[Chapitre 9] Phytoprotection Flashcards

1
Q

VRAI OU FAUX?

Le concept de la lutte intégrée fait intervenir la sécurité environnementale, la viabilité économique et la qualité des produits.

A

FAUX

La sécurité environnementale, la viabilité économique et l’acceptabilité sociale.

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2
Q

VRAI OU FAUX?

Le réseau des serres sentinelles existe depuis 2020 et implique une quinzaine de producteurs au Québec qui cultivent des plantes tuteurées.

A

FAUX

Plus de 85 serres dépistées en 2021 impliquant plus de 20 cultures dépistées.

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3
Q

VRAI OU FAUX?

La coccinelle venant de l’extérieur est peu présente dans les serres du Québec et constitue ainsi un moyen peu efficace pour le contrôle biologique du puceron.

A

FAUX

Elle se retrouve fréquemment dans les serres et on peut la garder au réfrigérateur.

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4
Q

VRAI OU FAUX?

La lutte intégrée fait habituellement intervenir qu’une seule méthode de contrôle, la plus adaptée au pathogène ciblé ou ravageur.

A

FAUX

Fait intervenir un ensemble de méthodes de lutte.

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5
Q

VRAI OU FAUX?

La syrphe d’Amérique est très efficace pour le contrôle du puceron, mais fonctionne bien qu’à des températures de plus de 18°C.

A

FAUX

Fonctionnel jusqu’à 12°C.

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6
Q

VRAI OU FAUX?

Phytoseiulus persimilis peut être utilisé en période estivale chaude puisqu’il tolère bien des températures élevées.

A

FAUX

Ne supporte pas bien la chaleur.

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7
Q

VRAI OU FAUX?

Les ennemis naturels retrouvés à l’extérieur des serres comme les punaises prédatrices, les syrphes ou les coccinelles sont peu efficaces comme agents de lutte biologique contre les principaux ravageurs par rapport aux agents de lutte exogènes.

A

FAUX

Peuvent être très efficaces.

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8
Q

VRAI OU FAUX?

Encarsia formosa permet de bien contrôler les aleurodes en période hivernale, notamment de décembre en février.

A

FAUX

Moins performante de décembre à février.

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9
Q

VRAI OU FAUX?

Dicyphus hesperus permet un très bon contrôle des aleurodes chez la tomate seulement.

A

FAUX

Chez la tomate, le poivron et le concombre.

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10
Q

VRAI OU FAUX?

Lors de la pulvérisation de pesticides, des gouttelettes de 160 µm seront plus efficaces à contrôler les ravageurs que des gouttelettes de 10 µm.

A

FAUX

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11
Q

VRAI OU FAUX?

Une application manuelle de pesticides est aussi efficace qu’une application à l’aide d’une rampe de pulvérisation.

A

FAUX

Moins efficace.

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12
Q

VRAI OU FAUX?

La lutte intégrée fait intervenir les notions de la planification et de l’organisation, des connaissances, outils et technologies ainsi que différentes approches de contrôle des ravageurs et pathogènes et une bonne communication.

A

VRAI

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13
Q

VRAI OU FAUX?

Les deux ravageurs les plus couramment détectés dans les serres du Québec sont le puceron vert du pêcher et les thrips.

A

VRAI

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14
Q

VRAI OU FAUX?

Aphidius colemani est une petite guêpe parasitoïde spécialisée dans le contrôle du puceron vert du pêcher.

A

VRAI

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15
Q

VRAI OU FAUX?

La chrysope, la coccinelle et les syrphes permettent de contrôler les populations de pucerons dans les serres.

A

VRAI

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16
Q

VRAI OU FAUX?

L’utilisation de plantes réservoirs tels que le chrysanthème, le gerbera et l’alyssum permettent de maintenir la population d’Orius dans les serres.

A

VRAI

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17
Q

VRAI OU FAUX?

Les thrips occasionnent des dommages sur les fruits se manifestant par des taches luisantes argentées, des points noirs et des fruits difformes ou courbés.

A

VRAI

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18
Q

VRAI OU FAUX?

Les tétranyques occasionnent des points jaunes et une décoloration des feuilles.

A

VRAI

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19
Q

VRAI OU FAUX?

Les aleurodes entraînent un ralentissement de croissance des plantes et favorisent la propagation de virus et le développement de fumagine.

A

VRAI

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20
Q

VRAI OU FAUX?

La chrysomèle rayée entraîne des pertes importantes chez le concombre puisqu’elle transmet la bactérie du flétrissement bactérien.

A

VRAI

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21
Q

VRAI OU FAUX?

L’application de chaux hydratée au sol permet de tuer les pupes de thrips retrouvés au sol et ainsi permet de limiter leur population.

A

VRAI

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22
Q

VRAI OU FAUX?

Plusieurs agents de lutte biologique comme Amblyseius swirskii, Neoseiulus cucumeris, Neoseiuluscalifornicus et Orius Insidiosus permettent de contrôler les thrips.

A

VRAI

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23
Q

VRAI OU FAUX

Le pollen de quenouille permet de nourrir les acariens prédateurs Swirskii, Cucumeris, Limonicus et peut être apporté même s’il y a infestation de thrips.

A

FAUX

Absence de thrips.

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24
Q

VRAI OU FAUX?

Il n’est pas nécessaire d’éliminer les mauvaises herbes à l’extérieur de la serre.

A

FAUX

Source d’insectes qui vont entrer dans les serres.

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25
Q

VRAI OU FAUX?

Il n’est pas essentiel d’inspecter les plants avant de les introduire dans la serre puisque les prédateurs ajoutés en prévention sur les cultures pourront facilement les contrôler.

A

FAUX

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26
Q

VRAI OU FAUX?

La compatibilité des pesticides avec les auxiliaires de contrôle biologique est peu importante.

A

FAUX

Très important.

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26
Q

VRAI OU FAUX?

On assure un bon dépistage des ravageurs en dépistant à n’importe quel moment de la semaine.

A

FAUX

Dépister le même jour, même routine de dépistage.

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27
Q

VRAI OU FAUX?

Les plants situés dans les endroits les plus chauds de la serre ont moins de ravageurs.

A

FAUX

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28
Q

VRAI OU FAUX?

La coccinelle asiatique introduite en 1916 aux É.-U. et dans les années 1980’s en Europe est un exemple de succès de la lutte biologique.

A

FAUX

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28
Q

VRAI OU FAUX?

L’acariose bronzée de la tomate se contrôle bien par la lutte biologique.

A

FAUX

Il n’y a rien à faire.

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29
Q

VRAI OU FAUX?

On peut considérer que la lutte intégrée pour le contrôle des ravageurs en serre est similaire à la lutte biologique.

A

FAUX

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30
Q

VRAI OU FAUX

Coenosia attenuata est efficace contre la sciaride et facile à introduire dans les serres.

A

FAUX

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31
Q

VRAI OU FAUX?

Chez la tomate, le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) cause des pertes de moins de 15%.

A

FAUX

De 15% à 100%.

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32
Q

VRAI OU FAUX?

L’effeuillage des plantes n’est pas un facteur à considérer pour le contrôle biologique des ravageurs.

A

FAUX

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33
Q

VRAI OU FAUX?

L’immunodétection de protéines virales via un test ÉLISA ou un test terrain ImmunoStrip permet une très grande spécificité de détection d’une maladie virale chez les plantes.

A

FAUX

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34
Q

VRAI OU FAUX?

Il existe une grande compréhension de l’effet des conditions environnementales sur la dynamique des agents de contrôle biologique utilisés en serre.

A

FAUX

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35
Q

VRAI OU FAUX?

Le maintien d’une humidité de 70% et d’un climat pas trop chaud dans la serre permet de limiter les populations de tétranyques.

A

VRAI

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36
Q

VRAI OU FAUX?

L’utilisation combinée de Phytoseiulus persimilis et Amblyseius swirskii constitue un moyen de contrôle des tétranyques par les producteurs québécois.

A

VRAI

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37
Q

VRAI OU FAUX?

Amblyseius andersoni peut être utilisé sous de faibles températures pour le contrôle des tétranyques.

A

VRAI

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38
Q

VRAI OU FAUX?

L’aubergine est une plante indicatrice de la présence de ravageurs, dont les aleurodes.

A

VRAI

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39
Q

VRAI OU FAUX?

Nabis americoferus est un prédateur qui pourrait être intéressant pour contrôler plusieurs ravageurs dont la punaise terne, le puceron, l’aleurode, le tétranyque et les thrips.

A

VRAI

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40
Q

VRAI OU FAUX?

Les principales maladies observées dans les serres du Québec sont le blanc et la moisissure olive chez la tomate et le concombre.

A

VRAI

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41
Q

VRAI OU FAUX?

Malgré que le nettoyage et la désinfection des serres font partie d’une stratégie efficace contre les maladies et ravageurs, un grand nombre de producteurs ne font pas de vide sanitaire entre leurs cultures.

A

VRAI

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42
Q

VRAI OU FAUX?

La lutte biologique date de 400 avant Jésus-Christ où les chinois utilisaient les fourmis carnivores contre les ravageurs des mandariniers.

A

VRAI

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43
Q

VRAI OU FAUX?

La lutte biologique existait avant l’arrivée de la lutte chimique de l’après-guerre de 1945.

A

VRAI

44
Q

VRAI OU FAUX?

Phytoseiulus persimilis est l’un des premiers agents de contrôle biologique découvert par Jan Koppert.

A

VRAI

45
Q

VRAI OU FAUX?

Les moustiquaires sont efficaces pour réduire l’entrée de plusieurs ravageurs.

A

VRAI

46
Q

VRAI OU FAUX?

La molène est une plante réservoir pour Dicyphus hesperus, prédateur de l’aleurode.

A

VRAI

47
Q

VRAI OU FAUX?

Les cystes d’Artemia sont un petit crustacé d’eau salée que l’on dépose sur la molène comme source de nourriture pour Dicyphus.

A

VRAI

48
Q

VRAI OU FAUX?

Au Canada, le secteur des pesticides est une compétence partagée entre le fédéral et le provincial.

A

VRAI

49
Q

VRAI OU FAUX?

Dicyphus hesperus a été découvert en Colombie-Britannique sur la molène.

A

VRAI

50
Q

VRAI OU FAUX?

Bien que certains pesticides soient compatibles avec la lutte biologique, il est fortement déconseillé de les utiliser à titre préventif.

A

VRAI

51
Q

VRAI OU FAUX?

Aphidoletes est plus efficace à contrôler le puceron lorsqu’il y a des débris de végétaux au sol.

A

VRAI

52
Q

VRAI OU FAUX?

Les virus sont des parasites obligatoires.

A

VRAI

53
Q

VRAI OU FAUX?

Les virus chez les plantes sont responsables de 47% des maladies infectieuses émergentes.

A

VRAI

54
Q

VRAI OU FAUX?

Pour les cultures en serre, les insectes sont les principaux vecteurs de transmission des virus d’une plante à l’autre.

A

VRAI

55
Q

En vertu de la Loi sur les produits antiparasitantes, Santé Canada est responsable de :

A
  • L’Agence de règlementation de la lutte antiparasitaire (ARLA)
  • L’homologation et la réévaluation des pesticides (tous les 15 ans)
  • La mise en marché et l’étiquetage des pesticides
  • La promotion de la lutte antiparasitaire durable
56
Q

En vertu de la Loi sur les pesticides, le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du Québec est responsable de :

A
  • Règlementer l’utilisation et l’élimination des pesticides
  • Formation et certification des vendeurs et des utilisateurs
57
Q

En serre, pour gérer et appliquer des pesticides en serre, il faut détenir un certificat relatif aux pesticides :

A
  • Catégorie E3 : Agriculteur – Application à des fins horticoles d’un pesticide des classes 1 à 3
  • Pour obtenir un certificat E3, il faut avoir suivi et réussi les examens des 2 cours suivants :
    1. Utilisation des pesticides en milieu agricole (tronc commun), EXAMTCA-01F
    2. Utilisation des pesticides – Application à des fins horticoles, EXAMSSE-01F
58
Q

Quel est le principal facteur de réussite dans l’application des pesticides?

A

La qualité de la couverture!

59
Q

Compléter la phrase.

Plus les gouttes sont […..] , plus les chances d’obtenir une bonne couverture sont […..] .

On parle ici de l’application de pesticides.

A
  • Fines
  • Grandes

Chaque fois que le diamètre des gouttes est divisé par 2, il y a 8 fois plus de gouttes!

60
Q

Quels sont les 4 types de pulvérisateurs utilisés pour l’épandage de pesticides en serres?

A
  1. Pulvérisateur hydraulique à haut volume avec rampe d’application multibuses.
  2. Système de nébulisation à froid avec un pistolet d’application.
  3. Thermo-nébulisateur.
  4. Système de nébulisation à froid.
61
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients d’utiliser un pulvérisateur hydraulique à haut volume avec rampe d’application multibuses pour l’application des pesticides?

A

Avantages
- Compatible avec tous les pesticides.
- Contrôle de l’application facile.
- Très peu dépendant du climat de la serre.

Inconvénients
- Le résultat est en fonction de la qualité de la personne qui fait le traitement.
- Difficile de bien couvrir le dessous du feuillage.
- Demande beaucoup de temps.
- Demande beaucoup de pesticides.

62
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients d’utiliser un système de nébulisation à froid avec un pistolet d’application pour l’application des pesticides?

A

Avantages
- Compatible avec presque tous les pesticides.
- Application rapide.
- Utilise moins de pesticides.

Inconvénients
- Dû à la taille des goutellettes, la couverture dépend moins de la personne.
- Meilleure couverture sous le feuillage.
- Contrôle de l’application difficile.

63
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients d’utiliser un thermo-nébulisateur pour l’application des pesticides?

A

Avantages
- Application très rapide.
- Technique qui utilise le moins de pesticides.
- Si le climat de la serre est optimal, donne la meilleure couverture sous le feuillage.

Inconvénients
- Pas compatible avec tous les pesticides.
- La couverture est en fonction du climat de la serre.
- Plus difficile avec certaines poudres mouillables.
- Moins efficaces avec les fongicides.
- Appareil qui fonctionne à l’essence et qui est très bruyant.

À confirmer, car les avantages et inconvénients sont pareils que ceux du système de nébulisation à froid…!!

64
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients d’utiliser un système de nébulisation à froid pour l’application des pesticides?

A

Avantages
- Application très rapide.
- Technique qui utilise le moins de pesticides.
- Si le climat de la serre est optimal, donne la meilleure couverture sous le feuillage.

Inconvénients
- Pas compatible avec tous les pesticides.
- La couverture est en fonction du climat de la serre.
- Plus difficile avec certaines poudres mouillables.
- Moins efficaces avec les fongicides.

À confirmer, car les avantages et inconvénients sont pareils que ceux du thermo-nébulisateur…!!

65
Q

Qu’est-ce que la lutte biologique?

A

«Usage d’organismes vivants pour réduire une population d’organismes nuisibles ciblés, les rendant moins dommageables qu’ils ne le seraient sinon»

  • Implique l’action humaine, par l’introduction de macro ou de micro-organismes.
66
Q

Quels sont les mécanismes naturels, les intérêts et les stratégies de la lutte biologique?

A

Mécanismes (naturels)
- Prédation
- Reproduction
- Infection
hypothèse de relaxation de la pression par les ennemis naturels, pour recréer un équilibre

Intérêts
- Éviter « le tapis roulant » ou « esclavage » des pesticides
- Préoccupations santé / environnement
- Pesticides ne sont pas toujours une solution

Stratégies
- LB Classique : intro. EN ‘’exotique’’ pour établissement permanent et contrôle à long terme; relation EN – ravageur connue.

  • LB Néo-Classique : variante précédente ; nouvelle association EN - ravageur.
    Avec un EN qui n’évolue pas dans le même environnement.
  • LB de conservation : modification environnement / pratiques culturales pour favoriser les EN présents à long terme.
  • LB Augmentation (LBA; milieux contrôlés)
    Stratégie la plus utilisée en serre, mais peut aussi se faire en champs.

On a déjà été très dépendants aux pesticides = Résistances émergentes

67
Q

Faire des liens entre biocontrôle, lutte biologique et lutte intégrée.

A

Biocontrôle : phéromones de synthèse et substances minérales incluses.
Lutte biologique : action humaine, introduction de macro ou de micro-organismes.
Lutte intégrée : compatibilité approches mécaniques, chimiques et biologiques.

La lutte intégrée regroupe le biocontrôle et la lutte biologique!

68
Q

Qu’est-ce que la lutte biologique augmentative?

A

« Introduction d’agents dans le but d’augmenter leur abondance locale, sans attente d’un établissement permanent»
ex. EN absents ou présents en faible abondance.

69
Q

Qu’est-ce que la différence entre une approche de lâchers inondatifs et une approche de lâchers inoculatifs?

On parle ici de l’utilisation d’ennemis naturels, au sein de la LBA.

A

Approche de lâchers inondatifs
« Introduction d’EN pour assurer le contrôle d’une population de nuisibles dans le cas où le contrôle est réalisé exclusivement par les organismes relâchés »
- Besoin de contrôle RAPIDO PRESTO! (ex. épidémie avancée, monoculture temporaire ou culture seuil dommage bas…)

  • Objectifs, attentes & format similaires à pesticide de synthèse.
  • Limite : lâchés grand nb d’EN.
    efficacité production de masse, stockage et transport

Approche de lâchers inoculatifs
« Introduction d’EN avec l’attente qu’ils se multiplient & exercent un contrôle sur la population nuisible pour une certaine durée»
- Contrôle = en lâchers + descendants (ex. prévention, EN difficulté de persistance dans le temps, difficulté de production de masse EN…)

  • Limites : conditions reproductrices et nombre de proies critiques.
    importance ration EN/ravageur, plantes réservoir avec proies alternatives
70
Q

Qu’est-ce que les entomopathogènes? Quelles sont leurs particularités et les points auxquels il faut faire attention?

On parle ici de lutte biologique!

A

Bactéries, champignons, nématodes et virus.

Particularités
- Très employés LBA (intérêt industriel justifie investissements techniques, stockage longue durée)
- Facilité production / manipulation agents VS coût enregistrement gouvernemental
- Possible manipulation génie génétique (augmentation virulence, conférer résistance pesticides, élargir la gamme d’hôte)

À faire attention…
- Autorisations / restrictions variables selon les pays
- Choix & isolation espèce puis lignée➔CRITIQUE !
Virulence variable entre plusieurs lignées d’une même espèce et condition labo VS terrain

71
Q

Qu’est-ce que les parasitoïdes? Quelles sont leurs particularités et les points auxquels il faut faire attention?

On parle ici de lutte biologique!

A

Organismes dont la ponte sur ou dans le corps de l’hôte est nécessaire afin de compléter leur cycle vital.

Particularités
- Très employés LBA (facilité production de masse comparativement prédateurs).
- Nécessité adaptation, évolution étroite parasitoïde – hôte (spécialisation pour contournement des défenses immunitaires).
- Ajout sources complémentaires de nectar/pollen.

À faire attention…
- Grande spécificité d’hôte pas toujours souhaitable LBA, car cela vient restreindre leur action (densité d’hôtes devient critique, coût production / achat élevé)
- Long processus développement en vue lâchers augmentatifs
- Données génétiques peu nombreuses & manipulation complexe

72
Q

Qu’est-ce que les prédateurs? Quelles sont leurs particularités et les points auxquels il faut faire attention?

On parle ici de lutte biologique!

A

Traquent et consomment leurs proies (pas d’attente; ils peuvent attaquer les proies immédiatement + peuvent s’attaquer à tous les stades de vie!).
gradient de spécificité prédateur mono vs. polyphage, le plus souvent généralistes

Particularités
- Élevage de masse prévoir coût entretient EN / proie (ou développement diète artificielle)
- CANNIBALISME (problématique élevage mais surtout transport ; % mortalité)
- Contrôle qualité (fréquente érosion génétique élevage long terme)

À faire attention…
- Grande spécificité prédateur – proie pas toujours souhaitable LBA (densité proie critique, intérêt restreint marché)
- Long processus développement en vue lâchers augmentatifs.
- Données génétiques peu nombreuses & manipulation complexe.

73
Q

Quels sont les trois agents important dans la lutte contre les thrips? Quels sont leurs avantages et leurs limites?

A

1.1 Entomopathogènes : Nématodes
Infectent les thrips femelles ; s’attaquent au système reproducteur.
Steinernema feltiae, Heterorhabditis spp., Thripinema spp.

  • Avantage : s’attaque aux lignées parasites de thrips.
  • Limites : insconstance des résultats, efficacité réduite (nématodes ont tendance à griller au soleil…)

1.2 Entomopathogènes: Champignons
Beauveria bassiana (la + étudiée et utilisée), Metarhizium anisopliae (maintenant M. brunneum), Lecanicillium lecanii (Verticillium lecanii )

  • Avantage : isolats virulents contre les thrips.
  • Limite : peu produits commercialisés.

2. Parasitoïdes
Ceranisus menes, Ceranisus americensis

  • Avantage : spécificité généralement à une sous-famille thrips (pas de risque effets non ciblés).
  • Limites : difficulté identification (classification révisée), taux de parasitisme variable (habitat & climat ), mécanismes & capacités localisation ??, taux de développement (présumé faible comparativement thrips), élevage de masse & transport

3. Prédateurs
Acariens
- Avantages : occurence micro habitats, contrôle tétranyques, coûts.
- Désavantages : taille (peuvent consommer que les thrips immatures et les oeufs), sensibles aux insecticides, possible difficulté d’établissement.

Punaises
- Avantages : Localisation & traque proies, prédation sur tous stades, contribution des immatures à la prédation.
- Désavantages : Élevage & cannibalisme, sensibles aux insecticides, diapause.

Il y a aussi les thrips prédateurs (Franklinothrips spp.) et les prédateurs de sol!

À l’heure actuelle, il n’y a pas de bactéries ou de virus qui sont une solution contre les thrips…. :(

74
Q

Quelles sont les caractéristiques des thrips, en quoi celles-ci sont-elles difficiles à contrôler?

A
  1. Taille et Thigomaxie
    Se camouflent, rend la détection et le traitement difficile.
  2. Polyphagie
    Phytophages opportunistes, attaquent nombreux végétaux.
  3. Résistance chimique
    Pékin 2011-2015 LC50 x 258
  4. Colonisation habitat
    Startégie reproduction - r (parthénogénèse : reproduction asexuée)
    ++ rapide
  5. Vecteur virus
    Tomato Spotted Wilt Virus (TSWV)

Scirtothrips dorsalis : +
Thrips tabaci : ++
Frankliniella occidentalis : +++

75
Q

Qu’est-ce qu’un virus?

A
  • Parasite obligatoire
  • Utilisent la machinerie cellulaire de leur hôte pour : la réplication de leurs génomes, l’expression de leurs gènes (transcription/traduction), l’établissement de l’infection.
76
Q

Qu’est-ce qu’un virus latent?

A

Virus qui ne cause pas de symptômes, ou qui ne provoque des symptômes que lorsque la plante subit un stress.

77
Q

En quoi les viroses ont-elles un impact sur l’agriculture au niveau mondial?

A

Virus = menace majeure pour la productivité
agricole mondiale (les pertes se chiffrent à
plusieurs milliards de dollars).

  • Les virus peuvent causer des pertes de rendements importantes.
  • 47% des maladies infectieuses émergentes
    de plantes sont causées par des virus.
  • 15 à 100% de perte de rendement.
77
Q

Y a-t-il un moyen pour guérir une plante infectée par un virus?

A

Non!!
Seule la prévention est possible.

78
Q

Quels sont les facteurs favorisant l’émergence de nouveaux virus?

A
  1. Facteurs agronomiques
    Monocultures (faible diversité génétique) et fortes densités.
  2. Facteurs environnementaux
    La distribution de ravageurs, de matières végétales contaminées et des espèces hôtes sont favorisés par les changements climatiques et le marché international.
  3. Facteurs génétiques
    Adaptabilité des virus, à leur hôte et leur environnement.
79
Q

Quelle est la structure des virus chez les plantes?

A
  • Matériel génétique = ADN ou ARN (majoritaire chez les plantes)
  • Le matériel génétique est contenu dans une capside
    protéique
  • La capside détermine la forme du virus (bâtonnet,
    icosaèdre…)
  • Le virus possède parfois une membrane externe
    lipoprotéique
  • Genome composé de 1 à 12 cadres de lectures
    ouverts
80
Q

Quelles sont les étapes du cycle viral?

A
  1. Pénétration dans la cellule végétale
    (vecteurs ou blessures mécaniques).
  2. Désassemblage des particules virales
  3. Expression du génome viral
  4. Réplication du génome viral
  5. Encapsidation
  6. Mouvement cellule à cellule (plasmodesmes) et longue distance (tissus vasculaires/phloème) des particules virales
  7. Transmission à de nouvelles plantes (insectes vecteurs, champignons…)
81
Q

Quels sont les signes d’une virose?

A
  • Mosaïque
  • Taches annulaires
  • Déformation des feuilles
  • Fleurs de couleur/forme irrégulières
  • Retard de croissance, rabougrissement (observé souvent pour des viroïdes)
82
Q

Comment les plantes se défendent-elles contre les virus ?

A

ARN interférence
- ARN double brin provenant du virus = reconnue + découpée par l’endonucléase DICER.
- Petits ARNs interférents sont produits (SiRNAs).
- Les SiRNAs simples brins s’associent aux protéines argonaute = formation complexe RISC.
- Guidé par le siRNA, RISC reconnait l’ARN viral complémentaire du SiRNA et les découpe.
- Des SiRNAs secondaires = formés et voyagent de cellule en cellule (plasmodesmes).

83
Q

Quelles sont les stratégies de lutte contre les viroses?

A
  1. L’inoculation de virus atténués : des vaccins pour plantes.
  2. Stimulation du mécanisme de l’ARN interférence.
  3. Les stratégies alternatives (CRISPR/Cas et sélection variétale).
  4. Mesures de prévention d’épidémies (hygiène et salubrité).
83
Q

Quels sont les trois moyens de lutte principaux utilisés par les producteurs?

On parle des moyens de luttes biologiques, contre les ravageurs.

A
  • Aphidius colemani
  • Chrysope
  • Coccinnelles (venant de l’extérieur)
84
Q

Quels sont les avantages d’utiliser la coccinelle comme prédateur?

A
  • Se conserve bien au frigo.
  • Peuvent être nourries de pollen de fleur broyé (acheté à la pharmacie) + eau.
84
Q

Quelles sont les caractéristiques du syrphe d’Amérique?

A
  • Fonctionnel jusqu’à 12°C.
  • Jusqu’à 400 pucerons du melon/jour.
  • Compatibles avec Aphidoletes et parasitoïdes.
  • Attiré par de nombreuses plantes à fleur.

Espèces indigène : se retrouve déjà dans les serres…

84
Q

Quels sont les ennemis naturels qui pourraient être attirés en serre (selon les projets d’enquête en cours)?

A
  • Coccinelles: asiatique, maculée, 14 points, 7 points, variée, à vingt taches,
    Stethorus punctum punctum
  • Syrphes
  • Hémérobes (chrysope brune)
  • Orius
  • Punaises prédatrices (nabide, pentatomides…)
85
Q

Quelles sont les façons d’attirer et de garder les ennemis naturels dans les serres?

A
  • Essais de plantes attractives
    Calendula
    Alyssum
  • Essais de plantes réservoirs pour Orius
    Chrysanthème
    Gerbera
    Alyssum
    Géranium (-)
86
Q

Quels sont les dommages causés par les thrips, et quels sont les moyens de prévention possibles?

A

Dommages
- Taches luisantes argentées.
- Excréments sous forme de petits points noirs.
- Fruits difformes, courbés.

Prévention
- Bon ménage de la culture
précédente.
- Appliquer de la chaux hydratée au sol et mouiller (tue les pupes). Refaire une application deux mois plus tard.
- Maintenir le pourtour des serres bien tondu.

87
Q

Quels sont les dommages causés par les tétranyques, et quels sont les moyens de prévention possibles?

A

Dommages
- Petits points jaunes localisés au début;
- Ensuite décoloration qui couvre toute la feuille qui peut blanchir;
- Fils ou toiles d’araignées.

Prévention
- Contrôler les femelles avant qu’elles n’entrent en diapause à la fin de l’été.
- Maintenir un climat ni trop chaud ni trop sec.
- Brumiser dans les zones sèches et maintenir un taux de 70% d’humidité.
- Utiliser des auxiliaires de lutte en prévention ou sur foyers.

87
Q

Quels seraient des moyens de contrôle pour les thrips?

A
  • Cycle de vie complexe
  • **Pupes au sol **: Acariens prédateurs Stratiolaelaps scimitus (actif en profondeur) et Geolaelaps gillespiei (actif en surface)
  • Jeunes larves sur les plantes:
    Neoseiulus cucumeris,
    Amblyseius swirskii (>15°C).
  • Larves et adultes sur les plantes: punaise Orius insidiosus
88
Q

Quels seraient des moyens de contrôle pour les tétranyques?

A
  • Avec brumisation et > 15°C = P. persimilis
  • Combinaison P.persimilis et A. swirskii très utilisée
  • Feltiella acarisuga et N. californicus efficace dans un cas en 2019 (peu testée)
  • Faibles températures: Amblyseius andersoni (> 6°C) ou N. fallacis (> 15°C).
89
Q

Quels sont les dommages causés par les aleurodes, et quels sont les moyens de prévention possibles?

A

Dommages
- Ralentissement général de la croissance de la plante
- Jaunissement des feuilles
- Produisent du miellat qui favorise le développement de fumagine
- Propagation de virus

Prévention
- Moustiquaires pour prévenir la migration des
champs adjacents
- Pièges collants ou plantes attractives (aubergines)

89
Q

Quels seraient des moyens de contrôle pour les aleurodes?

A
  • Auxiliaire de lutte à plus faible température : Encarsia formosa (pas entre décembre et février), Amblydromalus limonicus (Anatis et Plant Product)
  • Dicyphus hesperus sur plante réservoir de molène (hibernation l’hiver, mais peut rester actif si lumière) et projets pour développer des souches zoophages (qui ne s’attaquent pas à la plante, qui ne sont pas phytophages).
    - Fonctionne bien, on peut garder les plants dans un coin pendant l’hiver!
90
Q

En quoi le comportement alimentaire de Dicyphus hesperus peut-il varier?

A
  • Au niveau génétique, certains individus sont plus phytophages, alors que d’autres sont plus zoophages (et certains sont les deux).
  • Ainsi, on tentera de choisir les individus qui montrent un comportement plus zoophage que phytophages (sinon, ils viendront s’attaquer aux plantes lorsqu’ils n’ont plus d’aleurodes à manger).
91
Q

Combien y-a-t-il d’espèces de punaises de la courge?

A

2 espèces.

  • 98% punaise de la courge cornue
  • Préférences alimentaires différentes
  • Différences dans leur cycle de vie et méthode de dépistage
92
Q

VRAI OU FAUX?

On observe une moins bonne survie hivernale de la punaise de la courge lorsque des résidus de cultures sont laissés dans les serres.

A

FAUX

Les résidus de cultures permettent une meilleure survie hivernale. Il faut donc bien nettoyer la serre en hiver!!

93
Q

VARI OU FAUX?

Pour le moment, il n’y a aucun moyen de lutte développé pour la punaise de la courge.

A

VRAI

On se fie sur ses ennemis naturels…

93
Q

Quels sont les ennemis naturels de la punaise de la courge?

A
  • Parasitoïde Tachinidé (Diptère) Trichopoda pennipes observé sur A. armigera sur un site en 2021
  • Taux de parasitisme = 61%
  • En 2022: parasitisme observé sur deux sites, sur les deux espèces
  • A. armigera: 11/41 parasités (27%)
  • A. tristis 2/4 parasités (50%)
94
Q

VRAI OU FAUX?

La Chrysomèle rayée du concombre créer des dommages importants, puisqu’elle transmet la bactéries du flétrissement bactérie (Erwinia tracheiphila).

A

VRAI

95
Q

Quels sont les principaux attractifs de la Chrysomèle rayée (en champ)?

A
  • TRE8276 > concombre (G = 12,48; p = 0,0004).
  • KLP > concombre (G = 3,96; p = 0,04).
  • Blue Hubbard > TRE8276 (G = 5,06; p = 0,02)

Blue Hubbard reste plus attractif que les apâts, on pourrait donc encercler les champs avec celui-ci pour attirer les Chrysomèles loin des plants (mais pas en serre).

96
Q

Quel est l’attractif le plus efficace en serre pour la Chrysomèle rayée?

A
  • Significativement plus de CRC sur pièges collants avec TRE8276
  • Réduction significative de la défoliation entre 10 et 63% (selon le site) avec le TRE8276
  • Réduction significative du flétrissement bactérien entre 12 et 73% (selon le site) avec le TRE8276.
97
Q

VRAI OU FAUX?

Pour aider le contrôle de la Chrysomèle rayée du concombre, Le trappage de masse pourrait être utilisé en combinaison avec d’autres méthodes (variétés résistantes, répulsifs…).

A

VRAI

C’est une méthode potentiellement intéressante!

98
Q

Qu’est-ce que Nabis americoferus?

A

Un nouveau prédateur en développement.

  • Tests d’efficacité contre la punaise terne (concombre de serre, fraises de champ)
  • Tests d’efficacité contre les pucerons, aleurodes, tétranyques, thrips
  • Tests de compatibilité avec d’autres auxiliaires (Orius insidiosus…)
  • Tests de compatibilité avec des biopesticides (Beauveria bassiana…)
  • Méthode d’élevage
99
Q

En général, quelles sont les stratégies gagnantes (4) contre les ravageurs?

A

1. Bien connaître le ravageur
* Bonne identification
* Connaître son cycle de vie

2. Prévenir les infestations
* Nettoyer les serres
* Attirer et garder des ennemis naturels

3. Utiliser différentes méthodes de lutte (résistance, culturale, mécanique, physique, comportemental…)

4. Méthodes curatives
* Introductions massives d’auxiliaires de lutte
* Utilisation de pesticides ou biopesticides

100
Q

Quelles seraient les possibilités de contrôle chimique de la Chrysomèle rayée du concombre?

A

Biopesticides:
- Pyréthrine et sels d’acides gras + pyréthrines ont réduit de moitié la
population de CRC après une application
- Kaolin permet une mortalité cumulée aussi importante que les deux autres matières actives; aucune émergence de nouvelle génération et réduction des dommages aux feuilles

Pesticides à faibles risques:
- Cyclaniliprole aussi efficace que le lambda-cyhalothrine
- En 2022: ajout du isocycloséram dans les essais

101
Q

Quels sont les principales méthodes de lutte contre le blanc?

A

Biopesticides plus efficaces :
- Concombre: Cyclone (acide citrique), et Milstop
- Tomate: Soufre et Milstop

Lampe UV-C :
- Semble y avoir une réduction (à l’extérieur des cages), mais avec symptômes de phytotoxicité en début d’essais et feuilles plus petites ou un peu déformées
- Méthode qui reste à valider

Essais effectués en curatif (comme majorité des producteurs) :
- Refaire les mêmes essais en préventif afin de comparer l’efficacité

102
Q

Quelle est LA stratégie la plus gagnante dans la lutte contre les maladies en serre?

A

Le nettoyage et la désinfection de la serre!

103
Q

Compléter la phrase.

[….] = primordial pour identifier la meilleure méthode de lutte

A

Identification exacte de l’organisme