cours 11 Flashcards

1
Q

Termes divers : dysfonctions sexuelles, difficultés sexuelles, troubles sexuels, problèmes sexuels
Définition

A

Problème qui perturbe le cycle de la réponse sexuelle (désir/excitation/orgasme) et qui limite la capacité de
l’individu à ressentir de la satisfaction sexuelle (Chen et al., 2013)
- Peut affecter toutes les phases de la réponse sexuelle
- Comorbidité de plusieurs dysfonctions sexuelles possible
- Classification selon le DSM-V : Diagnostic and statistical manuel of mental disorders
*ex: trouble anorgasmie chez la femme et éjaculation précoce chez l’homme pas rare dysfonction chez 2 partenaires

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2
Q

Dysfonctions sexuelles = fréquentes ou non?

A

fréquentes :
10-52% des H et 25-63% des F

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3
Q

Quel est le motif principal de la consultation en sexologie?

A

une ou plusieurs dysfonctions sexuelles comme motif principal
- 50% - les troubles du désir sexuel
- 26,3% - les dysfonctions érectiles chez l’homme
- 27,3% - les troubles de la douleur

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4
Q

Quels sont les 3 plus grand motifs de consultation pour les femmes?

A
  1. Troubles du désir (diminution, absence) (67%)
  2. Douleur à la pénétration (52%)
  3. Difficultés orgasmiques (38%)
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5
Q

Quels sont les 3 plus grand motifs de consultation pour les hommes?

A
  1. Difficultés érectiles (42%)
  2. Troubles du désir (33%)
  3. Éjaculation prématurée (32%)
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6
Q

Première étape de l’évaluation sexologique

A

Distinction entre stimulation sexuelle inadéquate vs. dysfonction sexuelle effective

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7
Q

Quels sont les 2 sous-types de problèmes sexologiques?

A
  1. Primaire vs. secondaire (se développent dans le temps ex: troubles érectiles)
  2. Situationnelle vs. généralisée
    *situationnelle = ex: avec une partenaire pas capable érection mais seul il est capable pour masturbation
    *généralisée = en tout temps
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8
Q

Quelle est la deuxième étape de l’évaluation sexologique?
implique? (5 facteurs)

A

Puis, investigation en profondeur..
1. Les facteurs liés au partenaire (turn off?)
2. Les facteurs relationnels
*communication, patern (quel type partenaire)
*seulement dans cette relation ou…?
3. Les facteurs de vulnérabilité individuels
*difficultés affirmation de soi
4. Les facteurs culturels et religieux
*éducation (famile), en quoi elle croit
5. Les facteurs médicaux
*ex: diabète (composer avec dysfonction)

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9
Q

Quels 3 critères ça prend pour un diagnostic?

A
  1. Durée ≥ 6 mois
  2. Souffrance clinique significative
  3. S’assurer que la difficulté sexuelle n’est pas mieux expliquée par… :
    - Autre affection médicale (ex: atteinte des nerfs pelviens, maladie chronique, paralysie, etc.)
    - Autre trouble mental non sexuel (trouble dépressif ou bipolaire, TSPT (trouble du désir secondaire à une dépression), trouble psychotique)
    - Effets d’une substance (antidépresseurs, alcool, drogue)
    - Souffrance relationnelle sévère (violence conjugale)
    → Dans ces cas, la difficulté sexuelle n’est pas considérée comme un trouble en soi
    comme le symptôme d’un.e autre difficulté/trouble
    → Référence vers professionnels approprié (médecin, psychiatre) si nécessaire

*diagnostic différentiel = donc doit s’assurer que peut pas être expliqué par autre chose

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10
Q

TROUBLE DE L’INTÉRÊT POUR L’ACTIVITÉ SEXUELLE OU DE L’EXCITATION SEXUELLE CHEZ LA FEMME
5 manifestations
+ …?

A
  1. Peu ou pas d’intérêt envers les activités sexuelles (chez femmes: excitation et désir imbriqués)
  2. Peu ou pas de fantaisies imaginatives sexuelles
  3. Absence de prises d’initiatives dans les activités sexuelles et généralement peu de réceptivité envers les prises d’initiatives du/de la partenaire
  4. Peu ou pas de sensations d’excitation (lubrification) ou de plaisir sexuel (en lien avec des caresses génitales ou non-génitales).
  5. Peu ou pas d’intérêts pour les stimuli érotiques internes (souvenirs) ou externes (i.e. verbaux, visuels, écrits) (porn, démonstrations du partenaire)
    *vu que tâche, mais quand même souffrance parce que l’impression pas accès à une partie d’eux-même

+ Détresse clinique significative

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11
Q

TROUBLE DE DIMINUTION DU DÉSIR SEXUEL CHEZ L’HOMME
manifestion
prévalence (2)

A

Manifestations :
- Déficience ou absence de pensées érotiques, de fantaisies sexuelles et de désir de s’engager dans des activités sexuelles

Prévalence :
- 6% des jeunes hommes (18-24 ans)
- 41% des hommes plus âgés (66-74 ans).

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12
Q

C’est quoi les 2 sous-types de trouble du désir?
(hommes et femmes)

A
  1. Désir hypoactif :
    - Absence ou diminution persistante et répétée du désir sexuel et/ou absence ou peu de pensées/fantasmes érotiques
  2. Aversion sexuelle :
    - Aversion/répulsion excessive pour les contacts sexuels avec partenaire
    *peut être lié aux traumas sexuels; troubles anxieux (mettons hypocondriaque)

Parmi les dysfonctions sexuelles les plus difficiles à traiter car peu/pas de leviers (rien à se racrocher) d’intervention et motivation souvent extrinsèque (souvent motif de consultation vient pas de la personne elle-même)

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13
Q

Trouble du désir, masque?
4 sous-points

A

Un trouble du désir peut masquer des difficultés sexuelles de tout autre ordre. Par exemple…
- Sexualités atypiques: fétichisme, voyeurisme, exhibitionnisme, paraphilies.
*pas pas désir sexuel juste pas pour sexualité normaphilique
- Questionnement quant à l’orientation sexuelle, à la genralité
- Relation(s) extraconjugale(s)
- Dépendance à la pornographie
*toujours masturbation avec le meme contenu

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14
Q

Quelles sont les 3 manifestations typiques du trouble de l’érection?

A
  1. Difficulté marquée/incapacité à obtenir une érection
  2. Difficulté marquée à maintenir une érection
  3. Diminution marquée de la rigidité de l’érection
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15
Q

Donne des manifestations cliniques du trouble de l’érection

A

atteinte à l’identité sexuelle/estime de soi, peur ou évitement des activités sexuelles, refuge dans la masturbation/pornographie
→Chez le/la partenaire : ↓ satisfaction sexuelle et ↓ désir sexuel
*doit questionner sur dépression
*au début très compréhensif mais après impatient (très souffrant)
*ont du désir, veulent vivre la sexualité mais peuvent pas

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16
Q

C’est quoi la prévalence des troubles érectiles?

A

difficile à évaluer : ±13-21% hommes âgés de 40-80 (++ après 50 ans)

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17
Q

TROUBLE LIÉ À DES DOULEURS GÉNITO-PELVIENNES OU À LA PÉNÉTRATION
anciennement…?

A

Anciennement distincts (dyspareunie + vaginisme), maintenant applicable pour tout le monde
(pas genré)

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18
Q

TROUBLE LIÉ À DES DOULEURS GÉNITO-PELVIENNES OU À LA PÉNÉTRATION
définition

A

douleurs persistantes et récurrentes (réelles ou anticipées (peur!!)) au niveau des organes génitaux avant, pendant et/ou après le rapport sexuel.
- F : brûlures, élancements, pressions, crampes
- H : douleurs au pénis/gland/testicules, douleurs à l’éjaculation et douleurs postorgasmiques

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19
Q

C’est quoi le vaginisme chez les femmes?

A

Difficultés persistantes et récurrentes provoquées par de fortes contractions musculaires involontaires (spasmes) du premier tiers du vagin et de l’orifice vaginal au moment de la pénétration vaginale.
*pas possible pénétration (incapacité avoir pénétration)

20
Q

C’est quoi la pratique sexuelle la plus susceptible d’être à la source du ressenti douloureux?

A

la pénétration vaginale

21
Q

Proportion significative de causes médicales pour la dyspareunie (3)

A
  1. Maladie de La Peyronie (courbure de la verge) et phimosis (62%)
  2. Déchirure du frein du pénis
  3. Troubles dermatologiques (lichen scléreux, balanite)
    →Évaluation médicale recommandée
22
Q

C’est quoi la symbolique des troubles de la douleur
(regarde diapo 22)

A

Douleurs au moment des relations sexuelles : réponse à une menace réelle ou imaginée

Stratégie d’évitement :
→Cercle vicieux de la peur
→Renforcement du trouble douloureux

23
Q

Nomme les 2 types de trouble du désir

A
  1. TROUBLE DE L’INTÉRÊT POUR L’ACTIVITÉ SEXUELLE OU DE L’EXCITATION SEXUELLE CHEZ LA FEMME
  2. TROUBLE DE DIMINUTION DU DÉSIR SEXUEL CHEZ L’HOMME
24
Q

Nomme les 3 types de trouble de la douleur

A
  1. TROUBLE LIÉ À DES DOULEURS GÉNITO-PELVIENNES OU À LA PÉNÉTRATION
  2. DYSPAREUNIE
  3. VAGINISME
25
Q

Nomme les 3 types de trouble de l’éjaculation et de l’orgasme

A
  1. ÉJACULATION PRÉMATURÉE (PRÉCOCE)
  2. ÉJACULATION RETARDÉE/ANÉJACULATION
  3. TROUBLE DE L’ORGASME CHEZ LA FEMME
26
Q

C’est quoi la manifestation de l’éjaculation prématurée (précoce)?

A
  • Un trouble récurrent ou persistant de l’éjaculation survenant approximativement dans un délai d’une minute lors de la pénétration vaginale et avant que l’individu l’ait souhaité
    *c’est quoi un délai trop court (selon la personne)
    *pathologise comportement normal sexuel
  • Difficulté à ressentir correctement les sensations pré-éjaculatoires, à déterminer l’imminence de l’éjaculation et à exercer contrôle volontaire sur celle-ci avant de dépasser le point de non-retour
    (apprendre à réguler désir sexuel)
27
Q

La définition de l’éjaculation prématurée est hétérocentrée ce qui pose problème pourquoi? (2)

A
  1. Le critère de temps n’est pas établi pour les activités sexuelles non vaginales
  2. Survenue peut être avant, au moment ou tout juste après la pénétration- ou même ne pas concerner la pénétration…!
28
Q

Donne 4 manifestations de l’éjaculation retardée/anéjaculation

A
  1. Retard marqué à l’éjaculation
  2. Absence ou diminution marquée de la fréquence de l’éjaculation
  3. Peut se présenter sous forme d’orgasme sans éjaculation (éjaculation sèche) ou sous forme d’éjaculation rétrograde
  4. Et ce, malgré niveau adéquat de stimulation sexuelle
29
Q

Quel trouble a la plainte masculine la moins fréquente?

A

Éjaculation retardée/anéjaculation

30
Q

C’est quoi le retard dans l’éjaculation retardée?

A

Retard = notion subjective …
- « Auto-diagnostic » ou plainte du/de la partenaire
- Source de tension dans le couple : sentiment d’être moins sexuellement désirable chez le/la partenaire
- Recherche de grossesse (+ problématique)

31
Q

Nomme 2 manifestations du trouble de l’orgasme chez la femme

A
  1. Absence ou retard persistant ou répété de l’orgasme
  2. Intensité nettement réduite des sensations orgasmiques
32
Q

De nombreuses femmes ont besoin de quoi pour l’orgasme?
donc?

A

« De nombreuses femmes ont besoin d’une stimulation clitoridienne pour atteindre l’orgasme » → anorgasmie vaginale lors de la pénétration ≠ considéré comme un trouble de l’orgasme
*si pas eu stimulation clitoridienne peut pas y avoir diagnostic

33
Q

3 problèmes fréquents qui peuvent être confondus avec un trouble de l’orgasme féminin?

A
  1. Méconnaissance du cycle de la réponse sexuelle (D-E-O) et de son propre corps
  2. Interroger masturbation, fréquence + modes excitatoires
  3. Anorgasmie relationnelle
34
Q

le traitement des dysfonctions sexuelles dépend de…? (2)

A
  1. Du professionnel consulté : médecin, physiothérapeute, psychologue, sexologue clinicien, etc.
  2. De l’approche privilégiée : médicale, manuelle (physiothérapie), pharmacologique, psycho sexologique (psychodynamique, TCC, interactionnelle-systémique, humaniste-existentielle, etc.)
35
Q

Qu’est-ce qui est recommandée pour dysfonctions sexuelles présentant combinaisons de symptômes psychologiques et biophysiologiques?
exemple

A

Prise en charge multidisciplinaire
Ex: prise en charge de la dyspareunie :
- Physiothérapie pelvienne (techniques de respiration, éducation périnéale, utilisation de dilatateurs)
- Sexothérapie (travail de l’évitement, identification de la menace (réelle ou imaginée), érotisation de la pénétration, etc.)

36
Q

définition sexothérapie?
but?

A
  • Déf. : forme spécialisée de psychothérapie visant le traitement des troubles sexuels
  • Individuelle ou en couple
  • But : ↑ la satisfaction sexuelle et/ou la qualité de vie sexuelle de l’individu (ou du couple)
    → Traitement recommandé dans la majorité des cas de dysfonctions sexuelle
37
Q

C’est quoi les 5 principes de base de la sexothérapie?

A
  1. Responsabilité mutuelle → idéal d’impliquer le/la partenaire
  2. La sexualité n’est pas innée
    *sexualité = apprentissage
    *importance érotisme
  3. Symptôme sexuel = signification + fonction
    *faire parler symptôme
  4. Contrôle de l’anxiété = éliminer le stress de performance
  5. Intervention personnalisée : pas une recette!
38
Q

donne 7 stratégies thérapeutiques

A
  1. Éducation sexuelle
  2. Réduction de l’anxiété
  3. Restructuration cognitive
  4. Techniques de régulation du désir sexuel
  5. Travail sur l’imaginaire et sur le potentiel érotique
  6. Stratégies relationnelles/conjugales
  7. Travail du processus émotionnel
39
Q

5 points de l’éducation sexuelles

A
  1. Très utile lorsque l’étiologie de la DS suggère une méconnaissance du corps, une stimulation inadéquate, une absence de préliminaires.
  2. Informations sur la réponse sexuelle (chaîne D-E-O)
  3. Physiologie de la réponse sexuelle (interactions du système nerveux autonome (SNA) parasympathique et sympathique) + système de récompense du cerveau
  4. Planche anatomique
  5. Informations techniques sur positions sexuelles, anatomie, cycles reproducteurs, etc.
40
Q

C’est quoi la réduction anxiété?
(6 sous-points)

A

→Ensemble de stratégies visant la relaxation, la détente
- Techniques de respiration
- Méditation en pleine conscience
*quand plus attentif à ce qui nous entoure, plus attentif à soi et à l’autre
- Désensibilisation systématique
*étapes graduées pour se rapprocher de l’objectif
- Techniques de visualisation combinée à relaxation profonde
- Accolade relaxante
- Sensate focus

41
Q

5 points restructuration cognitive

A
  1. Auto-observation/identification des distorsions cognitive (ex : colonnes de Beck)
    - Surgénéralisation : « ça va toujours arriver… »
    - Minimisation : « c’était pas grave… c’était rien… »
    - Lecture de pensée (de l’autre; souvent erronée…)
    - Mauvaise fortune/malchance
    - Pensées impératives : « je dois… »
    - Catastrophe : « elle va me tromper/me quitter… »
  2. Modification des scripts et des scénarios sexuels
  3. Étiquetage des distorsions cognitives « in vivo »
  4. Désamorçage des peurs et des idées reçues envers la sexualité
  5. Technique d’impact
42
Q

C’est quoi technique de régulation du désir sexuel?
(4 points)

A

→Techniques visant à mieux reconnaître la progression du désir en fonction des ressentis corporels (ex: reconnaître point de non retour)
1. Masturbation avec présence attentive
*revenir habiter son corps (doit apprendre à redescendre dans le corps)
2. Technique arrêt-départ
*quand sens orgasme arrête pour prendre pause
3. Technique de compression
*appuyer au niveau du frein
4. Exercices de sensibilisation progressive
- Interdit de se masturber/sexe pendant x temps (pour éjaculateur retardé)
- Exercices progressifs de stimulation sexuelle personnelle et
mutuelle

43
Q

4 points travail sur l’imaginaire et sur le potentiel érotique

A
  1. Travail de la désirabilité érotique (auto-identification des
    atouts, qualités en tant qu’amant.e)
    *pas porn (imaginer dans notre tête)
  2. Diversification des expériences sensuelles et sexuelles
    - Exposition à de nouveaux stimuli érotiques (ex: lectures et/ou balados érotiques, jouets sexuels)
    - Exploration et expérimentation
  3. Masturbation (fantasmique)
  4. Analyse des rêves érotiques/de la fantasmatique et
    imaginaire érotique (fantasme du roi/de la reine)
44
Q

4 points stratégies relationnelles/conjugales

A
  1. Communication intime et sexuelle
  2. Identification et gestion des tensions/conflits
  3. Accolade en pleine conscience
  4. Activité de sensibilisation corporelle/sensate focus
45
Q

C’est quoi le travail du processus émotionnel
(7 sous-points)

A

Processus émotionnel : ressentir (physiologiquement) → identifier → accepter → exprimer
- Reconnaître les réactions physiologiques associées à l’émotion vécue au moment de l’expérience de la sexualité
- Identifier le registre émotionnel vécu au moment de la sexualité
- Validation émotionnelle + développement de l’auto-validation
- Affirmation de l’émotion (auprès du/de la partenaire…), assertivité
- Travail de régulation émotionnelle
- Travail de la communication
- ÉCOUTE

46
Q

Viagra

A
  • Traitement oral des troubles érectiles
    —> Pas des pilules magiques :
    —> Aucun effet sur le désir
  • Ne provoquent pas l’érection en elle-même → facilitent la
    vasocongestion seulement…
  • Béquille qui peut entériner la dysfonction érectile
    (développer confiance envers la médication et non pas envers soi-même)
  • Effets secondaires :
    —> Rougeurs/rougissements
    —> Maux de tête
    —> Risque de priapisme
47
Q

EFFETS DES DROGUES ET SUBSTANCES SUR LA FONCTION SEXUELLE

A

Alcool, marijuana, cocaïne, méthamphétamines (crystal meth), MDMA (ecstasy), héroïne, kétamine (hallucinogène), LSD (acide), poppers (inhalants), MDPV (bath salts et cie…)…
- ↓ inhibitions
- ↑ sensations physiques
- ↑ désir sexuel
- ↑ plaisir sexuel
- ↑ pression sanguine immédiate → ↑ excitation et capacité érectile
- MAIS
—> Altération hormonale
—> ↑ des troubles et dysfonctions à moyen et long terme…
—> Dose trop élevée : renversement des effets