Cours 8 - MCT : Baddeley Flashcards

1
Q

Quelles sont les caractérisituqes de la mémoire de travail slon Baddeley? 5

A
Capacité limitée 
Entreposage temporaire 
Codages différents 
Manipulation de l'info 
Capacité VS Répétition (deux sous-systèmes)
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2
Q

Qu’est-ce que l’éxécutif central?

A

un système à capacité limitée qui relie les systèmes esclaves et la MLT

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Q

Qu’est-ce que la tablette visuospatiale?

A

Enregistre et manipule l’info visuelle et spatiale (système esclave)

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4
Q

Qu’est-ce que le tampon épisodique?

A

Encode, intègre et récupère l’info sous forme consciente (système esclave)

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5
Q

Qu’est-ce que la boucle phonologique?

A

Enregistre et manipule l’information auditive. (Système esclave)

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6
Q

Baddeley a fait une expérience pour prouver l’Existance du central exécutif. Cette expérience consiste à imaginer le tir de lettres dans un chapeau. n doit donc généré des lettres de manière aléatoire. Expliquez les procédures, résultats et interprétations de cette étude.

A

But
o Montrer:
 Capacité de traitement limitée de l’exécutif central
 Dépendance de l’exécutif central sur la MLT durant une tâche de production
Tâche
o Génération aléatoire
o « Tirer des lettres de l’alphabet d’un chapeau »
o Tirage avec remise (imaginé!)
o Produire des séquences de 100 lettres aléatoires
o A-F-K-S-W-B-Y-H… avec une alternance de temps. Éviter les répétition, être le plus aléatoire possible.

  • Variable-clé: Taux de génération requis
    1 lettre par 500/1000/2000/4000 millisecondes
    Ceci nous montre à quel point l’exécutif central est surchargé (qu’il est limité et qu’il va aller chercher de l’aide ailleurs) Plus on demande de générer des lettres souvent, plus il va dépendre des répétitions (répétition de séquence ou de lettres elles-mêmes) ou des séquences de lettres qu’il connait déjà
    En analysant par après, on va voir qu’et-ce qui est aléatoire et qu’est-ce qui est pas aléatoire
  • Rationnel
    o Exécutif central responsable pour sélection de stratégie
    o MAIS capacité de traitement limitée
  • Hypothèse
    o ↑ demande pour l’exécutif central = ↑ dépendance sur patrons comportementaux communs et bien appris récupérés de la MLT
  • Prédiction
    o Taux de génération + rapide =
    Niveau de hasard + bas = Occurrence + élevée de…
    o Séquences prévisibles (A-D, A-D, A-D…)
    o Séquences stéréotypées (S-A-Q, C-I-A, P-L-Q…) = acronymes
    o Plus ça va vite, moins il y a d’aléatoire et on se retrouve à faire des séquences.
    o On va réellement chercher des informations dans notre mémoire à long terme (SAQ, FBI, etc)
  • Résultats : On reconnait la connexion de l’exécutif central avec la MLT pour aller chercher des patterns comportementaux. On génère plus de séquences lorsque la pression du rythme est de plus en plus élevée
  • Interprétation :
    o Support pour l’idée que l’exécutif central dépend plus des comportements communs/connus lorsque les demandes de traitement sont élevées
    o Support pour capacité générale de traitement limitée
     Exécutif central responsable de gérer capacité
    o Support pour connexion entre exécutif central et MLT
     Surtout séquences stéréotypées
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7
Q

Baddeley a fait une expérience pour prouver l’Existance du central exécutif. Cette expérience consiste à imaginer le tir de lettres dans un chapeau. n doit donc généré des lettres de manière aléatoire. Que veut-on montrer de particulier avec cette étude? 2

A

La capacité de traitement limitée du EC

Le lien qu’il entretient avec la MLT.

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8
Q

Baddeley a fait une expérience pour prouver l’Existance du central exécutif. Cette expérience consiste à imaginer le tir de lettres dans un chapeau. n doit donc généré des lettres de manière aléatoire. Qu’arrive-t-il si le tau de génération requis est trop élevé pour l’éxécutif central?

A

Plus on demande de générer des lettres souvent, plus il va dépendre des répétitions (répétition de séquence ou de lettres elles-mêmes) ou des séquences de lettres qu’il connait déjà

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9
Q

Baddeley a fait une expérience pour prouver l’Existance du central exécutif. Cette expérience consiste à imaginer le tir de lettres dans un chapeau. n doit donc généré des lettres de manière aléatoire. Quels genres de séquences est-ce que le EC peut créer? 2

A
  1. Séquences prévisibles (A-D….. A-D…..)

2. Séquences stéréotypées (SAQ, FBI, CAQ)

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10
Q

Vrai ou Faux? Plus le taux de génération est élevé, plus la caractéristique aléatoire des lettres sera bonne.

A

Faux contraire

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11
Q

Baddeley a fait une expérience pour prouver l’Existance du central exécutif. Cette expérience consiste à imaginer le tir de lettres dans un chapeau. n doit donc généré des lettres de manière aléatoire. Dans l’interprétation, on reconnait 3 principes importants. Lesquels?

A
  1. Traitement élevé = patterns connus de la MLT
  2. Capacité limitée de traitement
  3. Relié à la MLT
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12
Q

Brooks a fait une étude pour montrer que la boucle phonologique et la tablette visuospatiale sont deux systèmes qui sont complètement différents (traitent des choses différentes). Expliquez les procédure, résultats et et interprétation par rapport à la tâche verbale qu’il a fait à ses participants.

A
  • But
    o Montrer des systèmes séparés à capacité limitée en mémoire à court terme
  • Procédure
    o 2 tâches utilisées (verbale vs. visuospatiale)
  • Mesure: Temps de réponse (ce ne sont pas des taches difficiles…)
  • Rationnel
    o Correspondance entre type d’entrée et de réponse va surcharger l’un des systèmes
    o Non-correspondance n’aura aucun effet
     Preuve de sous-systèmes séparés

. 3 manière de réponses. On mesure le temps que ça prend pour fournir les réponses lorsqu’on arrive sur un mot différent.
Pointer: les oui et non sont pas à la même place, il faut voyager dans l’espace en regardant où on doit pinter.
On veut savoir sil y a une différence entre traiter une entrée verbale ou autre. ICI, c’est le test pour verbal

Hypothèse et prédiction : Si on a un seul système qui traite verbal et visuospatial, ça va être le même temps pour tout parce que ça va charger le même système
Si on mesure le temps de réponse selon le type de réponses, ça ne fera aucune différence.

Si on suppose qu’on a 2 sous-systèmes. Les deux systèmes ne seront pas surchargé parce que les systèmes sont différents. Ne devrait pas avoir d’impact négatif sur la tâche si les systèmes ne sont pas surchargés.

Si le traitement de l’info verbale/visuospatiale se fait séparément, il y aura plus d’interférence quand entrée et réponse sollicite la même modalité.

Résultat :
 Impact moyen sur TR
 Plus marqué lorsque correspondance entre type d’entrée et de réponse
 Support pour systèmes verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale)
 L’entrée et la réponse sont dans le même système, donc il y a une surcharge

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13
Q

Brooks a fait une étude pour montrer que la boucle phonologique et la tablette visuospatiale sont deux systèmes qui sont complètement différents (traitent des choses différentes). Expliquez les procédure, résultats et et interprétation par rapport à la tâche visuospatiale qu’il a fait à ses participants.

A

Si le traitement de l’info verbal/visuosptiale se fait séparement, il y a plus d’interférence quand l’entrée et la réponse sollicite la même modalité.
La personne doit se “promener” visuelle sur une lettre et dire si la ligne vers laquelle on se déplace est en haut ou en bas.

Résultat : Impact moyen sur TRS, mais plus marqué lorsque la correspondance entre le type d’entrée et de réponse

Support pour système verbal (boucle phonologique) et visuospatial (tablette visuospatiale). On montre ici le conflit entre une réponse visuospatiale et une entrée visuospatiale. Taper n’a peut-être pas le même effet parce que c’est seulement une tâche spatiale comparativement à pointer qui est visuospatial.

Comparaison : 
  • Si on passe de non-correspondance à correspondance entre type d’entrée et réponse: ↑TRs
  • Preuve Générale “d’interférence”
  • Modèles à système unitaire invalides
  • Support pour systèmes verbal et visuospatial à court terme séparés
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14
Q

Brooks a fait une étude pour montrer que la boucle phonologique et la tablette visuospatiale sont deux systèmes qui sont complètement différents (traitent des choses différentes). Quelles sont les deux éléments à retenir de cette étude?

A
  1. Augmentation du temps de réponse s’il y a une correspondance entre la réponse et l’entrée
  2. TV et BP sont des systèmes séparés.
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15
Q

Qu’arrive-t-il lorsqu’une entrée auditive arrive à nos récepteurs (le chemin dans le modèle de Braddeley)

A

Mémoire sensorielle -> éxécutif central -> entrepôt phonologique
Capacité = 2 secondes
Trace gardée active par le système de répétition articulatoire.
Si entrée non rafraîchie, elle se dégradera en 15-30 secondes.

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16
Q

Qu’arrive-t-il lorsqu’une entrée visuelle arrive à nos récepteurs (le chemin dans le modèle de Baddeley)

A

Mémoire sensorielle -> éxécutif central -> tablette visuospatiale
Si l’info est de type AVL (une image qu’on peut nommer, dire c’est quoi) on va renvoyer l’info à l’exécutif central pour l’envoyer au système de répétition.
Si l’info n’est pas de type AVL, c’est la fin du traitement de cette info

17
Q

Quels sont les 3 phénomènes importants et inter-reliés selon Baddeley et Hitch?

A
  1. Effet de similarité phonologique
  2. Effet de longueur du mot
  3. Suppression articulatoire.
18
Q

Selon ce que nous avons vu dans le dernier cours, Conrad a déjà prouvé ce postulat. Toutefois, Baddeley a recréer une expérience pour vérifier l’effet de similarité phonologique. Expliquez les procédures, résultats et interprétation de cette expérience.

A

Mais… Baddeley a lui aussi fait une étude de l’effet de similarité phonologique (Premier postulat prouvé)
- But
o Déterminer si codage AVL est utilisé/important en mémoire de travail
- Tâche
o Rappel sériel avec présentation auditive ou visuelle
- Matériel
o Listes de mots similaires au niveau auditif
o Listes de mots différents au niveau auditif

  • Hypothèse
    o Il sera plus difficile de rapporter les listes de mots similaires à cause de la confusion auditive
  • Résultats interprétation :
    o Peu importe la modalité de présentation, les listes de mots similaires au niveau auditif sont plus difficiles à rapporter
    o Importance de la propension à nommer/traduire les mots sous forme AVL
19
Q

Selon ce que nous avons vu dans le dernier cours, Conrad a déjà prouvé ce postulat. Toutefois, Baddeley a recréer une expérience pour vérifier l’effet de similarité phonologique. Quels sont les deux points importants de l’interprétation qu’on doit retenir?

A
  1. Les listes de mots similaires au niveau auditif sont plus difficile à rapporter peu importe si on les a entendues ou vues
  2. Importance de la propension à nommer/traduire les mots sous forme AVL.
20
Q

Pour prouver l’effet de longueur du mot, Baddeley, Thomson et Buchanan ont fait une étude en fansait apprendre des liste de mots courts et longs à leurs participants. Expliquez les résultats, les procédures et les interprétations de cette étude.

A
o	Chunks: groupes (subjectifs!) d’items organisés
o	Si tous les mots d’une liste sont non-reliés,
	1 mot = 1 chunk
-	Tâche
o	Rappel sériel
	4-8 mots/1 vs. 5 syllabes
o	Doit rapporter séquence
complète dans l’ordre pour essai correct
  • But
    o Montrer que capacité mémoire de travail ≠ constant
    o Varie avec longueur des mots à rapporter
    o Si Miller a raison que la limite c’est le nombre de mots, alors il n’y aura aucune difference entre des mots à plsuieurs syllables VS petits mots.
    o Sauf que si c’est une quantité de temps et Baddeley a raison, il y aura une difference. Capacité temporelle de la mémoire de travail
  • Hypothèse:
    o Si mémoire de travail limitée en termes de nombre de chunks, aucun effet de longueur du mot sur empan mnésique
    o Si mémoire de travail limitée en termes de durée, effet de la longueur du mot sur l’empan mnésique
     Mots plus longs = moins de mots en mémoire
     Mots plus longs prennent plus de temps à répéter
  • Résultats :
    o Effet de longueur du mot pour toutes longueur de liste (Avantage pour mots courts)

o Conclusion
 Mots codés par durée temporelle et non par nombre d’unités significatives (par qtée de mot)

21
Q

Pour prouver la durée de la boucle phonologique, des chercheurs ont fait une étude en faisant lire à haute vois des listes de mots courts et long et en faisant faire un rappel libre à leur participants. Plus les mots ont de syllabes, moins on en lit pendant une seule seconde. Le taux de lecture à voix haut est un excellent prédicteur du % de séquence correcte. La limite est une durée, ce n’est pas le nombre d’items. Expliquez les résultats de cette étude.

A

Comme les mots sont petits et courts à dire, on va se rappeler de tous les mots à la fin de la liste car la durée de la boucle est aussi longue que le temps de dire tous les mots courts de la liste. Si les mots sont plus longs à dire que la capacité de la boucle, alors on se rappellera de moins de mots

22
Q

Pour prouver la durée de la boucle phonologique, des chercheurs ont fait une étude en faisant lire à haute vois des listes de mots courts et long et en faisant faire un rappel libre à leur participants. Dans cette étude, qu’a-t-on pris pour acquis?

A

Que la voix dans notre tête parle à la même vitesse que la vois dans la vraie vie.

23
Q

Pour prouver la suppression articulatoire, Baddeley, Thompson et Buchanan voulaient prouver 3 postulats. Lesquels?

A

Le SRA:

  1. Maintient les traces mnésiques
  2. Traduit l’information vers AVL
  3. Responsable de l’effet de longueur du mot
24
Q

Pour prouver la suppression articulatoire, Baddeley, Thompson et Buchanan on fait une étude en trois temps. Expliquez les généralités de leur étude qu’on retrouve à travers les trois dimensions de leur étude.

A
  • Tâche
    o Rappel sériel (une seule longueur de liste)
  • Variables
    o Longueur de mot (court ou long)
    o Type de présentation (auditif ou visuel)
    o Possibilité de répétition (contrôle ou suppression)
     Condition suppression: Participants comptent à voix haute avant, pendant et après présentation de la liste
25
Q

Pour prouver la suppression articulatoire, Baddeley, Thompson et Buchanan on fait une étude en trois temps. Expliquez la prédiction 1 et le postulat qu’elle confirme

A
  • Prédiction 1: Effet de longueur du mot lorsque la repetition est premise.

o Aditif contrôle : Info transférée dans la boucle phonologique et capacité de la boucle dépend de la longueur du mot

o Visuel contr^le : info à composante AVL trasnférée de la tablette visuo cer l’entrepôt phonologique, via le système de répétition articulatoire. Une fois trasnférée, performance basée sur les limites de la boucle.

  • Résultat : Effet de longueur du mot obtenur. Soutient pour processus de traduction de visuel à phono.
26
Q

Pour prouver la suppression articulatoire, Baddeley, Thompson et Buchanan on fait une étude en trois temps. Expliquez la prédiction 2 et le postulat qu’elle confirme

A
  • Prédiction 2 : Effet de longeuur du mot absent lorsque la répétition n’est pas permise
    o Parce que système de rep ne peut rafraîchir les traces mnésiques de l’entrepôt phonologique

o Auditif contrôle : info transférée dans la boucle phono et capacité pleinement utilisée
o Auditif suppression : info transférée mais non répétée, donc perte de la trace.

o Comme on est en train de compter dans notre tête, la voix est occupée à faire autre chose que de simplement répétée un mot.

  • Résultats :
    o Suppression cause une baise de la performance.
    o Effet de longueur de mot disparait
     Utilité du système de répétition articulatoire pour le maintien des traces actives
     Systèmes de répétition articulatoire responsale de l’effet de longueur du mot.

o Lorsque le système de mots articulatoire, on a un effet du mot. Lorsqu’on bloque le système répétition, il n’y a plus d’effet de longueur de mot. Nous montre que c’est le système de répétition qui est responsable de maintenir les traces et de l’effet de longueur du mot. Utilisé même quand c’est du matériel visuel.

27
Q

Pour prouver la suppression articulatoire, Baddeley, Thompson et Buchanan on fait une étude en trois temps. Expliquez la prédiction 3 et le postulat qu’elle confirme

A
  • Prédiction 3 : en visuel-suppression, effet de longueur du mot sera perdu parce qu’aucune traduction par le SRA.
    o Visuel contôle : info à composante AVL transférée de la tablette visuospatiale vers l’entrepôt phono, via le système de répétition articulatoire. Une fois transférée, performance basée sur limites de la boucle
    o Visuel Suppression : Système de répétition articulatoire occupé, ne peut pas traduire. Performance basée sur l’info visuelle restante traduite pendant le rappel.
  • Résultats :
    o Suppression élimine effet de longueur du mot.
     Parce que matériel non codé phonologiquement
    o Valide traduction comme processus plausible pour maintenir des traces mnésiques d’information visuelle à composante AVL.
28
Q

Quelles sont les deux caractéristiques de l’entrepot phono?

A
  • Contient deux secondes de capacité

- Contient trace de matériel AVL

29
Q

Quelles sont les deux caractéristiques du système de répétition articulatoire ?

A
  • Maintient des traces mnésiques phono

- Traduit l’info visuelle en nommant de façon sous-vocale

30
Q

Logie et Marchetti tentent de prouver que la tablette visuo-spatiale est composée de deux sous-systèmes: un qui s’occupe de l’info spatiale et dynamique et l’autre de l’info visuelle et statique. Expliquez l’étude qui leur a permis d’arriver à ces conclusions.
*Pour cette étude, important de retourner dans les notes relire et bien comprendre les lien et différentes conditions.

A
  • Résultats précédents montrent que tâche de suivi a un impact sur la rétention d’info spatiale mais non visuelle
  • But
    o Déterminer si les composantes visuelle et spatiale sont gérés par des sous-systèmes différents
  • Rationnel

o Si sous-systèmes distincts, on peut montrer effet d’une manipulation expérimentale sur un sous-système spatial mais pas visuel (et vice-versa)
- Tâches
o Rétention de couleurs ou séquences spatiales
o Mesure: Nombre de fausses reconnaissances
- Condition : Nuance de couleur: tâche facile, même couleur tâche difficile, = 4 tons de la même couleur qu’on doit retenir. Séquence spatiel: l’ordre dans lequel ça apparaît.
- Hypothèses
o Si la tablette visuospatiale contient deux sous-systèmes
 Un pour l’information spatiale et dynamique
 Un pour l’information visuelle et statique
o ALORS
 La condition “mouvement actif” n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe “séquence spatiale” (interférence)
 La condition “images non-reliées” n’augmentera le nombre de fausses reconnaissances que pour le groupe “nuance de couleurs” (interférence)
- Interprétation :
o Il est possible d’influencer la performance à une âche spatiale dynamique sans influencer une tâche visuelle statique (et vice-versa)
o On doit donc postuler deux sous-systèmes dans la tablette visuo-spatiale
 Un qui s’occupe de l’info spatiale dynamique
 L’autre qui s’occupe de l’info visuelle statique

31
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’entrepôt visuel?

A
  • Système passif
  • Entreposage et entrée visuospatiale
  • Conscient ou pas
  • Liée à la traduction sous-vocale
32
Q

Quelles sont les caractéristiques du scribe interne?

A
  • Système actif
  • Rétention, Rafraichissement, Rétention des mouvements ou info spatiales
  • Planif et execution d’un mouvement
  • Mouvements du visage
33
Q

Quel est le problème avec le modèle de Baddeley et Hitch?

A

Il n’y a pas de système pour l’imagerie!

34
Q

Quelle est donc la solution avec le modèle de Baddeley et Hitch?

A

Ajouter le tampon visuel

35
Q

Qu’est-ce que le tampon visuel: expliquez ses caractéristiques

A
  • Génère/Maintient images pour certaines tâches
  • Pas d’entrée visuelle requise
  • Toujours consciente: toutefois pas conscience du traitement visual qu’on fait de manière Générale
  • Passage obligé entre entrepôt et scribe
  • Peut recevoir info de la boucle phonologique
  • Plus besoin de codage AVL si l’image est générée

Selon ce modèle, nous aurions donc accès à des images mentales visuelles conscientes pour réaliser des tâches en mémoire de travail
Une chose qui a été faite: imagerie VS répétition articulatoire. Si on fait une tâche de se rappeler de se rappeler des images et de répétition. On n’est pas capable de faire la répétittion articulatoire mais ok pour faire de l’imagerie.

36
Q

Quelles sont les caractéristiques du tampon épisodique? À quoi sert-il dans le modèle?

A
  • Problèmes de capacité
    o Limites de la boucle phonologique
     Rappel de prose
    • Phrase significative demande empan de 16 mots et +
     Patients amnésiques antérogrades peuvent se souvenir de courtes histoires en mémoire de travail
     capacité plus élevée que la boucle phonologique pour se rappeler de certaines choses qui ne peuvent pas être en mémoire à long terme.
  • Codage sémantique?
    o Où le chunking se produit-il?
  • Problème de mise en commun (binding)
    o Information de plusieurs modalités (codes) pour représentations complexes
  • Système esclave
  • Relié à la MLT épisodique
  • Entreposage temporaire pour “trop-plein”
  • Conscience
  • Maintient information complexe provenant de modalités multiples
  • Peut utiliser plus. types de codage en même temps
  • Intègre et manipule information
  • Garde information active en mémoire pour de plus longues périodes que les autres systèmes esclaves