Cours 12 - Commerce Électronique et Sécurité Flashcards
▪ Tim Berners-Lee: inventeur du Web
▪ Web 1ere vague (“read-only web”)
❑ Peu d’interactions avec l’utilisateur
❑ Peu de génération de contenu par l’utilisateur
❑ Beaucoup de prédictions pour le B2C, mais peu de
réalisations
▪ Web 1ere vague (« read-only web »)
❑ Pour organisations = Outil pour diffuser de l’information
* à tout le monde et à tout moment
❑ Peu de créateurs/beaucoup de consommateurs de contenu
❑ L’internaute est passif, il est lecteur/receveur de l’information
❑ Premiers sites simulaient de vrais magasin physiques « brick
and mortar ». Vitrine virtuelle.
▪ Web 2e vague
❑ Web 2.0 (« read and write Web »)
* Plus d’interaction entre les utilisateurs Web et les sites
* L’internaute n’est plus seulement consommateur de contenu,
il contribue à créer de l’information sur le Web
* Web 2.0 encourage la participation, la collaboration et le
partage d’informations
* Réseaux et médias sociaux
* Blogs
* « Technologies et modèles d’affaires qui reposent sur le
partage et la collaboration au niveau des individus »
▪ Web 3e vague
❑ Web 3.0
* I have a dream for the Web [in which computers] become
capable of analyzing all the data on the Web — the content,
links, and transactions between people and computers. A
“Semantic Web”, which should make this possible, has yet to
emerge, but when it does, the day-to-day mechanisms of
trade, bureaucracy and our daily lives will be handled by
machines talking to machines. The “intelligent agents” people
have touted for ages will finally materialize.
o Tim Berners-Lee, Weaving the Web (1999)
* Intelligence artificielle ou web sémantique (c.-à-d. langage
utilisable par d’autres logiciels et des agents intelligents)
Comprendre le Web Sémantique
▪ Avant l’Internet… l’ère des silos de
documents (difficulté de partage des
documents)
❑ Les documents (contenaient des informations
qu’on recherchait) était en silo
❑ On écrivait des documents qui faisaient référence
à d’autres documents (ex. les bibliographies)
❑ Si je cherchais à obtenir ces autres références, je
devais faire une demande auprès de ma
bibliothèque
* C’était à moi de localiser ces documents
❑ Donc, avant l’Internet… il existait pleins de
documents, éparpillées partout (dans plusieurs
bibliothèques et dans des collections privées) et
ils étaient parfois difficiles à trouver. Certains
documents étaient accessible, d’autres non.
Web 1.0 – L’ère du hyperlien
❑ L’invention du hyperlien
* L’idée était de connecter des documents ensemble.
* En cliquant le lien, je pouvais maintenant trouver le
document qui m’intéressait sans avoir besoin de
savoir où ce document se trouvait.
❑ L’internet (par l’intermédiaire du Web) est venu
abstraire le processus de localisation des
documents. En d’autre mots, tout l’aspect et l’effort
physique rattaché à la recherche documentaire a
été transformé et même éliminé.
* D’un clique de la souris, on venait d’éliminer le déplacement
physique, le remplissage de formulaires d’emprunt, l’attente,
etc.
Pensez au Web 1.0 = Un Web de documents sous forme électronique, interreliés ensembles, grandement facilitant leur accès.
Le Web 1.0 était conçu avec l’idée que le consommateur principal du Web était
l’être humain
Web 1.0 – L’ère du hyperlien
- Pensez au Web 1.0 = Un Web de
documents sous forme électronique,
inter-reliés ensembles, grandement
facilitant leur accès. - Le Web 1.0 était conçu avec l’idée que le
consommateur principal du Web était
l’être humain
Le Web 1.0 consistait de:
▪ Pages statiques
▪ Où le contenu était diffusé à partir de documents (par ex., livres et
articles scientifiques ou populaires sous formats électroniques)
hébergés sur des serveurs sur l’Internet.
Le Web 2.0 – Le début des médias sociaux
▪ Médias sociaux
▪ Données encore en silo… donc difficulté de
partage des données entre ces plateformes.
Web 2.0 = le Web des
applications et
médias sociaux en
silos. Partage des
données encore
difficile dans le Web
2.0.
Le Web 3.0 – Connexion des données
▪ On voulait aller plus loin que
le simple partage des
documents… on voulait
maintenant réduire les silos
de données
▪ Faciliter partage des données
entre applications et médias
sociaux.
❑ Par ex., informations sur votre
emploi sur LinkedIn pourraient
être disponibles sur Facebook
▪ On cherchait à créer des
liens entre faits (les
données) contenus dans
les documents
Conçu avec l’idée que le
consommateur principal du
Web sont des agents
intelligents et applications
Exemple: Web 1.0 vs. Web Sémantique
▪ Je veux aller voir un concert de mon artiste préféré…
▪ Solution Web 1.0:
* Je visite le site de l’artiste en question pour voir la date et l’emplacement
du prochain concert (par ex., à Dallas)
* Je visite ensuite un site de météo pour savoir quelle température
approximative il fera dans cette ville à cette date pour savoir comment
m’habiller.
o Je deviens un peu confus car le site me présente les températures en oF. Je
dois donc aller sur un autre site pour convertir les oF en oC.
* Je visite un autre site pour savoir le prix des billets d’avion et le coût de
l’hôtel.
o Malheureusement, je dois convertir l’argent en CAD car le site montre ça en
$US
▪ Solution Web Semantic:
* Je demande à un agent intelligent… tel que Siri.
* (Siri) « Quelle sera la température dans la ville où se tiendra le prochain
concert de XXXXXXX ».
* (Siri) « Quel est le prix le moins cher du billet d’avion pour m’y rendre à
temps en taxi de l’aéroport? »
Le Web Sémantique…
▪ C’est la connexion entre les données (les faits).
▪ C’est la connexion entre les données (les faits) à
travers toutes les plateformes que vous utilisées
en ligne, tous les programmes, et le contenu
que vous généré en ligne, etc..
Le Web sémantique s’intéresse au lien entre
les données et non pas entre les documents.
Défi: Le contenu sémantique est accessible aux
humains mais moins (facilement) aux
ordinateurs…
Besoin de développer
l’intelligence artificielle pour
mieux reconnaître ce que les
données/infos/contenus
veulent vraiment dire pour
faire de meilleurs liens.
Siri… j’ai besoin de vacances, trouve
moi quelque chose, disons pour une
semaine en Mai
- il cherchera à travers mes photos de
vacances sur FB pour savoir ce qui
me plait… La plage? Ski dans les
montagnes? Croisières?…
Web 1.0 et Technologies Perturbatrices
▪ Darwinisme numérique
Implique que les organisations qui ne peuvent
pas s’adapter aux nouvelles demandes exigées
pour survivre dans l‘ère de l’information sont
condamnées à l’extinction.
❑ Comment est-ce que des grandes entreprises comme
Polaroid/Kodak auraient pu faire faillite?
Plusieurs compagnies ont sous-estimé l’impact qu’allait
avoir de nouvelles technologies (par ex., Kodak et l’arrivé
des cameras digitales) pour leur industrie
Pensez aujourd’hui aux compagnies de médias
traditionnelles. Par ex., CNN. Elles ont de la difficultés à
s’adapter à l’ère de l’Internet où vous et moi peuvent
facilement créer du contenu en ligne.
Technologie perturbatrice vs technologie de
soutien
▪ Qu’ont en commun les bateaux à vapeur,
les radios à transistor et le processeur 8080
d’Intel?
❑ Technologie perturbatrice
Une nouvelle façon de faire les choses qui ne répond
pas initialement aux besoins de clients actuels.
❑ Technologie de soutien
Offre des produits améliorés que les clients désirent
acheter, comme une auto plus rapide ou un disque
dur de plus grande capacité.
Perturbateurs suprêmes = Internet
▪ L’internet/Web est à la fois une technologie de soutien
mais aussi une technologie perturbatrice.
▪ Les organisations doivent être en mesure de
transformer les marchés, les milieux économiques
causés par les changements technologies.
▪ Une organisation peut capitaliser sur l’opportunité de
croissance offerte par une technologie perturbatrice en
mettant l’accent sur l’inattendu.
Adaptation au Web 3.0
▪ Comment s’adapter et tirer profit du Web 3.0 et des
données
❑ L’intelligence d’affaire:
* Pour s’adapter les compagnies doivent impérativement être capables de
transformer leurs données internes et externes (issues des réseaux sociaux et de
l’internet des objets), en information prescriptive permettant d’anticiper les
changements, de réagir plus rapidement que leurs concurrents et d’adapter leurs
stratégies.
❑ Amélioration des processus d’affaires…
Adaptation au Web 3.0
▪ L’adaptation = flexibilité à l’interne + ouverture au
changement
❑ Pas surprenants que plusieurs géants sont tombés
* Nokia, BlackBerry, etc.
* Grosses compagnie = beaucoup de ressources, mais elle sont lentes à réagir.
* BMW, Ford, Sony… sont arrivées tard sur le Web. Plusieurs croyaient que le
commerce électronique via l’Internet n’était qu’une fantaisie passagère.
❑ On continue à sous-estimer les changements perturbateurs que le
Web et l’Internet peuvent amener.
▪ Même des grands économistes tel que Paul Krugman
se sont trompés au sujet de l’impact de l’Internet…
❑ Les freins à l’adaptation sont nombreux.
- (1) L’organisation traditionnelle = en silos (verticale) et en
départements distincts.
o Les processus souvent horizontaux… activités se retrouvant
dans plusieurs départements.
o Coordination est parfois un défi. - (2) Absence de sentiment d’urgence.
o Compagnies croient avoir le temps de voir venir les technologies
perturbatrices.
o Souvent, quand elles réagissent… c’est déjà trop tard !
Adaptation au Web 3.0
▪ Pour s’adapter, il faut innover
❑ L’évolution doit être permanente, rapide et continue.
* La semaine prochaine, on parlera de nouvelles approches rapides pour
développer de nouveaux systèmes, tel que « Agile » qui est de plus en
▪ Le client est central
❑ Customer centric
▪ Nécessaire de mobiliser tous les canaux à sa
disposition pour conduire ce changement, pour
convaincre le maximum d’acteurs au sein de
l’entreprise, à tous les niveaux.
▪ Convaincre les acteurs de l’entreprise que le
transformation digitale est nécessaire.
Commerce Electronique
▪ Commerce électronique (Ecommerce)
L’achat et la vente de biens et services sur Internet.
▪ Les affaires électroniques (Ebusiness)
Toutes les activités liées aux opérations
d’affaires internes et externes.