Cours 4- le développement physique à la petite enfance (0-2 ans) Flashcards
réflexes définition
réponse comportementale innée, automatique, en réponse au stimulus
valeurs adaptatives, bases d’habiletés motrices complexes (qui viennent plus tard dans la vie)
à quel moment les réflexes disparaissent et que sont-ils remplacés par
disparaissent au courant des 6 premiers mois, ils sont remplacés par des comportements
que veut dire l’absence ou la persistance de réflexes
les évaluer, car l’absence ou la persistance des réflexes= indice SN du bébé
exemples de réflexes
-clignements des yeux
-points cardinaux “rooting” (tourner -la bouche vers la personne)
-succion
-nage (mouvement semblable à la bouche)
-réflexe de Moro (le bébé se -recroqueville sur lui-même)
-agrippement
-réflexe tonique du cou (coucher sur le dos, il se regarde la main)
-marche
-réflexe de Babinski (éventail=orteils)
combien de temps dorment les nouveau-nés, décrit les cycles
les nouveau-nés dorment 16 à 18 heures
sommeil profond
sommeil actif (REM)= 50% du sommeil
que veut dire un cycle de sommeil perturbé
fréquent chez les bébés avec des naissances traumatiques
peut indiquer anomalie SNC
associé à des retards de développement préscolaire
qu’est le syndrome de la mort subite du nourrisson
1e cause de mortalité chez les bébés âgés entre 1 semaine et 1 an (++ 2 à 4 mois)
hypothèse: les réflexes disparaissent et ne sont pas remplacés par des comportements= anomalies neurologiques empêchent de les acquérir
facteurs de risque le syndrome de la mort subite du nourrisson
né avant-terme
FPN
apgar faible
pouls anormal
problèmes respiratoires
trouble cycles sommeil-éveil
rhumes (fragilité cardiovasculaire)
facteurs de protection le syndrome de la mort subite du nourrisson
pas de drogue durant la grossesse
cesser de fumer
dodo sur le dos (bébé)
surface dure
pas trop emmitouflés
suce
fonction des pleurs
1e façon de communiquer
efficace= guide les parents vers la cause de détresse (la faim)
quand est le sommet des pleurs et comment s’appellent-ils
sommet des pleurs vers 6 semaines (établissement des liens dans le SNC) =
coliques= pleurs persistants, intenses
faut-il s’inquiéter lorsqu’il y a des pleurs différents et que peut-il arriver au bébé
anomalie SNC? risque d’abus (stress des parents)
comment apaiser un bébé en pleurs
parler doucement (sons continus, rythmés)
suce
masser
emmailloter
prendre dans ses bras et marcher/ balancer
poussette, auto, balançoire
combinaison des méthodes
le déposer dans un endroit sécuritaire et le laisser pleurer
les capacités sensorielles : le toucher
bien développé à la naissance
réflexes: répond au toucher surtout autour de la bouche, paume de la main, pied
peuvent distinguer les formes, textures
sensibles à la douleur (ne pas les faire endurer la douleur= risque hormones)
les capacités sensorielles: le goût
distinguent certains goûts (expressions faciales= aigre, amer)
préférence pour le sucré (lait maternel)
exposition aux saveurs influencent les préférences (il peut goûter ce que la mère mange dans le liquide amniotique et le lait maternel)
apprend rapidement à aimer de nouvelles saveurs
les capacités sensorielles: odorat
préférence pour certaines odeurs
initiation par le liquide amniotique
reconnaît la maman (préfère son odeur dès le 4e jours)
les capacités sensorielles: audition
s’améliore pendant les premiers mois de vie
exploration vers sons
Préfère sons complexes (sensible à la voix humaine)
distingue des configurations de sons dès les premiers jours
biologiquement préparé à apprendre la langue (sons ne faisant pas partie de sa langue: nouveau-nés les distinguent mieux que les adultes)
familiarité: préfèrent la voix de leur mère/ sa langue
les capacités sensorielles: vision
le sens le moins développé à la naissance (structures de l’œil immatures)
incapable de voir clairement de loin et de proche
détecte les visages humains, préfère celui de sa maman
explore, tente de trouver des objets intéressants à sa portée
la vision de couleur s’améliore jusqu’à 4 mois
quel sens est le pire pour un nouveau-né
vision
la croissance (taille et poids)
taille: gain de 75% à 2 ans
poids: a quadruplé à 2 ans
poussée de croissance pas graduelle
gras de bébé (sommet vers 9 mois) amincissement par la suite (maintient température corporelle)
différences individuelles et intergroupes
croissance de différentes parties du corps
changements de proportions
corps à un rythme différent, à différents moments=
céphalocaudal: de la tête aux pieds (plus rapide)
proximodistal: du centre vers les extrémités (tronc en premier)
meilleur estimé de la maturité physique
âge du squelette
= cartilage à os (cellules se durcissent graduellement)
développement du cerveau prénatal
trop grande quantité de neurones, ils ont migré et se sont différenciés et entament des connexions synaptiques
développement du cerveau petite enfance
plus en plus d’axones, de connexions synaptiques (par stimulation, les autres neurones inutilisés/ non stimulés meurent).
1- surabondance de synapses
2- Élagage
surabondance de synapses et Élagage
1- surabondance de synapses
certaines servent les mêmes fonctions (contribue à l’acquisition d’habiletés essentielles)
2- Élagage
élimine les synapses sous-utilisées/ neurone peu stimulé= perd ses connexions
myélinisation des axones
près de la moitié du volume du cerveau est composé de cellules gliales
= responsable de la gaine de myéline autour des axones qui accélère la conduction nerveuse
développement du cortex cérébral
= croissance longtemps, donc sensible longtemps
l’ordre dans lequel les régions du cortex se développent correspond à l’ordre dans lequel les habiletés se développent.
formation rapide des synapses dans les régions auditives, visuelles et langagières
= s’étend sur la plus grande période pour le cortex préfrontal
mesurer l’activité cérébrale
EEG: activité des ondes électriques
potentiels évoqués cognitifs: ondes électriques du cerveau
IRMf: flux sanguin et la métabolisation de l’oxygène
TEP: flux sanguin et métabolisation de l’oxygène
Spectroscopie proche infrarouge: flux sanguin et métabolisation de l’oxygène
Latéralisation du cortex cérébral
les deux hémisphères remplissent différentes fonctions
= chaque hémisphère reçoit des infos sensorielles du côté opposé du corps
Latéralisation du cortex cérébral= gauche
traite l’information de façon séquentielle et analytique/ infos verbales, émotions positives
Latéralisation du cortex cérébral= droite
traite l’information de manière intégrative/ infos spatiales, émotions négatives
valeur adaptative
plasticité cérébrale
région n’a pas encore de “spécialité”, il y a donc une flexibilité, une grande capacité d’apprentissage/ s’il y a un dommage, une autre région peut remplir le rôle
plus grande durant l’enfance
Périodes sensibles du développement cérébral/ étude avec animaux
privation sensorielle précoce et extrême: conduit à des dommages permanents au cerveau et à la perte de certaines fonctions
Périodes sensibles du développement cérébral/ étude avec enfants
ex1: bébé né avec des cataractes aux 2 yeux: amélioration seulement si opérée au cours des 4-6 premiers mois de vie, plus la chirurgie est retardée, moins la récupération complète de la vision est possible
ex2 (orphelinats roumains) au niveau cognitif, un gain impressionnant si adoptés avant l’âge de 6 mois
deux types de croissance cérébrale
croissance venant des expériences attendues (tôt)
croissance dépendant des expériences (toute la vie)
croissance venant des expériences attendues (tôt)
les expériences ordinaires, habituellement, attendues par le cerveau pour se développer normalement= bénéfique
croissance dépendant des expériences (toute la vie)
expériences spécifiques
varient d’un individu à l’autre
= risqué, en surchargeant le jeune cerveau
évolution du sommeil petite enfance
moins de périodes par jour
périodes plus longues
correspond plus au cycle nuit-jour
besoins diminuent de 18 à 12h
2 siestes, puis 1 vers 18 mois
vers 6 mois, production de mélatonine favorise la somnolence (+ la nuit)
changements dus au développement cérébral/ influence environnement
ex: culture, horaires, routines
= consolidation du sommeil, moins fragmentée
la croissance physique:
hérédité
la taille et le poids sont fortement déterminés par l’hérédité
croissance de rattrapage, si ce n’est pas trop sévère (maladie, nutrition)