chap. 9 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux: Les problèmes psychosociaux sont des réalités mentales à part entière

A

Vrai

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Q

Vrai ou faux: Les problèmes psychosociaux ne sont pas sur un continuum.

A

Faux: Il y a une gravité possible de 0 (pas de problème) puis augmente jusqu’à un problème extrême et intense

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3
Q

Vrai ou faux: Les problèmes psychosociaux ne peuvent être divisé de sa personne.

A

Vrai: Il est en continuité avec l’ensemble de la personne psychologique

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4
Q

Un problème psychosocial peut être indexé comme un ___ ou une ___ ___.

A

Comportement; observation unique

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5
Q

Vrai ou faux: Les troubles épuisent l’information par des seuils stricts.

A

Vrai

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6
Q

Vrai ou faux: L’une des différences entre un problème psychosocial et un diagnostic de trouble mentale est que les troubles épuisent l’information par une dichotomisation obligatoire.

A

Vrai: Contrairement, un problème psychosocial peut être mesuré sur une échelle finement graduée, grossièrement graduée ou dichotomique.

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7
Q

Les troubles épuisent l’information en l’
___, en la ___, et par ___.

A

Altérant: La combinaison de comportements dissemblables en un seul diagnostic altère les informations sur les symptômes principaux en les mélangeant de manière inséparable avec des informations sur d’autres problèmes mentaux
Diluant: Par exemple, l’anxiété figure dans les définitions de nombreux troubles, ce qui limite considérablement la capacité d’un diagnostic à nous informer sur l’anxiété d’une personne
Exclusion: Critères d’exclusion tels que l’exigence que le symptôme principal ne soit pas mieux expliqué par un autre trouble.

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8
Q

Que propose l’hypothèse du symptôme principal?

A

Le diagnostic de chaque trouble mental transmet moins d’informations sur les problèmes mentaux d’une personne que le seul symptôme principal de ce trouble
- Exemples: Anxiété, panique, agoraphobie

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9
Q

Qu’est-ce qu’un comportement phobique?

A

Lorsque l’évitement comportemental est marqué et persistant.

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10
Q

Qu’est-ce que le paradoxe névrotique venant de la phobie?

A

une personne est incapable d’effectuer une activité ordinaire bien qu’elle en soit capable par ailleurs, qu’elle souhaite fonctionner normalement, et qu’elle soit consciente que sa limitation n’a pas de sens
- c’est un comportement autodestructeur

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11
Q

L’évitement dans la phobie s’accompagne généralement d’un certain degré d’___ à l’égard de l’activité évitée

A

anxiété

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12
Q

Vrai ou faux: Il n’est pas possible qu’une phobie aie une autre phobie.

A

Faux: Certaines phobies spécifiques ont tendance d’avoir une autre phobie aussi
p.ex: agoraphobie: quand la personne demeure chez elle et a donc une phobie des grands groupes, le transport public, etc. (Sheila from shameless)

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13
Q

Une personne souffrant d’une ___ effectue une ou plusieurs actions bien au-delà de la raison et avec le sentiment d’être obligée de le faire.

A

Compulsion

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14
Q

Les compulsions peuvent impliquer des ___ élaborés qui prennent beaucoup de temps et qui semble avoir une fonction ___ plutôt qu’un effet pratique.

A

Rituel; symbolique
–>p.ex: Décontaminer un objet par magie

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15
Q

Qu’est-ce qui accompagne souvent les comportements compulsifs?

A

Les obsessions: sentiment de peur ou d’inconfort qui diminue avec le comportement compulsif

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16
Q

Vrai ou faux: Tous les personnes souffrant de phobies ont des compulsions marquées.

A

Faux: La plupart n’en ont pas, MAIS, elles vont s’engager souvent dans des activités défensives rituelles lorsqu’elles font qqch qu’elles préféreraient éviter.

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17
Q

Comment pouvons nous décrire les pensées troublantes? Offre un exemple.

A

Les pensées intrusives aversives, difficiles à contrôler ou à écarter, peuvent prendre la forme de préoccupations obsessionnelles, d’inquiétudes excessives ou de souvenirs horribles.
Exemple: Les personnes souffrant de phobies spécifiques, par exemple, perçoivent souvent l’objet ou l’activité phobique comme dangereux et s’en inquiètent, en sont obsédées, s’en souviennent de manière intrusive, l’anticipent avec crainte et en font même des cauchemars

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18
Q

Quels sont les thèmes obsessionnels les plus courants?

A
  • Préoccupations morales, religieuses, sexuelles, la contamination, la symétrie la maladie, l’ordre et le mal
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19
Q

Qu’est-ce qui différencie l’anxiété de la peur?

A

L’anxiété est une anticipation d’une menace future, alors que la peur est une réponse émotionnel à une menace vrai ou perçue.

20
Q

Quels sont les types d’anxiété?

A
  • Anxiété subjective
  • La panique
  • L’anxiété dispositionnelle
  • L’anxiété physiologique
  • L’anxiété en tant que perception de l’excitation physiologique
21
Q

Qu’est-ce que l’anxiété subjective?

A
  • La peur consciente
  • les gens peuvent indiquer l’intensité de la peur qu’ils ressentent en évaluant une échelle simple
22
Q

Qu’est-ce que la panique?

A
  • Attaques de panique sont des crises soudaines d’anxiété intense
  • Peuvent être dérangeantes et laisser un résidu durable d’incapacité
  • Varient en terme d’intensité, duré et fréquence
23
Q

Vrai ou faux: Pour être diagnostiqué dans le DSM-5 avec la panique, il faut des panics inattendus.

A

Vrai

24
Q

Qu’est-ce que l’anxiété dispositionnelle?

A
  • C’est. al tendance à se sentir anxieux dans tous les contextes de vie
  • Trait de personnalité durable
  • Disposition à considérer les circonstances comme menaçantes et à réagir par la peur
25
Q

Qu’est-ce que l’anxiété physiologique?

A
  • Excitation autonome & mécanismes neurochimiques associés à l’anxiété
26
Q

Qu’est-ce que l’anxiété en tant que perception de l’excitation physiologique?

A
  • Les perceptions corporelles peuvent devenir l’objet d’inquiétudes obsessionnelles et de panique, et donner lieu à des actions défensives
  • L’excitation physiologique en soi a moins d’impact sur le comportement que la perception et interprétation de celle-ci
27
Q

Vrai ou faux: Les phobies, les obsessions et les compulsions ont des racines génétiques complexes et peuvent être attribuées à diverses circonstances sociales, psychologiques et environnementales.

A

Vrai: La plupart des phobies n’ont pas de circonstances déclenchantes discrètes et de telles circonstances (par exemple, un grave accident de voiture) produisent généralement des phobies chez relativement peu de personnes

28
Q

Qu’est-ce que la théorie des 2 facteurs de l’anxiété et de l’évitement?

A
  • Propose que l’anxiété contrôle le comportement d’évitement par un processus en deux parties de conditionnement classique et de conditionnement opérant
    –> la personne apprend par conditionnement classique à avoir peur d’un stimulus auparavant neutre, après l’avoir expérimenté associé à un stimulus aversif
    –> Deuxièmement, l’anxiété provoquée par l’ancien stimulus neutre désormais conditionné incite la personne à éviter ce stimulus, l’évitement étant récompensé (conditionnement opérant) par la baisse de l’anxiété qu’il entraîne
29
Q

Vrai ou faux: Selon la théorie de la panique et de l’évitement, la panique n’est pas en corrélation étroite avec le comportement phobique.

A

Vrai

30
Q

Vrai ou faux: Les perceptions du danger sont considérées comme pas aussi important dans le comportement d’évitement, de la peur et d’autres problèmes liés à la phobie, la panique, l’obsession et la compulsion.

A

Faux: C’est considérée comme l’une des principal responsable de ceux-ci

31
Q

Vrai ou faux: La panique anticipée est la probabilité que l’exécution d’une tâche entraîne une crise de panique.

A

Vrai

32
Q

Qu’est-ce que l’auto-efficacité perçue?

A
  • Capacité perçue d’une personne à exécuter une action ou un schéma de pensée
  • La seule question est de savoir dans quelle mesure la personne pense qu’elle peut accomplir des actions particulières, ouvertement dans son comportement ou, dans le cas de l’auto-efficacité en matière de contrôle de la pensée, secrètement dans sa conscience
    –> on n’inclue donc pas un certain but ou résultat
  • Le contrôle perçu joue un rôle important ici
33
Q

Vrai ou faux: Si une personne exprime une grande efficacité personnelle pour accomplir une tâche, elle ne va pas exprimer une forte anxiété anticipée.

A

Faux: Selon les causes sociocognitives de l’anxiété, les gens peuvent exprimer les 2, auquel cas ils sont susceptibles d’accomplir la tâche sans grande difficulté mais avec une forte anxiété

34
Q

Les approches fondées sur le traitement de l’information attribuent l’anxiété en partie à des…

A
  • biais cognitifs dans l’attention, la perception, l’interprétation et la mémorisation des informations liées à la peur par les personnes anxieuses
35
Q

Vrai ou faux: Les modèles psychologiques de la panique la conçoivent généralement comme résultant de la perception d’une menace.

A

Vrai: En particulier, un cercle vicieux de perception de sensations corporelles, d’interprétation catastrophique de celles-ci, qui mène à des sentiments de peur et d’appréhension, ce qui provoque davantage de sensations corporelles à interpréter de manière catastrophique

36
Q

Les théories sociocognitives explique que les pensées troublantes, comme des obsessions et des inquiétudes sont ___, MAIS devient ___ quand la personne interprète et y répond de manière maladaptive.

A

Commune; problématique

37
Q

Vrai ou faux: Lorsque les personnes tentent d’éviter ou de supprimer une intrusion gênante, leurs rituels de neutralisation vont diminuer la fréquence de la pensée et saper le sentiment de contrôle.

A

Faux: Les rituels peuvent AUGMENTER la fréquence
- Les rituels accroît l’anxiété et incite à redoubler les efforts pour exercer un contrôle, créant un cercle vicieux

38
Q

Quels sont les types de traitements des phobies et compulsions?

A
  • Méthode basé sur la performance
  • Exposition
  • Traitement par maîtrise guidée
  • Thérapies cognitives
39
Q

Quelles sont les caractéristiques des méthodes basées sur la performance (traitement des phobies et compulsions)?

A
  • Exposition in vivo
  • imagination de performance de l’activité qu’elle évite
  • Plus efficaces que les méthodes d’imagination ou de visualisation
  • des changements dans des comportements d’évitement peut changer grandement l’anxiété subjective, la panique, le stress, et les pensées intrusives
40
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’exposition comme traitement des phobies et compulsions?

A
  • Traitements basés sur l’imagination, l’observation ou la réalisation d’activités liées à la phobie
  • S’apparente à l’extinction pavlovienne
41
Q

Quelles sont les caractéristiques du traitement par maîtrise guidée comme traitement des phobies et compulsions?

A
  • Cherche à développer un fort sentiment d’auto-efficacité en encourageant les personnes à réaliser des performances
  • Produit typiquement de meilleurs résultats que de simplement encourager la personne à s’exposer au stimuli
  • Le thérapeute de la maîtrise guidée aide les gens à réussir des tâches qui, autrement, seraient trop difficiles, tout en les guidant pour qu’ils les accomplissent avec compétence, sans les manœuvres défensives intégrées et les restrictions personnelles qui limitent leur perception de la réussite
42
Q

Quelles sont les caractéristiques de la thérapie cognitive comme traitement des phobies et compulsions?

A
  • Conçu pour aider les personnes à modifier leur surestimation du danger et adopter d’autres interprétation de l’événement
  • Utiliser en combinaison avec les méthodes d’expositions
43
Q

Comment pouvons nous traiter l’anxiété subjective?

A
  • Traitée en aidant les gens à s’imaginer dans la situation de stress et y faire face
  • Diverses méthodes de relaxation et réévaluation (cognitivo-comportementale)
  • La maîtrise du comportement d’évitement permet souvent d’éliminer l’anxiété subjective qui l’accompagne
  • Quand l’anxiété persiste, le thérapeute doit guider la personne à arrêter des manoeuvres d’évitement et les rituels qui prolonge leur peur (théorie sociocognitive)
44
Q

Comment pouvons nous traiter les attaques de panique?

A
  • Thérapies d’évitement basées sur la performance
  • Thérapies cognitives pour augmenter l’évaluation rationnelle et diminuer les pensées catastrophiques
  • Interventions somatiques
  • Techniques de respiration et de relaxation
45
Q

Comment pouvons nous traiter les pensées troublantes?

A
  • Souvent on combine des éléments ensemble
  • La plus répandue est la réalisation énactive ou imaginaire d’activités évitées, avec une prévention de la réponse appropriée pour les rituels
    –> p.ex: une personne peut avoir une pensée intrusive, ensuite pratiqué à ne pas avoir de réaction mentale à celle-ci
  • Traitements cognitifs: Éléments verbaux tels que… dialogue visant à faire comprendre que les obsessions sont normales, à remettre en question les croyances excessives en matière de responsabilité et les significations catastrophiques, à accroître la tolérance à l’incertitude, ainsi que des méthodes visant à modifier l’imagerie problématique, mais sans essayer de réduire directement le nombre de pensées intrusives
46
Q
A