cours 10 - Effets de l'exercices sur la fonction immunitaire Flashcards
constats de l’effet de l’exercices sur l’immunité:
“you are only as strong as your immune system”
-plus grande incidence de (upper respiratory tract infection) ou des systèmes de grippe après effort intense et prolongés surtout ceux très long effectué sans prise de nourriture… surentrainement est possiblement aussi associé avec une dépression de la fonction immunitaire…
les athlètes ont es t pas cliniquement immunodéficient, mais plusieurs petits changements de multiples paramètres peuvent rendre les athlètes pllus à risque de contracter maladies mineurs communes
-plus grande incidence de (upper respiratory tract infection) ou des systèmes de grippe après effort intense et prolongés surtout ceux très long effectué sans prise de nourriture… surentrainement est possiblement aussi associé avec une dépression de la fonction immunitaire…
les athlètes ont es t pas cliniquement immunodéficient, mais plusieurs petits changements de multiples paramètres peuvent rendre les athlètes pllus à risque de contracter maladies mineurs communes
l’hypothèse de la fenêtre ouvert “open-window” c’est quoi?
la théorie de la fenêtre ouverte est qu’un exercice modéré provoque de légers changements immunitaires, mais en revanche, un exercice prolongé et intensif (90 mins ou plus) entraîne un ralentissement de l’immunosurveillance qui augmente la probabilité d’infection opportuniste des voies respiratoires supérieurs.
baisse de immunosurveillance = baisse du nombre de cellule tueuse naturelle et/ou de leur activité, baisse nombre lymphocytes (IgA / IgM)
diminution du nombre de cellule NK persistant durant 72h
pendant l’exercise, qu’est qui en est avec l’exposition des poumon aux bactérie et ou virus? augmente-t-elle ou diminue-t-elle? et pourquoi et nomme des stats aussi
pendant l’exercise, l’exposition des poumons aux bactéries et virus en suspensions augmente à cause de la fréquence et de la profondeur accrues de la respiration
l’allergie et l’inflammation des voies aériennes causées par la respiration d’un air froid, sec ou pollué sont une autre cause de l’URS qui peut être prise par erreur pour une infection respiratoire chez les athlètes
selon (Nieman et al., 1990):
-le volume de course a pieds:
100km/ sem vs 32 km/sem
2x + d’épisodes infectueux
-compétition:
participation à un marathon ou non
13% vs 2% d”incidence de grippe ou de rhume
nomme trois autre cause que (l’inspiration d’air sec, froid et polué) pouvant affecter l’immunité (et pouvant amener une inflammation post-exercice) et expliquer la
1.l’activité physique peut causer des dommages mécanique (microlésions musculaires) suivis d’une réponse inflammatoire
ce processus inflammatoire impliquant neutrophiles, macrophages, cytokines qui provoquent l’activation des cellules satellites.
- le stress physique provoqué par les exercices plus intense à prouvé qu’il a augmenter le niveau d’IL 6 par rapport à un même groupe avec exercice continu modéré.
- le surentrainement: par de marquer objectif déterminant, mais test sur souris qui nage pendant très lgt vs souris qui nage pas est on a remarquer:
- diversité microbienne inférieur des souris nageuse vs non nageuse
- modification structurelle anormale du foie
- atrophie du thymus et de la rate
Effet protecteur:
il existe plusieurs théorie de comment l’exercice modéré augmente l’immunité à certaines maladies: (~5)
• De façon générale, l’exercice modéré provoque une modification positive de l’activité immunitaire
• De façon localisée: l’activité physique peut aider à
éliminer les agents infectieux des poumons et des voies
respiratoires.
• De façon localisée: l’exercice peut contribuer à des
changements positis au sein du microbiote intestinal et
à sa relation étroite avec le système immunologique.
• La brève augmentation de la température corporelle
pendant et juste après l’exercice peut empêcher la
prolifération des agents pathogènes.
• L’exercice pratiqué régulièrement diminue la libération
des hormones du stress et diminue l’inflammation
systémique
selon une étude avec des personne âgées: après 6 mois d’exercice modéré, il y avait un augmentation des valeur des paramètres du systèmes immunitaire et une diminution des marqueurs d’inflammation
l’effet le plus probant des effets protecteur par rapport à la charge d’exercice ?
diminution de 20% associés aux infections des voies respiratoires supérieurs (URTI) lorsque la charge d’entrainement est modérée plutôt que élevé.
on rapporte une diminution de 20% des risques de développer une infection respiratoire (pouvant aller jusqu’à 40-50%)
l, exercise à court terme (40-60 min) et les exercices d’intensité modéré (50 à 75% VO2 max) effectué au moins trois fois par semaine affectent positivement le système immunitaire
nommes d’autres facteurs que l’exercice (ou en lien avec) pouvant augmenter le risque d’infection (~8) et donner les facts de chaque, (pas besoin de savoir chaque bhay, juste avoir une petite idée)
-compétition mauvaise température (pire en hiver):
les donnés présentes indiques par que les conditions autos que normales (ex: froid, grosse chaleur, ou altitude) semble avoir incidence sur la réaction immunitaire à l’exercice
-le genre
selon étude: compétitions internationales et dans les épreuves d’endurance où 5 à 21 % des athlètes d’élites avec proportion plus élevé chez les femmes connaissent des épisodes de maladie après
…aussi, au Jeux Olympique, taux plus élevé d’infection est dans l’athlétisme…
et athlètes d’endurance sont supposément 10x plus susceptibles d’avoir maladie pendant les championnats que athlètes de force/vitesse
-le manque de sommeil
test sur 852 athlètes, ont démontré que le risque d’URTI était plus élevé chez athlètes ayant signalé un stress important et un manque de sommeil… aussi une quantité déduite de sommeil était associées à une incidence accrue de maladie dans les 7 jours suivants
-l’alimentation inadéquate (surtout carence protéine, kilocalories et micro nutriments essentiels)
preuves scientifiques insuffisantes, mais certains suppléments semble stimuler le système immunitaire comme la quercétine, la bière sans alcool, thé vert, (riche en polyphénols végétaux), le colostrum, l’échinacée et autre…
…attention aus carences en fruits et légumes, en pro biotiques Lactobacillus et en micro nutriments essentiels, en macro nutriments et en kilocalories
-la non prise de glucide durant l’exercice
une disponibilité accrue de glucide pourrait combattre l’immunodépression induite par l’exercice, incluent des réponses lymphocytaires positive à la grippe, au tétanos et au rhinovirus pendant l’exercice
-le stress psychologique
voir section manque de sommeil
- des niveaux élevés de dépression ou d’anxiété
- des longs vols d’avions
-la muqueuse intestinale
Une augmentation de la perméabilité de l’intestin peut également favoriser l’entrée d’endotoxines bactériennes de l’intestin dans la circulation, surtout pendant l’exercice prolongé par temps chaud.
Recommandation chez les athlètes pour jumeler l’exercice et l’immunité
1.
1.Gestion de la charge d’entraînement et de compétition
a. Développer un plan d’entraînement et de compétition détaillé et individualisé qui prévoit également une récupération suffisante en utilisant des stratégies de sommeil, de nutrition, d’hydratation et psychologiques.
b. Utilisez de petits incréments lorsque vous modifiez les charges d’entraînement (généralement < 10 % par semaine).
c. Développer un calendrier des événements de compétition basé sur la santé de chaque athlète.
d. Surveiller les premiers signes et symptômes de dépassement, de surentraînement et de maladie.
e. Éviter les entraînements intensifs en cas de maladie ou de signes et symptômes précoces de maladie.
f. Participer aux systèmes actuels de surveillance des maladies par les agences sportives.
Recommandation chez les athlètes pour jumeler l’exercice et l’immunité
2.
- Stratégies hygiéniques, de style de vie, nutritionnelles et comportementales
A. Minimiser l’exposition aux agents pathogènes en évitant tout contact étroit avec des personnes infectées dans des espaces clos et surpeuplés et en ne partageant pas d’ustensiles pour boire ou manger. Le personnel médical doit isoler les athlètes infectés.
B Limitez le contact main-face (c.-à-d. l’auto-inoculation) et lavez-vous les mains régulièrement et efficacement. Le personnel médical doit éduquer les athlètes afin de minimiser la propagation des agents pathogènes aux autres (par exemple, éternuer et tousser dans le creux du coude).
c. Suivez d’autres pratiques d’hygiène pour limiter tous les types d’infections, y compris les rapports sexuels protégés et l’utilisation de préservatifs. Portez des chaussures ouvertes lors de l’utilisation des installations publiques, afin de limiter les infections cutanées. Utilisez un insectifuge et couvrez les bras et les jambes avec des vêtements à l’aube ou au crépuscule.
d. Maintenir les vaccins nécessaires pour les voyages à domicile et à l’étranger; se concentrer sur la vaccination antigrippale annuelle.
e. Comme indiqué dans la section sur les maladies gastro-intestinales, lors d’un voyage à l’étranger, tous les membres de l’équipe doivent minimiser les risques en buvant dans des bouteilles scellées. Ils doivent également éviter les aliments tels que les fruits et légumes frais non pelés, les buffets ouverts, les viandes insuffisamment cuites et les aliments des vendeurs ambulants.
f. Suivez des stratégies qui facilitent un sommeil régulier et de qualité.
g. Éviter la consommation excessive d’alcool.
h. Consommez une alimentation bien équilibrée avec suffisamment d’énergie pour maintenir un poids santé ; se concentrer sur les céréales, les fruits et les légumes pour fournir suffisamment de CHO et de polyphénols qui réduisent l’inflammation induite par l’exercice et améliorent la protection virale
Recommandation chez les athlètes pour jumeler l’exercice et l’immunité
3.
- Gestion de la charge psychologique
a. Suivez les techniques de gestion du stress qui réduisent la charge superflue des tracas et du stress de la vie. b. Développer des stratégies d’adaptation qui minimisent l’impact intériorisé des événements et des émotions négatifs de la vie. c. Surveiller périodiquement les stress psychologiques à l’aide des instruments disponibles.
l’activité physique et la transmission de la covid 19
les infections respiratoires aiguës (IRA) sont causées par des virus ou des bactéries respiratoires, étant la maladie la plus infectieuse chez l’homme… Covid 19 = syndrome respiratoire aigu sévère 2…
l’activité physique induit important augmentation de la ventilation pulmonaire et amène un rejet accru de microgoutelettes dans l’air expiré qui amène un plus grand risque de transmission ou de contraction de la covid 19. C’est un risque de pratiquer les sports d’équipe et en intérieur.
A. l’influence de l’exercice (modérées vs intense et prolongé) sur la covid 19
B. l’inactivité et les risques de sévérité de la covid 19:
A. l’influence de l’exercice (modérées vs intense et prolongé) sur la covid 19
Des exercices longs et/ou de haute intensité (au-dessus de 80% VO2max et 2h) sont associés à des marqueurs immunosuppresseurs, dans lesquels il y a une augmentation de la production de cytokines pro- inflammatoires (IL-6, IL-8, TNF-α et IL -1) et une diminution des cellules du système immunitaire (cellules NK, lymphocytes T et B et neutrophiles). Ainsi, ces individus sont plus prédisposés à être touchés par des infections (principalement des infections des voies respiratoires supérieures), ce qui peut augmenter le risque d’infection et d’aggravation par le Covid-19.
Influence of exercise and vitamin D on the immune system against Covid-19: an integrative review of current literature - 2022
Des preuves récemment publiées montrent qu’un sous-groupe de patients atteints de cas graves d’infection par le nouveau coronavirus présente un syndrome de tempête de cytokines (hypercitokinémie) déclenchant une réponse inflammatoire élevée. La pratique régulière d’exercices physiques d’intensité modérée aide à neutraliser les processus inflammatoires.
B. l’inactivité et les risques de sévérité de la covid 19:
étude:
• Age moyen des participants était de 47 ans • Trois groupes :
• le groupe le moins actif qui faisait moins de dix minutesd’activité physique par semaine (6,4 % des sujets),
• le groupe le plus actif qui en faisait plus de 150 minutes par semaine (14,4 % des sujets),
• le groupe intermédiaire.
Conclusion :
• les gens les moins actifs étaient deux fois plus susceptiblesd’être hospitalisés en raison de la
COVID que les plus actifs, et 2,5 fois plus susceptibles d’en mourir. Leur risque d’aboutir aux soins intensifs était aussi presque deux fois plus élevé.
• Les sujets modérément actifs du groupe intermédiaire étaient quant à eux presque deux fois
plus susceptibles de mourir de la COVID que les sujets les plus actifs.
les influences de la vitamine D contre la covid 19:
Le maintien des niveaux de vitamine D entre 40 et 60 ng/mL (100–150 nmol/L) est en mesure de minimiser le risque et la gravité de l’infection au Covid-19. Associé à cela, la réalisation d’une activité physique sur une base régulière et modérée, est en mesure de favoriser un cadre de protection contre les infections déclenchées par des micro-organismes intracellulaires, puisque l’exercice procure une augmentation de l’activité antioxydante de l’organisme, assurant ainsi une surveillance immunitaire accrue.
-The immune-modulatory effects of exercise should be favorably harnessed against COVID-19 - 2021
Cette crise du COVID-19 impose une révolution des habitudes et des modes de vie à laquelle les sociétés actuelles semblent peu préparées.
La distanciation sociale peut être naturellement associée à des niveaux réduits d’activité physique : le fait de résider à domicile peut augmenter les comportements sédentaires (temps assis, regarder la télévision, utiliser des appareils intelligents). À son tour, cela peut entraîner l’aggravation de maladies chroniques telles que l’obésité, le diabète de type 2, l’hypertension et les effets délétères du vieillissement.
Une faible forme physique, des conditions dysmétaboliques (ex.: obésité) et un système immunitaire altéré pourraient être gravement néfastes pour un sujet exposé à ce coronavirus, le SRAS-CoV-2.
De plus, les conséquences induites par les changements sociétaux en réponse à une telle infection virale pandémique peuvent aggraver les problèmes psychosociaux en affaiblissant les défenses immunologiques (« psychoneuroimmunité »).
-Changes in physical activity and sedentary behaviours from before to during the COVID-19 pandemic lockdown: a systematic review - 2021
Soixante-six articles remplissaient les critères d’inclusion et ont été inclus dans la revue (n total = 86 981). Des changements dans l’activité physique ont été rapportés dans 64 études, la majorité d’entre elles rapportant des diminutions de l’activité physique et des augmentations des comportements sédentaires pendant leurs confinements respectifs dans plusieurs populations, y compris des enfants et des patients souffrant de diverses conditions médicales.
-Is Physical Activity Associated with Less Depression and Anxiety During the COVID-19 Pandemic? A Rapid Systematic Review -2021
Nous avons identifié un total de 21 études observationnelles (4 longitudinales, 1 transversale avec analyse rétrospective et 16 transversales), comprenant des informations sur 42 293 participants (âgés de 6 à 70 ans, femmes médianes = 68 %) des cinq continents. Les premières preuves suggèrent que les personnes qui pratiquaient l’AP régulièrement avec un volume et une fréquence plus élevés et maintenaient les routines d’AP stables, présentaient moins de symptômes de dépression et d’anxiété. Par exemple, ceux déclarant un temps total plus élevé passé en AP modérée à vigoureuse avaient 12 à 32 % de chances en moins de présenter des symptômes dépressifs et 15 à 34 % de présenter de l’anxiété.
W
