CM2 Flashcards

1
Q

Sur quoi porte ce cours ?

A

Il porte sur la mémoire.

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2
Q

Définition de la mémoire :

A

Un système à mémoire est un dispositif de traitement, naturel ou artificiel, qui présente la caractéristique de pouvoir coder l’information extraite de son expérience avec l’environnement, de la stocker dans un format approprié, puis de la récupérer et l’utiliser dans les opérations qu’il effectue ou les actions qu’il mène sur le monde.

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3
Q

Quand s’est passé le développement de la psychologie cognitive ?

A

Développement de la psychologie cognitive : années 1950. Collaboration avec l’informatique.

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4
Q

A quoi s’intéresse le paradigme d’étude de la mémoire ?

A

Selon cette définition, le paradigme (=cas de théorie conceptuel dans lequel on se situe pour étudier quelque chose) d’étude de la mémoire implique de s’intéresser à 3 phases :

-Encodage

-Stockage

-Récupération

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5
Q

Qu’est ce que l’encodage ?

A

Encodage : Des information d’origine perceptive sont transformés en une trace mnésique constituant une représentation interne.

A partir de ce que l’on a perçu, on va former un souvenir d’un évènement. Ce souvenir peut être différent selon la personne, même si les personnes ont vécu le même évènement. Ce que l’on a en mémoire n’est pas le réel, mais une représentation du réel, ou représentation interne. Souvenir= trace en mémoire ou trace mnésique.

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6
Q

Qu’est ce que le stockage ?

A

Stockage : La représentation constituée est stockée de manière latente (=elle va être stockée dans un état inactif).

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7
Q

Qu’est ce que la récupération ?

A

Récupération : la représentation stockée de manière latente est réactivée. (Restitution)

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8
Q

Que peut-on dire de la mémoire et de l’oubli ?

A

La mémoire est un processus interne, on ne peut pas l’observer directement.

Interpréter l’oubli n’est pas évident car cela renvoie à des processus internes qu’on ne peut pas étudier directement.

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9
Q

Pourquoi mémorise-t-on des choses ?

A

-> 1ère possibilité : encodage volontaire. Nous avons en mémoire des choses que nous avons voulu retenir. Activité volontaire, intentionnelle.

-> 2ème possibilité : apprentissage incident. Il se produit de manière automatique, involontaire.

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10
Q

La mémoire est-elle la même pour tout le monde ?

A

La diversité de la mémoire est évidente notamment quand on étudie les amnésies : diversité des processus, diversité des types de souvenirs et de connaissances…

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11
Q

Qu’est ce que le cas de Clive Wearing ?

A

-> Le cas de Clive Wearing: Il avait une pathologie qui l’a plongé dans le coma. Quand il est sorti du coma, il avait une amnésie. Il est devenu incapable de former de nouveaux souvenirs résistant à l’écoulement du temps.

(exemple : Il a écrit sur un carnet comment il se sentait, la phrase était différente à chaque fois qu’il a écrit)

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12
Q

Qu’est ce que l’amnésie de fixation ou amnésie antérograde ?

A

Perte de la capacité à créer de nouveaux souvenir au-delà d’un certain point dans le temps. Concerne les évènements vécus depuis le début de la maladie, avec impossibilité de fixer de nouveaux souvenirs.

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13
Q

Qu’est ce que l’amnésie rétrograde ?

A

Incapacité à restituer des informations anciennes acquises quand il n’y avait pas encore de troubles de la mémoire. (=ce qui était en mémoire avant la maladie). Chez Clive Wearing, la capacité de grammaire est intacte par exemple. C’est donc un autre secteur de la mémoire qui est touché. Pareil pour quelqu’un jouant d’un instrument (lire une partition, l’exécuter…).

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14
Q

Que peut-on faire pour tester la mémoire humaine ?

A

1ère possibilité : faire un test de rappel

2ème possibilité : test de reconnaissance

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15
Q

Qu’est ce qu’un test de rappel ?

A

-Libre : Exemple (mots issus du test du Rappel libre/Rappel indicé à 16 items de Van der Linden et al., 2004) hareng, gilet, domino, jonquille, dentiste, cantaloup, cuivre, harpe, colombe, palmier, judo, céleri, valse, rougeole, tabouret et géographie

-> Demander à la personne de quels mots elle se souvient. L’ordre de restitution n’a pas d’importance.

La manière dont la personne va se rappeler les mots va donner des informations sur la manière dont elle traite l’information (ex : hareng et céleri en même temps car ce sont tous les 2 des aliments).

-Ordonné : Il faut rappeler les mots dans l’ordre dans lequel ils ont été présentés.

-Indicé : On va présenter les mots, et on va poser des questions juste après.

Exemple : hareng, gilet, domino, jonquille. Présentation + question : quel est le poisson ? etc. Rappel : quel était le poisson ? Etc.

On peut aussi rajouter les notions de rappel immédiat et différé. On parle de rappel immédiat lorsque l’intervalle de rétention est de seulement quelques secondes. C’est donc un test de mémoire à court terme. On parle de rappel différé lorsque l’on doit se rappeler après quelques heures, quelques jours… C’est un test de mémoire à long terme.

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16
Q

Qu’est ce qu’un test de reconnaissance ?

A

Il faut reconnaître des mots présentés antérieurement parmi des intrus.

Exemple : Il faut reconnaître Citron Banane Fraise Kiwi Pomme. Les mots présentés sont Orange, Fraise, Poire, Cerise, Citron, Pomme, Kiwi, Abricot, Banane. Entourer les mots présentés antérieurement.

Ou alors tableau : il faut dire si les mots ont été présentés au départ ou sont des distracteurs. La personne doit aussi dire si elle a reconnu ou non les mots. (Voir tableau diapo).

Il y a 2 manières de réussir (reconnaissance correcte et rejet correct), et 2 manières de se tromper (fausse alarme et omission). -> TERMES A MAITRISER

Les résultats peuvent dépendre des personnes. Par exemple, une personne prudente va entourer moins de choses car elle ne voudra pas se tromper. Elle fera donc moins de fausses alarmes mais plus d’omissions. (C’est l’inverse pour quelqu’un qui n’est pas prudent).

Les performances en rappel sont très inférieures aux performances en reconnaissance (car en reconnaissance, on a plus d’aides).

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17
Q

Qu’est ce que la mémoire explicite ?

A

retrouver volontairement des informations présentées antérieurement.

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18
Q

Qu’est ce que la mémoire implicite ?

A

Mémoire implicite : La tâche ne nécessite pas une recherche consciente ou intentionnelle d’informations en mémoire.

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19
Q

Qu’est ce qu’un effet d’amorçage ?

A

Exemple : tâche de décision lexicale. Présentation d’une suite de lettres au sujet et celui-ci doit dire (en appuyant sur une touche) s’il s’agit d’un mot ou d’un non-mot. Mesure du temps de réaction. Certains mots ont été présentés auparavant. On compare le temps de réaction pour les mots vus auparavant (plus court) à celui des mots non vus auparavant (plus long).

Effet d’amorçage : On présente le mot chaise dans la liste 1 et dans la liste 2. Comme il a été présenté dans la liste 1, l’information est déjà activée dans la mémoire, et la personne va le reconnaître plus vite dans la liste 2.

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20
Q

Quels sont les 3 systèmes de la mémoire ?

A

-Le registre de l’information sensorielle (RIS)

-La mémoire à court terme (MCT)

-La mémoire à long terme (MLT)

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21
Q

Quels sont les paramètres permettant de différencier les 3 systèmes de mémoire ?

A
  • Durée de stockage (Combien de temps une information peut-elle être stockée ?)
  • Capacité de stockage (Quelle quantité d’information peut être stockée ?)
  • Nature du stockage (Sous quelle forme l’information est-elle stockée ?)
  • Causes de l’oubli (S’il y a oubli, pour quelle raison ?)
22
Q

Qu’est ce que le RIS ?

A

Le RIS : Une première forme de stockage, très éphémère, sous la forme d’une persistance de l’image sensorielle. Cette image persiste un certain temps après la disparition du stimulus. Cela permet de faire des traitements sur cette image alors qu’elle a disparu dans l’environnement. Durée pendant laquelle l’information est conservée en attendant que le système cognitif décide ou non d’y prêter attention.

Mémoire iconique : RIS visuel

Mémoire échoïque : RIS auditif

Le RIS est la toute première manière de stocker l’information. C’est la porte d’entrée vers la mémoire.

23
Q

Qu’est ce que la MCT ?

A

La MCT : Une capacité très limitée. Toutes les informations contenues dans le RIS ne peuvent pas entrer dans la MCT.

Un aspect de la mémoire à court terme est la subvocalisation (cette petite voix intérieure qui nous permet de retenir une information quelques instants). Importance du codage phonologique= dans la MCT, l’aspect vocal domine pour retenir des informations.

24
Q

Quelle est l’étude que l’on a faite sur la MCT ?

A

Paradigme (=procédure expérimentale, technique d’investigation dans un domaine) de Brown- Peterson. La personne doit retenir l’information HBX puis on fait faire à la personne un décomptage de 3 en 3, puis on lui demande de rappeler les 3 lettres.

(Voir diapo 48, graphique) On remarque que plus la curée de décomptage est longue, plus le rappel est faible. Le décomptage empêche la subvocalisation et provoque un oubli. (Car on ne peut pas se répéter les lettres intérieurement et en même temps décompter à voix haute)

25
Q

Quelles conclusions peut-on tirer des études sur la MCT ?

A

-Importance de l’autorépétition, qui est empêchée par la tâche interférente, ce qui provoque un oubli rapide en MCT.

-Si l’autorépétition est absente, rappel quasi impossible au bout d’une vingtaine de secondes.

26
Q

Quelles sont les 2 formes d’autorépétition ?

A

-autorépétition de maintien= répéter mentalement, en boucle, l’information à retenir pour la maintenir en MCT

-autorépétition d’intégration (ou élaborative ): répéter tout en créant des liens entre les éléments, ou avec d’autres connaissances en mémoire, pour faciliter le transfert en MLT.

27
Q

Que sont les effets sériels ?

A

Dans le cadre d’un rappel libre immédiat, analyse de la probabilité de rappel de chaque mot en fonction de sa position dans la liste.

(Voir diapo 55) On constate deux effets : l’effet de primauté et l’effet de récence. (Ce qui nous intéresse ici est l’effet de récence)

28
Q

A quoi est lié l’effet de récence ?

A

L’effet de récence est lié à la stratégie d’autorépétition : au moment du rappel, les derniers mots de la liste sont encore en autorépétition, d’où un taux de rappel élevé.

29
Q

Que se passe-t-il si on empêche l’autorépétition sur les derniers mots de la liste qui sépare la fin de la lecture de la liste et le début du rappel ?

A

l’effet de récence disparait .

30
Q

Qu’est ce que l’empan mnésique ?

A

L’empan mnésique : c’est la capacité de la MCT : nombre d’éléments (chiffres, mots…) que l’on peut restituer immédiatement après les avoir entendus. 7 + 2 (Miller, 1956).

31
Q

Qu’est ce que le chunking ?

A

Le chunking/ les chunks: regrouper des informations pour former une unité mnésique.

32
Q

Quelles sont les causes de l’oubli ?

A

-Par déclin= lié à l’écoulement du temps.

-Par interférence= lié à la capacité limitée de la MCT.

33
Q

Qu’est ce que la mémoire de travail ?

A

La mémoire de travail= MDT (ex d’utilisation : lecture. On doit comprendre les phrases, les retenir…). Modèle de Baddeley et Hitch (1974).

(Voir diapo 69) L’administrateur central traite les informations et les manipule. Pour effectuer ce travail, il dispose de 2 outils. Il dispose de systèmes de stockage.

34
Q

Que peut-on dire sur la mémoire à long terme ?

A

La mémoire à long terme : Une capacité illimitée…

L’organisation de cette mémoire à long terme : sur quels critères ?

Importance du codage sémantique= organisation basée sur le sens, la signification de l’information.

35
Q

Exemple de chunk :

A

Exemple : Mais où est donc Ornicar? Cette phrase est un chunk, un paquet d’information. C’est un chunk car ça a du sens. Cette phrase est un bel l’exemple de stratégie mnémotechnique dont l’efficacité est liée au fait de donner du sens à une sens liste d’éléments. Autre exemple : Que j’aime à faire apprendre un nombre utile aux sages ! Cette phrase permet de retenir le chiffre Pi. Chaque chiffre correspond au nombre de lettres de chaque mot.

36
Q

Qu’est ce que la théorie des niveaux de traitement ?

A

Craik et Lockhart (1972) -> théorie des niveaux de traitement. Au moment de l’encodage, le traitement de l’information peut être plus ou moins approfondi, du plus superficiel au plus profond (axé sur le sens, la compréhensions).

Plus le traitement est approfondi, meilleur sera le rappel à long terme.

37
Q

Que sont les réseaux sémantiques ?

A

Les réseaux sémantiques : Comment concevoir l’organisation de nos connaissances en MLT ? Les concepts n’existent que grâce à l’existence d’autres concepts. (Comme dans un dictionnaire, par exemple. Chaque mot est défini par plein d’autres mots).

(Voir diapo 82) (exemple : si on demande à quelqu’un de dire ce qu’est un canari le plus vite possible, la personne va penser que c’est un oiseau jaune qui chante).

38
Q

Qu’est ce que la diffusion de l’activation dans le réseau sémantique ?

A

Diffusion de l’activation dans le réseau sémantique : Tous les concepts sont reliés à des concepts proches. Exemple avec pomme : Quand on pense à pomme, on pense immédiatement à pépin, poire, tarte…car les concepts proches dans notre réseau sémantique vont s’activer. Ces connexions peuvent dépendre des personnes et des circonstances. (Par exemple, si on stocke nos pommes dans une soupière, mais qu’on la casse, les prochaines fois où on mangera une pomme, on pensera à cela. Pour cette personne, pomme et soupière sont proches dans le réseau sémantique, même si ces mots sont censés être loin théoriquement).

39
Q

Quelles catégories de mémoire a-t-on dans la MLT ?

A

Dans cette mémoire à long terme, il y a différents types de souvenirs et de mémoire : Mémoire sémantique et mémoire épisodique. (Tulving, 1973)

40
Q

Qu’est ce que la mémoire sémantique ?

A

La mémoire sémantique concerne le stockage et l’utilisation des mots et des concepts, de leurs propriétés et de leurs interrelations.

Exemple de mémoire sémantique : savoir ce qu’est un chien, savoir ce qu’est la Révolution française…

41
Q

Qu’est ce que la mémoire épisodique ?

A

La mémoire épisodique concerne le stockage et la récupération d’évènements ou épisodes temporellement datés, spatialement localises et personnellement vécus, ainsi que les relations entre ces évènements.

Exemple de mémoire épisodique : souvenir d’enfance, se rappeler ce que l’on faisait à 14 le jour juste avant…

La mémoire épisodique nous est personnelle, alors que la mémoire sémantique est plus abstraite et est commune à tous. Ces 2 mémoires sont très connectées.

On peut dire que la mémoire épisodique alimente la mémoire sémantique, car ce qui se trouve dans notre mémoire sémantique, on l’a appris en plusieurs fois, en plusieurs lieux, avec plusieurs personnes..

42
Q

Quels autres types de mémoire a-t-on aussi ?

A

2 types de mémoire: Mémoire déclarative (sémantique et épisodique) et mémoire procédurale

43
Q

Qu’est ce que la mémoire déclarative ?

A

la mémoire déclarative concerne les choses que l’on peut expliquer, dire, les connaissances que l’on peut décrire.

44
Q

Qu’est ce que la mémoire procédurale ?

A

-la mémoire procédurale concerne les habiletés motrices et des savoir-faire dans les activités mentales. Elle résulte de la pratique, elle peut difficilement être décrite verbalement.

45
Q

Qu’est ce que la procéduralisation des connaissances ?

A

Procéduralisation des connaissances : Au début, on verbalise (mémoire déclarative), puis quand on s’habitue, c’est automatique (mémoire procédurale).

46
Q

Que peut-on dire de l’oubli en MLT ?

A
  • Problème de disponibilité= l’information n’est plus en mémoire, il n’y a plus de souvenir.
  • Problème d’accessibilité= l’information est en mémoire, mais la personne ne parvient pas à la récupérer
47
Q

Quelle autre chose peut avoir un effet sur la mémoire ?

A

Les effets de contexte : Une illustration des difficultés de récupération des souvenirs

48
Q

Exemples d’expériences concernant les effets de contexte :

A

-L’expérience de Godden et Baddeley (1975)

Présentation d’une liste de mots sur la plage ou sous l’eau. Rappel sur la plage ou sous l’eau. Quatre groupes (lieu d’apprentissage x lieu de rappel).

(Voir diapo 95) Les groupes ayant la meilleure performance (voir points sur graphique) sont ceux ayant eu le même lieur d’apprentissage et de rappel. Ceux ayant les moins bonnes performances sont ceux qui ont eu un lieu d’apprentissage et de rappel différent. Donc changer de contexte perturbe. Le rappel est meilleur quand il a lieur dans le même environnement que l’aprentissage.

-L’expérience de Smith (1979)

Présentation d’une liste de mots dans une pièce située au sous-sol d’un immeuble. 3 conditions de rappel :

  • dans la même pièce (le sous-sol)
  • dans une pièce au 5ème étage
  • au 5ème étage avec consigne d’imagerie (en rappelant les mots, se représenter mentalement la pièce du sous-sol).

Le groupe faisant son rappel au sous-sol : 18 mots

Autre pièce : 12 mots

Autre pièce + consigne imagerie : 17,2 mots.

49
Q

Qu’inclut un souvenir ?

A

La consigne d’imagerie compense presque totalement le changement “physique” d’environnement.

Le souvenir inclut ce que l’on veut retenir, mais aussi l’information contextuelle : externe, c’est-à-dire des objets de l’environnements comme la couleur des murs, interne, c’est-à-dire des sensations comme avoir faim

50
Q

Qu’est ce que la théorie d’encodage spécifique ?

A

(Tulving 1983) : théorie de l’encodage spécifique : Toute information est encodée dans un contexte défini, et la probabilité de récupération de cette information dépend du degré de compatibilité entre le contexte d’encodage et le contexte de récupération.

51
Q

Quel modèle est historique par rapport à la mémoire ?

A

Une synthèse “historique” : Le modèle d’Atkinson et Shiffrin (1968)

Ce modèle relie les trois morceaux de la mémoire.