chap. 14 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux: Plus de la moitié de la population américaine, 12 ans et plus, consomme de l’alcool.

A

Vrai

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2
Q

Quels sont les 3 éléments principaux de la dépendance? Élabore sur chacun.

A

1) Préoccupation
- Les individus accordent beaucoup d’importance à l’acquisition de drogues
- la personne peut fonctionner, mais elle en pense beaucoup
→ genre le même feeling qu’un étudiant qui stress à propos des examens
- Ainsi, les relations sociales et l’emploi sont mis en péril par la recherche constante de drogues, et ils souffrent également des conséquences de la consommation de drogues
2) La compulsion
- L’individu continue à consommer des drogues, malgré les conséquences négatives graves
3) La rechute
- L’individu arrête de consommer de la drogue pendant un certain temps, mais finit par en reprendre à un niveau anormal
→ après quelques semaines sans consommation, le feeling devient très envahissant
→ ca fait partie du processus de guérison

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3
Q

Explique comment la dépendance se trouve sur un continuum.

A
  • C’est un continuum de comportements, puisque ceux-ci sont difficile à catégoriser et définir par un ensemble de critères
  • Cependant, de nombreux efforts ont été déployés pour délimiter les frontières entre les points critiques de ce continuum
    –> dépendamment d’où on se trouve sur le continuum, on va donner différents étiquettes
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4
Q

Vrai ou faux: Quant aux comportements de dépendances, les différents systèmes de diagnostic mettent souvent l’accent sur différents aspects du fonctionnement comportemental et physiologique dans leurs définitions, faisant en sorte que la catégorisation devient difficile.

A

Vrai: Dans certains pays on va observer le quantité consommé, alors que dans d’autres on va observé le comportement suivant n’importe quelle quantité

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5
Q

Selon la perspective biopsychosociale, on ne suppose pas implicitement que les symptômes observés de la consommation de substances sont la manifestation d’un état pathologique. Donc, comment considérent-on les symptômes et la dépendance dans cette perspective?

A
  • Les symptômes sont plutôt considérés comme des habitudes acquises qui émergent d’une combinaison de facteurs génétiques, sociaux, pharmacologiques et comportementaux
  • La dépendance est considérée comme impliquant des changements physiologiques chez les individus et l’interaction complexe entre les facteurs de stress environnementaux et les aspects individuels de la personne qui produisent et maintiennent les comportements de dépendance
    –> C’est une modification du cerveau, l’activation du système limbique
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6
Q

Quel système cérébral est touché dans le cas d’addiction?

A
  • Le système limbique
    –> le système de récompense qui fonctionne mal, qui fait en sorte qu’une personne va être addicte
    → il y a donc une prédisposition génétique, mais l’environnement va influencer quelle type d’addiction va prendre place
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7
Q

Vrai ou faux: Le problème d’addiction vient toujours seul.

A

Faux: C’est souvent pas nécessairement un problème d’addiction, mais plutôt un escape pour un autre problème (stress, dépression, etc.)

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8
Q

Que suppose la perspective socioculturelle de l’alcoolisme et de la toxicomanie?

A
  • Les comportements de consommation d’alcool ou de drogues considérés comme désordonnés sont ceux qui s’écartent des normes socialement acceptées
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9
Q

Que suppose le modèle maladie-morale des comportements de dépendance?

A
  • Le point de vue moral soutient que la consommation d’alcool et de drogues est un acte librement choisi dont les individus sont responsables
    → mais, c’est pas juste une question de vouloir arrêter, c’est vraiment physiologique (pour des drogues comme la coke, l’héroïne)
    –> **sauf pour la marijuana, qui est une dépendance entièrement psychologique
  • Le modèle de la maladie adopte la position opposée
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10
Q

Vrai ou faux: Les femmes ayant des problèmes de consommation d’alcool vont chercher de l’aide plus souvent que les hommes.

A

Faux: Les femmes peuvent être réticentes à demander un traitement ou peuvent être empêchées par des membres de la famille gênés
–> Elle vont typiquement prendre plus de temps que les hommes pour admettre qu’elles ont un problème d’addiction

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11
Q

Les taux de prévalence de la consommation chez les ___ peuvent être sous-estimés.

A

Femmes: ce qui rend difficile la détermination précise de l’ampleur des dommages causés par la consommation d’alcool chez les femmes

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12
Q

Vrai ou faux: Le taux d’utilisation problématique de substances ou de dépendance chez les hommes âgés de 12 ans et plus est presque deux fois plus élevé que chez les femmes.

A

Vrai: 11,6% vs. 6,9%

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13
Q

Vrai ou faux: Les hommes sont plus susceptibles que les femmes de consommer actuellement (au cours des 30 derniers jours) plusieurs drogues illicites différentes.

A

Vrai: telles que la marijuana, consommation non médicale de médicaments psychothérapeutiques, cocaïne, hallucinogènes

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14
Q

Comment est-ce que les proches masculins peuvent influencer les habitudes de consommation des femmes?

A
  • Ils influencent fortement les habitudes de consommation des femmes
  • Par rapport aux femmes, les hommes sont plus susceptibles d’initier leurs partenaires à la consommation, d’inciter leurs partenaires féminines à s’injecter des drogues et de fournir des drogues à leurs partenaires
  • Les femmes déclarent souvent que leur partenaire les pousse à consommer
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15
Q

Comment est-ce que la stigmatisation des femmes dépendantent peut constituer un facteur de protection?

A
  • La plupart des cultures s’attendent à ce que les femmes boivent moins d’alcool que les hommes (c’est moins bien vue dans la société)
  • Ces attentes peuvent donc constituer un facteur de protection, réduisant l’incidence des troubles liés à la consommation d’alcool chez les femmes
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16
Q

Quels sont les obstacles au traitement chez les femmes?

A
  • Les femmes, leur famille et la société ont tendance à nier les symptômes
    → p.ex: mimosa à 10AM chez une femme de haute classe est bien vue
  • Les femmes craignent souvent qu’en entrant en traitement, elles soient perçues comme des mères inaptes et qu’on leur retire la garde de leurs enfants
  • La plupart des traitements pour les comportements de dépendance ont été développés en grande partie pour répondre aux besoins des hommes et ne sont donc pas aussi efficaces pour les femmes
    → p.ex: AA, la majorité c’est des hommes donc c’est pas le même type de support social recherché
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17
Q

Vrai ou faux: Par rapport aux personnes hétérosexuelles, celles qui ont des partenaires du même sexe présentent des taux plus élevés de consommation de substances et d’alcool.

A

Vrai: La consommation de drogues et la dépendance au cours de l’année écoulée sont également nettement plus élevées chez les femmes qui s’identifient comme lesbiennes ou bisexuelles.

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18
Q

Vrai ou faux: La consommation de drogues et la dépendance aux drogues chez les hommes hétérosexuel est plus élevé que les hommes gays ou bisexuels.

A

Faux: C’est l’inverse

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19
Q

Sur quoi se concentre la recherche neurobiologique quant à la dépendance des substances?

A
  • Tend à se concentrer sur l’identification des mécanismes neuroadaptatifs au sein de circuits cérébraux spécifiques qui permettent de passer d’une consommation peu fréquente et contrôlée de substances à une dépendance chronique
  • La manière dont l’alcool ou d’autres drogues exercent un effet renforçant est au cœur du processus neurochimique qui sous-tend la dépendance
20
Q

La plupart des études neurobiologiques sur la dépendance se sont concentrées sur le système ___, qui est considéré comme le système de neurotransmetteurs par lequel la plupart des drogues d’abus exercent leurs effets renforçateurs.

A

Dopaminergique

21
Q

Un réseau de 4 circuits pourrait être en grande partie responsable de l’utilisation problématique de substances et de la dépendance; quels sont ces circuits?

A

1) La récompense: située dans le noyau accumbens et le pallidum ventral
2) La motivation/pulsion: située dans le cortex orbitofrontal et le cortex sous-callosal
→ impulsivité, la difficulté à gérer ses comportements
3) La mémoire et l’apprentissage: situés dans l’amygdale et l’hippocampe
→ quand ce système fonctionne bien, et qu’il y a une expérience négative, la personne va pouvoir contrôler la répétition du comportement, mais avec la dépendance, l’expérience négative vient nuir
4) Le contrôle: situé dans le cortex préfrontal et le gyrus cingulaire antérieur

22
Q

Vrai ou faux: Les problèmes et les troubles liés à la dépendance n’ont qu’une composante environnementale.

A

Faux: Ces troubles ont aussi une composante génétique

23
Q

__% à __% de la variabilité du risque de dépendance est due à des facteurs génétiques.

A

40 - 60%, qui est un % très important

24
Q

Comment est-ce qu’un dépendance physiologique devient aussi psychologique?

A
  • Essentiellement, elles deviennent dépendantes de la substance pour les aider à faire face à des états émotionnels négatifs et à des situations sociales stressantes
  • Plus un s’habitue physiquement, il y a aussi une habituation psychologique
25
Q

Qu’est-ce qu’une personnalité alcoolique (addictive)? Quelles sont ses caractéristiques?

A
  • Type d’organisation du caractère qui prédispose une personne à recourir à l’alcool plutôt qu’à une autre stratégie pour faire face au stress émotionnel et social
    –> p.ex: boire de l’alcool pour parler avec une fille
  • Les personnes présentant un risque élevé de développer un alcoolisme sont significativement plus impulsives et agressives que celles présentant un faible risque d’abuser de l’alcool
  • **La plupart des chercheurs sur l’alcoolisme et la dépendance ont largement rejeté la notion traditionnelle de l’existence d’une personnalité alcoolique
    → parce que maintenant on parle de personnalité addictive (prédisposition)
26
Q

Les premières théories de l’apprentissage en matière d’utilisation problématique de substances reposaient sur deux hypothèses fondamentales, quelles sont-elles?

A

1) La consommation de substances est un comportement appris
2) La consommation de substances est renforcée parce qu’elle réduit l’anxiété et la tension (conditionnement)
→ p.ex: boire pour aller à un party quand introvertie, éventuellement t’apprends que l’anxiété est réduit donc à chaque fois qu’on sort, on va boire
- Les propriétés anxiolytiques de l’alcool sont renforcées et sont donc responsables du maintien du comportement de consommation

27
Q

Quant aux explications axées sur le comportement, quelles sont les attentes?

A
  • Les attentes concernant les effets positifs de la consommation de substances se développent à partir de l’association répétée de l’alcool ou d’autres substances avec leurs effets renforçateurs
    → Les attentes positives peuvent favoriser une consommation plus fréquente et contribuer ainsi au développement d’une dépendance
  • Définies comme des cognitions conditionnées qui peuvent elles-mêmes être associées à des expériences positives ou à des réponses subjectives positives à l’alcool ou à d’autres substances
  • Jouent un rôle central dans l’initiation et le maintien des troubles liés à la consommation d’alcool et de substances psychoactives
28
Q

Vrai ou faux: Ce qui est finalement qualifié d’alcoolisme ou de dépendance varie en fonction du contexte temporel, géographique et religieux

A

Vrai: Dans les cultures où la consommation d’alcool est intégrée aux rites religieux et aux coutumes sociales et où la maîtrise de soi, la sociabilité et le fait de « savoir tenir l’alcool » sont importants, l’alcoolisme est rare

29
Q

Les groupes culturels dont les taux d’alcoolisme sont comparativement faibles partagent quatre caractéristiques concernant la consommation d’alcool, quelles sont-elles?

A

1) La consommation d’alcool est acceptée et régie par la coutume sociale ; les individus de ces cultures apprennent donc des normes constructives en matière de consommation d’alcool
2) Les différences entre les « bons » et les « mauvais » modes de consommation d’alcool sont explicitement enseignées
3) Les compétences nécessaires pour boire de manière responsable sont enseignées
4) L’ivresse et la mauvaise conduite sous l’influence de l’alcool sont désapprouvées

30
Q

Que se passe-t-il dans les cultures où la consommation d’alcool est plus problématique?

A
  • Il n’existe pas de normes sociales convenues pour la consommation d’alcool, de sorte que les buveurs doivent se fier à une norme interne ou à celle de leur groupe de pairs
    → Dans ces cultures, les gens s’attendent à ce que l’alcool prenne le dessus sur la capacité d’autogestion de l’individu
    → p.ex: «c’était pas ma faute, j’avais bus»
31
Q

Vrai ou faux: Une solution raisonnable à la dépendance aux drogues ou à l’alcool consiste à identifier des molécules qui s’opposent à l’action de ces substances, donc la pharmacothérapie.

A

Vrai

32
Q

Il existe des médicaments conçus pour plusieurs bénéfices, quels sont ces bénéfices?

A

→ Réduire l’envie de consommer des drogues
→ Réduire les effets renforçants des substances psychoactives
→ Rendre la prise de drogue aversive
→ Traiter les troubles mentaux cooccurrents qui peuvent potentiellement sous-tendre la consommation d’alcool ou de drogues

33
Q

Quels sont les médicaments spécifiques pour la dépendance à l’alcool et leurs caractéristiques?

A
  • Le disulfirame (Antabuse®) produit une sensibilité à l’alcool qui se traduit par une réaction très désagréable lorsque le patient ingère même de petites quantités d’alcool
    → vomissement quand on mélange les 2
  • La naltrexone, qui aide à réduire l’envie d’alcool en bloquant les effets de l’éthanol sur le plaisir
  • Les antidépresseurs ont été utilisés pour traiter les personnes dépendantes de l’alcool souffrant de dépression concomitante
34
Q

Comment fonctionnent les traitements pharmacologique contre la dépendance aux opiacés?

A
  • Les plus efficaces et les plus couramment utilisées pour la dépendance aux opiacés impliquent l’utilisation d’agonistes (c’est-à-dire de médicaments qui occupent et activent les mêmes récepteurs que les opiacés)
    → se les récepteurs sont déjà occupé, il n’y a pas de place pour les opiacés
  • L’approche consiste à administrer des médicaments dont l’action est similaire à celle de la drogue dont on abuse, mais dont les effets pharmacothérapeutiques sont différents (par exemple, action plus longue, renforcement moindre, diminution de l’euphorie
    → on donne qqch assez similaire pour satisfaire le besoin pour la substance
35
Q

Que traitent la méthadone et la L-alpha-acetylmethadol (LAAM)?

A
  • Traite la dépendance aux opiacés
    –>Ils ne peuvent être administré que dans le cas où le patient est supervisé, ainsi qu’avec un aide psychiatrique
    –> L’utilité de ces deux agonistes réside dans le fait qu’ils satisfont l’envie d’héroïne ou d’autres drogues illicites à base d’opiacés
36
Q

Quel est un mauvais aspect de la méthadone et le LAAM comme traitement aux opiacés?

A
  • Ils créent une dépendance physiologique équivalente
  • Il faut donc ensuite s’assurer que la personne ne peut pas acquérir la méthadone hors du traitement
37
Q

Que traite la buprénorphine?

A
  • La buprénorphine, un agoniste opioïde récemment approuvé pour le traitement de la dépendance aux opiacés
    –> Elle bloque les effets subjectifs de l’héroïne et d’autres opiacés et il a été démontré qu’elle réduisait la consommation d’héroïne et augmentait l’observance du traitement psychosocial
    –> Par rapport à la méthadone, la buprénorphine présente l’avantage d’avoir un potentiel d’abus et un risque d’overdose moindres
    –> Elle peut être obtenue sur prescription d’un psychiatre ou d’un médecin de premier recours ayant suivi une formation agréée, plutôt qu’en se rendant dans une clinique spécialisée dans le traitement à la méthadone
38
Q

Vrai ou faux: La méthadone et le LAAM sont souvent associés à d’autres traitements psychosociaux pour être pleinement efficaces.

A

Vrai: dans aucun cas on va faire JUSTE la pharmacothérapie
→ parce qu’on ne règle pas le problème de dépendance, l’addiction va simplement se traduire ailleurs
→ on va donc soit juste faire la psychothérapie ou celle-ci avec la pharmacothérapie

39
Q

Quels types de traitements de la dépendance sont le pilier de tous les traitements?

A
  • Soutien par les pairs et thérapie psychosociale
40
Q

Comment fonctionnent les groupes d’Alcooliques Anonymes?

A
  • Groupe d’entraide en 12 étapes
  • Fonctionne principalement comme des programmes de conseil d’entraide dans lesquels l’accent est mis sur les relations de personne à personne et sur les relations de groupe
  • Discussion sur les problèmes d’alcool, accompagnées de témoignages de personnes qui se sont rétablies
  • Pas très efficace parce que ce n’est pas structuré par des professionnels
41
Q

Qu’est-ce que la facilitation en 12 étapes?

A
  • Une approche de traitement formelle couramment utilisée, dérivée des AA et du modèle de la maladie
  • Ici, la dépendance aux substances n’est pas considérée comme le symptôme d’une autre maladie, mais comme un problème primaire ayant des fondements biologiques, émotionnels et spirituels et présentant des caractéristiques
42
Q

Vrai ou faux: L’alcoolisme et la dépendance sont considérés comme des maladies progressives, marquées en grande partie par le déni.

A

Vrai: C’est une idée dans la facilitation en 12 étapes

43
Q

Les traitements ___ et ___ sont parmi les traitements psychosociaux les plus utilisés et les plus étudiés pour la dépendance aux substances

A

Cognitifs et comportementaux

44
Q

Comment fonctionne la thérapie cognitivo-comportementale dans un traitement de dépendance?

A
  • Enseigne aux clients des techniques d’adaptation afin de réduire ou d’éliminer la consommation d’alcool ou de substances
  • L’identification des situations à haut risque de rechute, l’enseignement et la répétition de stratégies pour faire face à ces situations, l’autosurveillance et l’analyse comportementale de la consommation de substances (journal, mesure les quantités), les stratégies pour reconnaître et faire face aux envies, les stratégies pour faire face aux défaillances, et l’enseignement de la résolution de problèmes
  • travail sur les pensées, les associations, pour déterminer pourquoi la personne consomme; qu’est-ce qui a mené la personne à la consommation
    → travail aussi sur les comportements; qu’est-ce que la personne devrait faire au lieu de consommer; journaling (voir les émotions et les situations avant et après avoir consommer pour déterminer ce qui est commun)
45
Q

Vrai ou faux: La rechute est inévitable.

A

Vrai

46
Q

Que ce passe-t-il après une rechute?

A
  • La minute que qqun a faite une rechute, c’est une grosse rechute
  • Le temps entre chaque rechute augmente et augmente parce que la personne réalise qu’elle est capable
  • Lorsqu’une personne dépendante qui s’est abstenue pendant une longue période boit ou consomme de la drogue, son efficacité personnelle en matière d’abstinence s’effondre parce que l’objectif d’abstinence totale n’a pas été respecté
    → Elle peut supposer que la reprise d’une consommation régulière est inévitable et se comporter de manière à réaliser cette prophétie
47
Q

Vrai ou faux: Tous les personnes dépendantes peuvent retourner éventuellement à une consommation contrôlée d’alcool.

A

Faux: Ce n’est que dans certains cas
- p.ex: qqun qui est dépendante en raison d’une personnalité comme ca, ce n’est pas possible de faire une consommation modéré
- p.ex: qqun qui consomme beaucoup pendant un an, mais était correct à boire normalement avant, il y avait juste un élément déclencheur de divorce, il est possible de boire de manière contrôlée
→ il y a des cas où le contrôle est possible, MAIS, on insiste typiquement sur une approche d’abstinence totale