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Psychologie cognitive > cours 6 - MS > Flashcards

cours 6 - MS Flashcards

1
Q

décrit le modele de Atkinson & Shiffrin (1968)

A

modèle modulaire

distingue et met en relation 3 systeme de mémoire (MS, MCT, MLT)

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2
Q

les recherche réalisées pour valider le modèle de Atkinson & Shiffrin (1968) portent sur la démonstration de quoi? (3)

A
  • L’existence de MS spécifiques aux modalités (comme la vision et l’audition) et ayant des propriétés différentes (ex: duré de rétention)
  • L’existence d’une MCT ayant des propriétés différentes de celles de la MLT
  • Le rôle de l’autorépétition sur la rétention de l’information
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3
Q

mémoire de travail (Baddeley & Hitch, 1974): que représente t’elle en UNE phrase

A

vision modulaire de la MCT

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4
Q

Le noms des trois composants du modèle de Baddeley et Hitch (1974)

A

unité de gestion centrale
tablette/calepin viso-spaciale
boucle phonologique

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5
Q

unité de gestion centrale (Baddeley & Hitch, 1974)

A

mécanisme attentionnel de contrôle et de coordination des systèmes esclaves (boucle phonologique et calepin visuo-spatial)

integre les information des 2 sous-système et les met en relation avec les connaissances conservées en MLT.

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6
Q

Modèle de Baddeley et Hitch: Quel système de la mémoire de travail s’occupe de traité les mots, chiffres, lettre, syllabes?

A

Boucle phonologique

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7
Q

Mémoire de travail: 2 sous-systeme de la tablette visuo-spatiale

A

cache visuel: stockage passif et temporaire des informations visuelles

Scribe interne: le rafraîchissement et la manipulation des informations visuelles et spatiales

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8
Q

V ou F : les informations stockées dans le cache visuel tendent à disparaître lentement avec le temps.
explique

A

Faux
Disparait rapidement

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9
Q

Poirier et Saint-Aubin (1995) examine quoi?

A

examiné l’effet de la catégorie sémantique sur le rappel sériel immédiat (ISR) et la relation entre cet effet et la boucle articulatoire

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10
Q

Poirier et Saint-Aubin (1995): procedure

A

Expérience 1
VD: performances Rappel sériel immédiat
VI: similarité sémantique (diff vs meme catégorie sémantiques)

Expérience 2
VD: performances Rappel sériel immédiat
VI: similarité sémantique (diff vs meme catégorie sémantiques)
X
VI: avec et sans suppression articulatoire lors de la présentation des éléments.

Expérience 3
meme que expérience 2 mais avec une suppression se produisant tout au long de la présentation et du rappel.

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11
Q

la suppression articulatoire dans Poirier et Saint-Aubin (1995) visais a quoi dans l’expérience?

A
  • perturber la boucle articulatoire
  • pour évaluer son impact sur l’effet de la catégorie sémantique sur le rappel.
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12
Q

Poirier et Saint-Aubin (1995): résultat et interprétation

A
  • l’avantage de la catégorie homogène ne dépendait pas de la boucle articulatoire.
  • la cohérence sémantique des éléments a un impact significatif sur leur rappel
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13
Q

Poirier et Saint-Aubin (1995): questionnement

A

quel est l’effet de la catégorie homogène sur le rappel ISR dépendait de boucle articulatoire (composante spécifique de la Mémoire de travail).

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14
Q

Mémoire de travail (Baddeley, 2000): composante

A
  • unité de gestion centrale
  • tablette visuo-spaciale
  • tampon (buffer) épisodique
  • boucle phonologique
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15
Q

tablette visuo-spaciale (Baddeley, 2000)

A

traitement de l’information visuelle-spaciale)

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16
Q

tampon (buffer) épisodique (Baddeley, 2000)

A
  • intégration de l’information multisensorielle
  • transfert en MLT
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17
Q

boucle phonologique (Baddeley, 2000)

A

traitement de l’information verbale

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18
Q

Neath & Crowder (1990). The microscope metaphor in human memory

A

la matière semble très différente au microscope qu’à l’œil nu, mais il s’agit de la même matière, juste vue avec plus de détails.

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19
Q

qu’est-ce que le modèle de Craik et Tulving (1975) diffère des modèle antérieure?

A

concoit le fonctionnement en terme de processus (pas de module)

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20
Q

Craik et Tulving (1975): hypothèse

A

la qualité de la mémorisation dépend de la profondeur du traitement effectué

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21
Q

Craik et Tulving (1975): composante du modèle

A

profondeur de traitement (piramide)

structural: juger la structure d’un mot

phonétique: traite la phonologie d’un mot

sémantique: analyse le sens d’un mots

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22
Q

quelle composante du modèle de Craik et Tulving (1975) est impliquer dans chacune de c’est exemple? :

a) juger si deux mots rimant ensemble
b) juger si une lettre est écrite en majuscules ou en minuscules.
c) juger si un mot est synonyme d’un autre.

A

a) Composante phonétique
b) Composante structurelle
c) Composante sémantique

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23
Q

Modèle de Tulving (1972,1993): 3 type de mémoire a long terme

A
  • mémoire sémantique (connaissances)
  • mémoire épisodique (souvenir)
  • mémoire procédurale (habilités motrices)
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24
Q

Les recherches effectuées sur le modèle de Tulving (1972,1993) ont comme objectifs de

A
  • démontrer l’existence des 3 type de MLT
  • déterminer le format et l’organisation de l’information en mémoire sémantique
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25
Q

Mémoire sensorielle

A
  • Système de traitement qui sert à maintenir active l’information reliée aux sens pendant une très brève période
  • L’information à laquelle on prête attention en MS sera transférée en MCT.
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26
Q

deux types de persistance

A
  • Persistance de la stimulation au niveau physiologique (activité neurologique résiduelle)
  • Persistance informationnelle (MS)
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27
Q

La Persistance de la stimulation au niveau physiologique se réfère à la continuation de _______a_______ après ______b______. Même après que le stimulus ait été retiré, les _______c_______ impliqués dans ______d_______ continuent à ______e_______.

A

a) l’activité neuronale
b) l’exposition initiale à un stimulus
c) processus neuronaux
d) la perception du stimulus
e) transmettre des signaux électriques

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28
Q

Persistance informationnelle (MS)

A
  • Création d’une représentation en mémoire
  • Début du processus de traitement de l’information
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29
Q

la théorie de l’intégration sensorielle décrit comment…

A

le cerveau combine et interprète les informations provenant de différents sens pour former une perception cohérente de notre environnement.

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30
Q

la théorie de l’intégration sensorielle postule quoi sur le fonctionnement des différente modalités sensorielles (la vision, l’audition, le toucher, etc.) ?

A

ne fonctionnent pas de manière indépendante, mais plutôt de manière interactive et intégrée.

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31
Q

Nous pouvons démontrer cette brève rétention des effets de la stimulation visuelle (mémoire sensorielle) avec deux exemples, lesquels?

A

la trace laissée par une étoile filante

l’expérience de voir un film.

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32
Q

Explique le lien entre la trace laissée par une étoile filante et la mémoire sensorielle

A

Persistance de la vision : La trace de l’étoile filante na pas aucune lumière, c’est une création de notre esprit qui conserve une perception de lumière pendant une fraction de seconde.

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33
Q

Explique le lien entre l’expérience de voir un film et la mémoire sensorielle

A

On ne voit pas les intervalles sombre entre les images
la persistance de la vision se remplit en conservant l’image de l’image préceédente

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34
Q

l’expérience 1 de Sperling (1960) : quel question cherche t’il a répondre?

A

quelle quantité d’information peuvent tirer de stimuli brièvement présentés?

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35
Q

l’expérience 1 de Sperling (1960) : méthode et procedure

A

méthode du rapport complet

présente un ensemble de lettres (12) pendant 50ms

comment de lettre le participant peut rapporter?

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36
Q

l’expérience 1 de Sperling (1960) : résulats

A

moyenne de 4.5/12 lettres

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37
Q

l’expérience 1 de Sperling (1960):
a) que rapporte les participant

b) quel est le raisonnement de Sperling face a celle-ci?

A

a) il voyais toute les lettres mais après avoir fait le rappel des 4-5 lettres, il ne ce souvenais plus des autre

b) les participant aurais une meilleur performance si on leur disait de rapporter les lettres sur une seule rangée de 4 lettres.

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38
Q

Sperling (1960) a comme hypothèse que les participant aurais une meilleur performance si on leur disait de rapporter les lettres sur une seule rangée de 4 lettres. quel méthode utilise t’il pour tester cette idée?

A

méthode du rapport partiel

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39
Q

la méthode du rapport partiel dans l’expérience de Sperling (1960)

A

meme chose mais après l’apparition des 12 lettre, ils ont entendais immédiatement une tonalité qui leur a indiqué quelle rangé il devais rappeler

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40
Q

l’expérience de Sperling (1960): résulat (deuxieme expérience)

A

3.3/4 lettre rappeler (82%)

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41
Q

comment Sperling (après les 2 expérience) explique que les participant n’étais pas en mesure de toute rapporter les lettre dans la premiere expérience?

A

car au fur et a mesure qu’il les rapporte elle sont rapidement estompées

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42
Q

Sperling fait une 3eme expérience pour déterminer quoi?

A

l’évolution temporelle de cette perte

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43
Q

3eme expérience de Sperling (1960)

a) méthode
b) procédure
c) résulat

A

a) « delayed partial report method »

b) Même chose que la deuxième expérience mais la tonalité était présenté après un court délai (1s)

c) n’ont pu signaler qu’un peu plus que 1/4

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44
Q

que conclu Sperling (1960) après la troisieme expérience?

A
  • qu’une MS enregistre la plupart des informations qui atteignent nos récepteurs visuels
  • ces informations se dégradent en moins d’une seconde (MS de courte durée).
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45
Q

Comment s’appelle cette brève MS des stimuli visuels

A

mémoire iconique

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46
Q

La mémoire iconique correspond à l’étape de MS de quel modèle ?

A

Modèle modal d’Atkinson et Shiffron

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47
Q

D’autres recherches utilisant des stimuli auditifs ont montré que les sons persistent également dans l’esprit. Cette persistance du son, appelée comment?

A

mémoire échoïque

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48
Q

exemple de mémoire échoïque

A

lorsque vous entendez quelqu’un dire quelque chose, mais que vous ne comprenez pas au début et que vous dites « Quoi ? Mais avant même que la personne puisse répéter ce qui a été dit, vous « l’entendez » dans votre esprit.

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49
Q

la deuxième étape du modèle modal

A

la mémoire à court terme

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50
Q

mémoire sensorielle (MS) VS mémoire a court terme (MCT)

A

MCT
- rétention plus longue
- traitement et manipulation active de l’information

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51
Q

même si la MS s’estompe rapidement, les participants de Sperling pouvaient rapporter certaines lettres. Ces lettres font partie des stimuli qui…

A

sont passés à la MCT

52
Q

Le processus de stockage du numéro dans la mémoire à long terme est appelé _______________.

A

encodage

53
Q

Ce processus de mémorisation des informations stockées dans la mémoire à long terme est appelé _________________.

A

récupération

54
Q

quel méthode est souvent utiliser pour tester la MCT? explique

A

méthode de rappel

  1. présentation de stimuli
  2. un délai
  3. rappel
55
Q

La MCT, telle que conçue par les psychologues cognitifs, dure comment longtemps?

A

15 à 20 secondes ou moins.

56
Q

Qu’est-ce qu’est l’étendue de chiffres d’une personne représente

A

La chaîne la plus longue que vous puissiez reproduire sans erreur

57
Q

Selon les mesures de l’étendue des chiffres, la capacité moyenne du STM est d’environ combien?

A

7 élément

plage allant de 5 à 9 élément

58
Q

Cette idée selon laquelle la limite de STM se situe entre cinq et neuf a été suggérée par qui?

A

George Miller (1956)

59
Q

Des mesures plus récentes de la capacité MCT ont fixé la limite à environ… (Cowan, 2001)

A

quatre éléments

60
Q

Cette idée selon laquelle la limite de STM est plutot de 4 éléments est fait a partir d’expérience qui a mesuré la capacité de STM en utilisant une procédure appelée…

A

détection de changement

61
Q

Un exemple de détection de changement

A

image avec des carré de diférente couleur

image 1 (100ms)
délai (900ms)
image 2: pareil ou différente que l’image 1?

62
Q

quel sont les résultat de l’expérience de Luck et Vogel (1997) qui utilise une procedure de détection de changement?

A

les performances commençaient à diminuer dès qu’il y avait quatre carrés dans l’affichage.

X < 3 : presque parfait
X > 4 : diminution de la performance

63
Q

que pouvons nous conclure des résultat de l’expérience de Luck et Vogel (1997) qui utilise une procedure de détection de changement?

A

une rétention d’environ quatre éléments dans la MCT.

64
Q

Qu’est-ce qu’est l’étendue de chiffres représente

A

La chaîne la plus longue que vous puissiez reproduire sans erreur

65
Q

Qu’est-ce que l’effet McGurk?

A

un phénomène perceptif dans lequel la perception auditive d’un son est influencée par des informations visuelles contradictoires présentées simultanément.

entraînant une perception altérée du stimulus

66
Q

l’effet McGurk: exemple

A

une personne entend un son « ba », mais voit simultanément les mouvements des lèvres correspondant à un son « ga ». les participant percevais une troisieme syllabe “da” (syllabe qui se situait au niveau articulatoire entre les deux premières.)

67
Q

en quoi l’effet McGurk illustre-t-il l’intégration multisensorielle dans la perception humaine ?

A

Cela illustre comment notre cerveau intègre activement les informations auditives et visuelles pour former une perception cohérente de notre environnement

cela se produit après que les informations sensorielles spécifiques à chaque sens ont été traitées par les MS spécifiques à chaque sens.

68
Q

quel modèle de mémoire st cohérent avec cette explication : Chaque module (store, buffer, tampon, mémoire) a des propriétés spécifiques à sa modalité

A

modèle de mémoire de Baddeley et Hitch (modèle de la mémoire de travail)

69
Q

L’effet McGurk démontre que l’intégration sensorielle est…

A

une fonction de plus haut niveau.

70
Q

Chaque composant de la mémoire de travail a des propriétés spécifiques à sa modalité. Nomme les 3 propriété

A
  • Capacité
  • Durée de la trace
  • Format de l’information ( dans lequel il sont encodées et manipulées)
71
Q

Une des premières questions de recherche au sujet de la mémoire iconique concerne sa capacité. Que cherche donc à s’avoir les chercheur?

A

Combien d’items peuvent etre maintenus simultanément en MS

72
Q

Subitisation (def)

A

: Capacité spontanée à appréhender immédiatement (sans compter) le nombre d’éléments d’un ensemble fini de petite taille ( environ 4-5 objets).

73
Q

Qui a été parmi les premiers à étudier la subitisation et à démontrer son existence

A

Kaufman et al. (1949)

74
Q

après les traveau de Kaufman et al. (1949), Watson et al. (2005) ont examiné quoi par rapport a la subitisation. explique

A

comment les caractéristiques des objets, telles que leur couleur ou leur forme, influent sur la capacité à percevoir rapidement le nombre d’éléments dans un ensemble (subitisation).

75
Q

Watson et al. (2005): résultat

A

caractéristiques présenter de facon aléatoire et ne sont pas corrélées a la quantité d’objets, une énumération efficace n’est pas possible.

76
Q

Watson et al. (2005): que démontre c’est résulats?

A

Système visuel lors de la subitisation : localisation spaciale des objets > caractéristique individuelles des objets

77
Q

Modification du rapport partiel (Averbach & Coriell, 1961): procédure

A

le participant doit rapporter un seul item

L’indicateur pour le rapport partiel est une barre verticale qui pointe vers la lettre à rapporter.

78
Q

(Averbach & Coriell, 1961): dans quel but on t’il modifier la tache de rapport partiel? que voulais t’il controler?

A
  • La mémoire iconique peut-elle être effacée?
  • Examiner la perte d’informations
79
Q

(Averbach & Coriell, 1961): Le participant peut rapporter la lettre dans environ ____% des essais lorsque la cible étais indiquer par une barre verticale.

A

75%
12/16

80
Q

(Averbach & Coriell, 1961): pourquoi 75% est un estimé conservateur? (limite de l’étude)

A

le temps requis pour analyser le son ou l’indicateur visuel pourrait provoquer l’oubli.

81
Q

(Averbach & Coriell, 1961): est-ce que le temps requis pour rappeler 4 à 5 lettres est suffisant pour provoquer l’oubli des autres lettre? explique qu’est-ce que cela représente

A

oui

la représentations en MS se dégradent rapidement

82
Q

(Averbach & Coriell, 1961): que ce passe t’il lorsque la barre indiquant la cible a rappeller devenait plus tardive? que démontre c’est résultats?

A

les performances des participants se détérioraient.

le déclin rapide de l’information visuelle.

83
Q

(Averbach & Coriell, 1961): que ce passe t’il si l’indice est un cercle au lieux d’une barre? quelle théorie explique ce phénomène

A

perception « masquée » de la lettre.

Masquage vers l’arrière: un stimulus visuel ultérieur interfère avec le précédent.

84
Q

Quelles études ont testé l’étendue et la durée de la mémoire iconique? (2)

A

Averbach (1963)
Sperling (1960)

85
Q

Jevons (1871): le pouvoir de la discrimination numérique

procedure de l’expérience

A
  • jeté un « nombre incertain » de haricots dans une boîte
  • combien d’haricots avais-t-il dans la boite?
86
Q

Jevons (1871) : Combien d’objet peut etre traité en parallèle?

A

4.5

87
Q

Jevons (1871)
a) Quel est le nombre arbitraire?
b) qu’est-ce que le nombre arbitraire veut dire?
c) quel résultat a permis de trouver ce nombre arbitraire?

A

a) 9

b) le seuil au-delà duquel la précision des estimations numériques commence à diminuer de manière notable.

c) probabilité de réponse correcte supérieure à 50% pour des ensembles de 9 haricots ou moins, mais une probabilité d’erreur supérieure à 50% pour des ensembles de 10 haricots ou plus.

88
Q

Jevons (1871): Capacité de stockage de la mémoire de travail

A

7 plus ou moins 2

89
Q

Jevons (1871) : en moyenne, combien de fois (%) les participant pouvais faire une hestimation corect avec 5 haricots?

A

95%

90
Q

quel appareil a été utilisé dans l’étude menée par Averbach en 1963

A

tachistoscope

91
Q

Averbach (1963): Cette tâche visais à évaluer quoi?

A

la capacité des individus à effectuer rapidement une estimation du nombre d’éléments présents dans un ensemble, sans avoir le temps de les compter individuellement.

92
Q

Averbach (1963): calcule la capacité des individus d’estimer le nombre de points en fonction de quoi (VI)

A
  • du nombre d’items (de 1 à 13)
  • temps d’exposition (40ms, 150ms, 600ms)
93
Q

Averbach (1963): résulats pour l’affichage de 40ms

A

1 : assez précis (90%)
> 2: beaucoup moins précis (55%)

94
Q

Averbach (1963): résulats pour l’affichage de 150ms

A

assez précis lorsqu’il y avait jusqu’à 4 ou 5 points

les performances diminuant progressivement par la suite.

(après 4 points, il y a une perte d’environ 10% a chaque items suplémentaire)

95
Q

Averbach (1963) : après avoir augmenté le temps d’exposition a 150ms, il remarque que cela permetais aux participants de percevoir un plus grand nombre de point de manière efficace. il fait par la suite l’expérience avec une exposition de 600ms.

est-ce que cette tendance étais linéaire?
explique

A

non, la performance en fonction du temps d’exposion n’étais pas une tendance linéaire

lorsqu’il y a plus de 8 points qui sont présentés, le temps d’exposition supplémentaire fait relativement peu de différence.

96
Q

Dans la 3eme expérience Sperling (rapport partiel avec délai), que ce passe t’il lorsque l’indice est présenté 300 ms après la présentation des lettres

A

La performance se stabilise (l’indice n’est plus efficace)

97
Q

Explique la différence entre un délai de 100ms et de 300ms? (tache de rapport partiel)

A

100ms
- Une partie du contenu en MS est encore disponible et peut être récupérée.
- Une partie de la rangée peut être récupérée de la MCT (l’information transférée avant la présentation de l’indice)

300ms
-L’information en MS s’est effacée est donc inutilisable pour faciliter la réponse.
-le participant peut seulement rappeler les lettres à partir de l’information en MCT

98
Q

Devrais t’il y avoir une diférence entre le rapport partiel avec un délai de 300ms et le rapport complet? Pourquoi?

A

Non car l’information est seulement rappelée a partir de la MCT

99
Q

Qui suis-je? Un modèle modulaire qui distingue et met en relation les 3 système de mémoire?

A

Atkinson & Shiffrin (1968)

100
Q

Qui suis-je? Modèle ayant une vision modulaire de la MCT

A

Mémoire de travail (Baddeley & Hitch, 1974)

101
Q

Quelle expérience examine l’effet de la catégorie sémantique sur le rappel sériel immédiat (ISR) et la relation entre cet effet et la boucle articulatoire?

A

Poirier & Saint-Aubin (1995)

102
Q

Quelle composante du modèle de Baddeley et Hitch (1974) a pour fonction de garder en mémoire les informations verbales.

A

La boucle phonologique

103
Q

En 1974, Baddeley & Hitch, introduisent le concept de mémoire de travail avec un modèle modulaire. En 2000, Baddeley modifie ce modèle en rajoutant une 4eme composante.

A

a) Quel est le nom de cette composante?
b) A quoi sert-t’elle?

104
Q

V ou F : la boucle phonologique a pour fonction de garder en mémoire seulement les informations verbales entendues. explique

A

Faux
Aussi les Information verbales qui sont lue

105
Q

V ou F : Dans l’expérience de Poirier et Saint-Aubin (1995), la suppression articulatoire visait à faciliter la boucle articulatoire pour évaluer son impact sur l’effet de la catégorie sémantique sur le rappel. explique

A

Faux
plutôt perturber la boucle articulatoire

106
Q

Vrai ou Faux : Dans l’expérience de Poirier et Saint-Aubin (1995), l’avantage de la catégorie homogène dépendait de la boucle articulatoire. Explique

A

Faux
même lorsque cette composante de la mémoire de travail était perturbée, l’avantage de la catégorie homogène persistait. Cela suggère que cet avantage ne dépend pas du fonctionnement spécifique de la boucle articulatoire.

107
Q

Dans l’expérience de Poirier et Saint-Aubin (1995), quelle conclusion a été tirée concernant l’impact de la cohérence sémantique des éléments sur leur rappel ?

La cohérence sémantique…
a) n’a eu aucun effet sur le rappel
b) a été un facteur majeur dans le rappel des éléments
c) a eu un effet négatif sur le rappel.
d) a été un facteur mineur dans le rappel des éléments

A

b

108
Q

D’où provient la métaphore selon laquelle “la matière semble très différente au microscope qu’à l’œil nu, mais il s’agit de la même matière, juste vue avec plus de détails” ?

A

Neath & Crowder (1990). The microscope metaphor in human memory

109
Q

Comment le modèle de Craik et Tulving (1975) conçoit-il le fonctionnement de la mémoire ?

En terme…
a) de structures
b) de processus
c) de capacité
d) de contenu

A

b

110
Q

V ou F : Craik et Tulving (1975) on comme hypothèse que la qualité de la mémorisation dépend de la profondeur du traitement effectué. explique

A

vrai

111
Q

lesquel ne représente PAS une objectifs des recherches effectuées sur le modèle de Tulving (1972, 1993) ?

a) Démontrer l’existence de deux types de MLT
b) Démontrer l’existence des trois types de MLT
c) Déterminer le format en MS
d) Déterminer et l’organisation de l’information en MS
e) Étudier les processus de stockage dans la MS
f) b et d
g) a et e
h) a et d

A

g

112
Q

V ou F : La persistance de la stimulation au niveau physiologique ne se réfère PAS à la capacité du système perceptif à conserver une représentation du stimulus après qu’il a disparu. Explique

A

Vrai
C’est plutot la persistance informationnelle

113
Q

Qu’est-ce que la persistance de la stimulation au niveau physiologique implique-t-elle ?

A

a) La capacité du cerveau à conserver une représentation du stimulus
b) La continuation de l’activité neuronale après l’exposition initiale à un stimulus
c) La formation d’une MS durable
d) L’effet de persistance auditive

114
Q

pourquoi faire la distinction entre (1) la persistance de la stimulation au niveau physiologique et (2) la persistance informationnelle peut être difficile pour les chercheurs en sciences cognitives?

A

car ils peuvent être étroitement liés et interagir de manière complexe.

Stimulus disparait -> activité neurologique résiduelle -> aide à former et à maintenir la MS

115
Q

d’après les travaux de Sperling (1960), lorsque l’indice est présenté 300 ms ou plus après la
présentation des lettres, l’indice n’est plus efficace. qu’est-ce que nous pouvons interprété sur la duré de la MS visuelle

A

serait d’environ 300 ms

116
Q

Masquage (def)

A

deux informations visuelles sont présentées rapidement en succession dans la même région spatiale

La première information est effacée par la nouvelle information (le masque)

117
Q

Le masque a été utilisé afin d’estimer quoi?

A

la durée de la trace en MS.

118
Q

Pour qu’il y ait masquage, le 2e stimulus doit entrer en MS quand?

A

avant la disparition du 1er stimulus

119
Q

Le masque n’a plus d’effet lorsque…

A

l’information n’est plus en MS

120
Q

Comment longtemps dure la rétention de
a) MS
b) MCT
c) MLT

A

a) ~ 250ms
b) ~2s
c) ~ Permanent

121
Q

La mémoire de travail

A
  • stocker -> manipule activement (pour l’utiliser) dans une tache de cognitives complexes
  • un système à capacité limitée de stockage temporaire
122
Q

La diférence entre la MCT et la mémoire de travaille

A

MCT concerne principalement de stockage d’information pendant une brève période tandis que la mémoire de travail concerne la manipulation active de cette information

123
Q

donne un exemple de situation où la mémoire de travail serais utiliser et explique ta réponse

A

la compréhension de conversations

Rachel : “J’aimerais commander une grande pizza au brocoli et aux champignons.”

Comprendre, mémoriser la phrase, écouté la deuxième phrase, faire un lien entre les deux

124
Q

Quel terme désigne la séquence la plus longue de chiffres que vous pouvez répéter sans erreur ?

A

l’étendue de chiffres

125
Q

quel théorie explique que “le cerveau combine et interprète les informations provenant de différents sens pour former une perception cohérente de notre environnement”

A

L’intégration sensorielle

126
Q

Watson et al. (2005):

A

ont étudié la possibilité que les différences de couleur puissent améliorer l’individuation entre les points et ainsi affecter la subitisation. Est-ce que cela a été observé dans leurs résultat? Explique

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