Cours 5 Les Bases du conditionnement classique (suite) Flashcards

1
Q

La théorie des processus opposants

A
  • Explique les suites d’émotions changeantes Un événement à caractère émotif déclenche deux processus riveaux: un processus a (processus primaire) qui découle directement de l’évenement, et u nprocessus b (ou processus opposant), qui découle du processus a et qui vient le contrecarrer.
  • La raison d’être du processus b compensatoire est de contrecarrer la housse soudaine du rythme cardiaque et donc le maintien de l’état d’équilibre interne (homéostasie)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

La théorie des processus opposants

Processus A

A
  • Le processus a est étroitement corrélé à la présence d’un événement à caractère émotif.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

La théorie des processus opposants

Processus B

A
  • Le processus b agit progressivement et cesse lentement d’agir.
  • Pendant la présentation répétée de l’événement à caractère émotif, la force et la durée du processus b s’accroissent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Le conditionnement classique

A
  • Le conditionnemenet classique est un porcessus en vertu duquel un stiumulus ne déclenchant pas une certaine réponse est associé à un autre stimulus qui la suscite, de sorte que le premier stimulus finit également par déclencher une réponse.
  • Il porte aussi le nom de conditionnement pavlovien ou conditionnement répondant.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Contre-préparation

A

Ex: Raton laveur

  • La contrepréparation bloque le conditionnement classique, base biologique.
  • La génétique prédetermine un facon de se comporter et peu probable de le changer.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

État de préparation

A
  • Tendance innée d’un organisme à apprendre plus facilement certains types de comportement ou à associer certains types d’événement ensemble.
  • On retrouve ainsi le conditionnement de la peur, le conditionnement aversif du goût et le conditionnement aversif spatial.
  • Dans le cas du conditionnement aversif du goût, le SI et le SN doivent idéalement être internes les deux.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Conditionnement par aversion gustative

A
  • Un type de conditionnement classique dans lequel un aliment ayant été apparié a une maldadie gastro intestinale devient un stimulus avertif conditionnel.

Se distinque par:

  1. la formation d’associations après un long délai.
  2. Le conditonnement en un essai
  3. La spécificité des associations

Pertinence SC-SI un tendance innée à associer plus facilement certains types de stimulus les uns aux autres.

  • La nausée est plus fortement associée au gout qu’à d’autres types de stimulus.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

L’inhibition en conditionnement

A

Deux types d’inhibition

  • inhibition lors de l’extinction : l’inhibition interne
  • inhibition lors de la peur : l’inhibition externe / conditionnée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Désinhibition

A
  • Le retour soudain d’une réponse durant une procédure d’extinction, en présence d’un nouveau stimulus.
  • Semblable a la déshabituation, la présence d’un nouveau stimulus entraine la réappartion d’une réponse.
  • La désinhibiton correspond au retour d’une réponse qui était devenue partiellement inhibée en raison de l’extinction.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

La réévaluation du stimlulus inconditonel

A
  • Désigne la présentation postcontiditonnement du SI à un degré d’intensité différent, ce qui modifie la force de la réponse au SC ayant précédemment servi au condtiionnement.
  • La valeur et l’ampleur du SI est modifiée.
  • Aussi appellé inflation ou déflation du SI
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

L’inhibition externe

A
  • Le processus d’inhibition externe est l’exact opposé de la désinhibition
  • Dans le cas de l’inhibition externe, la présentation simultanée d’un nouveau stimulus et du SC cause une baisse d’intensité du de la RC
  • En d’autres termes, la présence du nouveau stimulus inhibe la production de la RC.
  • Ex: une distraction
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

L’inhibition interne

A
  • Impliquée théoriquement dans l’extinction, l’inhibition est le processus d’association du SC avec l’absence du SI.
  • L’extinction est ainsi un apprentissage plutôt que la dégradation du lien établi lors du conditionnement initial
  • Or détecter l’inhibition en conditionnement va requérir des méthodes particulières puisque le conditionnement et l’inhibition sont opposés.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

L’inhibition latente

A
  • En vertu de l’inhibition latente, un stimulus familier est plus difficile qu’un stimulus non familier(nouveau) à transformer en SC à des fins de conditionnement.
  • Un stimulus non familier est plus facile qu’un stimulus connu à transformer en SC à des fins de conditionnement.
  • L’inhibition latente prévient l’établissement d’associations conditionnelles à des stimuli redondants qui son présents dans le milieu. De tels stimulis n’ont souvent presque aucune conséquence sur l’événement produisant le conditionnement.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Le conditionnement temporel

A
  • Est un type de conditionnement classique dans lequel le SC est le passage du temps.
  • Ex: chien nourriture toutes les 10 minutes, fini par saliver chaque diminutes.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

L’occasion setting

A
  • L’occasion setting est une procédure dans laquelle un stimulus (un occasion setter) annonce qu’un SC sera probablement suivi du SI auquel il est associé. La présence de ce stimulus facilite la production de la RC en réaction au SC.
  • Un occasion setter peut être associé non seulement à la présentation d’un SI , mais aussi à une modification de l’intensité de celui-ci
  • ex: efant dont parent alcoolique l’abusent, alcool est le occasion setter.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Production de l’inhibition interne en conditionnement selon Rescorla

Paradigme de sommation

A
  1. On conditionne séparément SC avec SI (produit une RC) et SC* avec non-SI (pas de RC)
  2. On teste ensuite en présentant SC et SC* ensemble
  3. La quantité de réduction de RC indique la force de SC* comme stimulus inhibiteur

SC*: stimulus de modalité différente

Paradigme: Procédue expérimenatale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Production de l’inhibition interne en conditionnement selon Rescorla

Paradigme de retardation

A
  • On conditionne en premier SC* avec non-SI
  • On essaye ensuite de conditionner SC avec SI en présence de SC*
  • Le nombre de présentations pariées de SC-SI qu’il faut faire en plus (comparativement à un groupe contrôle) pour conditionner SC indique la force de SC* comme stimulus inhibiteur.

SC*: stimulus de modalité différente

Paradigme: Procédue expérimenatale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Contiguïté et Guthrie

A
  • C’est quand les apparition de 2 stimuli sont proches dans le temps (temporelle) ou l’espace (spatiale)
  • Pour Guthrie, plus de contiguïté=plus d’apprentissage.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Conditionnement appétitif

A
  • Dans le cas du contionnement appétif, le SI est un événenement qu’un organisme va généralement appprocher ou rechercher; en termes mentalistes, on dit que c’est quelque chose qu’une personne considérerait généralement comme plaisant.
  • Ex: nourriture (faim) eau (soif) etc…
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Conditionnement aversif

A
  • Dans le cas du conditionnement aversif, le SI est un événement qu’un organisme va généralement éviter; en termes mentalistees, on dit que c’est quelque chose qu’une personne considérerait généralement comme déplaisant.
  • Se produit très facilement et rapidement
  • Ex: décharge électrique
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

La suppression conditionnée ou le paradigme de la réponse émotionellement conditionnée (REC)

A
  • Créer une situation stable avant de faire les essai de conditonnement
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Le conditionnement différé

A

Dans le conditionnemet différé, l’activation du SN précède celle du SI, et les deux stimuli se chevauchent.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Conditionnement classique de deuxième ordre et plus ou Conditionnement d’ordre supérieur.

A

Un stimulus associé à un SC peut aussi devenir un SC lui même

SC1 + SI –> RI devient

SC1 –>RC1 (conditionnement classique de premier ordre)

SC1 + SC2 –> RC1 devient

SC2 –> RC2 (conditionnement classique de deuxième ordre)

Etc.

Il est à noter que le SC2 déclenche généralement une réponse plus faible que le SC1 qui déclenche lui même une réaction plus faible que le SI

Ceci semble confirmer la nature du conditionnement classique comme étant un apprentissage prédictif.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Stimulus combiné

A
  • L’emploi d’un stimulus combiné consiste à présenter simultanément au moins deux stimuli distincs (métronomie, lumière)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Préconditionnement sensoriel

A
  • Lorqu’un stimulus devient un SC, un autre stimulus luiyant déja été associé peut également se transformer en un SC.
  • Il est parfois plus efficace lorsque les deux stimuli sont présentés simultanément, plutôt que consécutivement, durant la phase de préconditionnement.
  • Le préconditionnement sensoriel est important parce qu’il démontre que les stimuli peuvent s’associer mutuellement en l’absence de toute réponse identifiable (autre qu’un réponse d’orientation)
  • Peut être considéré comme une forme d’apprentissage latent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Le masquage

A
  • L’élément plus visible d’un stimulus combiné se transforme plus facilement en un SC et influe ainsi sur les possibilités de conditionnement rattachées à l’élément le moins visible
  • Loi de l’intensité des stimuli : un stimulus plus intense est plus efficace.
  • Dans une composition de deux stimuli, surtout en cas de déséquilibre marqué des intensités, le plus intense des deux peut « masquer » l ’autre et tout l ’apprentissage concerne alors le stimulus « masquant »
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Kamin et le blocage

A
  • Dans certains circonstances, la simple contiguité d’un SN et d’un SI e suffit pas à produire un conditionnement.
  • La présence d’un SC établi entrave l’effet de conditionnement d’unnouveau SC.
  • Semblable au masquage sauf que le stimulus combiné comprend un SN et un SC, plutôt qu’un SC et deux SN dont l’un plus saillant que l’autre.
  • Kamin (1968) démontre qu’un stimulus conditionné seul lors d’une phase initiale va empêcher un autre stimulus neutre de devenir conditionné malgré qu’il soit contingent.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Production de l’inhibition en conditionnement selon Rescorla

A
  • Paradigme de sommation
  • Paradigme de retardation
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

L’extinction

A
  • L’extinction désigne le non-renforcement d’une réponse précédemment renforcée, ce qui entraine un amoindrissement de la force de cette réponse.
  • La procédure d’extinction désigne le non-renforcement d’une réponse précédemment renforcée, alors que le processus d’extinction est l’amoindrissement, de la force de la réponse qui en résulte.
30
Q

L’inhibition interne

A
  • Impliquée théoriquement dans l’extinction, l’inhibition est le processus d’association du SC avec l’absence du SI.
  • L’extinction est ainsi un apprentissage plutôt que la dégradation du lien établi lors du conditionnement initial
  • Or détecter l’inhibition en conditionnement va requérir des méthodes particulières puisque le conditionnement et l’inhibition sont opposés
31
Q

Notion de Préparation

A
  • La préparation représente le fait que certaines paires de stimulus inconditionnels et stimulus neutres sont plus faciles à établir que d’autres.
  • On retrouve ainsi le conditionnement de la peur, le conditionnement aversif du goût et le conditionnement aversif spatial.
  • Dans le cas du conditionnement aversif du goût, le SI et le SN doivent idéalement être internes les deux.

Par exemple :

SN (eau sucrée) + irradiation aux rayons X = nausée

SC (eau sucrée) = nausée

32
Q

Production de l’inhibition en conditionnement selon Rescorla

Paradigme de sommation

A
  • Que veut dire le mot paradigme dans: paradigme de sommation? Procédure (utilisé parfois en psycho)
  • Que veut dire SC* dans le paradigme de sommation?Un SC de modalité différente à un autre SC.
  • On conditionne séparément SC avec SI (produit une RC) et SC* avec non-SI (pas de RC)
  • On teste ensuite en présentant SC et SC* ensemble
  • La quantité de réduction de RC indique la force de SC* comme stimulus inhibiteur
33
Q

Production de l’inhibition en conditionnement selon Rescorla

Paradigme de retardation

A
  • Un ralentissement du 2ème conditionnement.
  • On conditionne en premier SC* avec non-SI
  • On essaye ensuite de conditionner SC avec SI en présence de SC*
  • Le nombre de présentations pariées de SC-SI qu’il faut faire en plus (comparativement à un groupe contrôle) pour conditionner SC indique la force de SC* comme stimulus inhibiteur.
34
Q

Contiguïté et Guthrie

A
  • Tôt converti au béhaviorisme de Watson, mais moins rigide que ce dernier, Edward Ray Guthrie (1886-1959) propose que l’apprentissage ne se fait pas vraiment par la loi de l’effet mais plutôt par un principe de « contiguïté sommative » entre les divers stimuli présents lors d’une situation d’apprentissage.
  • Plus de contiguïté = plus d’apprentissage
35
Q

Théorie Rescorla-Wagner

A
  • Selon la théorie Rescorla-Wagner, un SI donné ne peut produire qu’un certain degré de conditionnement, et ce degré doit être réparti entre les divers SC présents.
  • Il y a une limite à la valeur associative disponible qui peut être répartie entre les différents signaux associés au SI.
  • Selon L’une des prémisse relevant de cette théorie, un SI plus fort produit un conditionnement plus prononcé qu’un SI plus faible.

∆V = αβ ( l - V)
V quantité d’apprentissage acquise
α l’importance de SC
β l’importance de SI
I maximum d’apprentissage qui peut être obtenu
αβ détermine la vitesse relative d’apprentissage
Le 1er apprentissage est le plus important

36
Q

L’effet de surattente

A
  • Lorsque chaque élément du stimulus combiné est mis à l’essai séparément, sa valeur va aussi être moindre.
  • Ammoindrissement le la RC qui se produit lorsque deux SC ayant produit séparément un conditionnement son réunis au sein d’un stimulus combiné en vue d’autres appariements au SI.
  • C’est comme si la présentation des deux SC ensemble suscitait une surattente à propos de ce qui va suivre.
  • Lorsque l’attente n’est pas satisfaite, les anticipations du sujet se modifient à la aisse, si bien que chaque SC du stimulus combiné perd unen partie de sa valeur associative.
37
Q

Les déterminants de a

A
  • Les caractéristiques du SC certains événements physiques ne sont pas des stimuli ;certains récepteurs sont plus sensibles à certains types de stimuli ;
  • Le vécu du sujet les stimuli conditionnés ont une importance, a, plus grande que les stimuli neutres ;
  • L’intensité physique du stimulus le masquage (voir plus loin)
38
Q

Rescorla et l’apprentissage par contingence?

A

Rescorla

« Le principe général de l’effet de la contingence sur le conditionnement est que plus grande la contingence, plus grand l’apprentissage. »

39
Q

Rescorla-Wagner et les stimuli composés

A
  • Apprentissage compétitif :
  • L’apprentissage total possible, l , doit être partagé entre chacun des stimuli composés. Ainsi, l’apprentissage total possible pour chaque stimulus est moindre lorsque composés avec d’autres que lorsque le stimulus est seul.
  • Avec ce concept, Rescorla-Wagner prédit les phénomènes de masquage et de blocage
40
Q

Un problème avec la théorie de Rescorla-Wagner

A
  • La pré-exposition du SC entraîne un conditionnement plus lent du SC par la suite, un phénomène connu sous le nom d’« inhibition latente » .
  • Par exemple, montrer les lettres de l’alphabet sur les murs d’une classe avant quelles ne soient formellement apprises est une forme de pré-exposition
  • Or, l’inhibition latente ne peut pas être expliquée par Rescorla-Wagner, ou alors il faut assumer que la pré-exposition réduit l’importance et le potentiel d’apprentissage du stimulus pré-exposé (a).
41
Q

Modèle Stimulus-Stimulus (S-S)

A
  • Pour Pavlov (1927), le conditionnement classique s’explique par un mécanisme de substitution de stimulus.
  • C’est le modèle S-S du conditionnement classique.
  • Bien que toujours théoriquement possible aujourd’hui, les interprétations physiologiques de Pavlov ont été délaissées
  • Le SN devient directement associé au SI, et en raison de cette association, il finit par déclencher une réponse liée au SI
42
Q

Modèle Stimulus-Réponse (S-R)

A
  • Selon S-R, le SC ne s’associe pas au SI mais plutôt à la réponse inconditionnelle (RI) et devient capable de déclencher une réponse semblable, la RC. Hull défendra cette position (voir le conditionnement instrumental).
  • SR association (stimulus-réponse)(Konorski): le SC ne s’associe pas au SI mais à la RI et devient capable de déclencher un réponse semblable, la RC.
  • Le conditionnemet classique est un processus associant directement une réponse réflex à un nouveau stimulus.
    *
43
Q

Le modèle à réponse compensatoire

A
  • Selon le modèle de réponse compensatoire, un SC ayant été associé de façon répétée avec la réponse primaire (processus a) à un SI va finir par déclencher une réponse compensatoire (processus b)
  • Une réponse compensatoire conditionnelle constitue une forme extrême de réponse préparoire à certains événements qui surviennent dans le milieu.
44
Q

Théorie de la réponse prépartoire

A
  • La fonction de la RC, plutôt que d’être simplement une version del a RI, consite à préparer l’orgasnisme à l’apparition du SI.
  • La fonction du RC est de préparer l’organisme à la présentation du SI (Kimble)
  • Contrairement à la théorie de substitution du stimulus,la théorie de la réponse préparatoier prévoit des situations ou la RC et la RI différent.
  • Dans certains cas, le conditonnement peut même produire une RC qui semble être à l’opposé de la RI initiale.
45
Q

Théorie de substitution des stimulus

A
  • Pavlov a formulé une première théorie stimulus-stimulus du contionnement, le stimulus contidionnel (SC) sert de substitut au SI.
    *
46
Q

Le pseudo-conditionnement

A
  • Il y a pseudocontionnement lorsqu’une réponse déclenchée qui semble être une RC résulte en fait d’une sensibilisation plutôt que d’un contionnement.
  • Pose un problème en puissance dès quele SI est un stimulus émotionnel quelconque.
  • Il faut appliquer une condition témoin dans laquelle le SN et le SI son présentés séparément.
47
Q

Gradient de généralisation

A
  • Une description graphique de la force de la réponse en présence de stimuli semblables au S(d) qui varient selon un continuum.
  • Les gradients varient en inclinaison.
48
Q

L’entrainement à la discrimination

A
  • L’entrainement à la discrimination comme il s’applique au conditionnement opérant, comporte le renforcement de la réponse en présence d’un stimulus le S(d) et non d’un autre.
  • Ce denier porte le nom de stimulus discriminatif signalant l’extinction.
  • Soit un stimulus qui signale l’absence de renforcement..
  • Un stimlus discriminatif est habituellement représenté par le symbole S(A) ‘‘esse-delta’’.
  • On peut utiliser le symbole S+ au lieu de S(d) et S- au lieu de S(A).
49
Q

La discrimination du stimulus

A
  • la tendance d’une réponse à être déclenchée plus facilement par un stimulus que par une autre.
  • Une telle capactié de discrimination peut être instaurée volontairement au moyen d’une procédure nommée entrainement à la discriminatioin.
  • Les essai son suivi dans un ordre aléatoire.
  • creation de SC+ et SC-
  • Une généralisation plus accentuée signifie un discrimination moindre, alors qu’une généralisation moins prononcée traduit une discrimination accrue.
50
Q

Névrose expérimentale (Pavlov)

A
  • Un trouble d’origine expérimentale se caractérisant par le fait qu’en animal exposé à des événements imprévisibles commence à manifester des symptomes de type névrotique
  • Ex: experience discrimination chien cercle et ellipse
  • Les névroses humaines fonctionnent de manière analogue.
  • Pavlov a établi que les différences de températement innées interagissent avec le conditionnement classique pour produire ceryains types de comportements.
51
Q

Les effets secondaires de l’extinction

A
  1. Le pic d’extinction
  2. La hause de la variabilité
  3. Le comportement émotif
  4. L’agression
  5. La résurgence.
  6. La dépression
52
Q

Les effets secondaire de l’extinction

1.Le pic de l’extinction

A

Le pic de l’extinction: La mise en oeuvre d’une procédure d’extinction n’engendre pas toujours un amoindrissement immédiat de la réponse. En fait on observe souvent un pic d’extinction, c’est à dire un hasuse temporaire de la fréquence et de l’intensité de la réponse au début de mise en oeuvre de l’extinction.

53
Q

Les effets secondaires de l’extinction

2.La hause de la variabilité

A

Une procédure d’extinction peut aussi causer une hause de la variabilié d’uncomportement.

Ex. appuyer lentement sur bouton ou avec une autre patte

54
Q

Les effets secondaires de l’extinction

6. La dépression

A
  • Associée à la perte de renforcement, faible activité
55
Q

Les effets secondaires de l’extinction

5. La résurgence

A
  • La réapparition durant l’extinction d’autres comportements ayant auparavant produit le renforcement.
  • Associé à la regression
56
Q

Les effets secondaires de l’extinction

4. L’agression

A
  • L’agression ou agression de frustration
57
Q

Les effets secondaires de l’extinction

3.Le comportement émotif

A
  • L’extinction s’accompagne souvent d’un comportement émotif.
    *
58
Q

La résistance à l’extinction

A

Désigne l’ampleur avec laquelle la réponse persiste après la mise en ouvre d’une procédure d’extinction. Une réponse très persistante correspond à une forte résitance à l’extinction, tandis qu’une réponse disparaissant rapidement correspond à une faible résistance à l’extinction.

59
Q

Le programme de renforcement

A

Le programme de renforcement est le facteur le plus important sur la résistance à l’extinction.

60
Q

L’effet de renforcement partiel

A
  • Un comportement qui s’est maintenu par suite d’un programme de renforcement intermittent (partiel) s’éteindra plus lentement qu’un comportement qui s’est maintenu par suite d’un programme continue.
  • La résistance à l’extinction s’avère particulièrement forte lorsque le comportemnt s’est maintenu par sutie d’un programme à proportion variable (PV)
  • Moins le renforcateur est fréquent, plus le sujet prend du temps à découvrir que le renforcement n’est plus disponible.
61
Q

Les antécédents de renforcement

A
  • En général, plus les renforçateurs reçus par un sujet pour un comportement on été nombreux, plus la résistance à l’extinction devient forte.
62
Q

L’ampleur du renforçateur

A
  • La résistance à l’extinction est aussi influencée par lampleur du renforçateur.
  • Les renforçateurs plus grands engendrent parfois une plus forte résistance à l’extinction que ne le font des reforçateurs plus petits.
63
Q

Le degré de déprivation

A
  • Le dégré auquel un organisme est privé d’un renforçateur influe également sur la résistance à l’extinction
  • En général, plus le degré de déprivation est prononcé, plus la résistance est forte.
64
Q

Expérience antérieur d’extinction

A
  • Lorsque des séances d’extinction alternent avec des séances de renforcement, plus le nombre d’exposition antérieures à l’extinction est élévé, plus le comportement va s’éteindre rapidement au cours des expositions ultérieures.
65
Q

Un signal d’extinction distinctif

A
  • L’extinction est beaucoup plus facile en présence d’un stimulus distinctif qui en signale le début. Un tel stimulus se nomme stimulus discriminatif signalant l’extinction.
66
Q

La récupération spontanée

A
  • L’extinction d’une réponse opérante est susceptible d’être suivie d’une récupération spontanée (skinner 1938)
  • La récupération spontanée désigne la réapparition d’une réponse éteinte à la suite d’une période de repos consécutive à l’extinction.
67
Q

Le renforcement différentiel des autres comportements (RDAC)

A
  • Le processus d’extinction peut être grandement facilité tant par l’extinction du comportement visé que par le renforcement de la manifestation d’un comportement de remplacement.
  • Cette procédure consiste à renforcer tout comportement autre que le comportement visé par l’extinction.
  • Une procédure de RDAC a tendance à être plus efficace qu’une simple procédure d’extinction parce que le comportement en question se troauve affaibli tant apr le manque de renforcement à son égard que par le renforcement du comportement de rechange qui va le remplacer.
68
Q

Le contrôle du stimulus

A
69
Q

Les déterminants de α?

A
  • Les caractéristiques du SC
  • Le vécut du sujet: les stimuli conditionnés ont une importance plus grande que les stimuli neutres
  • L’intensité du stimulus
  • α et β sont constants mais le 1er stimulus gardera un α fort donc moins de temps pour être conditionné
70
Q

Le contrôle du stimulus

A

Situation dans laquelle un S(d) oriente constamment la probabilité d’un événement.

71
Q

L’asymptote

A
  • L’ampleur maximale du contidionnement possible dans une situation particulière.
  • L’asymptote du contidionnement tou comme sa vitesse est fonction de plusieurs facteurs.
  • En général, un SI plus intense produit un conditionnement plus fort et plus rapide que ne le fait un SI moins instense.
  • Plus un SN est intense, plus le conditionnement engendré s’avère fort et rapide.