Cours 4 Flashcards
Quelles sont les conclusions de l’étude de Wen et al.
Plus la durée de l’exercice journalier augmente, plus le taux de mortalité quelque soit la cause diminue.
l’étude de Renaud et Bherer Donne des effets d’entraînement mon prix par trois types d’études quels sont-ils?
Étude longitudinale : les cours de personnes Angers activement moins de déclin connectifs que les personnes inactive.
Étude transversale : les personnes Angers qui pratiquent une activité Things hier présente moins de déclic une petite associé à l’âge que les individus sédentaire
Étude d’intervention : un programme d’entraînement physique qui favorise l’amélioration des performances cognitive chez les personnes âgées sédentaire
Étude de Barnes et al de 2003 montre quoi?
Les personnes actives on est meilleure car dans tous les domaines. Autant au niveau de l’attention et de la vitesse de traitement de l’information que dans la fluidité. Les résultats à part la mémoire verbale sont assez similaire.
Quels sont les conclusions de l’étude de Larson et collaborateurs.
Elle a été fait sur un grand bassin de personnes ayant 65 ans et plus. Elle montre que pour une personne comparable, la personne qui a été active (active 3 fois et + par semaine) a 30 % moins de chance de développer une démence (par rapport à une personne qui a les mêmes facteurs de risque qu’elle t’a attentes.
Pourquoi faut-il faire attention aux effets trouvé dans les études longitudinales entre l’activité physique et le ralentissement d’acquisition de démence?
Cet effet est très fort dans les études longitudinale, mais il peut être lié au fait que les personnes qui ont moins de trouble comme ici reste plus actif. Il faut donc faire attention au causalité inversés dans les études longitudinale.
Quelles sont les conclusion de l’étude de Renaud Bherer & Maquestiaux (2010)?
Il y a une meilleure attention préparatoire et une rapidité d’ex d’exécution chez les plus en forme par rapport au moins en forme. Les personnes âgées qui sont actives ont le même temps de priming que les jeunes.
Le groupe en forme ne montre pas l’effet de l’âge par rapport à la tâche de priming
pourquoi la tâche de priming est-elle bonne pour les études sont les capacités cognitives suite un programme d’entraînement?
Cette capacité est très sensible chez les personnes qui ont une atteinte au lobe frontaux. Vers 60-70 ans, les personnes âgées ont des troubles préparatoire et donc le temps augmente.
Quels sont les conclusions de l’étude de Colcombe et Kramer?
Les entraînements combiné (aérobie et résistance) de durée modérer (30 à 45 minutes) sur de longues périodes ont le plus grand bénéfice sur les tâches exécutives ou qui requièrent du contrôle attentionnel (EX : inhibition, attention divisée, alternance).
Groupe d’entraînement physique va montrer des améliorations au Town niveau du traitement de l’information, des fonctions spatial, de l’attention contrôler (temps de réponse rapide et contrôle à tensionnelles). Cet effet et plus important s’il entraînement et combiner aérobie et résistance motrices.
Quels sont les conclusions de l’étude de Renaud et collaborateurs?
L’étude étudiais l’effet d’un programme d’entraînement aérobique de trois mois sur la préparation mentale des personnes âgées. Les chercheurs ont pris 50 adultes entre 60 et 80 ans et les ont divisé en deux groupes un groupe d’entraînement aérobique de trois mois et un gros contrôle passif. Danse à chacun mais c’est groupe, ils ont divisé les participants selon leur niveau de capacité physique préalable.
La capacité VO2 Max des participants du groupe contrôle est resté similaire, alors que celle du groupe d’entraînement s’est grandement amélioré. Les chercheurs ont trouvé que l’exercice c’est efficace, mais elle a un effet différent en fonction de la capacité physique préalable de la personne. En effet, ILS ONT TROUVÉ QUE SEULEMENT LES PARTICIPANTS AYANT UNE CAPACITÉ PHYSIQUE BASSE MONTRER UNE AMÉLIORATION POUR L’ÉTAGE COGNITIVE SIMPLE. PAR CONTRE, LES DEUX GROUPES ONT MONTRÉ UNE AMÉLIORATION LORSQUE LES TÂCHES COGNITIVE ÉTAIT PLUS COMPLEXE.
Vrai ou faux. Entraîner la force musculaire n’est pas nécessaire pour arriver à des amélioration de la performance cognitive
Faut. Des études montrent une amélioration de la performance mnésique et de l’air distraction verbal après un entraînement de résistance de intensité modérée à élevé. Une autre étude montre une amélioration des fonctions exécutives également après un entraînement progressif de la force.
Que montre l’étude de Barnes (2015)?
Une activité modérée à intense augmente le flux sanguin cérébrale. La dysfonction vasculaire causée par l’âge diminue avec l’exercice. Il y a une meilleure hémodynamique et une meilleure réactivité cérébrovasculaire.
Globalement, comment aide l’activité physique pour les fonctions cognitives?
L’âge entraîne une rigidité vasculaire. Le flux et la fonction vasculaire vont être préservée plus longtemps chez les personnes actives. On augmente donc la capacité du cœur à pousser du sens, mais aussi la plasticité de vaisseaux sanguins à réagir et donc à alimenter une région qui doit être alimenté.
Dans le vieillissement, les maladies cardiovasculaires et les pathologies associées à la démence expliquent les perturbation cérébrales qu’on observe (la faible vasoréactivité, une baisse de perfusion globale et de l’atrophie du cerveau).
L’exercice physique diminue les chances d’avoir des maladies cardio-vasculaires, mais augmente aussi le contrôle des maladies cardiovasculaire (une fois que j’ai la maladie comment je le contrôle, la module, [traitement secondaire])
qu’est-ce que l’étude de Colcombe et collaborateurs (2003) montre?
L’exercice physique aérobique réduit la perte de tissu neuronaux chez les personnes âgées. On compare les personnes Angers active à des personnes sédentaire. On observe quels ont un meilleur maintien des structures cérébrale autant comparé à un groupe moins en santé, qu’aux effets connus du vieillissement.
Quels sont les conclusions de l’étude de Erickson et collaborateurs (2010)?
Le fait de marcher plus était associé avec un plus grand volume de matière grise qui lui est associé à un risque diminué d’avoir un trouble cognitif. En marchant entrée six à 9Le fait de marcher plus était associé avec un plus grand volume de matière grise qui lui est associé à un risque diminué d’avoir un trouble cognitif. En marchant entrée six à 9 miles par semaine, le risque de trouble cognitif et réduit de moitié.000 par semaine, le risque de trouble cognitif et réduit de moitié.
Quel est l’étude de Pemtikanen et coll et quelles sont ses conclusions?
Danse attitude, ils ont contraster le volume cortical et le volume total de matière grise en fonction de la capacité VO2 Max des personnes. Chez les hommes plus la VO de Max était élevé, plus le volume cortical est bon (cet effet est un peu moins présent chez les femmes parce qu’elles ont habituellement une meilleure VO2 Max que les hommes).