Cours 4 Flashcards

1
Q

Les types de relations sociales (3)

A

Relations sociales formelles

Relations personnelles

Relations parent-enfant

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Q

Relations sociales formelles ?

A

inclue les gens qu’on croise mais connait pas vraiment
pas d’implication affective ni sexuelle, ponctuelle ou régulière,
rapport transactionnel et utilitaire

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3
Q

Relations personnelles

A

affinité sexuelle ou affective
attachement émotionnel
intimité
signification de la relation (importante)
vécu affectif qui est gratifiant pour les deux (réciproque)
un choix

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4
Q

Relations parent-enfant

A

pas un choix, obligation

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5
Q

Qu’est-ce qui dicte le type de relation ?

A

Nature de l’implication qui dicte le type de relation

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6
Q

relation formelle et personnelle sur un …

A

continuum

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7
Q

3 dimensions des relations interpersonnelles

A

 Dimension projective : on se projette
 Dimension historique : dans le temps
 Dimension potentielle : permise par dimensions projective et historique

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8
Q

relation formelle : pauvreté dans la dimension …
dimension … pas très raffinée

A

historique
potentielle

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9
Q

Les caractéristiques des relations interpersonnelles (3)

A

 Durée de l’interaction
 Participation de deux partenaires
(ex: participation d’un seul partenaire = formel comme un cours avec un professeur qui parle)
 conduite sociale/normes : on considère l’impact de nos comportements sociaux sur l’autre

 En bref: l’interaction nécessite une référence au contenu et à la qualité de ce contenu
** ces indicateurs ne sont pas sufisants
**
(une seule caractéristique n’est pas suffisante pour une relation personnelle)

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10
Q

Les aspects affectifs et cognitifs des
relations interpersonnelles
Les interactions de l’individu avec son partenaire sont..

A
  • Sélectives (selon la personne)
  • Teintées par des attentes
  • Associées à une valeur (au sein d’une relation il y a plusieurs interactions, chaque interaction différentes possèdent une différente valeur, ex: parler de la météo vs des futur enfants)
  • Associées aux sentiments et aux émotions de chacun
  • Associées aux expériences antérieures accumulées (répertoire interactionnel)
  • Influencées par des normes (comportements partagés par un groupe, ce qui se fait et fait pas)
  • Actives
  • Dynamiques (aspect temporel, évolutif)
  • Régulières : aspect sélectif (agir de la même manière avec un personne en particulier) et général (comment agir généralement avec tout le monde)
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11
Q

Relations interpersonnelles et cadre social

A

 Règles de conduite en société (courtoisie, morale sociale, politesse)
 Règles spécifiques à chaque type de relation
 Systèmes sociaux impliquant des normes et des règles:
o Tributaires d’un répertoire de comportements propres à la relation
o Tributaires de rôles spécifiques aux protagonistes
o Tributaires de lieux et environnements spécifiques (amis de job, amis d’école, amis de sport)

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12
Q

Les règles régissant la relation (4)

A
  1. Règle de satisfaction- récompense (prise de distancer ou rupture dans insatisfaction)
  2. Régulation de l’intimité
  3. Coordination et évitement des
    difficultés (viser l’atteinte de buts communs)
  4. Comportements envers des tierces personnes (règles données entre les personnes en relation)
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13
Q

Étude sur les règles universelles en relation (4)

A
  1. Le respect de la privacité d’autrui (régulation de l’intimité)
  2. La prescription de regarder l’autre dans les yeux au cours de la conversation
    (régulation de l’intimité)
  3. Ne pas divulguer les confidences dont on a fait l’objet (comportements envers des tierces personnes)
  4. Ne pas critiquer son partenaire ou ami.e devant autrui (coordination et évitement des difficultés)
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14
Q

Le rôle de l’attachement en relation

A

relation parent-enfant est à la base de l’attachement, prédit les relations sociales plus tard

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15
Q

Chez le bébé, l’attachement laisse place à …

A

la socialisation (parents, école, fratrie, groupes)

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16
Q

socialisation se forme de trois manières?

A

o Formation de l’identité par la différenciation avec autrui (se décentrer de soi même, s’intéresser sincèrement à l’autre)

o Apprentissage de la reconnaissance

o Modélisation des comportements parentaux

17
Q

Les épisodes considérés comme les plus positifs dans la vie?

A

l’amitié, la vie sociale et le fait d’être amoureux

18
Q

Relations sociales satisfaisantes = ?

A

meilleure santé mentale, physique et un sentiment de bonheur

19
Q

Réactions à la solitude selon la théorie de l’attribution (4)

A
  • Internes-stables: (p.ex., attribution à leur personnalité, leurs caractéristiques)
  • Internes-instables: (p.ex., attribution au manque d’effort)
  • Instables-externes: (p.ex., parce que je viens de déménager)
  • Stables-externes: (p.ex., les autres m’excluent intentionnellement)
20
Q

3 approches tentent d’expliquer le désir d’affiliation ?

A
  1. Les théories de l’apprentissage
  2. La théorie de la comparaison sociale
  3. La théorie des échanges sociaux
21
Q
  1. Les théories de l’apprentissage
A

renforcement positif : gratification associée à être en compagnie de l’autre et le besoin d’approbation de l’autre nécessaire à la formation de l’identité

22
Q
  1. La théorie de la comparaison sociale
A

besoin de l’autre pour créer son identité, faut se comparer à l’autre, des standards
besoin d’ajustement aux sujets similaires à nous

23
Q
  1. La théorie des échanges sociaux
A

besoin de l’autre pour d’atteindre des buts et la gestion du stress et émotions désagréables

24
Q

Le stress et l’autre - PARTIE 1

A

préfèrent attendre en compagnie d’autrui
o Interprétations : distraction ou comparaison

25
Q

Le stress et l’autre - PARTIE 2

A

Résultats
o Groupe 1: les femmes choisissent d’attendre seules
o Groupe 2: les femmes choisissent d’attendre avec des compagnons d’infortune
o Interprétations: similitude de l’expérience et comparaison sociale

o Attention aux nuances…
- partage de l’anxiété avec l’autre
- similitude de l’individu est plus importante que similitude de l’expérience

26
Q

Niveau de développement

A

 NIVEAU I: La prise de conscience de la présence d’autrui, la formation des impressions (instrumental, régulier)
 NIVEAU II: L’exploration mutuelle (se voir hors du cadre initial habituel)
 NIVEAU III: La réciprocité de l’intérêt pour autrui (auto révélation, sortir de la superficie)

27
Q

Facteurs déterminants l’attraction mutuelle

A

 La proximité physique (effet de familiarité)
 L’apparence physique
 Le rôle des valeurs et des attitudes (similaires aux nôtres)
 Le rôle de la compétence d’autrui (on préfère les gens qu’on trouve compétents)

28
Q

Similitude versus complémentarité en relation
SIMILITUDES

A
  • La similitude sociodémographique
  • La similitude de l’attractivité physique
  • La similitude des attitudes
  • La similitude effective versus la similitude à l’idéal de soi
29
Q

Similitude versus complémentarité en relation
COMPLÉMENTARITÉ

A
  • La complémentarité des besoins
     Domination/soumission; tendance à protéger/ à être protégé
     Étude (Kerckhoff et Davis, 1962): la similitude est importante au début d’une relation alors que la complémentarité prend de l’importance ultérieurement (hypothèse de filtrage)
    important pour la durabilité d’un couple
    hypothèse du filtrage :
    1. Attraction mutuelle (avec ses facteurs)
    2. Similitude
    3. Complémentarité
  • La complémentarité des ressources
30
Q

hypothèse du filtrage

A

le plus important en premier

1. Attraction mutuelle (avec ses facteurs)
2. Similitude
3. Complémentarité

prend de l’importance ultérieurement

31
Q

La réciprocité de l’attraction

A

jugements positifs augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la personne source des jugements

32
Q

Le rôle de la perception de soi et de la confiance dans l’attraction ?

A

Étude (Walster, 1965): la réciprocité de l’attraction
jugements positifs augmente l’attraction que peut ressentir l’individu envers la personne source des jugements

33
Q

Le rôle des attentes dans l’attraction
Étude (Tanke et Bershied, 1977)

A

Résultats
1-Les sujets attractifs sur les photos sont jugés plus positivement sur l’ensemble des caractéristiques sociales et de personnalité par les sujets masculins
2-Les sujets masculins se montrent plus amicaux envers leur partenaire si celle-ci est attractive (selon la photo)
3-Le comportement verbal des sujets féminins se module à l’attitude des sujets masculins
Bref,
« Les attentes influencent non seulement le comportement du sujet, mais également le comportement de la personne cible de ces attentes »

34
Q

Le processus relationnel Schutz (1960)
(théorie pulsionnelle = toute relation est satisfaisante)
Prosessus relationnel se forme selon trois besoins fondamentaux:

A
  1. L’inclusion (attirer l’attention du parent et éviter l’abandon)
  2. Le contrôle (comportements génèrent un contrôle sur le parent)
  3. L’affection
35
Q

Les théories de l’apprentissage

A

 Exposition à autrui
* Attention au passage de l’amour passionnel à l’amour-compagnonnage
* L’exposition à autrui explique seulement ce qui se produit au début d’une relation (effet familiarité, mais trop peut diminuer passion)
 Conditionnement classique
* Recherche des renforcements positifs (de plaisir), évitement des renforcements négatifs (de la douleur)

36
Q

Les théories de l’échange et de l’interdépendance

A

balance des bénéfices doit dépasser les coûts (perte de libertés, responsabilités, etc.)

récompense = renfo

Les ressources (ce que chaque individu apporte comme compétences, expériences et possibilités dans la relation)

 La dépendance de la valeur (valeur des ressources)

 Les alternatives (personnes alternatives)

37
Q

Les modèles de l’équité

A

en bref ; balance coûts/bénéfice pour chacun des partenaires et comparaison, équivalent ?

 Comparaison sociale dans la perception des bénéfices réciproques
 Perception d’injustice en relation
 Calcul coût-bénéfice pour soi et pour l’autre
 Les individus cherchent à restaurer l’équité relationnelle
* Manipulation des coûts-bénéfices
* Dissonance cognitive

38
Q

Les théories cognitives

A

besoin fondamental de cohérence et d’équilibre cognitive.

 Confirmation du système de pensée: source du sentiment d’attraction
 Système de pensée (croyances, valeurs, attitudes)
 Motivation fondamentale à maintenir et entretenir des relations équilibrées