[Chapitre 12] Culture biologique. Flashcards

1
Q

Qui est responsable du Régime Bio-Canada?

A

L’ACIA.

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2
Q

Quels sont les objectifs de la norme bio?

A
  • Connecte l’agriculture biologique à l’environnement
    • Encadre les bonnes pratiques agricoles qui visent la productivité, la rentabilité et la conservation de l’environnement - référence pour standardiser et implanter la production durable à la ferme
  • Permet de définir comment pratiquer l’agriculture biologique - Son contenu est déterminé par l’industrie
  • Vise à maintenir la confiance du public à l’égard du bio
  • Nécessaire aux échanges commerciaux (internationaux et provinciaux)
  • Agence canadienne d’inspection des aliments ⇨ interprétation de la Norme biologique canadienne afin de permettre d’appliquer les règles avec constance pour tous les opérateurs certifiés par des organismes de certification différents
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3
Q

Quelles ont été les révisions de la norme bio?

A
  • Première Norme Bio Canadienne (NBC) – publiée en 2009
  • Révision de la norme en 2015 – amendements publiés en novembre 2017
    - 1M$ (0,6M $ Office normes générales du Canada + 0,4M$ l’organisation des consultations)
    - Financée par gouvernement du Canada
  • Révision publiée le 11 décembre 2020 – mise en oeuvre : 12 mois de sursis pour les exploitants certifiés
    - Début 19 septembre 2017 (Jim Robbins, Président FBC; Ashley St-Hilaire, COG; Lauren Martin , COTA)
    - Nécessaire pour que la norme demeure valide et soit conforme aux exigences ISO
    - Trouver une solution permanente au financement de la révision de la NBC.
    - Le secteur serait stratégiquement désavantagé sur les marchés mondiaux s’il devait financer ces travaux par lui-même ⇨ la FBC demande au gouvernement de soutenir le Régime Bio Canadien par la mise en place d’un financement pluriannuel des travaux liés au maintien de la NBC.
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4
Q

Quels sont les critères de certification bio pour la production de germinations, de pousses et de microverdurettes?

A

L’article 7.4 s’applique aux cultures récoltées dans les 30 jours suivant l’imbibition, soit consommées avec leurs racines (p. ex., germinations et nanopousses), soit séparées de leurs racines pour la consommation (p. ex., pousses, verdurettes vivantes et micro verdurettes). L’article 7.4 ne s’applique pas aux produits entiers avec tête (p.ex. têtes de laitue, chou miniature). Les germinations, pousses et microverdurettes peuvent être produites dans l’eau ou dans un substrat de croissance, peu importe que la culture ait lieu dans une chambre ou un récipient de croissance, une serre ou sous toute autre structure protectrice.
7.4.1 Seules les semences biologiques peuvent être utilisées
7.4.2 L’éclairage artificiel est permis pour compléter ou remplacer la lumière naturelle.
7.4.3 Les contenants inertes en acier inoxydable et plastique de qualité alimentaire sont permis dans les systèmes de production dans l’eau et en substrats de croissance.
7.4.4 Les contenants constitués de matière végétale non traitée (jute, fibre de coco, etc.) sont interdits dans les systèmes de production dans l’eau, mais permis dans les systèmes de production en substrats de croissance.
7.4.5 Les engrais sont interdits à tous les stades de croissance et de récolte dans les systèmes de production dans l’eau.
7.4.6 Si la culture des germinations, pousses ou microverdurettes a lieu dans un substrat de croissance, les substances répertoriées au tableau 4.2 (colonne 1) de la norme CAN/CGSB-32.311 sont permises comme substrat de croissance et pour la nutrition des plantes. La structure physique du substrat de croissance doit comprendre une fraction minérale (sable, limon or argile, excluant la perlite et la vermiculite) et une fraction organique.
7.4.7 Les substances employées pour le nettoyage ou l’assainissement des semences doivent se limiter à celles prévues à cette fin aux tableaux 4.2 (colonne 2) ou 7.3 de la norme CAN/CGSB-32.311.
7.4.8 Tout exploitant qui cultive des germinations, pousses ou microverdurettes doit :
a) utiliser, dans la mesure du possible, des contenants et des caissettes réutilisables et recyclables;
b) réutiliser ou recycler le substrat de croissance, si possible;
c) utiliser des substances répertoriées au tableau 4.2 (colonne 2) de la norme CAN/CGSB-32.311 en tant qu’auxiliaires de production végétale; d) utiliser pour l’équipement les nettoyants, désinfectants et produits assainissants appropriés qui figurent aux tableaux 7.3 et 7.4 de la norme CAN/CGSB-32.311.

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5
Q

Nommer certaines habitudes de consommation qui évoluent chez les consommateurs.

A
  • Sans antibiotiques/hormones de croissance
  • Sans agents de conservation
  • Bien-être animal
  • Bons pour les enfants
  • Sans produits chimiques
  • Sans OGM
  • Environnement
  • Durabilité
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6
Q

Quels sont les avantages de passer au biologique pour les consommateurs?

A
  • Protéger les générations futures
  • Protéger les travailleurs agricoles
  • Protéger les consommateurs
  • Protéger les ressources
  • Minimiser les changements climatiques
  • Soutenir l’économie locale
  • Commerce équitable
  • Traçabilité
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7
Q

Quels ont été les effets de la COVID-19 sur le marché bio?

A

1. Dé-globalisation des chaînes d’approvisionnement alimentaire
- mise en évidence de la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement internationales.
- coûts de fret et de transport plus élevés et des délais de livraison plus longs.

2. La sécurité alimentaire
- investissement des gouvernements dans l’agriculture nationale.
- l’accès à des aliments sains, suffisants et nutritifs figure parmi les priorités politiques. La production d’aliments biologiques est susceptible de jouer un rôle important, étant donné que ses avantages pour l’environnement et la santé sont de plus en plus acceptés.

3. Support gouvernemental
- investissement dans l’agriculture biologique pour rendre l’industrie alimentaire plus résiliente.
- réduire l’utilisation de pesticides et fertilisants de synthèse ; améliorer la fertilité des sols.
- UE a annoncé l’objectif d’atteindre 25 % de terres agricoles biologiques d’ici à 2030.

4. Transparence et traçabilité
- outils de traçabilité pour maintenir l’intégrité des produits biologiques (↓ fraude).

5. Modification du comportement des consommateurs
- ventes d’aliments biologiques, d’aliments à base de plantes, de suppléments
nutritionnels et de produits naturels ont augmenté.
- produits de santé et de bien-être ; la prévention et le maintien des maladies.

6. Commerce de détail alimentaire
- détaillants en ligne.
- pouvoir d’achat croissant des milléniaux et de la génération Z.

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8
Q

VRAI OU FAUX?

Les fruits et légumes représentent ~30-40 % de la demande globale en aliments biologiques.

A

VRAI

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9
Q

Qui achète le plus de produits bio?

A
  • Les centenaires (18 à 24 ans) pour lesquels les produits biologiques représentent 46% de leurs achats hebdomadaires d’épicerie.
  • Les milléniaux (25 à 34 ans), les produits biologiques représentent 32% de leurs achats hebdomadaires d’épicerie.
  • Les xennials (35 à 44 ans) à 25%.
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10
Q

Quels produits bio sont les plus populaires?

A
  • 78% achètent des fruits et légumes.
  • 32% achètent de la viande et volaille.
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11
Q

Où s’effectue la majorité des achats bio ?

A
  • 82% épiceries régulières.
  • 45% détaillants de masse (p. ex. Costco, Walmart).
  • 32% auprès des producteurs (p. ex. marchés, paniers).
  • 25% Magasins d’aliments et de produits naturels : 39% au QC.
  • 12% Pharmacies ou en ligne.
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12
Q

Confiance des consommateurs pour les produits bio ?

A
  • 55% ont confiance au logo canadien.
  • 63% ont confiance aux produits canadiens.
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13
Q

VRAI OU FAUX?

63% des fruits et légumes bio sont produits au Québec.

A

VRAI

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14
Q

VRAI OU FAUX?

Au Canada, ~15 % des cultures en serre sont bio (+ de 87 ha certifiés; 2011).

A

FAUX

5%

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15
Q

VRAI OU FAUX?

Au Québec, ~ 35 % des cultures en serre sont bio (+ de 43 ha certifiés, 2019).

A

VRAI

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16
Q

Quels sont les principaux défis de l’agriculture biologique en serre?

A
  • Coûts d’investissements élevés - Haut rendement ⇨ rentable
  • Synchronisation de la disponibilité des éléments nutritifs avec les besoins en éléments nutritifs des plantes - Fortes demandes des plantes en nutriments et risque élevé d’une fertilisation non équilibrée + émission de GES
  • Risque élevé de salinité - en raison d’un déséquilibre entre les apports d’éléments nutritifs et l’absorption par la plante
  • Besoins élevés en eau de qualité – piètre qualité de l’eau dans plusieurs régions
  • Gestion des effluents de culture – le recyclage n’est pas commun pour les cultures en sol
  • Peu de temps pour cultiver des engrais verts ou cultures ayant des avantages écologiques – rotation inexistante des cultures ou très courte (< 4 ans)
  • Problèmes élevés de santé du sol dus à la faible diversification des cultures
  • Lutte antiparasitaire – lutte biologique /biopesticides ⇨ Efficacité limitée
  • Produit de haute qualité à un prix abordable pour les consommateurs
  • Réduire l’empreinte environnementale
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17
Q

Selon les études, l’agriculture bio est-elle meilleure pour l’environnement? Pourquoi ces études sont-elles problématiques?

A

Non, le bio ne serait pas meilleur pour l’environnement.
- Agriculture biologique requerrait 1,5 fois plus de terres cultivables pour compenser des rendements inférieurs de 40 %.
- Cette surface n’étant pas disponible sur le territoire local, il faudrait importer massivement des denrées bio, ce qui augmenterait les émissions de CO2 de 21 %.
- Virage vers une agriculture paysanne, locale et biologique → «On pourrait difficilement être plus à côté de la plaque»
- Bio = + grande empreinte environnementale, car plus faible productivité
- Concentrer et intensifier la production - agriculture mondialisée et industrialisée - diète végétalisée

Mais ces études ne considère qu’un seul facteur : le CO2! On a un ensemble de facteurs à considérer.
- Accroître la productivité par unité de surface cultivée, mais de façon durable
- Considérer les services écologiques et sociaux
- Agriculture peut se faire en harmonie avec l’environnement :
* Choix des systèmes & stratégies de production
* Prix réel (coûts environnementaux et sociaux)
* Gaspillage des denrées alimentaires
* Diètes des consommateurs (réduire consommation de
viande)

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18
Q

L’empreinte environnementale du bio : quels sont les avantages et les inconvénients?

A

Avantages
- Une biodiversité plus élevée
- Conservation de l’eau et des sols
- Peut réduire les émissions de CO2 dans sol
- Augmenter la séquestration du carbone

Inconvénients
- Plus faible efficacité de l’utilisation des terres
* Plus faible productivité

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19
Q

Quelles sont les règles concernant les intrants bio : semences et transplants?

A
  • Les producteurs doivent acheter des semences ou/et transplants
    certifiés biologiques
  • Lorsque les producteurs ne peuvent trouver la variété ou espèce
    qu’il désire en semence biologique, ils doivent obtenir une lettre de
    son fournisseur certifiant que les semences et/ou transplants n’ont
    pas été traités et ne sont pas issus d’OGM
  • Le matériel doit être exempt de pathogènes
  • Vérifier la qualité des semences et transplants – exempts de pathogènes
  • Désinfecter les semences au besoin
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20
Q

VRAI OU FAUX?

L’utilisation de copeaux de bois diminuerait l’activité microbienne au sein du substrat.

A

FAUX

Augmente l’activité microbienne du substrat.

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21
Q

Quelles sont des méthodes de contrôle phytosanitaire au niveau des sols et des cultures bio?

A
  • Maladies telluriques et autres ravageurs
    - Porte-greffe tolérant aux maladies / nématodes
    - Désinfection des sols ou substrat à la vapeur
  • Injection de vapeur/eau chaude dans le sol
  • Doit maintenir 70ºC durant 10 min, et ce jusqu’à 45 cm de profondeur
  • Ne doit pas dépasser 90ºC → affecte de façon trop importante la vie du sol
  • Désinfection est non sélective → recolonisation du sol avec des apports de compost
  • Très coûteux en énergie et en main-d’oeuvre
  • Doit être suivie d’un arrosage qui éliminera tous excès possibles d’azote sous forme d’azote ammoniacale

Attention : À des températures comprises entre 50° C et 100° C la matière organique devient plus facilement attaquable par les bactéries ce qui entraine la solubilisation des éléments fertilisants et l’accroissement de la disponibilité de N, P et K pour les plantes

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22
Q

VRAI OU FAUX?

Les engrais liquides aident à rendre les nutriments disponibles plus rapidement.

A

VRAI

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23
Q

Quelles sont les caractéristiques générales des engrais liquides?

A
  • Purins de plantes, extraits d’algues, émulsions de poissons, grains fermentés, etc.
  • Corrections de certaines carences par applications au sol et/ou foliaire
  • Utilisés entre autres pour les apports en oligo-éléments et en hormones végétales
  • Peut agir dans certains cas comme biostimulants
  • Généralement dispendieux – Attention au colmatage !!!
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24
Q

Quels sont les avantages de la culture biologique hors-sol?

A
  • Cultiver dans des endroits où les sols sont impropres à la culture en plein sol (structure non optimale du sol, organismes nuisibles, contaminants)
  • Réduire au minimum les risques d’infection par des maladies transmises par le sol (récurrentes)
  • Réduire la perte des éléments nutritifs par lessivage – système de recirculation des effluents de culture
  • Facilite une gestion optimale des éléments nutritifs et de l’eau via contrôle
    plus précis des apports en eau et nutriments
  • Atteinte de rendement élevé et de grande qualité - similaires aux cultures
    conventionnelles
  • Nécessite aucune période de transition, ce qui favorise la conversion des entreprises conventionnelles au biologique
  • Permet de contribuer à l’agriculture urbaine (cultures sur les toits) et à la sécurité alimentaire via un contrôle strict des risques de contaminations physiques, chimiques et biologiques des produits.
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25
Q

Caractériser l’acitivité microbienne de la culture biologique hors-sol.

A
  • L’abondance des microorganismes bénéfiques était supérieure ou similaire à celle des sols.
  • La diversité de la population microbienne était similaire à celle des sols.
  • L’activité microbienne était plus élevée ou similaire que dans les sols (FDA, flux de CO2).
  • Les phylums bactériens étaient affectés par l’origine des sols, la culture, le système de culture, les engrais, la forme d’N, l’amendement au biochar.
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26
Q

VRAI OU FAUX?

La consommation d’eau et de minéraux ne fait que supporter la croissance et le développement.

A

VRAI

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27
Q

L’évapotranspiration est fonction de…

3 éléments à mentionner…

A
  1. Lumière
  2. Hygrométrie
  3. Température

90% de l’eau consommée par la plante est utilisée pour sa transpiration
Règle du pouce : 100 joules / cm2 = ± 200 ml / m2
Maintenir un climat actif
60 – 80 % HR (déficit hydrique 3 – 7 g/m3)
Système racinaire vigoureux et en santé

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28
Q

VRAI OU FAUX?

La période de ressuyage est moins importante que la période d’arrosage active.

A

FAUX

Période de ressuyage est aussi importante que la période d’arrosage active

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29
Q

Dans quel cas des micro-asperseurs sont essentiels pour l’irrigation?

A
  • Essentiel si aucune bâche ou aucun paillis de plastique n’est utilisé pour conserver l’humidité de la couche supérieure du sol ou du substrat de culture.
    Sinon, assèchement de certaines zones entrainant une mauvaise minéralisation des amendements
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30
Q

Quelle est la différence majeure entre une irrigation par goutte-à-goutte et une irrigation par aspersion?

A

Aspersion: Accumulation de sels dans une zone plus éloignée de la tige de la plante.
Goutte-à-goutte : Accumulation de sels près des plantes en réponse à la proximité entre les goutteurs et la tige de la plante.

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31
Q

Comment fonctionne la fertilisation en culture biologique?

A
  • En culture biologique, on apporte pas les nutriments directement au système racinaire comme en hydroponie, mais on nourrit le sol pour maintenir sa richesse
  • C’est le sol qui nourrit la plante
  • L’objectif est de maintenir la fertilité du sol et la disponibilité des éléments nutritifs à des niveaux optimaux pour les plantes cultivées
  • La fertilisation sera basée sur un équilibre entre l’offre et de la demande
  • La demande est fonction de l’espèce cultivée et rendement escompté
  • L’activité biologique du sol doit être maintenue élevée pour favoriser un taux de minéralisation élevé
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32
Q

Compléter la phrase…

Lorsque l’on établit une stratégie de fertilisation, il faut en tout premier lieu penser à […] en fonction du besoin des plants tout au long du cycle de production.

A

…synchroniser la minéralisation des nutriments (disponibilité)…

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33
Q

Quels sont les effets d’un excès d’azote en début de culture?

A
  • Plants trop végétatifs
  • Perte de production !!!
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34
Q

Compléter la phrase…

En culture biologique le pH à tendance à […] avec le temps

A

…Augmenter…
Un pH de 6,0 à 6,8 est généralement observé

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35
Q

Quels sont les 3 types d’analyses minérales?

A

Analyse standard: Extraction des éléments minéraux avec des produits chimiques qui nous informe sur la réserve en éléments nutritifs du sol sur le long terme.
Analyse SSE « Soil Saturated Extract » : Extraction des éléments minéraux avec de l’eau nous informe sur les éléments nutritifs de la solution du sol qui disponible maintenant.
Analyse de tissus : Utilisée en association avec une analyse SSE, l’analyse de tissus végétaux apporte des indications utiles pour diagnostiquer des troubles de croissance ou de carence minérale.

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36
Q

Quelle est la conductivité électrique optimale du sol en culture biologique?

A
  • Pour la culture en sol l’optimum de CE mesurée avec la technique 2:1 est de 0,6 – 1,4 mS/cm
  • La relation entre la mesure 2:1 et l’analyse SSE du labo a été estimée sur le terrain pendant deux années d’essais réalisés sur 4 fermes en culture bio (Turcotte, et Favreau, 2013).
  • Résultats : y = 1,86x + 0,43 (R² = 0,92) [x = CE 2:1 - y : CE labo]
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37
Q

Compléter la phrase…

L’objectif général est de maintenir la […] et la […] à des niveaux qui correspondent aux besoins nutritifs des plantes et du niveau de productivité visé.

A

…fertilité du sol…
…disponibilité des éléments nutritifs…

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38
Q

Quels sont les défis/observation d’une production intensive en sol?

A
  • pH monte (Fe et Mn pas disponibles, fixation P)
  • Augmentation de la M.O.
  • Augmentation de la salinité (SO4, Na)
  • Accumulation de P
  • Pas de lessivage possible (loi sur l’environnement)
  • Grande richesse du sol, mais les nutriments ne sont pas facilement disponibles…
  • Déséquilibres minéraux
  • Drainage et compaction à surveiller
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39
Q

Compléter la phrase…

Lorsque l’un des indicateurs de fertilité (carence minérale, équilibre génératif/végétatif, CE et contenu en éléments nutritifs de la solution du sol) est en dehors de la zone optimale et qu’une action rapide est requise, il faut faire une […].

A

…fertilisation d’appoint…

  • Application foliaire et par le réseau d’irrigation
  • Engrais liquides de préférences :
    • Émulsion de poissons (5-1-1)
    • Extraits d’algues (phytohormones)
    • Engrais organique liquide (extraits de plantes)
    • Ca chélaté liquide
    • Oligo-éléments
    • Etc.
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40
Q

Quels sont les facteurs à évaluer pour bien réussir la fertilisation de la culture biologique hors-sol?

A
  • Bien évaluer les besoins des plantes
  • Connaître son sol
  • Bonne activité biologique
  • Synchroniser et ajuster : Apports fertilisants / Demande
  • Utiliser des indicateurs pour ajuster les apports de fertilisants
    • Analyses de sol (SSE)
    • CE 2:1
    • Équilibre Génératif/Végétatif
    • Etc.
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41
Q

À quoi servent les films plastiques (paillis) en culture biologique?

A

Film plastique (paillis) nécessaire pour avoir une bonne activité biologique à la surface de la plate-bande, là où l’on applique les engrais organiques

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42
Q

Comment peut-on stimuler l’activité biologique?

A
  • Drainage et aération
  • Bon pH
  • Structurer le sol
  • Santé du sol
    • engrais verts, rotation des cultures, « culture de couverture »
  • Composts riches en N et K, moins en P
  • Composts jeunes, faciles à minéraliser
    • Éviter matières ligneuses (bois et paille)
  • Apporter matière « verte »
  • Inoculer lombrics et autres vers au besoin
  • Activateurs (acides humiques et biostimulants, comme les extraits d’algues)
  • Argile bentonite (montmorillonite) dans les sols légers (1 ton / ha / an)
  • Travail du sol moins agressif
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43
Q

Quelles sont les caractéristiques des vers de terre utilisés dans la culture bio?

A

Les vers de terre constituent un outil essentiel pour réussir un système
de production biologique en serre.
- Il y a deux espèces importantes : Eisemia foetidae (vers tigré) et
Eisemia andrei (vers rouge)
- Ils aiment la matière organique non décomposée
- Ils aiment des sources avec un ratio C/N élevé́ (25) comme la farine
de luzerne (augmente leur reproduction)
- Ajouter aux cultures hors-sol : p. ex.: 1-5 vers /m2
- Faire un compte des populations régulièrement et en ajouter si
nécessaire
- Fertilisants organiques et stimulant de l’activité biologique du substrat

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44
Q

Quel est l’intérêt d’ajouter des biostimulants?

A

Toute substance ou microorganisme appliqué aux plantes dans le but d’améliorer l’efficacité nutritionnelle, la tolérance au stress abiotique et / ou les caractères de qualité des cultures, indépendamment de sa teneur en éléments nutritifs.
- améliore les performances des plantes en activant les réponses moléculaires, biochimiques et physiologiques.

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45
Q

Nommer des exemples de biostimulants.

A
  • Acides humiques et fulviques
  • Extraits d’algues
  • Chitosane
  • Hydrolysats de protéines
  • Composés Inorganique (Si)
  • Champignons bénéfiques (mycorrhiza)
  • Bactéries bénéfiques (PGPRs)
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46
Q

Quels sont les effets des biostimulants sur les concombres?

A
  • En général, aucun effet significatif sur la croissance et la productivité des
    plants (P<0,05)
  • La wollastonite a augmenté la fermeté des fruits (P=0,0069)
  • Le chitosane a augmenté l’acide titrable des fruits (P=0,0791)
  • L’AgSil25 a réduit le contenu en vitamine C des fruits (P=0,0099)
  • L’application foliaire de chitosane, Regalia (Reynoutria sachalinensis) et
    AgSil25 a augmenté le contenu des jeunes feuilles en Ca (P=0,0595)
  • Le Regalia (foliaire), le triacontanol et la wollastonite ont réduit la sévérité d’infection des feuilles par le blanc
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47
Q

Qu’est-ce qu’une culture complémentaire?

A
  • Entre deux cycles de production
  • En dessous des tomates
  • Stimule l’activité du sol
  • La vesce commune, avoine, moutarde, etc.
48
Q

Décrire la fabrication du compost (ratio, point de départ).

A

1. En serre, on veut un compost avec ratio C/N entre 10 – 15
**2. Point de départ **: mélange végétaux / fumiers / produits de la mer pour obtenir : Ratio C/N entre 30 – 35, Ajuster taux d’humidité entre 50-70 %,
3. Exemple avec 4 ingrédients : Fumier de poulets C/N = 6, Résidus légumes : 11, Paille de blé : 53, Copeaux de bois : 226, Ajuster le mélange pour C/N de 30-35. Comment on fait ça ?
4. Calculateurs pour faire le dosage des ingrédients sur Internet.
5. Le système le plus simple de compostage à la ferme est le compostage en andains
6. Besoin de 1 à 2 retournements pendant le processus. Équipement besoin d’un retourneur à compost porté sur un tracteur.
7. Essentiel de recouvrir les andains avec un géotextile spécial qui laisse respirer le tas tout en faisant dévier la pluie.
8. Pour réussir le compostage, il faut gérer : C/N – AÉRATION – HUMIDITÉ - TEMPÉRATURE et pH.
9. Pour la tomate on va appliquer entre 50 et 100 tonnes / ha / an. En fonction de : Rendement visé; Analyse minérale du compost; Stratégie de fertilisation.
10. Produit final ne sera jamais meilleur que la qualité des intrants.

49
Q

Quels sont les effets d’un rapport C/N d’un compost de plus de 30? entre 20 et 30? entre 10 et 20? moins de 10?

A

PLUS de 30 :
- Humification très élevée, décomposition très lente
- Minéralisation très faible des éléments sous forme organique, surtout N, P, oligo-éléments

20 - 30 :
- Humification élevée, décomposition lente
- Minéralisation lente des éléments forme organique

10 – 20 :
- Humification moyenne
- Décomposition et minéralisation moyennement rapide

MOINS de 10 :
- Produit peu d’humus
- Décomposition et minéralisation rapide

50
Q

VRAI OU FAUX?

Pour un rendement de haut niveau, on peut fertiliser exclusivement avec le compost.

A

FAUX

Pour un rendement de haut niveau, on ne peut pas fertiliser exclusivement avec le compost : taux de minéralisation lent.

51
Q

Quels sont les défis de l’horticulture biologique en serre?

A
  • Rendement équivalent aux cultures conventionnelles ⇨ ⬆ Rentabilité
  • Bio-pesticides & Bio-contrôle ⇨ Maladies et insectes; remplacement Cu
  • Fertilisants et amendements équilibrés ⇨ Répondre aux besoins de la plante ⇨ Limiter la salinisation + GES
  • Taux élevés de minéralisation ⇨ Demande élevée de la plante
  • Irrigation optimale ⇨ Minimiser le lessivage des éléments nutritifs + vie du sol
  • Santé du sol - Faible diversité des cultures / absence de rotation ⇨ Diversité microbienne et sol suppressif aux pathogènes ⇨ Biostimulants
  • Recyclage des intrants ⇨ Nutriments, plastiques, etc.
  • Génétique ⇨ Cultivars adaptés & disponibilité de semences bio

Autres défis :
- Compétition croissante avec les produits importés (p. ex. Mexique, É.-U.)
- Variabilité de la norme canadienne par rapport aux autres normes bio (p. ex. É.-U. autorisant les cultures hydroponiques; intrants autorisés)
- Conservation du prix premium (jusqu’à + 2x)
- Accès limité au capital
- Accès limité aux intrants et main-d’oeuvre
- Difficulté d’obtenir des données statistiques du secteur
- Soutien relativement limité à la recherche
- Accessibilité limitée aux savoir-faire & connaissances
- Soutien limité du gouvernement fédéral (politiques et programmes AAC)

52
Q

Quels sont les bénéfices de soutenir la recherche en bio?

A
  1. Très peu de recherche effectuée par rapport à l’agriculture
    conventionnelle : peu de soutien financier
  2. Les résultats, outils et le savoir-faire sont souvent transférables aux
    systèmes de production conventionnelle
  3. Répondre à la demande croissante des consommateurs pour des
    produits bio
  4. Mieux répondre aux problématiques environnementales et
    sociales
  5. Offrir des services écosystémiques (biodiversité, pollinisation,
    qualité de l’air, eau et sols, santé et bien-être des populations, etc.)
  6. Contribuer à l’autonomie et la sécurité alimentaire
  7. Contribuer à la durabilité des systèmes de culture
  8. Contribuer à l’agriculture de proximité
  9. Soutenir les régions et les jeunes entrepreneurs
  10. Promouvoir une offre diversifiée en fruits et légumes
53
Q

Quelles sont les opportunités en bio?

A
  • Fortes opportunités de marché en raison de la
    demande croissante de légumes biologiques
  • Potentiel de rentabilité très intéressant
  • Expansion: nécessité de minimiser les risques de production
    ⇨ Contrôle des maladies & insectes
    ⇨ Gestion des ressources & savoir-faire
  • Avantages globaux (Reganold and Wachter, 2016)
54
Q

Le principal facteur limitant la productivité de légumes d’hiver sous serres froides est la faible température nocturne.

A

FAUX

Faible luminosité

55
Q

L’un des facteurs de réussite des cultures hivernales sous serres froides est l’acclimatation des plantes aux faibles températures avant leur plantation.

A

VRAI

56
Q

Il y a un faible nombre d’espèces et de cultivars adaptés à la production sous serres froides.

A

FAUX

Plusieurs espèces et cultivars

57
Q

L’ajout d’une couverture thermique pour la production en serre froide permet de protéger certains légumes à une température extérieure de -16 à -24ºC.

A

VRAI

58
Q

La déshumidification en serre froide par la ventilation et le chauffage est très importante afin d’éviter l’apparition de maladie fongique.

A

VRAI

59
Q

Le nombre de jours à maturité varie peu entre une culture printanière et une culture hivernale.

A

FAUX

est beaucoup plus long

60
Q

Pour une récolte hivernale adéquate, les plants doivent avoir atteint 50% de leur croissance avant plantation.

A

FAUX

70% de leur croissance

61
Q

Il est possible de cultiver des légumes fruits sous serres froides.

A

FAUX

Légumes feuilles ou légumes racines

62
Q

Plusieurs espèces, dont l’épinard, la mâche, le mini-kale, la moutarde et le tatsoi peuvent être cultivés sous serre non chauffée.

A

VRAI

63
Q

En serre froide, les thrips sont les principaux ravageurs affectant les plantes au printemps puiqu’ils peuvent se reproduire à une température de 10ºC.

A

FAUX

64
Q

En serre froide, la désinfection de la serre s’effectue généralement en mars.

A

VRAI

65
Q

Pour les cultures d’hiver, la carotte, le radis et les légumes racines ont une bonne croissance même sous de faibles intensités lumineuses.

A

FAUX

Pas de croissance car lumière insuffisante. La serre froide agira alors comme un frigo

66
Q

Les couvertures flottantes épaisses sont à privilégier afin de mieux protéger les plantes contre le froid.

A

FAUX

Moins épaisses afin de laisser pénétrer plus de lumière.

67
Q

L’implantation des plantes en serre froide se fait en janvier pour les légumes de primeur.

A

VRAI

67
Q

Le persil, l’épinard et la roquette tolèrent très bien les faibles intensités lumineuses durant les mois de novembre à janvier.

A

VRAI

68
Q

L’espacement entre les plantes est plus grand pour les cultures d’hiver afin de favoriser une meilleure interception de la lumière par les plantes.

A

VRAI

69
Q

La fertilisation des cultures d’hiver en serre froide se fait à l’automne avant la plantation, puis au début ou à la mi-février lors de l’accroissement de l’intensité lumineuse.

A

VRAI

70
Q

Les biofertilisants sont une source d’éléments nutritifs renouvelables qui ont peu d’effet sur le microbiote du milieu de culture ou du sol.

A

FAUX

a un effet important sur le microbiote du milieu de culture ou du sol

71
Q

Certains biofertilisants peuvent entraîner un risque de surfertilisation, de salinisation et de déséquilibres nutritionnels du milieu de culture.

A

VRAI

72
Q

Les biofertilisants ont un taux de minéralisation variable d’où la difficulté de synchroniser les apports avec les besoins de la plante.

A

VRAI

73
Q

Les engrais synthétiques permettent de stimuler l’activité microbienne du sol ou des milieux de culture.

A

FAUX

Peu d’effet sur l’activité microbienne

74
Q

Les besoins en azote d’une culture de tomate en serre biologique peuvent être de plus de 7 fois supérieurs aux cultures en champ.

A

VRAI

75
Q

Les taux de minéralisation des engrais organiques varient en fonction de leur rapport C/N, un biofertilisant avec un rapport C/N élevé aura un taux de minéralisation plus élevé qu’un biofertilisant avec un faible rapport C/N.

A

FAUX

Un biofertilisant avec un rapport C/N élevé aura un taux de minéralisation plus faible qu’un biofertilisant avec un rapport C/N élevé.

76
Q

Il y a une corrélation positive entre l’activité microbienne du milieu de culture ou du sol et le taux de minéralisation des biofertilisants.

A

VRAI

77
Q

Parmi les biofertilisants, c’est la farine de sang et de plume qui émettent le moins le CH4 et de N2O.

A

FAUX

Farine de crevette

78
Q

Les biofertilisants sont des composés ou microorganismes qui améliorent les performances agronomiques en stimulant des processus associés à la croissance ou à la résilience des plantes.

A

FAUX

Les biostimulants

79
Q

Certains biostimulants améliorent la disponibilité et l’absorption des nutriments par les racines et/ou stimulant les voies de réponses aux pathogènes.

A

VRAI

80
Q

Les hydrolysats de protéines induisent les mécanismes de défense de la plante en stimulant la voie de synthèse de l’acide salicylique et de l’acide jasmonique.

A

VRAI

81
Q

Les biofertilisants pourraient agir comme des « vaccins », en activant les mécanismes de défense, diminuant ainsi l’incidence des plantes aux maladies et ravageurs.

A

VRAI

82
Q

Pour les cultures biologiques en serre, on utilise généralement un compost avec un ratio C :N entre 10 et 15.

A

VRAI

83
Q

L’apport d’engrais vert permet de stimuler l’activité biologique des sols biologiques.

A

VRAI (à confirmer…)

Il n’y a rien à faire

84
Q

Les composts riches en phosphore sont privilégiés pour les cultures biologiques.

A

FAUX

Pauvres en P

85
Q

Pour les cultures biologiques en plein sol, le pH du sol a tendance à descendre entraînant ainsi des déficiences minérales.

A

FAUX

pH monte

85
Q

Les nutriments dans les sols biologiques et dans les systèmes hors-sol sont facilement disponibles à la plante.

A

FAUX

Difficilement disponibles

86
Q

La demande en nutriment des plantes suit la charge en fruits des plants ou l’estimation du rendement par surface cultivée.

A

VRAI

87
Q

En production biologique, l’activité biologique du sol doit être maintenue élevée pour favoriser un taux de minéralisation élevé.

A

VRAI

87
Q

Un paillis de plastique au sol n’est pas souhaitable en production biologique.

A

FAUX

Conserve l’humidité

87
Q

Les producteurs biologiques doivent obligatoirement utiliser des semences certifiées biologiques.

A

FAUX

88
Q

L’agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) supervise, surveille et fait appliquer le régime biologique du Canada.

A

FAUX

89
Q

Au Québec, le cahier des charges pour l’appellation biologique est sous la responsabilité du CARTV.

A

VRAI

90
Q

La culture biologique hors-sol est permise en Europe.

A

FAUX

91
Q

La culture biologique hydroponique est permise au Canada et aux États-Unis.

A

FAUX

É.U seulement

92
Q

En production biologique, il est permis d’appliquer des boues d’épuration comme sources fertilisantes.

A

FAUX

92
Q

Les quatre principes de l’agriculture biologique sont la santé, l’écologie, la durabilité et l’équité.

A

FAUX

santé, écologie, équité et précaution

93
Q

Pour les cultures biologiques hors-sol, le milieu de culture doit contenir 10 % de compost et devra contenir 2 % de sol minéral dès novembre 2021.

A

VRAI

94
Q

La valeur mondiale des aliments biologiques représentait en 2020 plus de 133 milliards de dollars américains.

A

VRAI

95
Q

Le Québec est la province qui compte la plus grande superficie de légumes biologiques cultivés sous serre au Canada, avec près de 35% de sa surface totale, représentant une surface d’environ 43 ha.

A

VRAI

95
Q

Au Canada, les ventes au détail des produits biologiques a augmenté de 10% de 2019 à 2020.

A

FAUX

Les ventes au détail des produits biologiques a augmenté ede 18%.

96
Q

La faible diversification des cultures biologiques en serre n’affecte pas la santé des sols.

A

FAUX

Cela est problématique pour la santé du sol ; maladies telluriques

97
Q

En général, les fruits et légumes biologiques sont plus riches en certains minéraux, vitamine C et polyphénols.

A

VRAI

97
Q

Au Canada, la culture hors-sol biologique permet d’éviter la période de transition de 3 ans, qui est requise pour l’obtention de la certification biologique des cultures en plein sol.

A

VRAI

97
Q

L’utilisation de micro-asperseurs pour l’irrigation des cultures biologiques favorise l’accumulation de sels près de la tige.

A

FAUX

Elle diminue l’accumulation de sels près de la tige. Il s’agit de l’utilisation de goutteurs qui favorise l’accumulation de sels près de la tige.

98
Q

En culture biologique, on n’apporte pas les nutriments directement au système racinaire comme en hydroponie, mais on nourrit le sol pour maintenir sa richesse.

A

VRAI

99
Q

Sous régie de culture biologique, l’activité biologique du sol doit être maintenue faible afin de limiter la compétition entre les microorganismes du sol et la plante pour les nutriments.

A

FAUX

Il faut maintenir une activité biologique élevée pour favoriser un taux de minéralisation élevé et ainsi un apport suffisant d’éléments nutritifs aux plantes.

100
Q

Les vers de terre sont plus ou moins importants pour la culture biologique hors-sol.

A

FAUX

Ils sont essentiels.

101
Q

Les biostimulants constituent une source importante d’éléments nutritifs pour les plantes.

A

FAUX

Les biostimulants permettent d’améliorer l’efficacité nutritionnelle, la tolérance au stress abiotique et / ou les caractères de qualité des cultures, indépendamment de sa teneur en éléments nutritifs.

102
Q

La RFU diminue lorsque la vitesse de déplacement de l’eau du sol devient plus petite que la vitesse de prise d’eau par la plante pour satisfaire le besoin en évapotranspiration.

A

VRAI

103
Q

Lorsque les plantes sont jeunes, il ne faut pas se fier sur la réserve en eau facilement utilisable (RFU) pour ajuster l’irrigation de la culture.

A

VRAI

104
Q

Une réserve en eau facilement utilisable (RFU) de 7,0 L/m2 suffit au besoin estival d’une culture tuteurée.

A

VRAI

105
Q

La pandémie (COVID-19) a augmenté de 25% l’achat mondial de produits biologiques (mi-mars à juilet 2020).

A

VRAI

106
Q

Pour les cultures en sol, 1 à 3 cycles d’irrigation par jour sont suffisants à combler les besoins de la culture.

A

VRAI

107
Q

L’application de fertilisants doit être effectuée en tenant compte de la demande en éléments nutritifs qui varie en fonction du stade de développement des plants.

A

VRAI

108
Q

Plus de 66 % des consommateurs canadiens achètent des produits biologiques sur une base hebdomadaire.

A

VRAI