C4 L’autonomie et les relations familiales Flashcards

1
Q

Le développement de l’autonomie

3 types d’autonomie

A
  • Capacité et pouvoir de prendre soi-même des décisions qui nous concernent et en assumer la responsabilité.
  • On est un adulte lorsqu’on est autonome.
  • Violation-réaménagement : violation de règles et réaménagement de ces règles-là. L’ado n’a pas le choix de violer des règles afin que le parent réajuste les règles (adaptation) ex. violation du couvre-feu, mène à une discussion = ajustement de la règle.

3 types d’autonomie:

  • Émotionnelle
  • Comportementale
  • Cognitive/idéologique (pas vue)
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2
Q

Autonomie comportementale

2 dimensions

A
  • Maitrise des actions et des conséquences des actions
  • Décider, assumer, sans supervision et en dépit des pressions extérieures (ex. un ami qui nous dit de sauter en bas du pont, je sais que non)

2 dimensions

  • Habiletés décisionnelles: plus notre cerveau c’est développer, plus on est capable de raisonner et prendre des décisions plus éclairées en fonctions des impacts
  • Sensibilité aux pressions extérieures : à quel point je suis influencé par ce que les autres disent et ce qu’ils pensent de moi. (Capacité d’affirmer mes choix devant les autres)
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3
Q

La sensibilité aux pressions des autres (Autonomie comportementale)

A

• Disposition mentale particulière à se laisser influencer dans sa prise de décision
• Capacité d’affirmer ses choix
• Lien avec l’autonomie émotionnelle
• L’importance du regard des autres
• Les parents vs les pairs (ex. influence sur les vêtements)
• Différences individuelles : certains styles parentaux qui permettent l’affirmation de soi
• Les parents: qui ils sont, style de personnalité

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4
Q

L’autonomie émotionnelle

A
  • Capacité de maitrise des affects, pulsions, sentiments, frontières personnelles (régulation émotionnelle) (valider ses émotions, de prendre soins de ses émotions)
  • Les liens de dépendance affective de l’enfance doivent évoluer pour laisser la place à la différenciation personnelle sur le plan émotionnel. On se différentie de nos parents avec nos émotions. On est capable de se valider soi-même, même si mes parents ne croient pas en mes émotions. Ex. si le parent est stressé, je sais que moi non, je ne suis pas en fusion avec les émotions de papa/maman.
  • Établir des frontières entre ce qui est soi et ne l’est pas. Ex. un parent invalidant peut créer des ado/adultes qui ne savent pas comment se sentir, afin d’être autonome, il faut être capable de ne pas se fier aux autres pour savoir comment je me sens.
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5
Q

L’autonomie émotionnelle depend de :

A
  • Désidéalisation des parents : mes parents et moi ne sont pas parfaits (je peux remettre en question comment mes parents se sent)
  • Les parents sont des êtres multidimensionnels: mes parents ne sont pas juste des parents, ils sont des conjoints, enfants, amis, travail… aide à désidéaliser.
  • La non-dépendance : ne pas toujours dépendre permet d’avoir ses propres émotions et pensées
  • Le besoin de préserver son intimité: pas normal de tout dire à l’adolescence à nos parents = frontière
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6
Q

Qu’est-ce qui favorise l’atteinte de l’autonomie émotionnelle ?

A

• Une bonne relation avec les parents (fiable, stable = permet l’exploration)
• Un lien d’attachement sécurisant (je peux me détaché car je sais qu’ils vont toujours être là) ce n’est pas une menace

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7
Q

Les relations familiales
La famille, un milieu social

A

• Rôle majeur dans la socialization (moins qu’a l’enfance)
• Le plus grand facteur social de protection de la santé mentale !!!
• Rapports dans la famille sont un prototype des rapports dans le futur (amour, conflit, mérite, respect)

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8
Q

Les styles parentaux

Deux dimensions

A

Définition : «Constellation d’attitudes (global) qui créent un climat émotif (dépend du contexte) à travers lequel se manifestent les comportements parentaux.»

Deux dimensions :

  • Sensibilité : climat chaleur, capable d’affection, support, acceptation, va être capable d’identifier le besoin de son enfant, va être à l’écoute, affection physique…
  • Contrôle (pas péjoratif, terme neutre) : prescription des règles et des conventions sociales (supervision, règle à la maison, stratégies disciplinaire…)

Ø Psychologique vs comportemental (contrôle)

  • Les 2 ont le même objectif = faire changer le comportement de l’enfant/ado
  • Psycho: culpabilisation, chantage émotif, manipulation
  • Comportementale: règle en place, mettre de niveau (ex. tu ne peux pas partir de la maison tant que tes devoirs ne sont pas faits)
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9
Q

Les aspects culturels influence la sensibilité et le contrôle ?

A

Universellement: sensibilité est nécessaire pour du bon parental

Pour ce qui est du contrôle: culturellement, le contrôle est mis différemment.

Ex. sous-culture où il y a plus de violence, il pourrait y avoir plus de contrôle afin de protéger les enfants (ex. NYC).

Choisir les amis de nos enfants = trop contrôlant pour ma société, mais à NYC, dire à son enfant, non tu ne te tiens pas avec un membre d’un gang = protéger

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10
Q

Les styles parentaux

A
  • Autocratique (peu sensible et contrôle élevé)
  • Démocratique (très sensible et contrôle élevé)
  • Désengagé (peu sensible et contrôle faible)
  • Permissif (très sensible et contrôle faible)

À considérer
Ce ne sont pas les comportements en soi qui permettent d’identifier le style parental, mais l’intention, le climat et le contexte.
Un évènement ne peux pas déterminer la classification du parent. C’est la globalité de la chose

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11
Q

Style autocritique (autoritaire)

A
    • Exigeant
    • Obéissance
    • Punitions et mesures disciplinaires
    • Restrictif: peu de liberté
    • Ne favorise pas la responsabilisation ni l’auto-contrôle (Si on puni et qu’on ne fait pas de retour et expliquer les impacts, on n’apprend pas à l’enfant d’être responsable de ce contrôle.)
    • Contrôle est vu négativement, car n’est pas accompagné de sensibilité
    • Avantage: l’enfant sait à quoi s’attendre
    • Lien avec estime de soi : le parent décide de tout, ne donne pas d’autonomie = je ne pense pas que tu es capable = baisse d’estime
    • Des parents très exigent: attente très haute, pas nécessairement de rétroaction positive
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12
Q

Style désengagé (negligent)

A
    • Débordé par ses propres problèmes
    • Sans supervision
    • Pas capable de jouer son rôle parental, ils ne sont pas disponibles, ils n’ont pas eu les outils pour être de bons parents
    • Les limites ne sont pas claires: une journée, c’est ok, et l’autre non.
    • Pourquoi communiquer, partager, informer son parent, alors qu’on n’a pas de relation ensemble = délinquance, se trouver une famille ailleurs
    • Souvent parent à la DPJ
    • Enfants qui font des crises d’adolescence (1/5)
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13
Q

Style permissive (indulgent)

A
    • Grande importance aux besoins
    • Ne veut pas utiliser son autorité parentale: ne veulent pas de contrôle car son enfant va moins l’aimer
    • «Parentalité bienveillante», parents d’enfants roi, ce n’est pas de sa faute
    • Souvent les parents sont des enfants de parent autocritique
    • Non punitif et peu exigeant car enfant «incroyable» donc pas plein potentiel (ex. un enfant fait un dessin barbo, et que la mère réagit grandiose = l’enfant ne va pas se dépasser)
    • Quelles sont les limites? = anxiogène pour l’enfant si pas de limite (quand est-ce que je touche la limite?)
    • Pas d’apprentissage de l’auto-contrôle: jamais eu de contrôle alors on ne peut pas intérioriser
    • S’attend à recevoir ce qu’il désire: s’attend que les choses lui soient donner, qu’il est extraordinaire
    • Et quand ils seront dans le monde extrafamilial? = choc car ce n’est pas comme ça que ça se passe dans la vraie vie
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14
Q

Style démocratique

A
    • Flexibilité entre besoins et contrôle. Flexible aussi dépendamment des besoins de l’enfant
    • Répond le mieux à violation-réhabilitation
    • Le parent est le guide (lien avec le rôle de psy)
    • Acquisition de l’autonomie
    • Beaucoup de soutien sur le plan émotionnel (validation, écoute)
    • Attention: démocratique (traduction de l’anglais), mais pas de poids égal dans les décisions, le parent va prendre en compte l’opinion de l’enfant et va l’impliquer, mais il a toujours le droit de veto.
    • Les limites sont claires et expliquées (l’enfant comprend pourquoi ça s’est une limite)
    • L’enfant est encouragé à discuter: pourquoi ça te fâche…
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15
Q

Style démocratique - avantages

A
    • Meilleures performances scolaires
    • Plus grand sens des responsabilités/autonomie
    • Meilleures compétences sociales, jugement moral, empathie (ils savent pourquoi il ne faut pas faire qqchose)
    • Meilleure estime de soi
    • Facteur protecteur pour la santé mentale
    • Meilleures habiletés d’autocontrôle
    • La chaleur et l’engagement rendent l’adolescent plus réceptif à l’influence des parents: ils me font confiance, ils m’écoutent, je respecte qui ils sont = ils m’influencent et je me laisse influencé
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16
Q

Les limites de la typologie du style parental

4

A
  • Il n’existe pas de «parent pur»: ils bougent
  • Style différent selon les enjeux: contexte
  • Style du père et de la mère possiblement différents: les deux se balancent
  • Le jeune exerce une influence: différence avec la personnalité
17
Q

Le rôle parental selon les contextes : culture

A

• Le style parental optimal = similaire style démocratique (connotation différente dépendamment de la vision de la sensibilité)
• Façon dont le style se manifeste = varie d’une culture à l’autre
• Parent démocratique américain VS asiatique = asiatique pourrait être classé autoritaire ici, mais là-bas démocratique

18
Q

Le rôle parental selon les contextes : niveau socioéconomique

A
  • Niveau socioéconomique élevé = contrôle psychologique vs punitions physiques pour niveau socioéconomique faible
  • Vise l’obéissance vs autorégulation
  • Faible niveau socioéconomique = plusieurs facteurs de risque pour le développement (ex. mère monoparentale, plusieurs emplois, pas le temps/énergie d’être démocratique)
  • Ajustement des stratégies éducatives
19
Q

Il y a une forte association entre les styles parentaux et les caractéristiques des jeunes. Mais est-ce réellement uniquement à cause des styles parentaux ?

A

N’oublions pas que les parents et leur ado partagent aussi la même génétique…

20
Q

La transformation des relations avec les parents

A
  • Relation moins asymétrique, plus de mutualité, réciprocité et coopération (moins hiérarchique, plus de pouvoir, on échange plus, relation de collocation, contribution)
  • Figure parentale moins idéalisée : plus de chicane
  • Compréhension réciproque parents-ado : c’est quoi le rôle de parents, pourquoi les parents nous disent ça, les parents comprennent plus l’ado, qu’il n’est plus un enfant
21
Q

Les conflits

A
  • Les conflits sont plus nombreux = normalité
  • Conflits majeurs : faire ta chambre, manqué l’autobus, lave-vaisselle, parler bête (plus vers 12-15 ans, se calme par la suite)
  • Effets des conflits et de leur résolution (importance des résolutions car sinon ça fait des personnes qui ne savent pas comment régler des conflits)
  • Lien avec les habiletés cognitives : sache les incohérences, relèves des observations, sache argumenter, demander plus d’explications)
  • Causes des conflits (heures d’entrée, partage des taches, responsabilité dans la maison…)
  • Les disputes cachent souvent des niveaux de conflits différents (ado = pas faire sa chambre, c’est pas faire sa chambre, les parents voit sa comme il faut être responsable, avoir une structure)
  • L’ado normal n’aura pas de gros immense conflit avec leur parent
22
Q

Et le parent lui

A
  • Lien avec leur propre crise « midlife » (tu t’occupes de tes parents et tu te prépares à que tes enfants partent = confrontant), les deux vivent des crises de développement importante
  • Parfois, perte de leurs parents et leur enfant en même temps.
  • Composer avec la transformation de la relation (plus d’autonomie, anxiété par rapport au laisser-aller)
  • Composer avec la désidéalisation de l’enfant envers le parent
    Ménopause serait plus difficile lorsqu’ils ont plus investi dans la vie de famille que lorsqu’ils investissent dans leur carrière. C’est difficile de voir ses enfants partir.
23
Q

Mère vs père:
Difference des rôles

Intimité des dyades

A

Mère

  • Parent principal dans la perception des ados
  • Plus de partage (se confié, réfléchir…)
  • Plus d’influence (confiance plus grande avec la mère)
  • Sphère scolaire (réunion de parent, signe les dictés, suivi…)
  • Plus satisfaits avec la relation de la mère selon la perspective des ados
  • Plus souvent démocratique (père dans les extrêmes = les femmes s’instruisent plus sur comment élever des enfants)
  • Mais plus de conflit avec la mère car plus investie

Père

  • Satisfaisante la relation (mais plus satisfait avec maman)
  • Plus autoritaire que les mères
  • Plus de variations dans les styles parentales (extrême permissif ou autoritaire)
  • Dépend de la structure familiale (mère : peu importe s’il sont ensemble, séparé… = investie VS le père est bcp plus impliquer si séparé)

Intimité des dyades:

De la plus intime, au moins intime

  • Mère-fille = la plus intime, proximité, partage, relation proche (MAIS : aussi dyade où il y a le plus de conflit = fille tiennent plus tête à leur mère) la figure d’attachement & même genre
  • Mère-fils = la figure d’attachement
  • Père-fils = même genre
  • Père-fille = moins de conflit et le moins proche (moins de la moitié des ados qui vont se sentir alaise à parler avec leur père)
    Mère est souvent la figure d’attachement à l’enfance alors se poursuit à l’adolescence
24
Q

Les relations dans la fraterie

changements, avantages et facteurs d’influence

A
  • Relations émotionnellement ambivalentes car avantage et inconvénient
  • Changements à l’adolescence :
  1. Deviant moins proche avec notre fraterie
  2. Amène moins de conflit car moins de contacts
  3. Moins de rivalité car on devient nos propres individus, moins de comparaisons (on se développe parfois en opposition)
  4. Intimité peut augmenter si proche en âge (partager les mêmes amis, loisirs…)
  • Avantage d’une relation fraternelle positive:
  1. Favorise l’estime de soi
  2. Meilleure qualité des liens avec les amis (interpersonnel car on a déjà fait de la résolution de conflit…)
  3. Meilleure adaptation globale

Facteurs d’influence

  • Position dans la fratrie : les plus jeunes sont souvent plus satisfait avec leur relation avec la fratrie. Les plus vieux = il faut être le modèle. Si proche en âge : tu n’auras pas eu l’attention exclusive de ton parents (le plus vieux) VS le plus jeune qui en a plus.
  • Sexe : + de conflits dans les dyades mixtes
  • Différence d’âge : plus une grande différence = moins de rivalité, compétition = moins de conflits, moins d’intimité/proche
  • Qualité des liens avec les parents : famille proche, sécure, positif = protection peu importe l’âge, conflit résolu, proximité, pas de compétition
  • Traitement différentiel parental (réel ou subjectif)= très souffrant : fait, pour un parent, de ne pas traiter également ses enfants, que cette inégalité soit réelle ou perçue comme telle par les enfants. Dans tous les cas = souffrant et peut créer des problèmes dans la fratrie.
25
Les arrangements familiaux Les transitions familiales Pas besoin de savoir des stats, mais savoir tendance…
* 5 unions sur 10 = rupture, mais moins si enfant (on ne veut pas séparer) * Environ 25% des familles d’ado = 1 seul parent * Environ 15% des familles d’ado = recomposée * Les familles se séparent de + en + tôt dans la vie des enfants, donc les enfants ont encore plus de chance de vivre dans des familles recomposées et de vivre aussi une rupture de famille recomposé = difficile car attachement, mais pas bio ! * À 17 ans, ce sont 36,9% des jeunes qui ont vécu la séparation de leurs parents
26
Les conséquences des transitions familiales | enfants qui ont vécu la séparation difficilement/effets à long terme
* Présence de diverses expériences et trajectoires Dépend toujours de comment la séparation se passe (vaut mieux se séparer bien, que de rester dans une zone de conflits/tensions) * La majorité des jeunes (3/4) ayant vécu une séparation ou une recomposition familiale vont bien (autant que si pas de séparation) pas de marque dans leur trajectoire/adaptation * Différences réelles lors des comparaisons entre les 2 groupes (pas de séparation mais va pas bien VS séparation mais va pas bien = ceux qui ont vécus une séparation vont encore moins bien) **Dans les enfants qui ont vécu la séparation difficilement… Problèmes extériorisés et intériorisés**: * Extériorisés : les jeunes avec une séparation de parents = différence plus importantes (manifesté par comportement ex. drogues, violence, agressivité) * Intériorisés : moins d’augmentation qu’extériorisé, il y en a quand même * Difficultés scolaires : plus de difficulté * Pourquoi : moins encadré car parents ont d’autre chose à faire… est ce que ce sont des difficultés avant séparation dans leur famille ou la séparation en soit = pas de conclusion **Effets à long terme d’être un jeune (tous) qui a eu une famille séparée**: * Plus de probabilité de se retrouver dans un niveau socioéconomique plus faible (ex. monoparentale, = moins de soutien…) * Davantage de problèmes conjugaux et de séparations lorsqu’ils seront eux-mêmes parents * Sentiment de bien-être personnel moindre
27
La variabilité des conséquences des séparations | âge, FvsG, processus relationnels dans la famille
**Caractéristiques individuelles des jeunes**: * **Âge** : 1 ans VS ado = Pas de consensus dans la science sur ce qui est préférable **Lien avec les aspects du développement** : beaucoup de transitions déjà importantes o Avant 12 ans : les enfants n’ont pas le choix de faire ce que le juge dit o Après = peuvent prendre des décisions * **Fille vs garçon** : manifestation différente o Filles : **intériorisé** (anxiété, troubles alimentaire, dépression) o Garçons : **extériorisé** (délinquance) * Influence de la **personnalité et du tempérament** o Enfants **anxieux** = difficulté avec les changements = plus souffrants **Processus relationnels au sein de la famille**: * **Relation parents-enfant** : facteur le + puissant pour expliquer l’adaptation à la séparation = **protection si attachement sécure** * **Relation entre les ex-conjoints** (dépend du niveau de conflit préexistant et actuel) o Si capable de se parler, d’être présent les deux en même temps pour l’enfant = protecteur