Cours 12 L’apprentissage cognitif : les théories Flashcards
1
Q
Béhaviorisme cognitif de Tolman (béhaviorisme intentionaliste)
A
Le rat comme la personne n’est pas simplement motivé par des besoins et des habitudes, mais il est aussi habité par des attentes et des hypothèses.
- Le béhavorisme cognitif de Tolman s’appuie sur des variables intermédiares, généralement sous la forme de processus cognitifs hypothétiques, pour expliquer le comportement.
2
Q
Carte cognitive
A
- La variable intermédiaire la plus connue de Tolman est la carte cognitife, soit une représentation mentale de l’espace environnant d’une personne.
3
Q
Apprentissage latent
A
- L’apprentissage a lieu malgré l’absence de tout indice observable en ce sens et de devient apparent que dans un ensemble de conditions différent.
4
Q
La théorie de l’apprentissage social de Bandura
A
- A mis l’accent comme Tolman sur la distinction à faire entre l’apprentissage et la performance.
- Approche molaire
- Considère les évènements intérieurs comme théoriquement utile, et y voit aussi des évènement réels se déroulant dans le for interieur en exercant une forte influence sur le comportement de la personne.
- Ces comportements intérieurs comprennent des pensées autoréférentes centrées sur les capacités et les réussites, une forme de cognition spécifiquement humaine ayant un impact marquant sur le comportement.
5
Q
La théorie sociale cognitive
A
- Selon la théorie de l’apprentissage social élaborée par Albert Bandura, les individus apprennent de nouveaux comportements ou de nouvelles connaissances en observant leurs pairs.
- Ce type d’apprentissage est aussi nommé « apprentissage vicariant ».
- Ainsi, l’apprentissage serait déterminé par trois facteurs, à savoir :
- Un stimulus externe
- Un renforcement externe
- Une médiation cognitive
6
Q
Déterminisme réciproque
A
- Les événements se produisant dans l’environement, le comportement observable et les variables personnelles (y compris les pensées et les sentiments)exerceraient une influence réciproque les un aux autres.
- L’apprentissage social peut aller dans les deux directions.
7
Q
L’apprentissage par observation
A
- Se caractérise par le fait qu’un observateur regarde le comportement d’un modèle et modifie ensuite son propre comportement.
- Aussi appellé apprentissage social
- La personne peut apprentre sans s’en rendre compte
8
Q
Le comportement contagieux
A
- Est un comportement plus ou moins instinctif ou réflexe que déclenche la manifestation du même comportement chez un autre individu.
- Par exemple, supposons que vos amis et vous êts assis à une table à la biblitothèque, en train d’étudier en vue d’un examen. Vous commencez à bailler. L’un après l’autre vos camarades de classe se mettent aussi a bailler.
- Les réponses de peur de tout types sont contagieuses
- Les comportements qui jouent un rôle important dans les interactions sociales son souvent contagieux, comme rire.
- La réponse d’orientation est contagieuse (exemple du regard)
9
Q
L’intensification du stimulus
A
- Une for rudimentaire d’influence sociale, relevant de l’orientation contagieuse.
- La probabilité qu’un individu manifeste un comportement donné se modifie parce que celui-ci dirige son attention vers un objet ou un endroit particulier en raison du comportment d’un autre individu.
- Exemple de petite fille qui fair remarque les bonbons.
- Réussit particulièrement bien à hausser la probabilité d’un comportement associé à l’action de manger, de boire ou de se reproduire.
- Les comportments de ce genre on un caractère instinctif, et en présence d’un déclencheur approprié, sont très susceptibles de se produires.
- L’intensification du stimulus permer de détecter la présence d’un tel déclencheur.
10
Q
L’apprentissage par observation dans le cadre du conditionnement classique
Réponses émotionnelles vicariantes.
A
- Réponses émotives issues d’un conditionnement classique résultant de l’observation de ces même réponses chez d’autres personnes.
- Se manifeste de 2 façons, d’abord l’expression de peur par d’autres personnes peut agir comme un stimulus SI qui déclenche un sentiment de peur chez l’observateur.
- Tendance innée à éprouver la peur dès qu’une personne arbore un air craintif.
- C’est un conditionnement d’ordre supérieur.
11
Q
L’acquisition
Facteurs qui influence l’attention portée au modèles
A
- Les conséquences du comportement du modèle, si le comportement est renforcé, un observateur est plus susceptible de de lui être attentif.
- Le renforcement du comportement de l’observateur lorsqu’il prête attention au modèle (exemple enseignement)
- L’observateur doit possèder les compétences nécéssaires pour tirer parti de l’enseigement du modèle
- Les traits spécifiques du modèle déterminent fortement dans quelle mesure on prête attention à son comportement. Un observateur est plus susceptible de se montrer attentif à un modèle qui lui ressemble (âge, habillement etc..) et s’il le respecte ou l’admire ou qui possède un compétence reconnue dans son domaine d’activité
12
Q
L’execution
A
Le renforcement et la punition contribuent de 3 façons à la modifications des comoportements en situation de modélisation.
- Plus ou moins susceptible d’executer un comportement modélisé après avoir observé le renforcement ou la punition de l’experience de modélisation relative à ce comportement (renforcement vicariant)
- La conséquence de l’execution du comportement.
- L’expérience acquise par l’observateur dans le renforcement ou la punition encourus pour avoir exécuté auparavant des comportements modélisé.
13
Q
Renforcement vicariant (ou punition vicariante)
A
- Plus ou moins susceptible d’executer un comportement modélisé après avoir observé le renforcement ou la punition de l’experience de modélisation relative à ce comportement
14
Q
L’imitation vraie
A
- Est un type d’apprentissage par observation qui comporte la reproduction fidèle d’un nouveau comportement (ou série de nouveau comportement)
15
Q
L’imitation généralisée
A
- Représente une tendance à imiter un nouveau comportement modélisé en l’absence d’un renforcement précis pour le faire.
19
Q
Traitement de l’information
A
- L’approche du traitement de l’information considère le fonctionnement cognitif comme résultant de l’opération d’étapes de traitement organisées en système.
