chapitre 3 obésité et diabète Flashcards
Comment influence la distribution du tissus adipeux
Plus le rapport taille/hanche est élevé, + le risque de morbi-mortalité est élevé
(est indépendant du BMI).
quand est ce que le périmètre abdominal est pathologique
Il est pathologique si il
est supérieur à 88 cm pour une femme, et 102 cm pour un homme.
Edmonton Obesity Staging System
Cette échelle prend en compte les signes de facteurs de risque lié à l’obésité, les symptômes physique, les
symptômes psychologiques et la limitation fonctionnelle à elle est plus proche de la réalité du patient !
Elle reprend les conséquences de l’obésité sur la santé. La classification de fait de 0 à 4.
meilleur prédiction de la mortalité
quel est le régime qui fonctionne le mieux pour perdre du poids rapidement + limite
Régime très pauvre en calories mais très dur à tenir sur le long termes
adaptation et rééquilibration de la balance
difficile psycho-socialement
avantage du hiit pour la perte de poids
A volume =, l’effet sur le poids et la composition corporelle est identique que pour l’exercice modéré continu.
Mais …
Un grand avantage : l’efficience ! (- 40% de temps !). Et c’est aussi plus ludique pour certaines personnes.
3 objectifs du traitement de l’obésité
Objectifs :
1. Maximaliser la dépense énergétique.
2. Prendre en charge les comorbidités ( ! composition corporelle et pas uniquement le BMI).
3. Intégrer l’exercice dans le mode de vie pour prévenir la reprise de poids.
condition chirurgie bariatrique
- IMC ≥ 40 ou ≥ 35 kg/m2 avec diabète sucré de type 2 (ou apnée du sommeil).
- Échec du traitement médical de l’obésité (hygiéno-diététique et médicamenteux).
- Engagement un suivi médical et une supplémentation à long terme.
- Risque chirurgical acceptable.
+ absence de contre indication (toxico, peu d’espérance de vie,…)
sleeve
technique restrictive. On coupe l’estomac dans le sens de la longueur pour diminuer la capacité à manger de grandes quantités et diminuer la production de ghréline
(hormone de la faim).
bypass
technique mal-absorptive. On coupe l’estomac dans la partie proximale et on le relie à la partie la plus distale de l’intestin grêle. Cela permet de diminuer la surface d’absorption et la capacité à manger beaucoup en une fois.
effets négatif chrirugie
Diminution densité osseuse et masse musculaire -> contré par l’exo
effets positif de la chirurgie
perte de graisse
améliore sensibilité à insuline
diminue inflammation systémique
améliore la fonction vasculaire
-> effet potentialisé par l’exo
diabète
hyperglycémie chronique entrainant un risque de microangiopathie et en particulier de rétinopathie
Critères diag du diabète à la prise de sang
-Les symptômes du diabète plus concentration aléatoire de glucose dans le sang ³ 11.1 mmol/L (200 mg/dL) OU
- Glycémie à jeun ³ 7.0 mmol/L (126 mg/dL) OU
- Résultat 2h après un test oral de tolérance au glucose ³ 11.1 mmol/L (200 mg/dL).
cellules cibles de l’insuline
foie, muscle, tissus adipeux
diabète type I :
insulino-dépendant 10-15% (avant 20ans) début brutal, pas d’hérédité, sujet mince, syndrome cardinal
peut être associé à CETONURIE
=> problème de sécrétion d’insuline (cellules beta du pancréas)
réaction auto-immune déclenché par des facteurs environnementaux
type II:
non insulino-dépendant (après 40 ans ) 85 à 90%
découverte fortuite
assymptomatique
avec surpoids
hérédité familiale
HTA, hypertriglycéridémie
=> problème des cellules cibles qui vont moins bien réagir à l’insuline
développement de la maladie dépend de facteurs environnementaux
- alimentation trop riche en graisse saturé
- inactivité physique et sédentarité
Les principaux facteurs de résistance à l’insuline sont :
L’obésité et la distribution abdominale/viscérale de la graisse.
L’inactivité physique et surtout la sédentarité.
Des facteurs génétiques.
L’âge. (grand FR surtout par diminution des réserves pancréatiques, car il peut de moins en moins compenser)
erreurs souvent commise dans la PEC du diabète de type II
- Ne prendre en compte que le rôle du tissu adipeux hypertrophie et oublier que le tissu musculaire est le siège principal de l’insulinorésistance.
- En conséquence sous-estimer la place de l’activité physique dans la prévention et le traitement du DNID (type II).
- Prescrire un régime hypoglucidique au lieu de prescrire une diététique normoglucidique hypo- lipidique limitant les graisses saturées.
- Restreindre le DNID a la glycémie en oubliant l’importance d’hyperlipidémie et de l’hypertension artérielle le plus souvent associée
Neuropathiques (mononeuropathie / polyneuropathie / Autonome)
micro angio
- Poly : atteinte diffuse des nerfs longs en 1er (distal puis tronc), paresthésie
(picotements), hypo/anesthésique (risque pied diabétique*). - Autonome : Atteinte SNA, problèmes/absence transpiration, cardiovasculaires, urogénitales, gastro-intestinaux (diarrhée)
test à l’effort avant de dire ok pour sport - Macroangiopathies : artère de +2mm de diamètre, vaisseaux avec une musculeuse.
Augmente risque d’athérosclérose -> hypertension -> Risque de thrombose -> Risque AVC / Infarctus / Amputation -> Mortalité.
Néphropathie :
micro angio
atteinte glomérulaire, ↑ albuminurie.
Stade 1 rein et taux de filtration
glomérulaire augmente.
Stade 5 : insuffisance rénale.
Rétinopathie :
micro angio
atteinte petits nerfs dans la rétine jusqu’à cécité
transformé par un trt par photo coagulation au laser
complication macro angio
lésion artères musculaire
augmente FR d’athérosclérose et aggrave plaques d’athéromes
vieillissement accéléré de la paroi artérielle
artérite des membres infs
résumé complication diabétiques, surtout chez type 2
==> Microangiopathie à morbidité +++
o Rétinopathie –> aveugle.
o Néphropathie –> insuffisance rénale.
o Neuropathie –> blessures et amputations.
==> Macroangiopathie à mortalité +++
o Maladie coronaire –> infarctus du myocarde.
o Thrombose cérébrale –> AVC
o Artériopathies des MI –> amputation
6 obstacles à l’exo chez le diabétique 1
manque de temps et facteurs liés au travail,
accès aux installations,
manque de motivation,
embarras et image corporelle,
les conditions météorologiques et
les obstacles spécifiques au diabète (faibles niveaux de connaissances sur la gestion du diabète et ses complications liées à l’exercice).
risque d’hypoglycémie chez type 1
principalement dans les 15 premières minutes et jusqu’à 24h
au début que le risque est le plus important car après sécrétion d’adrénaline qui va aider à maintenir un niveau constant
Important de mesurer la glycémie avant l’exercice ! Et en fonction voilà ce qui est conseillé (tuyau) :
Au dessus de 270-250, contre indication, on ne commence pas un exo !!!
<90 prendre 3 sucres
90-125 1 sucre
126 et 180 idéal
180-269 faire ex aérobie
Symptôme adrénergiques
palpitation, sueurs profuses, bouffées de chaleur
tremblement, pâleur
symptômes neuroglucopéniques (tuyau)
troubles concentration/visuel, vertiges, paresthésie
!! difficultés d’élocution, agressivité, trouble conscience, perte de connaissance
==> donner du glucose en intraveineuse (éviter fausse route) !!
Par quoi commencer la séances type 1
(tuyau)
résistance si séances mixtes (car favorise sécrétion d’adrénaline et limites hypoglycémies)
exercices aérobiques à tendance à diminuer la glycémie au début
anaérobiques augmente glycémie
=> exo mixtes stabilise glycémie
commencer par anaérobie pour éviter hypo
INFO
cortisol-> augmentation de la libération de glucose
tot le matin + de cortisol dans le sang et donc effet mécaniquement protecteur
! l’hydratation n’est pas une mesure qui réduit spécifiquement le risque d’hippo
trt diabète de type 2
diète et exo (+ ADO monothérapie (+ ADO combinaison (+ ADO et insuline (+ insuline)))
ADO = anti-diabétique oraux
régime alimentaire du type 2
Régime normal en glucides, légèrement hypocaloriques (restriction caloriques sur les graisses)
ennemis = graisses saturés
dans quel tissus prédomine la résistance à l’insuline
Musculaire
quel est l’effet de l’exercice sur le diabète de type 2
il n’améliore pas le contrôle du diabète mais permet de diminuer la dose d’insuline
a le mm effet que l’insuline sur les tissus musculaire (transport glucose)
et effets opposé à ceux de l’insuline sur le tissus adipeux
AP va engendrer des adaptation au niveau des tissus, notamment au niveau du tissus adipeux, du muscle squelettique, du foie, du pancréas pour augmenter la sensibilité à l’insuline
+ effet anti-oxydant et anti-inflammatoire
4 motifs cliniques
- AP a une action hypoglycémiante (évaluable par le malade grâce à la mesure de la glycémie capillaire)
- rompre avec l’obsession calorique en orientant vers une PEC plus global de la santé
- AP à un bénéfice psychologiques (retrouver plaisir corporel, sortir d’un processus d’isolement effet anti-dépresseur)
- acti d’endurance action bé
niveau de prévention dans le diabète
prévention primaire: on est pas malade, on est dans le stade pré-diabète. Le but est d’éviter qu’on rentre dans le diabète
prévention secondaire: le diabète est présent mais on va éviter que ça devienne une maladie clinique (avec des symptômes)
prévention tertiaire: on est déjà dans une maladie clinique, mais on veut éviter les complications
Les effets pléiotropies (veut dire que ça agit aussi sur les comorbidité du diabète) de l’exercice :
- Amélioration de la compliance vasculaire et donc de la pression artérielle
- Correction de la glycémie et de la dyslipidémie
- Augmentation de la défense antioxydante
- Diminution de l’état inflammatoire dans le diabète de type 2 et dans l’obésité
- Effet sur les ilots de Langerhans qui contiennent les cellules et donc préservation de la capacité intrinsèque de sécrétion d’insuline par ces cellules chez les patients diabétiques de type 2
précaution avant de commencer l’AP chez diabétiques
ECG/ test d’aptitudes au repos systématiques (cardiopathie silencieuse )
faire de la haute intensité après le repas car c’est le moment ou le pic de glycémie est le plus important
éviter les périodes de sédentarité prolongé et les jours inactif entre les actif (max 1 )
les 5 composantes de l’exo
mode
intensité
durée
fréquence
progression
mise en garde valable pour type 1 et 2
hypoglycémie (dysautonomie)
hyperglycémie ( polyurie -> déshydratation -> dysfonction thermo régulatoires)
rétinopathie -> éviter HTA et tête en bas
polyneuropathie, dysautonomie, …