Cours 4 Les Bases du Conditionnement Classique Flashcards

1
Q

L’experience de Pavlov

A

Ivan Patrovitch Pavlov (1849-1936)

  • Prix Nobel en 1904 pour ses travaux sur la physiologie de la digestion
  • Découverte accidentelle (sérendipité)
  • Une fistule est implantée chirurgicalement pour collecter la salive lors de test.
  • Période de récupération de plusieurs jours (l’assistant de Pavlov nourrit les chiens tous les jours)
  • La veille de l’expérience, les jours sont privés de nourriture.
  • Le jour de l’expérience, un chien à la fois est placé dans le harnais de soutien. De la nourriture va être présentée mais trop tard le chien salive.
  • Le chien associe le sareau blanc de l’assitant de Pavlov avec la nourriture.
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2
Q

Le schéma du conditionnement répondant ou Pavlovien

A
  • Un stimulus inconditionnellement “important” est présenté (SI, US en anglais) et déclenche une réponse inconditionnelle (RI, UR en anglais)
  • Un autre stimulus qui n’est pas important est présenté (SN, NS en anglais) et ne déclenche pas de réponse
  • La cloche (SN) et la nourriture (SI) sont présentées ensemble ou l’une après l’autre (une paire) plusieurs fois.
  • Éventuellement, lorsque présentée seule, la cloche fait saliver.
  • La cloche est maintenant un stimulus conditionné (SC).
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3
Q

Essai de conditonnement

A
  • Chaque appariement du SN etu SI durant le conditionnement porte le nom d’essai de contionnement.
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4
Q

SI

A
  • Stimulus qui déclenche naturellement une réponse, sans entrainement préalable.
  • Stimulus inconditionnellement “important” est présenté (SI, US en anglais) et déclenche une réponse inconditionnelle.
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5
Q

RI

A
  • Réponse inconditonelle (RI) UR en anglais.
  • Réponse naturellement déclenchée par le SI qui nécéssite aucun entrainemet préalable.
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6
Q

SN

A
  • Un autre stimulus qui n’est pas important, stimulus neutre est présenté (SN, NS en anglais) et ne déclenche pas de réponse
  • Stimulus qui, apparement, ne provoque pas de réponse réflex ou émotionnelle.
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7
Q

SC

A
  • Stimulus conditionnel (SC) CS en anglais
  • Tout stimulus qui, bien qu’initialement neutre, finit par déclencher une réponse parce qu’il a été associé à un stimulus inconditionnel
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8
Q

RC

A
  • Réponse conditionnelle (RC) CR en anglais
  • Réponse souvent semblable à la réponse inconditionnelle, que déclenche un stimulus conditionel.
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9
Q

Les phases du conditionnement classique (6)

A
  • Acquisition
  • Extinction
  • Récupération spontanée
  • Sur-conditionnement
  • Surextinction
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10
Q

Les phases du conditionnement classique

Acquisition

A
  • Acquisition
  • Désigne le processus de formation et de renforcement d’une réponse conditionelle (RC) par appriements répétés d’un stimulus neutre (SN) et d’un stimulus inconditionnel (SI)
  • Avec chaque présentation en paire du SI et du SN/SC, la connexion entre les deux augmente
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11
Q

Les phases du conditionnement classique

Extinction

A
  • Extinction
  • Dans le cadre du processus d’extinction, une RC est affaiblie ou supprimée si le stimulus conditionnel (SC) est présenté à répétition en l’absence du SI.
  • Avec chaque présentation du SC seul, la réponse RC diminue et ceci jusqu’à disparaître
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12
Q

Les phases du conditionnement classique

Récupération spontannée

A
  • Récupération spontanée
  • Une période sans présentation du SC entraîne un rebond de la réponse RC lors de la reprise des présentations de SC mais temporairement.
  • Désigne la réappariton d’une RC à un SC après une période de repos ayant suivi l’extinction.
  • N’est pas permanente. Aprés chaque reprise de la réponse, celle-ci s’affaiblit et s’eteint plus rapidement qu’auparavant.
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13
Q

Les phases du conditionnement classique

Sur-conditionnement

A
  • Sur-conditionnement
  • Continuer les présentations en paire du SI et du SC après que la réponse RC est établie va créer une résistance à l’extinction
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14
Q

Les phases du conditionnement classique (6)

Surextinction

A
  • Surextinction
  • Continuer les présentations du SC seul après que la réponse RC ait disparu va empêcher ou diminuer la récupération spontanée
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15
Q

L’Habituation

A

L’habituation est une diminution de la force d’un comportement déclenché qui résulte de la présentation répétée du stimulus déclencheur.

Souvent liée à un stimulus spécifique et toute modification du stimulus spécifique réactive réponse.

2 types

  • Habituation a long terme
  • Habituation a court terme
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16
Q

L’habituation

Habituation à long terme

A

Habituation à long terme: La réponse s’ammoindrit graduellement par suite d’une stimulation répétée, puis la capacité de répondre se rétablit lentement en l’absence d’une telle stimulation.

Tend se manifester lorsque les occurences du stimulus sont très espacées.

Peut aussi résulter graduellement de périodes répétées d’habituation à court terme ayant été étalées dans le temps

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17
Q

L’habituation

Habituation à court terme

A

Habituation a court terme: La réponse s’ammoindrit rapidtement par suite d’une stimulation répétée, par la capactié de répondre se rétablit promptement en l’absence d’une telle stimulation.

Tend a se manifester lorque les occurences du stimulus sont peu espacées ou sont continue.

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18
Q

Déshabituation

A
  • Une réponse d’habituation peut aussi réapparaitre après la présentation d’un nouveau stimulus apparement non lié c’est le phénomène de la déshabituation.
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19
Q

La Sensibilisation

A
  • Est un accroissement de la force d’un comportement déclencé qui résulte de la présenation répéteé du stimulus déclencheur.
  • S’étend généralement à d’autre stimuli similaire.
  • Effet inverse de l’habituation – > augmentation temporaire de la réponse / réaction à un stimulus qui est répété.

Ce n’est toutefois pas « l’inverse de l’habituation » car il s’agit plus d’une réaction « émotive » plutôt qu’une forme primitive d’apprentissage.

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20
Q

Sensibilisation vs Habituation

A

L’habituation et la sensibilisation permet de classer les stimuli en deux catégories fondamentales: ceux qui sont importants aujourd’hui et ceux qui ne le sont pas. Lorsqu’un stimulus est sans importance on tend à s’y habituer; lorsqu’il est encore important, (utile ou nouveau) on ne s’y habitue pas. Quand le stimulus est extrêment important même dangereux on y devien sensible. (mais pas infaillible, différences individuelles)

  • L’intenstié du stimulus déclencheur détermine habituation ou la sensibilisation.
  • Un stimulus de faible intensité, entraine souvent l’habituation
  • Un stimulus de fort intensité suscite généralement la sensibilisation.
  • Un stimulus d’intensité intermédiaire cause férquemment une prédiode initiale de sensibilisation suivie d’une habituation.
  • L’importance évolutive (adaptative) du stimulus.
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21
Q

Pseudo-conditionnement ou L’hypersensibilisation

A
  • Une augmentation de la force de la réponse conditionnée (lors de la présentation du SC) n’est pas toujours le résultat d’un conditionnement.
  • C’est le cas du pseudo-conditionnement.
  • Dans cette procédure, le SI est présenté seul plusieurs fois puis le SN est présenté seul.
  • Certaine résistance au temps, mais pas de pairage

Ex: On lance un jet d’air à répétition dans l’oeil et au 10e essai on flash une lumière à la place, mais l’individu cligne quand même de l’oeil. Exige une certaine extinction pour s’en débarrasser.

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22
Q

Facteurs affectant la force du conditionnement classique

A
  1. La relation temporelle entre le SI et le SC
  2. La nouveauté
  3. L’intensité
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23
Q

Facteurs affectant la force du conditionnement classique

La nouveauté

A
  • Le conditionnement s’établit plus rapidement si le SI et le SC sont nouveaux (ou, plus exactement, n’ont pas été récemment présentés au sujet).
  • Lorsque les stimuli ne sont pas nouveaux, on parle d’inhibition latente pour le SC et d’effet de la pré-exposition pour le SI. Ceci est apparenté à l’habituation.
  • Les deux mécanismes semblent impliquer une forme d’habituation et de réduction de l’attention aux stimuli
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24
Q

Facteurs affectant la force du conditionnement classique

L’intensité

A
  • L’intensité du SI est directement impliquée dans l’amplitude et la vitesse de développement d’un conditionnement.
  • L’amplitude maximale d’un conditionnement est généralement (mais pas toujours) déterminée par l’intensité du SI.
  • L’intensité du SC est aussi importante et est relié au caractère saillant du SC (et sa détection plus facile par le sujet). Mais cela n’affectera que la vitesse d’acquisition.
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25
Q

Facteurs affectant la force du conditionnement classique

Relation temporelle entre SC et SI

A
  • Conditionnement retardé/différé (standard)
  • Conditionnement de trace
  • Conditionnement simultané
  • Conditionnement rétrograde
  • Conditionnement inclusif
  • Conditionnement temporel
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26
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement retardé/différé (standard)

A
  • Dans le conditonnement différé, l’activation du SN précède celle du SI, et les deux stimuli se chevauchent.
  • Le SC/CS commence avant et dure encore quand apparaît le SI/US (distinguer + ou - 5 sec.)
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27
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement de trace

A
  • L’activation et la désactivation du SN précèdent l’activation su SI. Le SN se produit avant le SI, et les deux stimuli ne se chevauchent pas.
  • Le SC/CS commence et termine avant que le SI/US apparaisse
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28
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement Simultané

A
  • Le SC/CS et le SI/US apparaissent et cessent en même temps
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29
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement rétrograde

A
  • Le SI/US apparaît et cesse avant que le SC/CS apparaisse
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30
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement inclusif

A
  • L’un des deux stimuli, SC/CS ou SI/US, se produit durant l’autre stimuli :
    • (1) le SI est inclus/présent durant le SC (le plus commun) ou
    • (2) le SC est inclus/présent durant le SI
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31
Q

Relation temporelle entre SC et SI

Conditionnement temporel

A
  • Dans ce cas, il n’y a pas de SC explicite et l’indice pour l’apparition du SI est l’intervalle répétitif de temps entre la fin de la RC et le prochain SI
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32
Q

La généralisation du stimulus

A
  • La généralisation du stimulus est la tendance d’une RC à se produire en présence d’un stimulus semblable au SC.
  • Plus le stimulus ressemble au SC initial, plus la réponse est forte.
  • Désigne le fait que la réponse opérante tend à être produite en présence d’u stimulus semblable à un S(d)
  • Plus le stimulus est similaire, plus la réponse est forte.
  • La généralisation nous permet de traiter des stimuli différents comme équivalents.
  • Ainsi, un éventail de stimuli qui varient sur une dimension particulière déclencheront la réponse conditionnée proportionnellement à leur degré de ressemblance avec le stimulus conditionnel initial.
  • Le gradient de généralisation est une représentation de la force de la réponse conditionnée pour des stimuli variant autour du stimulus conditionnel initial.
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33
Q

La généralisation sémantique

A

Désigne la généralisation d’une RC à un stimulus verbal ayant une signification semblable à celle du SC.

ex: auto, camion, jennifer lopez, j.lo

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34
Q

S(A) Stimulus discriminatif signalant l’extinction

A

L’entrainement à la discrimination, comme il s’applique au conditionnement opérant, comporte le renforcement de la réponse en présence d’un Stimulus (le S(d)) et non un autre.

Ce dernier porte le nom de stimulus discriminatif signalant l’extinction, soit un stimulus qui signale l’absence de renforcement. Est représenté par le symbole esse delta S(A)

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35
Q

S(d)

A
  • Lorsqu’un comportement est constamment renforcé en présence d’un certain stimulus, celui-ci commencera à exercer un effet sur la probabilié de ce comportement.
  • Ce stimulus qualifié S(d), ne déclenche pas automatiquement le dit comportement à la manière d’un stimulus conditionnel SC qui provoque un réflexe.
  • Il signale simplement la disponibilité du renforcement et rehausse ainsi la probabilié que ce comportement se manifeste.
  • On dit alors que ce comportement relève d’un contrôle du stimulus, ce qui signifie que la présence d’un S(d) influe certainement sur la probabilité du comportement.
36
Q

Gradient de généralisation

A
  • Une description graphique de la force de la réponse en présence de stimuli semblables au S(d) qui varient selon un continuum.
  • Les gradients varient en inclinaison.
37
Q

Apprentissage de la discrimination

A
  • Si des stimuli, similaires au SC, sont présentés, mais sans jamais être pariés avec le SI, les réponses généralisées à ces stimuli similaires vont diminuer (extinction) et ultimement l’individu pourra discriminer entre les SC suivis de SI (souvent désignés SC+) et les SC non suivis de SI (souvent désignés SC-).
  • Exemples d’apprentissage de la discrimination par conditionnement classique : couleurs, formes, lettres…
38
Q

Le déplacement de pique en situation Go-NoGo (Spence)

A

Trois groupes

Le groupe Go

  • Sd = Go; SD = rien

Le groupe NoGo

  • Sd = rien; SD = stop

Le groupe Go-NoGo

  • Sd = Go; SD = stop
39
Q

L’effet de glissement de pic

A
  • L’entrainement à la discrimination produit souvent un effet inhabituel: l’effet de glissement de pic.
  • En vertu de cet effet, le pic d’un gradient de généralisation suivant l’entrainement à la discrimination va passer du S(d) à un stimulus plus éloigné du S(A)(Hanson 1959)
  • Ceci constitue une exception au principe général selon lequel la plsu forte réponse dans un gradient de généralisation se produit en présence du S(d) initial.
  • On peut expliquer l’effet de glissement de pic de la façon suivante. Durant l’entrainement à la discrimination, les sujets répondent en fonction de la valeur relative, et non absolue des stimuli.
  • Une autre explication,malgré l’entrainement à la discrimination, le S(d) demeure quelque peu semblable au S(A) et a acquis une partie de ses propriétés négatives, ce qui la rend lègèrement moins attirante qu’elle l’aurait été si le S(A) n’avais jamais fait l’objet d’un entrainement
  • Ex: jacques femmes extra or intra verties.
40
Q

Le déplacement de pique en situation Go-NoGo (Spence)

A

Trois groupes

Le groupe Go

  • Sd = Go; SD = rien

Le groupe NoGo

  • Sd = rien; SD = stop

Le groupe Go-NoGo

  • Sd = Go; SD = stop

Sd et SD, c’est 2 stimulus différents dans la même modalité sensorielle. Lumière rouge et verte. Apprentissage de lumière rouge stop et vert go

41
Q

Les gradients de Spence

A
  • Les assomptions de Spence sont que :
  • il existe un gradient excitateur « pour »
  • ll existe un gradient inhibiteur « contre »
  • la réponse nette est une somme algébrique des deux gradients
  • Il observe alors une déviation du gradient net en direction opposée du stimulus initial
42
Q

Méthodes de recherches de base en étude comportementale

A
  • L’observation naturaliste
  • L’étude de cas,
  • L’étude avec groupe témoin
  • Étude à sujet unique
43
Q

Variable

A
  • Une variable est une caractéristique d’une personne, d’un endroit ou d’une chose qui peut changer (varier dans le temps) ou selon des situations.
  • Ex: température, la taille et le poids
44
Q

Les relations fonctionnelles

A
  • En recherche comportementale, la variable dépendante est presque toujours un certain comportement, alors que la variable indépendante est un événement survenant dans le milieu et censé exercer un effet sur le comportement.
  • La relation entre la modification de la variable indépendante et une modification de la variable dépendante porte le nom de relation fonctionelle.
  • Les béhavioristes tentent souvent de découvrir des relations fonctionnelles entre le comportement et des événement survenant dans le milieu.
  • On peut également se représenter une relation fonctionnelle comme une relation de causalité. Dans laquelle la cause est une modification de la variable indépendante, tandis que l’effet est une modification de la variable dépendante.
45
Q

La variable indépendante

A
  • Est l’élément qui varie systématiquement dans les différentes conditons ou se déroule l’expérience. C’est le facteur manipulé dans le cadre d’une expérience.
  • La variable indépendante est une événement survenant dans le milieu et censé exercer un effet sur le comportement.
46
Q

La variable dépendante

A
  • Est l’élément d’une expérience qu’on laisse varier librement pour voir si les modifications de la varabile indépendante on un effet sur elle. Elle représente ce qu’on mesure dans dans le cadre d’une expérience. Dans la psychologie il s’agit toujours d’un certain type de comportement.
  • Toute modification de la variable dépendante résulte d’une modification de la variable indépendante.
47
Q

Le stimulus

A
  • Un stimulus est un événement quelquoncque susceptible d’influencer le comportement
48
Q

La réponse

A

Une réponse est une manifestation particulière d’un comportement.

49
Q

Le comportement couvert (interne)

A
  • Est percu uniquement par la personne qui la déploie.
  • Il s’agit donc d’un comportement subjectivement perçu et non publiquement observable.
  • Ex: rêver, réfléchir etc…
  • Les comportement couverts peuvent causer des comportement manifestes.
50
Q

Le comportement manifeste

A
  • Peut être directement observé par une personne autre que celle qui déploie le dit comportement. C’est un comportement qui serait publiquement observable en présence d’autres personnes.
51
Q

Relation entre comportement manifestes et les comportements ouvert

A
  • Les comportements couverts et les comportements manifestes d’un individu peuvent consituer des stimuli les uns pour les autres. Ex: réfléchir a stratégie dans un jeu d’écher et déplacer une pièce.
52
Q

Comportement couvert (interne)

A
  • Skinner affirme que les évenements intérieurs comme les pensées, les sentiments et les expériences sensorielles sont des comportements.
  • Ces comportements son percus seulement par celui qui le déploie.
53
Q

Stimulus appétitif

A
  • Est un évènement qu’un organisme va rechercher. Ex:nourriture quand on a faim.
54
Q

Stimulus aversif

A
  • Est un évènement qu’un organisme va éviter. Ex: décharge éléctrique, chaleur extrème.
  • Déplaisant
55
Q

Oppération d’appui

A
  • Un processus qui influe sur le caractère appétitif ou aversif d’un stimulus. Ex: déprivation et la satiété
  • Déprivation et Satiété sont 2 types d’opération d’appui
56
Q

Oppération d’appui

Satiété

A
  • Est une exposition prolognée à un événement (ou la consommation de cet événemetn) qui en amoindrit souvent le caratère appétitif.
57
Q

Opération d’appui

Déprivation

A
  • La déprivation désigne l’absnece prolongée d’un événement, qui en accentue souvent le caractère appétitif.
  • Un processus qui accroit la valeur de rencofrement d’un événement.
58
Q

Contingence

A
  • Une contingence est une relation prédictive (ou fonctionelle) entre deux événements, c’est à dire que le déroulement d’un premier événement indique qu’un second va probablement se produire par la suite.
59
Q

Contiguité

A

La contiguité veut dire proximité

  • Contiguité spatiale: dans l’espace, emplacement
  • Contiguité temporelle: dans le temps
60
Q

Méthode d’enregistrement du comportement

A
  • L’intensité
  • La durée
  • La vitesse
  • La latence
  • Le taux de réponse
61
Q

Les méthodes d’enregistrement

Enregistreur cumulatif

A
  • Est un dispositif classique qui mesure le nombre total de réponses en fonction du temps et qu donne une description imagée du taux du comportement. Ex: graph
62
Q

Méthode d’enregistrement

L’intensité

A
  • L’intensité d’un comportement en souligune la force ou l’ampleur.
63
Q

Méthode d’enregistrement

La durée

A
  • La durée est la période de temps pendant laquelle un individu déploie à répétition ou sans cesse un certain comportement.
  • Cette mesure est appropriée lorsqu’il s’agit de faire augmenter ou diminuer la péridoe de temps que couvre le comportement.
  • ex: étudier et moins regarder la télé
64
Q

Méthode d’enregistrement

La vitesse

A

Mesure la promptitude ou la lenteur avec laquelle se déploie un comportement ou encore la rapidité de la progression d’un individu sur une distance quelconque.

65
Q

Méthode d’enregistrement

La latence

A

La latence d’un comportement désigne la période de temps requise poru que celui ci commence à se manifester.

66
Q

Les méthodes d’enregistrement

Taux de réponse

A
  • La fréquence à laquelle une réponse se produit en une certaine période de temps.
  • La mesure de ce taux est surtout appropriée lorsque la réponse est brève et que son début et sa fin sont clairement définis.
  • On doit s’assurer d’inclure la dimension temporelle.
67
Q

Méthode d’enregistrement

L’enregistrement à intervalles

A
  • Consite à mesurer si un comportement se manifeste ou non durant chacune des intervalles continue dune série.
  • Le pourcentage des intervalles comprenant au moins un incident représente ici la mesure du comportement.
  • L’avantae est qu’il n’est pas nécéssaire d’enregistrer toutes les réponses sans exception.
  • Utile quand il est difficle de déterminer le moment exact du début et la fin d’un comportement.
68
Q

Méthode d’enregistrement

L’enregistrement par échantillon de temps

A
  • Une variante de l’enregistrement à intervalle, dans laquelle on détermine si un comportement se produit ou non durant chaune des périodes discontinues (espacées) d’une série.
  • Économise du temps
69
Q

Méthode d’enregistrement

La topographie

A
  • La topographie du comportement soit aux actions spécifiques observables.
  • Forme physique d’un comportement.
70
Q

Méthode d’enregistrement

Le nombre d’erreur

A
  • Tout comportement pour lequel on peut classer les réponses comme bonnes ou mauvaises est évaluable en fonction du nombre d’erreur observées.
  • ex: notes étudiant pour évaluer la connaissance du sujet.
71
Q

La recherche descriptive

A
  • La recherche descriptive consiste simplement à décrire le comportement visé et la siuationd dans laquelle il se produit. Les méthodes descriptives ne font pas appel à la manipulation de variables.
  • L’observation naturaliste et l’étude de cas son tdeux des méthodes descriptives courramment employées.
72
Q

fL’observation naturaliste

A
  • L’observation naturaliste comprend l’obervation et l’enrgistrement systématique d’un comportement dans son milieu naturel.
  • Systématique et non aléatoire pou éviter le biais du chercheur.
  • Est couramment utilisée en éthologie
  • Idéal pour observer les comportements innés
  • Permis d’observer l’adoption naturelle.
73
Q

L’étude de cas

A
  • Concerne l’examen détaillé d’un ou de quelques individus.
  • Se fait dans un cadre naturel ou un examen détaillé dans un cadre structuré comme une clinique.
  • Souvent utilisé dans le domaine de la psychologie clinique.
  • L’observation doit être systématique pour éviter le biais du chercheur.
  • La portée de l’étude est limitée puis que concerne souvent une seule personne.
  • Difficile d’identifier les variables précises
74
Q

La recherche expérimentale

A
  • Pour découvrir les relations de causalité
  • Dans le cadre d’une expérience on fait varier systématiquement une ou plusieurs variables indépendantes afin d’en déterminer l’effet sur une variable dépendante (le comportement qui va probablement changer par la suite d’une modification de la variable indépendante)
  • On suppose ici que toutes les différences de comportement observées dans les diverses conditions de l’expérience résultent des modification de la variable indépendante.

2 types

  • Étude a groupe témoin,
  • Étude a sujet unique.
75
Q

La recherche expérimentale

Étude avec groupe témoin

A
  • Le style d’étude expérimentale le plus courant.
  • Type d’expérience dans laquelle sous sa forme la plus simple, des sujets sont répartis par hasard entre un groupe expérimental et un groupe témoin. Les sujets faisant partie du groupe exprimental sont exposés à un certains traitement ou a une certaine manipulation tandis que les sujets faisant partie du group témoin ne le sont pas.
76
Q

La recherche expérimentale

Étude avec sujet unique

A
  • Catégorie d’étude de recherche ne faisant appel qu’à un ou quelques sujets pour la plein réalisation d’une expérience.
77
Q

Étude comparative

A
  • Est un type particulier d’étude avec group témoin
  • Caratérisé par le fait que différentes espèces constituent l’une des variables indépendantes.
  • Elle sert souvent a vérifier une hypothèse évolutionniste concernant les différences de pression de sélection pour un trait précis entre diverses espèces.
  • Est simple ou factorielle et comprend plus d’une variable indépendante ou dépendante.
  • elle ne fait pas appel à un groupe témoin, proprementn dit qui ne reçoit aucun traitement.
  • Excellent résultats quand il s’agit d’évalue les effets généraux de certaines variables
78
Q

L’étude à comparaison simple (AB)

A
  • On compare un comportement dans une stiuation de référence à une comportement dans une situation de traitement.

A: Période de référence

B: Période de traitement

  • N’élimine pas la possibilité qu’un autre événement se soit produit pendant l’application du traitement et ait causé la modification du comportement
  • Peu fiable, ne démontre pas clairement la relation fonctionnelle entre une variable indépendante et dépendante.
  • Utile quand ressources limitées.
79
Q

La ligne de base (ou de référence)

A

La ligne de base d’un comportement est défini par la fréquence et l’intensité normalede ce comportement avant une intervention quelconque.

80
Q

L’étude à renversement (ABA ou ABAB)

A
  • Meilleur qu’une étude à comparaison simple
  • Étude à sujet unique qui se caractérise par l’alternance répétee d’une prériode de référrence et d’une période de traitement.
  • Si le comportement se modifie systématiquement chaque fois que le traitement est appliqué puis interrompu, on a alors démontré l’existence d’une relation fonctionnelle entre le traitement et le comportement.
  • Permet une expérience complete avec un seul sujet.
  • Pas besoin de tests statistiques, voir le graphique est suffisant.
  • Permet de vérifier l’efficacité de plus d’un traitement
  • Pas efficace si censé produire des effets durable
  • Si la variable dépendante revient pas au niveau initial on ne peut pas être sur que le traitement est la cause.
81
Q

Étude à renversement (ABCAC)

A

C: nouvelle phase du traitement

82
Q

L’étude à ligne de base multiples

A
  • Met en oeuvre à des moments successiffs un traitement qui concerne plusieurs participants, situations ou comportements.
  • Ex: arrêt de fumer punitif, décalé sur 3 semaines, 3 personnes.
  • Ce type d’étude est approprié lorsque le traitemetn est susceptible de causer une modification permanente du comportement ou qu’il serait contraire à l’éthique de l’interrompre après l’obtention d’une certaine amélioration.
  • Inconvénient, l’effet du traitement peut s’étendre à d’autre situation
83
Q

L’étude avec changement de critère

A
  • Dans certains cas, le traitement vise à susciter une modification du comportement non pas prononcée et immédiate, mais plutôt graduelle et étendue dans le temps.
  • Dans L’étude avec changement de critère c’est le degré de correspondance entre le comportement et un critère systématiquement modifié qui révèle l’effet du traitement.
84
Q

Les animaux et la recherche comportementale

A

Avantages

  • Maitrise de leur bagage génétique et leur processus d’apprentissage.
  • Le maintien de contrôle strict sur le cadre d’une expérience.
  • Pour des raisons éthiques certains travaut ne peuvent pas être menés auprès d’être humains.

Désavantages

  • Pas humains, donc applications des résultats limitées
  • Les animaux devraient avoir des droits comme les humains
85
Q
A