks (1971):

a) que ce passe t’il lors de la phase d’acquisition?
b) quel théorie appuis cest résultat?

A

a) intégration spontanée des informations dans des idées holistiques ( compris dans leur ensemble)
b) L’intégration sémantique

38
Q

Duffy & Keir (2004): Les scripts sociaux

quel question ce pose t’il?

A

a quel point dans une phrase est-ce qu’un script est violé?

39
Q

Duffy & Keir (2004): Les scripts sociaux
procédure

A

amorce: role occupationnel (ex: courageux)
cible: pronom réflexif ( fille vs gars)

analyse les mouvement occulaire

40
Q

l’effet de fréquence des mots fait référence

A

réagissons plus rapidement à des mots à haute fréquence (ex: maison) que basse fréquence (ex: randonnée)

41
Q

la fréquence d’un mot influence quoi?

A

la façon dont nous traitons le mot

42
Q

Une façon d’illustrer les différences de traitement entre les mots à haute et basse fréquence consiste à utiliser quel tache?

A

tâche de décision lexicale

le plus rapidement possible, que les chaînes de lettres soient des mots ou des non-mots

43
Q

Durées de fixation sur des mots basse et haute fréquence dans des phrases mesurées par Rayner et Duffy (1986)

A

duré de première fixation
duré totale du regard

les deux cas, les temps de fixation sont plus longs pour les mots de basse fréquence.

44
Q

Duffy & Keir (2004): observe quoi? pour comprendre quoi?

A
  • observe les mouvement occulaire
    pour comprendre le processus de compréhension
45
Q

Duffy & Keir (2004): condition

A

phrase pas de contexte/neutre VS contexte indiquant le sexe

46
Q

lorsque le pronom spécifiait un genre qui ne correspondait pas au stéréotype ou étais neutre.

A

sans contexte: plus de temps à regarder un pronom et la zone après

avec context: l’effet disparait

47
Q

L’information qui va à l’encontre de ces scripts sur le temps pour traité et comprendre l’information

A

prend plus de temps à traiter et à comprendre

48
Q

entrevue cognitive

A

laisser le témoin parler avec un minimum d’interruption

technique qui aident les témoins à recréer la situation

49
Q

Geiselman et al. (1986)

résulats

a) information corecte
b) inormation incorect
c) information fabriquée

A

a) information corecte:
cognitive > standard
b) inormation incorect
cognitive = standard
c) information fabriquée
cognitive = standard

50
Q

l’effet de la désinformation

A

informations post-événement trompeuses (MPI): informations trompeuses présentées après qu’une personne a été témoin d’un événement peuvent changer la façon dont la personne décrit cet événement plus tard.

51
Q

Une expérience d’Elizabeth Loftus et ses collègues (1978) illustre une procédure MPI typique. explique

A

série de diapo dans lesquelles une voiture s’arrète a un pannau d’arrèt, tourne au coin et frape un piéton

groupe 1: question (« Une autre voiture a-t-elle dépassé la Ford rouge alors qu’elle était arrêtée au panneau d’arrêt ?)

groupe MPI: es mots « panneau de passage » ont remplacé « panneau d’arrêt » dans la question.

tache de reconnaisance: présente des image du diapo + des jamais vue (présente ou non)

52
Q

l’expérience d’Elizabeth Loftus et ses collègues (1978): résulats

A

groupe MPI étaient plus susceptibles de déclarer avoir vu la photo de la voiture arrêtée au panneau « Cédez le passage » (ce qu’ils n’avaient en réalité jamais vu)

53
Q

Loftus and Steven Palmer (1974) showed participants films of a car crash (Figure 8.12) and then asked either (1) “How fast were the cars going when they smashed into each other?” or (2) “How fast were the cars going when they hit each other?”

qu’on t’il observer ?

A

la vitesse moyenne estimée par les participants ayant entendu le mot « écrasé » étais plus élever

54
Q

Loftus a demandé une semaine après avoir vu le film “Avez-vous vu du verre brisé?”

A

32% des personne qui avais eu la question avec le mots “ecrasé on répondu oui

55
Q

Une explication de l’effet de la désinformation repose sur quel idée?

A

a surveillance des sources

attribuent à tort la source de leur souvenir à une information incorrecte (comme le mot “brisé” entendu après avoir visionné le film) au lieu de la source réelle (le film lui-même).

56
Q

Loftus & Pickrell 1995: histoire de ce perdre dans un centre d’achat

A

relative du sujet son questionner pour déteminer des histoire sur l’enfance du sujet

journal avec
3 vrai
1 fause (perdre dans un centre d’achat)

demande au participant decrire se qui se souvenais de c’est histoire

entrevue 1-2 semaine plus tard

57
Q

Loftus & Pickrell 1995: histoire de ce perdre dans un centre d’achat: % de rappelle pour l’histroir fause

A

25%

58
Q

Loftus & Pickrell 1995: histoire de ce perdre dans un centre d’achat: que pouvons nous observer sur les résultat de “jugement de clarté”

A

fausse: augmente lors de la deuxieme entrevue

vrai: reste pareil

vrai est plus claire

59
Q

Loftus & Pickrell 1995: histoire de ce perdre dans un centre d’achat: que pouvons nous observer sur les résultat de “jugement de confiance”

A

fausse et vrai diminue autant

plus confiant pour la vrai histoire

60
Q

comme peut-on implanter des faux souvenirs d’événements spécifiques qui ne se sont jamais passés

A

suggestion–trace en mémoire–faux souvenir

61
Q

Les souvenirs que nous avons pour les événements de notre vie sont
nos souvenirs __________________.

A

autobiographiques

62
Q

Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975): Cinquante ans de mémoire pour les noms et les visages: quel tache on fait les participant

A
  • rappel libre
  • reconnaissance des noms
  • reconnaissance des photo
  • association photo-nom
  • association nom-photo
  • rappel indicé (montre le visage et dois dire le nom)
63
Q

Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975): quel tache on restées a environ 90% pendant au moin 15 ans

A
  • reconnaissance des noms
  • reconnaissance des photo
  • association photo-nom
  • association nom-photo
64
Q

Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975): résultat de rappel libre

A

diminué de manière significative au fil du temps

65
Q

Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975): a quel temps cest fait le declin des nom ainsi que le déclin des visage

A

nom: 15 ans
visage: 34 ans

66
Q

Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975): Ce processus de déclin lent de la mémoire est attribué à quoi?

A

pratique de répétition
effet de surapprentissage

67
Q

Le déclin du rappel libre est associé à quoi?

A

L’acquisition prolongée: la distribution de l’apprentissage sur une longue période de temps bénéficie la rétention de l’information apprise

Les effets de surapprentissage: l’information qui est sur-apprise reste en mémoire pendant une longue période de temps

Émotion: les souvenirs autobiographiques qui ont une grande importance ou signification pour nous sont souvent celles qui sont retenues pendant longtemps

68
Q

V ou F: la reconition dans l’expérience de Bahrick, Bahrick, & Wittlinger (1975), souvent le courbe d’oublie de Ebbinhaus (1913)

A

faux

le rappel oui

69
Q

Schulkind, Hennis, & Rubin (1999): chanson peut evoquer des ________a__________

Le niveau d’émotion lié à une chanson peut ____________b___________
de celle-ci ainsi que _____________c____________.

A

souvenir autobiographique
favoriser le rappel des détails
des souvenirs autobiographiques

70
Q

Schulkind, Hennis, & Rubin (1999): est-ce que la musique peut favoriser la récupération des souvenirs autobiographiques?:

VI:

A
71
Q

relation entre pourcentage de rappel correct et anner populaire de la chason

pour
65-70 ans
18-21 ans

interprétation

A

65-70 ans: rappelle correct diminue avec l’année des chanson

18-21 ans: rappelle correct augmente avec l’année des chanson

mieux se rappeller des chanson qu’il on entendu dans leurs jeunesse (souvenir autobiographique)

72
Q

Rueckl & Oden (1986) : procédure

A

Traitement dirigé par les données : caractéristique du mots sont manipuler
Exemple :
Nager
Rager
ɲager (condition ambigüe)

Traitement dirigé par le context ( concept):
Dans la piscine, homme poisson etais en train de…
Après avoir raté son exam il voulait ragé

73
Q

Dans une condition non ambiguës, le participant lit pratiquement toujours ____a____.

Dans les conditions non ambigües, le traitement dirigé par _____b_____ est prédominant

A

a) le mots ecrit
b) les données

74
Q

Rueckl & Oden (1986) : Le traitement dirigé par les concepts se manifeste comment ? (dans les résultat)

A

dans la condition ambiguë le participant lit davantage le mot « nager » dans le contexte piscine et « rager » dans le contexte de crevaison

75
Q

Rueckl & Oden (1986) Le traitement dirigé par les concepts est plus important quand?

A

lorsque le mot présenté est ambigu