Connaissance et Estime de soi Flashcards

1
Q

Pourquoi étudier la communication interpersonnelle?

A

• Pensez au déroulement de votre journée…
• Avec qui on a parlé, sur insta, snap, avec qui on a interagi
• On en vie à tous les jours
• Influence
• Nos relations;
• Nos comportements;
• Nos pensées;
• Nos émotions;
• Notre bien-être; (personnel)
• Etc.

• Objet de questionnements, de préoccupations (et de longues analyses!)
• Grand nombre d’interprétations possibles pour une même interaction
(Voir une personne à l’épicerie, elle est bête, je pense qu’elle est méchante, mais en fait elle pense juste à autre chose)
L’importance d’un corps de communication établie
• Le verbal, mais aussi le non verbal

La communication interpersonnelle est partout
• Vie personnelle, au travail, à l’université, dans les loisirs, etc.
• Dans les médias (OD, Big Brother)

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2
Q

La communication interpersonnelle c’est quoi?

A

Important de mettre des thèmes
• La définition change selon les auteur.e.s et les époques
• Ex: Est-ce qu’on inclut uniquement les interactions face-à-face?
• Ex: Est-ce qu’on inclut les formes indirectes de communication (p. ex., Instagram, Snapchat, Tik Tok, Facebook, etc.)?

Une approche centrée sur le message

La communication interpersonnelle est un processus social complexe dans lequel les personnes qui ont établi une relation de communication échangent des messages dans le but de générer des significations partagées et d’atteindre des buts sociaux (Burleson, 2010).

Le but est de transmettre des messages

La communication interpersonnelle est un processus social complexe dans lequel les personnes qui ont établi une relation de communication échangent des messages dans le but de générer des significations partagées et d’atteindre des buts sociaux (Burleson, 2010).

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3
Q

Relation de communication

A

Implique des intentions expressives et interprétatives réciproques entre le destinateur et le destinataire

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4
Q

Précondition nécessaire à la communication

A
  • Intention de la source
  • Reconnaissance de l’interlocuteur.rice de l’intention de la source
  • Reconnaissance de la source de l’intention de l’interlocuteur.rice

Quelqu’un (interlocuteur) transmet un message (état interne) à un destinataire (doit comprendre les expressions de la source)
Doit absolument être réciproque (être accueillit pour dire mon message)

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5
Q

Messages

A

Symboles partagés dans un contexte spécifique pour transmettre un état interne;
- Expression conventionnelle au sein d’une communauté (symbole universel, émoji)
- Importance du contexte (ok d’une amie en texto vs mon père)

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6
Q

Significations partagées:

A

Implique une compréhension commune des états internes associés aux messages;

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7
Q

Buts sociaux:

A

Buts spécifiques au.à la destinateur.rice et au.à la destinataire qui impliquent la participation d’autres personnes. Impliquent la gestion des relations et des objectifs liés à la gestion de l’interaction. On a besoins des autres (besoins d’affiliation)

• Buts de la source (soutenir, divertir, plus buts sociaux, communiquer)

• Buts de l’interlocuteur.rice (compréhension, répondre aux demandes, réagir)

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8
Q

La communication verbale

A

L’influence du langage sur les relations interpersonnelles
- Les messages plus ou moins directs
- Indirect: L’émetteur utilise un moyen détourné pour transmettre son message
- Permet d’exprimer un désir sans blesser l’autre
- Risque de malentendus ou de conflits

Les messages sur soi et les autres
- Parler constamment de soi vs ne jamais rien révéler sur soi

vocal: (Parole, mots prononcés)
Non vocal: (mots écrits, montrés par gestes)

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9
Q

La réaction de l’interlocuteur

A

Négation d’autrui: Processus interactif qui consiste à nier l’autre dans une relation donnée.
Toi tes rentrés tard hier, donc moi ce n’est pas grave. Ne pas rejeter ce que la personne communique, c’est dire ce que tu me dis ne compte pas/ne marche pas dans cette situation. Pas nécessairement une comparaison, en fait c’est plus ce que tu me dis, je m’en fou

Rejet d’autrui: Expression de notre désaccord avec le message de la personne.
Je ne suis pas d’accord, arrête de crier, mais je ne dis pas que ce n’est pas important ou que ça ne m’affecte pas

Reconnaissance d’autrui: Comportement verbal ou non verbal par lequel nous manifestons que nous avons remarqué une personne et que nous l’acceptons telle qu’elle se définit et selon la relation qu’elle veut établir avec nous.
Tu as raison j’aurais dû t’appeler, reconnait les besoins de l’autre. Pas nécessairement d’accord, tu ne t’excuse pas

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10
Q

La communication non verbale

A

L’importance de la communication non verbale (cnv)
- La CNV et la transmission de l’information affective
- Possible contradiction entre la CNV et la CV (je ne suis pas fâché en criant)

Dans ce cas, on se fie davantage à la CNV ou à la CV? La CNV car elle est plus difficilement cachée. Plus spontané
Peu utiliser pour communiquer des idées

Vocal: ton de la voix, soupirs, silence (un long silence dans une convo), cris, débit de la parole

Non vocal: apparence, mouvements corporels, expressions faciales, gestes

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11
Q

La cnv et la cv dans les relations interpersonnelles
Les 6 liens possibles entre les deux

A

L’accentuation
• Permet de mettre l’accent sur une partie du message (intonation, expression faciale, gestes, etc.) les mots sont importants, mais souligner ce qui est le plus important peut encore mieux transmettre

La complémentarité
• La CNV s’ajoute à la CV pour transmettre nos attitudes et nos intentions, qui à leur tour influencent l’analyse des signaux verbaux. Dire quelque chose et le faire, je t’aime et agit en fonction

La substitution
• Contextes dans lesquels la CNV est plus appropriée/possible que la CV. Sur les pistes d’avion, communiquer avec les pilotes

La répétition
• La CNV peut reprendre ou répéter ce que nous avons dit verbalement. Deux lait deux sucres et tu montres avec les doigts en même temps

La régulation
• Des messages verbaux. Faire un petit signe que je veux parler (lever la main)

La contradiction
• Ex: sarcasme. Il fait chaud, mais je grelotte

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12
Q

Les multiples facettes du soi (3)

A

Le soi: ensemble des idées, des croyances, des sentiments et de comment on se comporte

Cognitive:
Connaissance de soi, ce que je suis
sentiment positif et négatif sur nos comportement/pensée. Suis-je une bonne personne

Affective:
Estime de soi
Appréciation et évaluation de soi-même = comment je m’aime

Comportementale:
comment je me présente envers les autres
Comment j’agis

Les 3 facettes ont un impact sur nos interactions

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13
Q

Deux points de vue sur la conscience de soi
Soi privé vs soi public
Voir photo

A

Privé: Aspects de soi invisibles pour les autres (ex: croyances et valeurs)

Public: Aspects de soi visibles pour les autres (ex: apparence physique et comportements)

Les deux sphères s’inscrivent dans le modèle des 3 facettes

Expériences passées forgent mes croyances/valeurs
Situation sociale influence: dans certains contextes je me présente d’une certaine façons vs d’autres situations

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14
Q

La connaissance de soi (cognitive)
Comment favoriser la connaissance de soi?

A

• Introspection
• Test de personnalité
• Méditation/spiritualité
• Thérapie
• Astrologie
Lorsqu’on sait qui on n’est, cela affecte nos relations interpersonnelles

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15
Q

Concept de soi: une idée révolue?

A

On n’a pas toujours accès à toutes les parties de nous-même. Dans certains contextes certaines partie de nous plus saillante vont ressortir. Et d’autre que d’autre partie prendrons plus de places

Connaissance de soi: ensemble des idées et des perceptions que chaque personne a d’elle-même (ou croit)
◦S’appuie sur plusieurs concepts (des concepts de soi)

◦Idées multiples Hannah montana (comportement de chanteuse) et Miley (comportement d’ado) deux sphères de personnalité différentes, mais même soi

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16
Q

Les sources d’information sur soi
Compréhension des réalités observées

A
  1. Introspection
  2. Perception de ses propres comportements
  3. Appréciation directe ou indirecte des autres
  4. Comparaisons sociales
17
Q
  1. L’introspection
A

◦ Observation interne de soi, de nos états d’âme
Penser à soi, comment on pense, soi privé, pas une observation sensorielle

2 éléments:
◦ Composante personnelle (peut seulement être fait par la personne qui la vit, ne peut pas être observé de l’extérieur)

◦ Composante interprétative (pas d’indice externe, il faut vraiment interpréter personnellement)

◦ Attention à l’interprétation! Une situation peut mener à une interprétation fausse (relation de couple)

◦ Difficulté dans la reconnaissance de ses émotions (je suis fatiguer = difficulté d’interpréter des émotions = j’ai eu de la difficulté à gérer mon stress donc je suis déprimer, je vis des affects dépressifs)
Voir alexithymie

18
Q

L’alexithymie

A

◦Difficultés liées à l’identification et à l’expression des émotions

◦Évitement des émotions
◦Somatisation (hypertension, troubles alimentaires, abus de substance, trouble traumatique)
◦Comportement de restriction ou gavage afin de réguler les états internes
◦J’ai un mal être et je veux combler ce sentiment

◦Implication non négligeable des relations interpersonnelles
◦Normes sociales (familiale: parents qui ne sont pas dans la capacité de parler d’émotions avec leurs enfants (tabou), les enfants ne sont pas capable d’associé les émotions et leurs expressions)

◦Soutien social (moins bon soutien sociale car pas capable d’exprimer ce qu’il ressente et compétence sociale réduite car pas capable d’identifier les émotions chez les autres)
Ressentir sentiments physiqueset ne pas savoir qu’elle est cette sensation
Pas de liens entre la somatique et quelle est cette émotion

19
Q

Les relations amoureuses d’une personne alexithymique

A

N’empêche pas les relations, peut être difficile pour le partenaire

◦Difficulté à exprimer ses émotions
◦Difficulté à décoder les émotions de son.sa partenaire

◦Toutefois, une personne alexithymique peut tomber amoureuse, aimer. Elle peut aussi souffrir
La personne a des sentiments, mais elle ne les identifie pas

20
Q
  1. La perception de ses propres comportements
A

◦Perception de soi: compréhension de nos états internes basée sur nos comportements passés

◦Contradictions possibles: Il faut rester critique

21
Q
  1. L’appréciation directe ou indirecte des autres
A

Réseaux sociaux

Jugement réfléchi: Utilisation des éléments d’information correspondant à la manière dont nous croyons que les autres nous perçoivent.

J’agis d’une certaine façon avec un groupe, le groupe vont réagir à ces comportements. La réaction va agir aussi sur moi.
On va plus prêter attention au comportement de nos amies vs un inconnu

Crédibilité et cohérence avec nos actions

22
Q
  1. Les comparaisons sociales
A

Festinger, 1954 pionniers dans la psychologie sociale

3 postulats
1. L’individu a besoin d’évaluer ses habiletés et attitudes adéquatement; (veut être capable de s’évaluer)

        2. Si aucun critère objectif n’est disponible, il se compare aux autres pour s’évaluer; (je suis gentille (pas de niveau absolu) donc on se compare aux gens gentils/méchants qu’on connait)

        3. L’individu a davantage tendance à se comparer à des personnes semblables à lui. Me comparer au gens qui ont des compétences similaires sur la dimension qu’on cherche à comparer

2 fonctions: distinguer des autres et s’inscrire dans un groupe/collectivité

Modification des idées que l’individu a de lui-même
Importance du contexte
Identité personnelle vs collective

23
Q

Améliorer la connaissance de soi
Pourquoi est-ce important de se connaître soi-même et les 4 moyens

A

Plus facile de communiquer nos besoins lorsqu’on connait qui on est.
Déterminer nos forces et faiblesses. Faire de l’introspection et savoir quoi travailler.
Améliore la communication interpersonnelle/rentrer en relation avec les autres.
Et avoir une bonne maitrise de soi.

4 moyens
◦ Écouter les autres (indices non-verbaux, comment les gens réfléchissent)

◦ Se renseigner sur soi (utiliser la rétroaction, est-ce que j’ai été bête? Non = ok great)

◦ S’imaginer comment chacun voit autrui (selon les différentes personnalités, liés aux contextes)

◦ Se révéler aux autres (on peut faire des liens en discutant avec les différentes perceptions)

24
Q

L’estime de soi (affective)

A

Composante affective du soi qui renvoie à l’évaluation subjective des aspects positifs et négatifs de soi-même.

Qui suis-je = pas juste positif ou négatif

Idées et sentiments que ces idées ne font ressentir
Influence mon estime

Croyances peuvent changer dans le temps, mais est généralement stable

25
Q

Les déterminants de l’estime de soi

A
  1. L’écart entre le soi réel, le soi idéal et le soi obligé
  2. Les réussites en fonction de ses ambitions
  3. L’approbation des autres
  4. La comparaison avec autrui
26
Q
  1. L’écart entre le soi réel (dans le présent), le soi idéal (trait idéal) et le soi oblige (surmoi, vision de nous-même avec des traits qu’on croit posséder)
A

◦Comparaison entre qui nous aimerions être (soi idéal et soi obligé) et qui nous sommes réellement (soi réel)

◦Conséquences d’un trop grand écart entre les 3?
Souvent des écarts. Le problème = trop grand écart = déception, frustration, dépression, culpabilité, honte … voir tableau

Conséquence générale: l’estime baisse

Si notre soi idéal n’est pas atteignable = échec après échec = dépression/anxiété

Si on baisse le soi idéal/obligé = compétence peut être plus facilement atteignable

Grand écart entre soi réel et idéal: déception, frustration et insatisfaction = mène à la dépression

Grand écart entre soi réel et obligé: culpabilité, honte et amertume = mène à l’anxiété

27
Q
  1. Les réussites en fonction de ses ambitions
A

◦ Le soi obligé et le soi idéal représentent nos ambitions.

◦ Les succès, garants d’une bonne estime de soi? Dépend du succès, niveau de difficulté de la tâche, l’importance pour nous.

◦ Facteurs de la valeur des réussites
Non, ne se base pas seulement sur nos réussites

4 facteurs de satisfaction
- Difficulté de la tâche (si pas difficile = moins satisfaisant)
- Originalité de l’action (important ou non pour nous)
- Reconnaissance sociale (les gens nous félicite)
- (Très important) ambitions premières (objectif de la tâche à faire) (avoir 60% à l’examen vs un bolé qui veut 100%)

28
Q
  1. L’approbation des autres
A

◦ Quelles personnes ont le plus d’impact sur notre estime de soi?
◦ Les gens importants pour nous (amis et famille)
◦ La théorie du sociomètre

29
Q

La théorie du sociomètre (Leary & Baumeister, 2000; Leary & Downs, 1995)

A

◦ Besoin fondamental d’être accepté.e par les autres: une question de survie

◦ Obtenir, maintenir et rétablir l’approbation des autres

◦ Éviter à tout prix la désapprobation (théorie de l’attachement)

◦ Estime de soi a évolué pour:
◦ Surveiller à quel point on est apprécié.e et accepté.e par les autres;

◦ Évoquer des sentiments positifs ou négatifs qui signalent un changement dans l’approbation des autres;

◦ Fournir une perspective sur la façon dont on peut être accepté.e dans des interactions futures afin que l’on puisse essayer de prévenir une éventuelle désapprobation.

◦ Estime de soi trait:
◦ Jauge à long terme, sentiment durable (expérience passé, état émotionnel général ex déprimé/joyeux/comblé)

◦ Estime de soi état:
◦ Jauge à court terme, approbation immédiate (sur le coup, si l’homme réussit à trouver une relation avec les autres = trait reste stable malgré la diminution de l’estime de soi état)

◦ Affects suscités par les fluctuations de l’estime de soi devraient donc motiver les gens à éviter l’exclusion dans leurs interactions futures.

30
Q
  1. La comparaison avec autrui (toujours de la comparaison)
A

◦ Étude de Morse & Gergen (1970) comment la comparaison affecte l’estime de soi (participants qui veulent le job. Un des gars qui veulent le job est habiller trash = estime de l’autre participant monte. Un des gars qui veulent le job arrive super professionnel «M. net» = baisse d’estime)

◦ Avec qui se compare-t-on? On s’associe au canadiens quand il gagne, mais pas quand il perd.
Quand on veut remonter notre estime, on se compare avec des gens «inférieurs» et vice versa

31
Q

Pourquoi avons-nous besoin d’une estime de soi positive?

A

Le soi filtre l’information et intègre, mais pas toute l’info. On intègre plus l’info qui a un effet positif ou de maintien sur notre estime

32
Q

Les 2 processus de l’estime de soi
Voir photo

A

Haute estime = attente positive envers compétence = succès = estime augmente

Faible estime = attente négative envers la performance = échec = estime diminue

Pas figé dans le temps, peut changer avec approbation/désapprobation

33
Q

Comment conserve-t-on une estime de soi positive?
Les 7 secrets

A
  1. Le biais de complaisance
    ◦ Je suis responsable de mes réussites et mes échecs sont attribuables aux autres. Ex: note à l’examen, bonne note = moi, mauvaise = le prof
  2. Le handicap intentionnel
    ◦ Anticipation des conséquences d’un échec sur l’estime de soi. Ex: je suis poche aux jeux de société (anticipation de l’échec)
  3. L’attention sélective auto avantageuse
    ◦ Se concentrer sur ses points forts au détriment de ses points faibles. Ex: je suis poche en math, mais je suis excellente en français
  4. La sur confiance cognitive
    ◦ Surestimation de la validité de nos idées. Ex: si j’acheté des billets de loto à tous les jours, je pense que j’ai plus de chance de gagner. La réalité est que non. Avoir trop confiance en nos idées et moins tendance de s’informer sur les idées qu’on pense savoir.
  5. Le biais de la rétrospective
    ◦ « Je le savais. » Ex: réécrire nos souvenirs pour qu’on aille raison «je savais que j’allais pas être prise»
  6. Le biais du faux consensus/de la fausse unicité
    ◦ Surestimer/sous-estimer à quel point les gens se comportent comme nous.
    ◦ Tendance à croire que nos attributs négatifs sont plus courants qu’ils ne le sont en réalité = effet du faux consensus ex: tout le monde est traineux
    ◦ Tendance à croire que nos attributs positifs sont exceptionnels = effet de fausse unicité ex: je suis vraiment une personne généreuse
  7. L’illusion du contrôle
    ◦ Expliquer les événements dus au hasard/inexplicables en faisant référence à soi. Ex. j’ai gagné au poker à cause que j’ai mis ma paire de bas porte bonheur