cours #11 Flashcards
ala métaphore pour concevoir la prise de décisions organisationnelle
L’organisation est vue comme un système de traitement de l’information/un ordinateur.
- La rationalité peut être définie comme :
« …un comportement intentionnel et raisonné qui cherche un but
prédéfini ».
Modèle rationnel de la prise de décisions
Définir le problème
Identifier toutes les options
Identifier les résultats probables
Comparer et faire un choix
Évaluer les résultats
Conditions idéales pour une prise de décisions rationnelle
Une liste complète des options disponibles.
* La connaissance de chacune des options et de leurs résultats
probables.
* Des capacités suffisantes de traitement de l’information et d’évaluation.
* Une quantité de temps suffisante.
sur quoi se focalise la prise de decision
direction de l’organisation et
activitee
Causes de la rationalité limitée (« bounded rationality »)
- Des informations imparfaites et incomplètes.
- La complexité des problèmes.
- Le temps disponible pour la prise de décisions.
Les conséquences de la rationalité limitée (March & Simon, 1958; Simon, 1960).
– l’incertitude : manque d’information nécessaire.
– l’ambiguïté : interprétations multiples.
* Satisfaire (trouver une solution qui satisfasse les exigences de la situation) superieur optimiser (trouver la seule solution optimale)
Quatre modèles de la prise de décisions (Thompson & Tuden, 1959)
Modele Rationnel- Modele de Coalition
Modele essai-erreur-Modele de la poubelle
Le modèle de la poubelle (March, Cohen, & Olson, 1972)
- La poubelle est une métaphore pour concevoir la prise de décisions comme la sélection aléatoire des déchets.
- La prise de décisions implique souvent la coïncidence entre des problèmes, des solutions, des décideurs et des choix.
Le phénomène/problème de
« pensée de groupe » ( « groupthink »)
un mode pensée dans lequel on s’engage lorsqu’on est profondément impliqué dans un groupe cohésif
Symptômes de pensée de groupe
Illusion de l’invulnérabilité (« rien ne peut aller mal »).
* Illusion de la moralité (« nous sommes justes ! »).
* Stéréotype négatif des personnes hors groupe
* La censure de soi (pas d’acceptation des opinions divergentes).
* Illusion de l’unanimité.
* Pression directe sur les dissidents.
Le débat sur le rôle des émotions dans la prise de décisions Herbert Simon (1987)
l’importance de l’expérience, de la mémoire et du pressentiment (« feeling »).
* Simon a catalogué les décisions basées sur :
– l’intuition et le jugement = décisions non rationnelles.
– les émotions = décisions irrationnelles.
Deux facettes
- Les émotions comme un élément du travail/de la tâche.
- Les émotions comme un élément des conditions du travail. (Miller, 2003)
Les émotions comme un élément du travail
Les émotions sont régulées d’une façon organisationnelle
(les travailleurs affichent certains types de sentiments pour satisfaire aux attentes des rôles organisationnels)
Ex. : « Un client ne devrait jamais se demander si vous passez une mauvaise journée. Vos préoccupations devraient être cachées par un sourire ». « Jeu de rôles en surface »
Les émotions comme un élément des conditions du travail
Les individus dans tous les rôles organisationnels éprouvent des émotions dans leur travail :
(influence externe –> pas liee au taches) (jeu de role en profondeur)
– La vraie passion (ou « non-passion ») pour sa profession.
– Les relations avec les collègues et les clients.
– Les tensions entre la vie professionnelle/publique et privée.