Cours 8 Flashcards
V/F? Environ 7,2 à 8 millions de Canadiens 15+ ans pratiquent un sport régulièrement. Parmi eux,
1/5 personnes souffre d’une maladie mentale chaque année
Vrai
V/F? À l’âge de 40 ans, 50% des Canadiens auront eu
une maladie mentale
Vrai
Quelle est la différence entre la santé mentale et des troubles de la santé mentale ?
Santé Mentale: état de bien être qui permet de fonctionner normalement
Trouble de la santé mentale: Perturbation cliniquement significative qui empêche de vivre normalement
V/F? La santé mentale c’est l’absence de maladie
Faux
V/F? On peut avoir une maladie mental et quand même être en bonne condition (fonctionnel)
Vrai, selon le spectre 4 types de conditions:
- Épanouissement
- Épanouissement + maladie mentale
- Détresse
- Détresse + maladie mentale
Qui est à risque de troubles mentaux?
Tout le monde peut ressentir des symptômes de troubles mentaux, sans répondre aux critères cliniques de diagnostic
Comment traité les maladies mentales?
Nécessitent un traitement clinique (p. ex., pharmacologie, counselling)
Nommes des exemples de troubles de la santé mentale chez les athlètes
- Dépression
- Anxiété
- Troubles de l’alimentation
- Consommation et abus de substances
- Jeu compulsif
Quel trouble de santé mentale suis-je?
Trouble de l’humeur complexe résultant de facteurs comme la prédisposition génétique, les facteurs environnementaux, le stress, la chimie du cerveau, etc.
Dépression clinique
Nommes des facteurs de risques d’une dépression clinique liés au sport
- Blessure musculosquelettique
- Commotion cérébrale
- Désélection d’une équipe
- Échec dans une compétition
- Transition de carrière (retraite du sport)
Au moins 5 des symptômes suivants doivent être présents pendant 2 semaines ou plus pour un diagnostique de Trouble dépressif majeur. Nommes les.
- Humeur dépressive ou irritable presque tous les jours
- Diminution de l’intérêt/plaisir pour les activités
- Changement significatif du poids ou de l’appétit
- Insomnie / hypersomnie
- Changement d’activité : agitation ou retard psychomoteur
- Fatigue / perte d’énergie
- Sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessive / inappropriée
- Diminution de la capacité à penser, à se concentrer, ou indécision
- Pensées de mort ou de suicide
Parmi la liste, nommes les 2 symptômes obligatoires pour le diagnostique
- Humeur dépressive ou irritable presque tous les jours, indiquée par un rapport subjectif ou des observations *
- Diminution de l’intérêt ou du plaisir pour les activités *
V/F? Environ 17 % des athlètes signalent des symptômes de dépression
Vrai
Quel trouble mental suis-je? Réponses émotionnelles excessives de peur, d’appréhension, d’inquiétude et de tension associées à une menace réelle ou perçue
Trouble d’anxiété
Quel trouble d l’anxiété suis-je? Inquiétude excessive qui se produit la plupart des jours pendant au moins 6 mois
Trouble d’anxiété généralisée
Quel trouble d l’anxiété suis-je? L’individu perçoit ou craint d’agir d’une manière qui sera évaluée négativement par les autres
Trouble de l’anxiété sociale
Quel trouble d l’anxiété suis-je? Présence d’obsessions (pensées, impulsions récurrentes qui sont intrusives et non désirées) OU de compulsions (comportements répétitifs spécifiques ou actes mentaux que les individus se sentent poussés à accomplir) OU des deux à la fois
Trouble obsessionnel compulsif
Quel trouble d l’anxiété suis-je? Poussées soudaines d’émotions, généralement de peur ou de malaise, qui atteignent leur maximum en quelques minutes
Trouble panique
Quel est la différence entre dépression et anxiété concernant les émotions ressentis?
Dépression: tristesse
Anxiété: stress
V/F? 7 % des athlètes élite signalent des symptômes de trouble d’anxiété généralisée
Vrai
V/F? Les athlètes féminines ont tendance à signaler plus des symptômes d’anxiété que des hommes
Vrai
V/F? Taux plus faibles de symptômes d’anxiété chez les athlètes de haut niveau et les athlètes avec plus d’expérience
Vrai, meilleur capacité de gestion de stress
Nommes les sphères impacté par un trouble alimentaire chez un athlète
- santé physique et mentale
- performances sportives
- vies quotidiennes
V/F? Le trouble de l’alimentation et l’alimentation désordonnée sont la même chose
Faux
Quel trouble alimentaire suis-je? Restrictions plusieurs fois par semaine, obsession alimentaire tout au long de la journée, exercice excessif au-delà de ce qui est recommandé et fréquemment utilisé pour éliminer des calories.
Trouble de l’alimentation « eating disorder »
Quel trouble alimentaire suis-je? Comportements de contrôle du poids (non-régulier) , pensées périodiques de comportement alimentaire, rarement un impact sur le fonctionnement quotidien, faire de l’exercice pour brûler des calories, mais pas en quantité excessive
Alimentation désordonnée « disordered eating »
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Épisodes récurrents d’alimentation compulsif
Boulimie
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Refus de maintenir un poids sain et objectif constant de perdre du poids
(Image corporelle déformée)
Anorexie mentale
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Manque de contrôle par rapport à l’alimentation compulsive est suivie par s’engager dans des vomissements réguliers auto-induits, l’utilisation de laxatifs ou de diurétiques, un régime strict d’alimentation, ou un exercice vigoureux pour prévenir la prise de poids
Boulimie
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Déni de l’insuffisance pondérale, fixation sur le fait de se peser, restriction extrême de l’alimentation et/ou exercice
physique excessif
Anorexie mentale
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Taux élevé de décès par complications médicales et par suicide
Anorexie mentale
Quel trouble alimentaire commun suis-je? Peut être trompeuse, car les personnes peuvent avoir un poids normal ou être en surpoids
Boulimie
V/F? Athlètes de sports artistiques sont plus à risque de développer des troubles de l’alimentation et sont généralement plus insatisfaits de leur image corporelle
Vrai
V/F? Les athlètes ont un risque plus élevé que le grand
public de développer un trouble alimentaire
Vrai
Nommes les raisons pour lesquelles les athlètes se droguent
- Raisons physiques: apparence physique, faire face à la douleur et aux blessures, contrôler le poids
- Raisons psychologiques: Amélioration de la confiance en soi, gestion de stress, « Désengagement » du monde
- Raisons sociales: Pression sociale pour être accepté
par ses pairs
Quelle est la raison principale de l’usage récréatif de drogues chez les athlètes
Raisons psychologiques
Quelle terminologie suis-je? Utilisation de médicaments qui ne respectent pas le
dosage ou les intentions prescrites
Mauvaise utilisation des drogues
Quelle terminologie suis-je? Substances utilisées à des fins non thérapeutiques pour obtenir des effets psychotropes (Dommage pour l’utilisateur et/ou son entourage)
Abus de drogues
Quelle terminologie suis-je? Consommation compulsive de substances
psychoactives en dépit des conséquences négatives et
des dommages causés à soi-même
Toxicomanie
Quelle terminologie suis-je? Dépendance physique associée au sevrage et à des réactions physiologiques avec une réduction rapide de la consommation de la drogue.
Dépendance aux drogues
Consommation d’alcool ou de stéroïde? Les athlètes collégiaux sont plus susceptibles d’abuser que les non-athlètes
Alcool, estime que 80% des athlètes collégiaux boivent, un pourcentage plus élevé que les non-athlètes
Consommation d’alcool ou de stéroïde? 4 jeunes sur 10 qui en utilisent disent qu’il a été inspiré par les athlètes professionnels
stéroïde
Consommation d’alcool ou de stéroïde? 80% des utilisateurs croient que ça pourrait les aider à réaliser leurs rêves athlétiques
Stéroïdes
Consommation d’alcool ou de stéroïde? 60% des utilisateurs croient que c’est un droit des athlètes professionnels de les prendre
stéroïdes
V/F? En 2008, ~118 millions de personnes aux États-Unis (39% de la population) ont parié sur le sport. Parmi eux, on estime que les jeux d’argents atteint des niveaux problématiques chez 12 % des hommes et 3 % des femmes
Vrai
Le jeu compulsif implique au moins 12 mois de jeu problématique persistant et récurrent avec au moins 4 conséquences négatives associées. Nommes les
- Agitation / irritabilité lors de la réduction ou de l’arrêt du jeu
- Mentir pour cacher le comportement
- Risque les relations interpersonnelles, l’école ou les opportunités d’emploi
- Compter sur les autres pour régler leurs problèmes
Quels aspects des athlètes font en sorte qu’il présentent un risque élevé de problèmes de jeu
- désir de compétition
- prise de risque accru
- recherche de sensations
- impulsivité
V/F? 22% des universités ont une politique en matière de jeu
Vrai, implique que les membres du personnel sportif/athlète n’ont pas le droit de participer à des Bet de NCAA
À quelle période j’appartient? (Avant, Pendant, Après une compétition):
- Incertitude à continuer un autre cycle de 4 ans
- Transition de carrière peut être particulièrement difficile (voir dernier cours)
- Post-olympic Blues: dépression
Après
À quelle période j’appartient? (Avant, Pendant, Après une compétition):
- Émotions positives (ex: médailles, expériences JO)
- Émotions négatives (ex: srtess, déception)
- Montagne russe d’émotion
Pendant
À quelle période j’appartient? (Avant, Pendant, Après une compétition):
- entrainements rigoureux -> fatigue mentale et physique
- essaie olympiques->stress accru, compétivité entre athlètes, peur de ne pas réussir, pression, etc.
Avant
Qu’est-ce que le Game Plan offre pour les athlètes canadiens de haut niveau
Aide a transitionnel de carrière après la retraite du sport professionnel.
Nombreux obstacles à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport. Nommes les (6)
- La stigmatisation
- Accessibilité (services limités dans la région ou le pays, manque
de temps) - Manque de connaissances
- Expériences passées négatives de santé mentale
- Manque de ressources personnelles
- Facteurs démographiques (p. ex., culture, sexe, âge, origine ethnique, orientation sexuelle)
Quel obstacle à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Attitudes, croyances ou comportements négatifs à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes
Stigmatisation
Quel obstacle à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Mesure dans laquelle les individus peuvent facilement accéder et recevoir des soins liés à la santé mentale ou au soutien psychologique
Accessibilité
Quel obstacle à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Comportements, valeurs, croyances et pratiques partagés, acceptés et attendus au sein d’un groupe d’athlètes. Souvent profondément ancrées et peuvent influencer divers aspects de la vie quotidienne, notamment les interactions sociales et les attentes
Normes culturelles
Quel obstacle à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Manque de connaissances et de compréhension de la santé mentale
Manque d’éduction
Quel facilitateur à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Efforts organisés et structurés visant à fournir des informations, des connaissances et des ressources dans le but de sensibiliser les individus sur la santé mentale, d’améliorer les connaissances de la santé mentale et de promouvoir un bien-être mental positif
Initiative d’éducation
Quel facilitateur à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Une personne ou un groupe de personnes avec lesquelles un individu entretient divers liens et relations sociales
Soutien social
Quel facilitateur à la recherche et à la prise en charge de la santé mentale dans le sport suis-je? Faire en sorte que la santé mentale soit plus largement accepté et intégré dans la vie quotidienne ou dans la société
Normalisation de la santé mentale
Nommes les facteurs principaux de réduction de la stigmatisation associée à la santé mentale (3)
- Plateformes en ligne où les athlètes peuvent partager leurs expériences
- Les modèles (souvent des athlètes connus) qui parlent de santé mentale
- Campagnes médiatiques
Quel pourcentage de la pop souffre d’anxiété?
7 % des athlètes élite signalent des symptômes de trouble d’anxiété généralisée
Quel sexe suis-je?
* Attitudes plus positives à l’égard de la recherche d’aide
* Plus susceptibles de demander de l’aide
Féminin
Quel pourcentage de la pop souffre de dépression?
17 % des athlètes signalent des symptômes de dépression
Quel pourcentage de la pop souffre d’une mauvaise utilisation de l’alcool
80% des athlètes collégiaux boivent, un pourcentage plus élevé que les non-athlètes
Quel pourcentage de la pop souffre d’utilisation de drogue?
5% à 10%
Quel pourcentage de la pop souffre d’alimentation désordonnée
72% à 83%