Cours 9 Flashcards

1
Q

Avant l’approche de Bandura, l’être humain était vu comme un objet passif, quel était alors l’objectif de l’intervenant ?

A
  • La personne était vue comme un objet sur lequel on agit ou qu’on place dans certaines conditions pour le faire réagir d’une façon particulière.
  • L’objectif de l’intervenant est de le mettre en place les bons simulés ou les bons renforcements pour favoriser l’apparition des comportements souhaités.
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2
Q

Après l’approche de Bandura
L’être humain = un apprenant actif, quel est le concept clé alors ?

A
  • La personne est capable d’influencer son propre processus d’apprentissage par sa façon de penser et d’imaginer l’avenir.

Cette clé c’est le concept du sentiment d’efficacité personnelle: si un individu arrive à ressentir qu’il est capable de réaliser une tâche il y a de fortes probabilités qu’il y parviendra.

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3
Q

Qu’est-ce que des facteurs internes ?

A

qui n’est pas observable, on sait que ça existe parce qu’on en postule l’existence dans une théorie donnée, parce que ça fait du sens (p.ex. les émotions, les pensées)

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4
Q

Qu’est-ce que l’observation empirique et les cognitions ?

A
  • Observation empirique : qui est visible/mesurable, on sait que ça existe parce qu’on peut le voir et en confirmer la présence de manière scientifique/objective (p.ex. les comportements)

Cognition : facteur interne qui comprend l’ensemble de nos processus mentaux, dont nos pensées

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5
Q

L’idée centrale est d’affirmer, preuve à l’appui, que les comportements et les ____d’un individu dans une situation donnée peuvent toujours se ____ par la manière dont il ___. Ce n’est donc plus les stimuli externes qui influencent la manière dont l’individu agit, mais bien ses ____

A

émotions
comprendre
pense
cognitions.

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6
Q

La manière de penser influence non pas juste les comportements de l’individu mais aussi ____

A

l’environnement dans lequel il évolue.

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7
Q

L’être humain a le pouvoir de contrôler sa vie, il est un :

A

agent actif

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8
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage vicariant ?

A

on peut moduler nos comportements en observant les autres vivre les conséquences de leurs actions (ce que l’on observe)
* Il n’est pas nécessaire de faire l’expérience des conséquences nous-même, tel que postulé par les béhavioristes

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9
Q

Qu’est-ce que le déterminisme réciproque?

A

Jeu d’influence entre le milieu (l’environnement) et les représentations de la personne (représentations mentales/modes de pensée/cognitions) (exercent chacun une influence causales les uns sur les autres)
* Lequel des deux influencera davantage le comportement?
* Tout dépend de la valeur prédictive de chacun
* Certaines contingences sont plus fortes que d’autres

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10
Q

Qu’est-ce que l’auto-efficacité ?

A

centrale, une des clés, on a un pouvoir sur les structures, se voir comme capable d’avoir un impact sur notre environnement (ne pas être dominé par l’environnement… L’environnement pouvant le permettre)
Effets de sélection, d’effort, de persévérance, de rendement, d’affectivité et d’adaptation.

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11
Q
  • Diverses utilités pratiques dans les milieux d’emploi, comme :
A
  • Surtout au niveau de l’apprentissage des employés
  • P.ex. lorsqu’un individu doit développer de nouvelles compétences et s’adapter à de nouvelles circonstances de travail (application technologies, applications, adaptation)
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12
Q

L’héritage de la théorie en terme de psychologie clinique et de la science ?

A
  • Thérapie cognitive et comportementale
  • Une approche efficace et largement utilisée pour traiter une variété de psychopathologies (et diverses populations)
    La thérapie cognitivo-comportementale permet d’incorporer des méthodes modernes telles que la pleine conscience et l’acceptation
  • Contribue à l’avancement des connaissances dans plusieurs domaines de recherche
  • Met de l’avant des méthodes scientifiques rigoureuses et efficaces
  • Domaines de recherche comme la psychologie sociale, la psychologie cognitive et la neuropsychologie
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13
Q

La théorie à des concepts applicables dans une multitude de situations, expliquez :

A
  • P.ex. l’importance de l’autoefficacité (efficacité personnelle) dans la vie des humains pour les relations, le travail, etc.
  • A permis de confirmer empiriquement l’existence de forces motivationnelles auparavant stipulées uniquement au niveau théorique
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14
Q

Comment est vu l’être humain dans cette théorie socio-cognitive ?

A
  • Possède des compétences et des capacités mentales supérieures qui font en sorte qu’il peut diriger activement sa vie et réguler son comportement au-delà des influences du moment
  • Utilise ces processus cognitifs pour se représenter les événements et prévoir l’avenir et choisir différents moyens d’action
  • Ne réagit pas passivement à son environnement (les représentations mentales sont aussi sinon plus importantes que les contingences externes pour comprendre le comportement)
  • Émet des comportements pouvant varier considérablement selon les situations
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15
Q

L’être humain est assez intelligent pour diriger sa vie et réguler son ___
Le comportement dépend en grande partie des ____et des ___ des individus
L’individu n’est pas contraint à réagir à des ____et des punitions issus de l’environnement, il est capable de ____

A

comportement
attentes
croyances
renforçateurs
faire ses propres choix

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16
Q

Selon la théorie des traits de Costa et McCrae, ce sont les traits de personnalité qui déterminent le comportement habituel des gens. Mischel dit quoi par rapport à ça :

A
  • Mischel a démontré que ceci est faux: la situation peut aussi influencer le comportement habituel. (elle amène des fluctuations importantes dans le comportement)
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17
Q
  • Les individus possèdent des patrons de comportement uniques.
    Comment se forment-ils? :
A
  • Chaque situation vient avec ses propres attentes et croyances, dicte une manière
    appropriée d’agir (spécificité situationnelle)
  • Chaque individu a ses propres façons de penser et de percevoir le monde (cognitions)
  • L’individu est intelligent et capable de reconnaitre que différentes situations requièrent différents comportements (chaque nouvelle situation amène une réflexion sur comment se comporter)
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18
Q

Il semble que des régularités s’observent lorsqu’on regarde les variations_____du comportement chez les individus sur une certaine période de temps. Leur comportement varie selon des____qui ne sont pas aléatoires, qui sont assez ____ selon les types de____

A

situationnelles
patrons
stables
situations.

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19
Q

Qu’est-ce que la spécificité situationnelle ?

A

Attentes et croyances spécifiques à des situations précises.
* Selon ses façons propres de penser et de percevoir le monde, l’individu interprète la situation et émet une série de comportements donnés

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20
Q

Comportement qui forment un patron d’action unique à l’individu, qu’il répètera lorsqu’il sera à nouveau dans ce type de situation, se nomme quoi ?

A

empreinte comprotementale
* L’ensemble des empreintes comportementales forment la personnalité

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21
Q

Chaque individu a ses propres _____qui forment sa personnalité, sa manière habituelle d’agir

A

empreintes comportementales

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22
Q

Comportements/personnalité =

A

spécificités de l’environnement (« socio »)
+
modes de pensée uniques à chaque individu (« cognitive »)

23
Q

Quelles sont 4 composants de la structure de la personnalité ?

A

croyances/attentes
objectifs perso
normes d’autoévaluation
compétences/habiletés concrètes

24
Q

Qu’est-ce que les croyances/attentes et les 2 types

A
  • Anticipation qu’un scénario précis se concrétise dans une situation donnée (sont déterminantes)
  • 2 types d’attentes :
  • De résultat (instrumentalité)
  • D’autoefficacité (sentiment d’efficacité personnelle)
25
Q

Qu’est-ce que les objectifs perso ?

A
  • Événement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes (permet d’organiser et diriger vie)
  • Maîtrise de soi: accepter certains choix moins stimulants à court terme afin d’atteindre objectif
26
Q

Qu’est-ce que les normes d’évaluation ?

A

○ Interprétation subjective des évènements > évènements objectifs (C’est l’interprétation des événements plutôt que les événements eux-mêmes qui influence les réactions des gens). Critère permettant d’évaluer la valeur d’une personne ou d’une chose. Provoque souvent des réactions émotives (réaction d’autoévaluation = sentiment de satisfaction ou insatisfaction envers soi que l’on éprouve en réfléchissant à ses actions).

27
Q

Qu’est-ce que les compétences ?

A

Répertoire d’habiletés spécifiques que possède un individu et qui lui permettent d’agir avec plus ou moins d’efficacité selon les situations
Les différences individuelles qu’on observe entre les personnes sont en bonne partie dues à des variations dans l’aptitude des gens à accomplir différentes actions. Sont spécifiques à la tâche)
○ Permettent d’agir de manière efficace ou non
Important différenciateur inter-individus et intra-individu

28
Q

Ce qui structure le comportement de la personne est une multitude de ____spécifiques par rapport à des ____ x ou à des ____y.

A

microperception
comportements
résultats

29
Q

Attentes de résultats (instrumentalité) vs attente d’auto-efficacité ?

A

Attente de résultats (instrumentalité) : à quel point je crois que si x s produit, y surviendra
Attente d’auto-efficacité (sentiment d’efficacité perso) : à quel point je suis confiant de pouvoir produire x

30
Q

La personnalité peut être conçue comme un _____ où les différentes composantes fonctionnent en ____les unes avec les autres

A

système cognitivo-affectif
interaction

31
Q

Quels sont les processus de la théorie socio-c ?

A

L’auto-régulation et le déterminisme réciproque de Bandura

32
Q

Qu’est-ce que l’auto-régulation ?

A
  • L’individu est capable de s’autoréguler : de motiver (initier, poursuivre objectifs) et d’ajuster son propre comportement (en fonction de facteurs motivationnels) à partir de référents internes
  • Ce sont les processus cognitifs qui permettent l’autorégulation
33
Q

Bandura préfère expliquer la personnalité en termes de ____ vs de structure : la personnalité est ___

A

processus
malléable

34
Q

Influence réciproque et constante entre 3 éléments, lesquels ?

A

La personne
Son comportement
l’environnement

35
Q

Les forces____ à la personne ET son _____ causent le comportement

A

internes
environnement externe

36
Q

L’apprentissage vicariant est similaire à celle mise de l,avant par l’approche béhaviorale, mais avec une distinction notable, laquelle ?

A
  • Dans l’apprentissage vicariant, on peut apprendre des façons d’agir même si elles n’ont fait l’objet d’aucun conditionnement direct pour les renforcer. De plus les cognitions interviennent pour expliquer qu’une notion acquise sera mise en action ou non.
  • En comparaison, pour les béhavioristes, la personne devient ni plus ni moins que le produit des contingences auxquelles elle a été directement exposée.
37
Q

Quelles sont les 2 caractéristiques de l’apprentissage vicariant ?

A
  • Capacité à développer de représentations mentales d’un comportement observé
    chez autrui et à s’y référer par la suite
  • Emmagasinage mental d’actions observées, des conséquences associées à ces actions et de cognitions ou de réactions émotives observées chez autrui en lien avec le comportement
38
Q

L’apprentissage vicariant ne permet pas uniquement l’apprentissage de comportements, mais aussi l’apprentissage de _____.
Importance d’exposer les enfants à des modèles ____ favorisant un bon ____

A

compétences cognitives
positifs
développement

39
Q

Qu’est-ce que le conditionnement émotionnel vicariant ?

A
  • Réactions émotionnelles développées suite à l’observation répétée d’un modèle
    (p.ex. apprentissage de la peur, de la fierté) avoir peur des serpents pcq mère panique chaque fois qu’elle en voit un en vrai ou photos. (émotions + peuvent aussi être conditionnées)
40
Q

La psychopathologie dans la théorie socio-c, c’est quoi ? Quelle est le traitement ?

A

résultat de croyances irréalistes ou inadaptées
* Traitement : corriger les distorsions cognitives et les remplacer par des cognitions plus réalistes et adaptées (L’approche thérapeutique doit être active, structurée et axée sur le présent)

41
Q

Les croyances et les attentes par rapport au futur sont les facteurs clés qui engendrent les_____

A

réactions problématiques
Les réactions problématiques tendent à se perpétuer et à se généraliser
Importance de cibler ces facteurs clés dans le traitement

42
Q

Qu’est-ce qu’un discours interne problématique, il a quelle genre d’influence ?(Ellis vs Beck)

A
  • Le discours interne problématique a une influence causale sur les problèmes de comportement et d’adaptation
  • Selon Ellis : ce sont les croyances absolues qui sont problématiques
  • Selon Beck : les cognitions sont problématiques quand elles traduisent une vision négative de soi, du monde et du futur
43
Q

Exemples de croyances absolues et de la triade cognitive de la dépression :

A

P.ex. : « il faut que je sois toujours parfait », « je n’arrive jamais à faire quoi que ce soit de bon », « Les choses vont toujours mal ».

P.ex.: « Je suis nul » (soi), « La vie n’est pas juste, ce sont uniquement les autres qui ont du succès » (monde) et « Je vais rester seul et sans ami toute ma vie » (futur).

44
Q

Comment intervenir selon Ellis et Beck, puis Bandura ?

A
  • Identifier et éliminer les cognitions problématiques (Ellis et Beck)
  • Remplacer les cognitions problématiques par des cognitions bénéfiques, (instaurer cognitions bénéfiques) (Bandura)
    Importance d’augmenter le sentiment d’efficacité personnelle pour modifier
    le comportement des gens.
45
Q

Quelles sont les 3 vagues d’intervention en psychothérapie ? Laquelle pour l’approche socio-c ?

A
  1. Approches béhaviorales → modifier les contingences de l’environnement pour changer le comportement (p.ex. Skinner) 1950+
  2. Approches cognitives → modifier l’environnement, mais aussi les pensées/croyances pour changer le comportement (p.ex. Beck, Ellis, Bandura) 1970+
  3. Approches centrées sur les émotions → observer et accepter les émotions pour changer le comportement (p.ex. Acceptance and Commitment Therapy, pleine conscience) 1990+
    * L’approche sociocognitive s’inscrit dans la 2e vague
46
Q

Quels sont les 4 éléments clés des approches cognitivo-comportementales ?

A

Cibles d’intervention précises

Démarche structurée et de courte durée

Collaboration thérapeute-client

Rôle actif du client dans la démarche

47
Q

Définition de la thérapie cognitivo-comportementale ?

A
  • Approche psychothérapeutique qui vise à modifier les comportements, cognitions et/ou émotions inadaptés en faisant appel à une procédure systématique et qui est orientée vers un ou des objectifs sur lesquels s’entendent le client et le thérapeute.
48
Q
  • 3 objectifs de l’approche de Bandura pour le changement :
A
  • Apprentissage de nouveaux modes de pensées et de comportements (pour améliorer situation du client)
  • Apprentissage de comportements précis qu’on vise à généraliser et maintenir dans le temps
  • Augmenter le sentiment d’efficacité personnelle (pour rehausser la confiance que l’individu peut faire face à la situation)
49
Q

Approche de Bandura : 2 modalités d’interventions

A
  • Modelage : Observer le comportement désiré et les conséquences chez un modèle (p.ex. le thérapeute)
    Répliquer soi-même le comportement, Très semblable à l’apprentissage vicariant
  • Participation guidée : Même chose que le modelage, sauf que le thérapeute guide le client verbalement dans la réalisation du comportement, l’encourage, lui donne de la rétroaction , Permet de décomposer le comportement en plus petites actions (renforcer chaque action réussie), Permet au client de vivre une expérience de maitrise (augmente sentiment d’efficacité personnelle
50
Q

Conditions à mettre en place pour augmenter le sentiment d’efficacité personnelle :

A
  • Choisir un modèle auquel le client peut s’identifier
  • Structurer le comportement à apprendre en une série de plus petites actions et les organiser dans une hiérarchie du plus facile au plus difficile
  • Faire vivre des petits succès au client avec la participation guidée
  • Fournir des occasions de pratique en milieu contrôlé
  • Favoriser l’autonomie chez le client dans la régulation de ses comportements en dehors
    du milieu contrôlé
  • Plus de sentiment d’efficacité personnelle = plus de probabilités de changement
51
Q

Quelles sont les limites de l’approche sociocognitive ?

A
  • Difficilement applicable pour les troubles complexes où les cognitions de l’individu sont sévèrement atteintes
  • L’approche s’attend à ce que l’individu soit capable de participer activement à la thérapie
  • Approche trop optimiste par rapport à la malléabilité des attentes et des croyances
  • Sous-estime le rôle des émotions et du passé des individus (p.ex. échecs passés, traumatismes de l’enfance)
  • Sous-estime le rôle des pensées inconscientes et des mécanismes de défense
52
Q

Évaluation de la théorie :

A

Observations sont scientifiques et diversifiées. La théorie n’est pas systématique (c’est plus un cadre conceptuel), elle est vérifiable (fournit des outils de mesure et des méthodes expérimentales qui ont permis de tester leurs idées), elle n’est pas assez complète (pas assez exhaustive, il existe des applications

53
Q

Qu’est-ce que l’autovalorisartion et l’autovérification ?

A

Autovalorisation : désir de maintenir ou d’améliorer des visions positives du soi

Autovérification : désir d’acquérir de l’information qui correspond au concept de soi

54
Q

Qu’est-ce qu’une théorie implicite et les 2 catégories ?

A

Théorie implicite : croyance d’ordre général que nous ne pouvons pas toujours verbaliser, mais qui influe néanmoins sur notre pensée.

Entité : fixe, objectif de performance

Incrémentielle : se développe, objectifs d’apprentissage