C11 LES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES Flashcards

1
Q

QUELQUES CONSIDÉRATIONS

A
  1. L’hypothèse des facteurs communs : l’effet net du traitement est le même pour tous les traitements actifs <-→Ne signifie pas nécessairement que tous les traitements fonctionnent aussi bien pour tous les individus
    Variabilité inter- et intra-personnelle (hétérogénéité) de la réponse au traitement
  2. Les différentes addictions ont des antécédents et des conséquences biopsychosociales similaires →Une approche thérapeutique commune pourrait s’appliquer aux différentes expressions d’addiction?

 Plusieurs psychothérapies spécifiques sont efficaces pour une variété de comportements addictifs dans divers contextes et populations cliniques

 Les éléments de traitement spécifiques à chaque trouble peuvent également continuer à jouer un rôle majeur
(Dépend des individus et des traitements pour chaque problème: très subjectif)

Ex. tcc très efficace, mais pas psychanalyse

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

I. LES THÉRAPIES COMPORTEMENTALES
INTRODUCTION

A

Peu importe les antécédents d’apprentissage ou les influences neurobiologiques ou génétiques sur les addictions, les produits d’addiction sont des comportements →Les thérapies comportementales sont efficaces pour traiter les addictions

L’élément commun à toutes les thérapies comportementales est l’accent mis sur l’histoire de l’apprentissage et l’expression actuelle du comportement (effet spécifique de l’addiction et les conséquences)

Des thérapies comportementales
1. La thérapie d’aversion
2. La gestion des contingences
3. Le renforcement communautaire (voir la lecture obligatoire) pas à l’examen
4. La thérapie comportementale du couple et de la famille (voir la lecture obligatoire) pas à l’examen

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q
  1. LA THÉRAPIE D’AVERSION
A

 Basée sur les principes du conditionnement classique
 L’objectif : permettre aux clients d’établir une association entre quelque chose d’aversif et la substance ou le comportement de leur choix (changer les stimuli et conséquence en fonction de la conso de substance psychoactive)
 Les professionnels du traitement ont utilisé les chocs électriques, les thérapies chimiques qui provoquent des nausées et l’imagerie négative en tant que thérapies d’aversion
 Efficacité dans le traitement des troubles liés à la consommation d’alcool et de la dépendance à la nicotine
 Autres addictions: aucune étude, ou résultat mixes pour autres substance
Donc spécifiques à certaines addictions

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q
  1. LA GESTION DES CONTINGENCES
A

3 éléments clés:
- Récompenses positives si la personne ne consomme pas, si conso = pas de récompense
- Un individu
- Un professionnel qui test le sang/urine pour dire si la personne a consommé

= pas de conséquence, seulement un retrait de récompense
Style de récompense: argent

 Les renforçateurs sont généralement des coupons ou de l’argent
 L’importance du renforçateur : doit être suffisamment important pour rivaliser avec le renforcement que l’on obtient du comportement que l’on cherche à modifier
 Une fois que le consommateur est resté abstinent pendant quelques mois, le professionnel peut réduire la magnitude du renforçateur

Elle peut s’appliquer à plusieurs types de patients
 Les patients hospitalisés ou les patients ambulatoires intensifs sont les mieux placés

Efficacité
 Abstinence précoce
 Efficacité quand elle est associée à d’autres traitements (tcc, entrevue motivationnelle)

NE FONCTIONNE PAS AVEC ADDICTION AUX JEUX D’ARGENTS PATHOLOGIQUE: ne peux pas être moniteuré (sang, urine), aussi l’argent est une récompense qui est problématique car ils ont de la difficulté à gérer leur argent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

RÉSUMÉ - thérapies comportementales

A

 De nombreux acteurs clés ont considéré les thérapies comportementales comme des traitements de référence pour les comportements addictifs
 Il reste encore beaucoup à faire pour évaluer s’il existe des résultats communs et uniques liés à des traitements comportementaux spécifique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

II. LES THÉRAPIES COGNITIVO-COMPORTEMENTALES
INTRODUCTION

A

 L’objectif : Fournir aux clients les informations et les compétences nécessaires pour modifier les schémas de pensée et de comportement problématiques

 De nombreuses variantes de la TCC pour les comportements addictifs qui sont toutes basées sur les théories de l’apprentissage social et le modèle cognitif des troubles émotionnels

Les approches de la TCC se concentrent souvent sur les influences sociales dans l’environnement du client ainsi que sur ses antécédents en matière d’apprentissage

Les approches de la TCC se concentrent sur l’identification des pensées, des croyances et des distorsions qui influencent les sentiments et le comportement du client

Ex. j’ai eu une journée très stressante, je dois boire de l’alcool (pensée automatique)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

LES COMPOSANTES PRINCIPALES TCC

A

Les interventions de TCC pour les comportements addictifs ont trois composantes principales :

  1. L’analyse fonctionnelle : Comment le comportement addictif « fonctionne » dans la vie quotidienne de l’individu + Examine les prédicteurs et les conséquences du comportement additif
    Ex. demander au patient: quelles sont les conséquences négatives (mentionne moins des conséquences positive = bon début pour la thérapie)
    Ex. demander pourquoi (peut être difficile, demande introspection), ou une description de la situation, déclencheur spécifique
    Ex. demander sur l’environnement interne: les pensées récurrentes
    On peut ensuite créer un portrait, et le client peut voir comment ça fonctionne
    Donner ensuite des devoirs au patient, remarquer les émotions en fonction de leur consommation, et ensuite y revenir
  2. La formation aux compétences : Apprend à l’individu à gérer les problèmes qui entourent son comportement addictif
    Ex. gérer les émotions par la méditation, pleine conscience, sport, créer des listes
    Comment les individus vont mener leurs cravings: on peut donner des stratégies de distractions cibler afin de ne pas succomber, on peut observer les cravings avec la pleine conscience
  3. La prévention des rechutes : Apprend à l’individu à identifier et à prévenir les situations à haut risque de rechute
    On sait que c’est assez fréquent, donc on doit enseigner comment prévenir et quoi faire lorsqu’on rechute
    Ex. discussion sur le pourquoi des rechutes, identifier les raisons personnelles/spécifiques.
    Si on sait les raisons potentiels, on peut aussi mettre en place un plan de rechute: si ça arrive, je sors de la maison marcher.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

EFFICACITÉ DE LA TCC

A

 La TCC semble plus efficace que les groupes de contrôle sans traitement et tout aussi efficace que d’autres traitements actifs
 Dans l’ensemble, le fonctionnement psychosocial et la consommation de substances s’étaient considérablement améliorés par rapport aux groupes sans traitement et aux groupes de contrôle actif

 Les femmes pourraient bénéficier davantage de la TCC que les hommes (plus ouverte à parler de leurs croyances, émotions, la rumination est plus élevé chez les femmes et la tcc est bonne pour traiter la rumination, aussi les femmes suivent généralement mieux la thérapie)
 L’efficacité de la TCC a semblé diminuer avec le temps, avec des tailles d’effet plus faibles lorsque les suivis ont été effectués 6 et 12 mois après le traitement (les suivis sont donc important)
 La méthode de prestation et le format de traitement n’étaient pas liés à l’efficacité de la TCC

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

EXTENSIONS RÉCENTES:
INTERVENTION COMPORTEMENTALE COMBINÉE (ICB)

A

Six approches thérapeutiques différentes qui peuvent renforcer l’efficacité de la TCC (on combine)
 L’entrevue motivationnelle
 Les groupes de soutien mutuel (famille, amis, ou groupe AA)(vivent moins de rechute)
 Les approches thérapeutiques qui intègrent une ou plusieurs personnes significatives dans le traitement (famille, amis)
 Les traitements qui utilisent des procédures de conditionnement classique
 La formation générale aux aptitudes sociales
 La pharmacothérapie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

EXTENSIONS RÉCENTES:
APPROCHES BASÉES SUR LA PLEINE CONSCIENCE

A

 La méditation de pleine conscience est une approche qui a récemment gagné en attention dans le traitement d’un certain nombre de problèmes psychologiques
 La pleine conscience a été décrite comme le fait de « prêter attention d’une manière particulière : dans un but précis, dans le moment présent et sans jugement » (Kabat-Zinn, 1994, p. 4)
 La méditation peut être un élément du maintien de l’équilibre du mode de vie qui sert à améliorer la TCC pour les addictions
 L’intégration de la pleine conscience à la prévention cognitive et comportementale traditionnelle des rechutes pourrait améliorer l’efficacité globale du traitement
Lorsqu’il y a l’intégration des deux, surtout avec les comorbidités = ça fonctionne très bien

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

RÉSUMÉ TCC

A

 De nombreuses variantes de la TCC pour les comportements addictifs qui sont toutes basées sur les théories de l’apprentissage social et le modèle cognitif des troubles émotionnels
 Plusieurs essais ont montré que la TCC et leurs extensions étaient efficace pour un large éventail de comportements addictifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

III. L’ENTREVUE MOTIVATIONNELLE ET LES INTERVENTIONS BRÈVES
INTRODUCTION

A

 Un grand nombre des interventions se déroulent sur plusieurs séances (long)
 Il est également possible de travailler sur l’addiction avec beaucoup moins de séances (intervention brève)
 L’entretien motivationnel et les interventions brèves sont souvent administrés au cours d’une ou deux séances: utilisé assez fréquemment en début de thérapie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

ENTRETIEN MOTIVATIONNEL (EM)

A

 L’objectif : sensibiliser le client à ses problèmes (identification), fixer des objectifs et proposer des options ou des stratégies pour atteindre ces objectifs
 Le thérapeute s’efforce de réduire l’ambivalence du client à l’égard du changement avec des déclarations empathiques et encourageantes pour que le client se sente à l’aise et ouvert à la discussion de ses problèmes
 L’une des principales caractéristiques est l’importance de reconnaître, d’accepter et de travailler avec le stade de changement actuel du client

Le modèle transthéorique de changement:
- Considérer les étapes de changements

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

CINQ PRINCIPES DE BASE DE L’EM (PHILOSOPHIE SOUS-JACENTE)

EDARA

A
  1. Exprimer de l’empathie : écouter activement ce que dit le client et essayer de comprendre son point de vue sans le juger ni le blâmer
  2. Créer des discrépances : le thérapeute dirige l’entretien de façon que le client présente ses propres arguments en faveur du changement et explique comment son comportement actuel l’empêche d’atteindre ses objectifs
  3. Éviter l’argumentation : le thérapeute évite d’argumenter avec le client et, dans l’idéal, le client sera la personne dans la pièce qui argumente en faveur du changement
    On ne veut pas confronter le client
  4. Faire face à la résistance : le besoin du thérapeute de faire face à la résistance en considérant l’ambivalence comme normale et en reconnaissant que le changement est difficile
    Ex. le client est résistant car c’est son amoureux qui la pousse à venir
    Si tu penses que ce n’est pas un problème, alors pourquoi es-tu ici?
  5. Soutenir l’auto-efficacité : soutenir l’auto-efficacité en reconnaissant que le client est responsable de son choix de changer et qu’un thérapeute ne peut pas forcer un client à suivre les étapes vers le changement
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

D’AUTRES ÉLÉMENTS CLÉS DE L’EM

A

 La collaboration : le thérapeute doit établir avec le client une relation favorable au changement
 La confrontation : amener le client à prendre conscience de la réalité quand il a un point de vue erroné - pas de confrontation directe
 L’autorité : ne dire pas au client ce qu’il doit faire
 L’évocation : fournir des ressources et motiver au changement
 L’autonomie : comprend que c’est le client qui doit faire le choix
 L’éducation : aborder les compétences nécessaires au changement – si nécessaire (compétence pour obtenir les objectifs établie par le client)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

ENTREVUE MOTIVATIONNELLE
INTERVENTIONS BRÈVES

A

 L’objectif : réduire le risque de dommages résultant d’un comportement addictif en se concentrant sur des objectifs intermédiaires spécifiques qui peuvent être atteints dans un court laps de temps, tout en reconnaissant un objectif de traitement final qui porte sur un seul objectif comportemental
 Des personnes plus ou moins formées peuvent mener des interventions brèves dans différents contextes
 La possibilité de diffuser les interventions brèves largement à un coût faible ou nul pour l’individu
 De nombreuses variantes d’interventions brèves se sont révélées efficaces

17
Q

INTERVENTIONS BRÈVES
Six composantes communes ( « FRAMES »):

A

 Feedback (rétroaction)
 Responsibility (responsabilité)
 Advice (conseils)
 Menu (menu)
 Empathic style (style empathique)
 Self-efficacy (auto-efficacité)

L’exécution des composantes de FRAMES se fait généralement en cinq étapes :

  1. Présentez la question dans le contexte approprié
  2. Dépister et évaluer le comportement
  3. Fournir un retour d’information sur le comportement
  4. Engager une conversation sur le changement et la fixation d’objectifs
  5. Résumer l’interaction et clôturer l’intervention

Les personnes qui bénéficient d’une intervention brève ont beaucoup plus de chances d’entrer dans un traitement d’addiction → Ouvrir la porte à un traitement plus approfondi

F – Feedback :
“D’après vos réponses, il semble que votre consommation d’alcool dépasse les recommandations pour une consommation saine. Cela peut augmenter le risque de problèmes de santé à court et à long terme, comme des maladies du foie ou des problèmes cardiaques.”

R – Responsabilité :
“En fin de compte, c’est vous qui avez le pouvoir de changer. Vous êtes celui qui peut décider des prochaines étapes à suivre.”

A – Conseils :
“Je vous conseille de réduire votre consommation d’alcool à un niveau plus modéré pour préserver votre santé. Il existe plusieurs stratégies pour vous aider à y parvenir, et je serai là pour vous guider si vous êtes prêt à commencer.”

M – Menu d’options :
“Il y a plusieurs approches possibles, comme fixer une limite de consommation, chercher un soutien professionnel ou participer à des groupes comme les Alcooliques Anonymes. Nous pouvons discuter de ce qui vous semble le plus adapté.”

E – Empathie :
“Je comprends que ce genre de changement peut être difficile, surtout lorsque l’alcool fait partie de votre routine depuis longtemps. Ce n’est pas facile, mais le simple fait de prendre conscience de l’impact et de vouloir changer est une étape très importante.”

S – Efficacité personnelle :
“Je crois vraiment que vous avez la force nécessaire pour apporter ce changement. Vous avez déjà franchi une étape importante en venant ici et en reconnaissant la nécessité de changer. Vous avez surmonté des défis dans le passé, et je suis sûr que vous pouvez réussir cela aussi.”
Non inclus dans l’examen.

18
Q

RÉSUMÉ - L’entrevue motivationnelle et les interventions brèves

A

 L’entrevue motivationnelle et les interventions brèves sont les approches brèves et efficaces
 Elles visent à provoquer un changement dans le comportement d’une personne en utilisant différentes techniques basées sur les principes fondamentaux de l’entretien motivationnel
 Des personnes plus ou moins formées peuvent mener des interventions brèves dans différents contextes
 La possibilité de diffuser les interventions brèves largement à un coût faible ou nul pour l’individu
 Elles peuvent être des outils utiles pour ouvrir la porte à un traitement plus approfondi

19
Q

IV. LES APPROCHES EN DOUZE ÉTAPES
INTRODUCTION AUX GROUPES EN DOUZE ÉTAPES
INTRODUCTION

A

 Les approches en douze étapes sont les interventions les plus utilisées aux États-Unis dans le domaine de l’addiction
 Alcooliques anonymes (AA) et des Narcotiques anonymes (NA) fournissent des conseils thérapeutiques gratuits et facilement accessibles à des millions de personnes dans le monde
 Nombre des 12 étapes mettent l’accent sur l’importance de la spiritualité et de l’identification d’une puissance supérieure + certains pratiques sont compatibles avec certains aspects des traitements cognitivo-comportementaux

DES OBJECTIFS

Les objectifs d’acceptation comprennent l’acceptation par les clients :
 qu’ils souffrent d’une maladie chronique et progressive: modèle de la maladie (si tu ne crois pas en ça, ce modèle de traitement ne fonctionne pas pour toi)
 qu’ils ont perdu la capacité de contrôler leur consommation d’alcool ou de substances
 qu’il n’existe pas de traitement efficace pour l’addiction aux substances et que l’abstinence totale est la seule alternative viable

Les objectifs de renonciation comprennent la reconnaissance qu’un pouvoir supérieur et la camaraderie avec un groupe AA/NA offrent la meilleure chance de rétablissement durable

Les 12 étapes des Alcooliques Anonymes (AA)
1 Nous avons admis que nous étions impuissants devant l’alcool, que nous avions perdu la maîtrise de notre vie.
2 Nous en sommes venus à croire qu’une Puissance supérieure à nous-mêmes pouvait nous rendre la raison.
3 Nous avons décidé de confier notre volonté et notre vie aux soins de Dieu tel que nous Le concevions.
4 Nous avons procédé sans crainte à un inventaire moral approfondi de nous-mêmes.
5 Nous avons avoué à Dieu, à nous-mêmes et à un autre être humain la nature exacte de nos torts.
6 Nous étions tout à fait prêts à ce que Dieu élimine tous ces défauts de caractère.
7 Nous Lui a humblement demandé de faire disparaître nos défauts.
8 Nous avons amende honorabledressé une liste. de toutes les personnes que nous avions lésées et nous avons résolu de leur faire
9 Nous avons de nuire à d’autresréparé ces torts. dans la mesure du possible, sauf lorsqu’en ce faisant nous risquions de leur nuire ou 10 Nous avons conscience.poursuivi notre inventaire personnel et promptement admis nos torts dès que nous en avons pris
Nous avons cherché, par la prière et la méditation, à améliorer notre contact conscient avec Dieu tel que nous
11 Le concevions, Lui demandant seulement de nous faire connaître Sa volonté à notre égard et de nous donner la force de l’exécuter.
12 Ayant connu un d’autres alcooliques et de réveil spirituel mettre ces principes en pratique comme résultat de ces étapes, nous avons essayé de dans tous les domaines de notre vie. transmettre ce message à
Non inclus dans l’examen.

20
Q

EFFICACITÉ approches en 12 étapes

A

 Les recherches sur l’efficacité des approches en 12 étapes sont relativement mixtes
 Une étude a conclu à l’absence de preuves expérimentales en faveur des programmes en 12 étapes <-→ un autre projet a montré que ils étaient aussi efficace que la TCC dans le traitement de la dépendance à l’alcool

21
Q

RÉSUMÉ approches en 12 étapes

A

 Les approches en douze étapes s’appuient sur le modèle de maladie de l’addiction et sont assez limitées dans la portée des voies de traitement potentielles
 Les 12 étapes sont les mêmes dans les AA, les Gamblers Anonymes, les NA et d’autres groupes en 12 étapes, ce qui suggère que le passage par les 12 étapes peut étre efficace quelle que soit l’expression d’addiction
 Les recherches sur l’efficacité des approches en 12 étapes sont relativement mixtes

22
Q

V. LES PSYCHOTHÉRAPIES FAMILIALES
INTRODUCTION

A

Les chercheurs et les professionnels ont développé un nombre de psychothérapies familiales et ont démontré leur efficacité dans le traitement de l’addiction aux substances chez les adolescents.
L’addiction peut être un symptôme dans un autre problème plus gros familiale

Les interventions qui ont le plus de soutien empirique sont :

 la thérapie familiale multi-systémique
 la thérapie familiale stratégique brève (voir la lecture obligatoire) pas à l’exam
 la thérapie familiale multidimensionnelle (voir la lecture obligatoire) pas à l’exam

23
Q

LA THÉRAPIE FAMILIALE MULTI-SYSTÉMIQUE (TFMS)

A

 L’objectif : traiter les facteurs de risque liés à la consommation de substances et aux comportements antisociaux dans de multiples contextes, en utilisant une approche globale et intégrée
 Une approche socio-écologique chez les jeunes et les adolescents

L’intervention inclue souvent beaucoup de facteurs :

 Amélioration des pratiques parentales et des relations émotionnelles familiales
 Diminution de l’association entre l’adolescent et ses pairs déviants, augmentation de l’association entre l’adolescent et ses pairs prosociaux
 Amélioration des résultats scolaires des adolescents, encouragement à la participation à des activités extrascolaires
 Développement d’un réseau social de famille, d’amis et de voisins pour aider à soutenir les changements positifs

24
Q

RÉSUMÉ - PSYCHOTHÉRAPIES FAMILIALES

A

 Le syndrome d’addiction propose que les antécédents distaux jouent un rôle important dans la vulnérabilité sous-jacente à l’expression d’addiction → Le travail avec les familles cible ces antécédents distaux de l’addiction ainsi que les antécédents proximaux

 Ces approches peuvent être les pertinentes pour les adolescents et les jeunes adultes, mais les autres peuvent aussi en profiter