Cours 2.1 Épilepsie et syncope Flashcards
autrefois, l’épilepsie était attribué à…
des mauvais esprtis
QSJ; fut parmi les premiers à associer le cerveau à l’épilepsie et à évoquer le concept d’épilepsie post-traumatique
Hippocrate
Dr Robert Todd en 1849 introduit l’idée de … pour expliquer les crises épileptiques ;
décharges électriques cérébrales
QSJ; premier antiépileptique
bromide
vrai ou faux; la première classification internationale de l’épilepsie date de 1984
faux; 1964
comment définit t’on le diagnostique d’épilepsie
Gold-standard définition: 2 crises non-provoquées séparées par >24h
ou
Un EEG avec anomalies épileptiformes après une 1ière crise (Ceci augmente automatiquement le risque à >60% de faire une 2ième crise
Définition plus subjective; 1 crise non-provoquée et une probabilité de récidive de crise estimée à >60% à 10 ans (ce qui est semblable à la probabilité d’une récidive après 2 crises épileptiques)
ou
Syndrome épileptique (tableau clinique distinctif ayant comme sx convulsions)
quelle est la pathophysiologie associée à l’épilepsie
Résultat clinique d’une activité électrique anormale, synchronisée et
excessive de neurones principalement situés au niveau du cortex cérébral
concernant l’activité électrique anormale du cerveau; elle est provoquée par un déséquilibre causé par un excès de …., soit du NT … et/ou une diminution de …, soit NT
excitation; Glutamate
inhibition; GABA
Comment appelle t’on le phénomène électrique se déclenchant en crise .pileptique
Dépolarisation paroxystique massive:
complete l’énoncé concernant la dépolarisation paroxystique massive;
Un neurone cortical Ca-dépendant se
dépolarise puis subit une …. prolongée; si ce phénomène touche des millions de neurones simultanément: somme de ….qui entraîne une cascade de décharges….
hyperpolarisation
potentiels d’action
hypersynchrones
décrit les pics d’incidence de l’épilepsie
<1 an et >60 ans
vrai ou faux; le rsique à vie d’être .pileptique est de 10/15%
faux; il s’gait du risque de faire une convulsion
vrai ou faux; l’épilepsie touch tant les hommes que les femmes
vrai
envrion …% de la pop générale sont atteint d’épilepsie au canada
1%
quels sont les types de crise .pileptique
focale
focale secondairement généralisé
généralisée
quel signe permet de différencier la crise focale de la crise généralisée
focale; pas de perte de conscience
généralisé = syncope
vrai ou faux; ds une crise à début focale, L’activité électrique
paroxystique survient dans une
région localisée du cerveau
vrai; (limité à un lobe précis dans un hémisphère)
vrai ou faux; la crise à début généalisé implique l’atteinte de 2 lobes dans même hémisphère
faux; atteinte bilatérale donc 2 hémisphères
QSJ: Phénomène ictal subjectif, sans
manifestation visible. Peut
survenir isolément ou précéder
une crise importante.
Aura
quelles sont les possibles manifestations d’une crise à début focal
Début moteur:
automatismes moteurs
atonique (flasque)
clonique
spasmes épileptiques
hypercinétique
myoclonique
Début non-moteur:
automatismes
changement behaviour
congitif (e.g perte mémoire)
émotionel (e.g fou-rire incontrolable)
sensoriel
quelle est la différence entre clonique et myoclonique
Clonique : Les crises cloniques sont caractérisées par des spasmes musculaires rythmiques et répétés. Ces spasmes sont réguliers et peuvent affecter différentes parties du corps.
Myoclonique : Les crises myocloniques, en revanche, se manifestent par des secousses musculaires brèves et soudaines. Ces secousses ne sont pas rythmiques et peuvent être isolées ou survenir en salves courtes.
attention; la réponse provient de Chat pcq je savais pas
En résumé, la principale différence entre clonique et myoclonique réside dans la régularité des spasmes : les crises cloniques sont …, tandis que les crises myocloniques sont …
rythmiques
irrégulières
(encore une fois réponse de Chat)
Quelles sont les difféntes phases de la crise T-C généralisée
phase tonique
phase clonique
phase post-ictale
QSJ; crise épileptique la plus importante
crise tonico-clonique généralisée
décrit les caractéristiques de la phase tonique
Contraction de tous les muscles squelettiques
avec perte de conscience, cri “ gutural”, yeux ouverts
Durée 10-20 secondes
décrit les caractéristiques de la phase clonique
Contractions bilatérales et synchrones des
muscles faciaux et des quatre membres dont la fréquence ralentit graduellement, morsure de langue, symptômes dysautonomiques (tachycardie, hypertension, hypersalivation, dilatation pupillaire), relâchement des sphincters (selles et urine)
Durée 30 sec-2min
Décrit les caractéristiques de la phase post-ictale
Reprise progressive de l’état de conscience,
confusion, fatigue, amnésie, céphalée
Durée 10 min-qq heures, mais svnt 20-30 min
Aussi possible; Paralysie de Todd
vrai ou faux; l’amnésie post-ictale est spécifique à la syncope d’origine cardiaque
faux; caractéristique de l’épilepsie
QSJ; manifestation au visage d’un type de crise d’épilepsie qui peut s’apparenter à du machonnement
“lip-smacking”
IMPORTANT
Décrit la sémiologie de la crise épileptique selon le lobe d’hyperactivité:
Lobe temporal médial
Sensation épigastrique montante, No, déjà vu, peur, panique, odeur désagréable, dysautonomie (piloérection, pâleur, flushing, mydriase, tachycardie), automatismes oraux (mâchonnement, déglutition, lip smaking) ou gestuels, dystonie CL
IMPORTANT
Décrit la sémiologie de la crise épileptique selon le lobe d’hyperactivité:
Lobe temporal latéral
Vertiges, hallucinations auditives, aphasie
IMPORTANT
Décrit la sémiologie de la crise épileptique selon le lobe d’hyperactivité:
Lobe frontal
Atteinte motrice surtout (cortex moteur primaire ds lobe frontal)
Activité tonique ou clonique CL, version de la tête/regard/corps CL, aphasie,
mvts moteurs bilatéraux (coups de pied, pédalage)
IMPORTANT
Décrit la sémiologie de la crise épileptique selon le lobe d’hyperactivité:
lobe pariétal
Sx sensitifs CL divers
IMPORTANT
Décrit la sémiologie de la crise épileptique selon le lobe d’hyperactivité:
Lobe occipital
Atteinte cortex visuel primaire
Flashs lumineux, perte de vision, hallucinations visuelles
quelles sont les possibles étiologies de l’épilepsie
structurelle, génétique, infectieuse, métabolique, immune et idiopathique (inconnue)
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
structurelle
anomalie connue pour aug le
risque (ex. AVC, trauma, tumeur, dysplasie
corticale)
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
génétique
cause identifié/présumée
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
infectieuse
cause la plus commune d’épilepsie dans le monde; surtout parasite (neurocysticercose, malaria), abcès
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
métabolique
changement bcx 2nd (ex. maladie mitochondriale, déficience dans le transporteur du glucose)
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
immune
inflammation cérébrale par
processus auto-immun (ex. épilepsies reliées
aux encéphalites autoimmunes)
décrit l’étiologie suivante de l’épilepsie:
inconnue
d’un tiers ad 50% des cas
quelle est l’investigation de base en epilepsie (réalisé ds tous les cas)
Bilans sanguins: glycémie, FSC, ions/urée/créatinine, bilan hépatique, Ca/Mg/P, TSH, bilan toxico
Imagerie par IRM
EEG (electroencéphalogramme)
quelles sont les autres investigations possibles selon le cas
PL, tests génétiques, bilan métabolique et/ou autoimmun poussés
EEG
Développé par … en 1924
Les signaux détectés et enregistrés
sont générés par des courants extra
cellulaires produits par le …
Hans Berger
flux d’ion transmembranaire
EEG
vrai ou faux; au moins 5 cm^2 de cortex doit être activé pour enregistrer des anomalies
épileptiformes
faux; 10 cm^2