APP 2 - Asthme Flashcards

1
Q

Quelle est la prévalence de l’asthme dans la population

A

7-10%

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Q

Nommer les 2 catégories de facteurs prédisposants de l’asthme

A

Génétique et environnementaux

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Q

Nommer des facteurs prédisposants GÉNÉTIQUES de l’asthme

A
  • Prédisposition génétique
  • Atopie
  • Hypersensibilité bronchique
  • Genre
  • Ethnie
  • Obésité
  • Infections virales précoces
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4
Q

Nommer les 5 catégories de facteurs déclenchants de l’asthme

A
  1. Allergènes
  2. Irritants
  3. IVRS
  4. Exercice/Tempéraure froide
  5. Autres
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Q

Nommer des allergènes pouvant déclencher une crise d’asthme

A

ALLERGÈNES COMMUNS NON SAISONNIERS
- animaux et plumes
- poussière
- moisissures

ALLERGÈNES COMMUNS SAISONNIERS
- arbres
- graminés
- mauvais herbes
- herbe à poux

ALLERGÈNES INDUSTRIELS
- Bacillus subtitles
- Poussière de farine
- Sulfites
- Toluène

ALIMENTS

MÉDICAMENTS
- Aspirine/AINS
- Bêtabloqueur

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6
Q

Nommer des irritants inhalés pouvant déclencher une crise d’asthme

A

Substances présentes dans l’air ambiant (gaz, poussière) qui sont “irritantes” pour les voies respiratoires de tout le monde, mais qui donnent beaucoup plus d’ennuis aux patients souffrant d’asthme

  • Odeurs fortes
  • Fumée
  • Polluants
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7
Q

Nommer 2 facteurs déclenchants de l’asthme dans la catégorie “autres”

A
  • Facteur émotionnel (ordre psychosomatique)
  • RGO
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8
Q

Nommer quelques anomalies pathologiques retrouvées dans l’asthme et expliquant sa pathophysiologie

A
  1. Contraction du muscle lisse
  2. Oedème et inflammation de la muqueuse
  3. Sécrétions abondantes

= RÉDUCTION DU DIAMÈTRE DES VOIES RESPIIRATOIRES = AUGMENTATION DE LA RÉSISTANCE

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9
Q

Une plus grande difficulté de l’écoulement de l’air à _________1_________ qu’à __________2_______ est caractéristique de l’asthme.

En effet, lors de l’inspiration, comme les voies aériennes sont soumises à une ________________3__________________, la taille de la lumière est __________4__________.

Pendant l’expiration, la pression pleurale relativement _______5_________ est transmise aux voies aériennes intrathoraciques, ________________ ainsi leur diamètre.

A
  1. l’expiration
  2. l’inspiration
  3. pression externe relativement négative
  4. plus grande
  5. positive
  6. diminuant
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10
Q

Signes et symptômes cliniques de l’asthme

A
  • Débute plus fréquemment durant l’enfance ou chez le jeune adulte
    Allongement du temps expiratoire
  • TOUX
  • DYSPNÉE
  • Utilisation des muscles accessoires
  • Thorax hypersonore percussion
  • Diamètre antérograde-postérieur augmenté
  • SIBILANCES (auscultation) ET WHEEZING (à l’oreille)
  • Tachypnée
  • Pouls paradoxal
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11
Q

Quels sont les 3 critères utilisés pour évaluer la sévérité de l’asthme

A
  1. Symptômes avant le traitement (fréquence et limitation activités)
  2. Symptômes nocturnes
  3. VEMS et VEMS/CVF diminués
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12
Q

Vrai ou faux
La radiographie est peu utile en asthme puisqu’elle ne démontre rien d’anormal

A

TRUEEEEE

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13
Q

Au gaz artériel,

  1. Que pouvons nous observer lors d’une crise d’asthme modérée
  2. Que pouvons nous observer lors d’une crise d’asthme sévère
A
  1. Alcalose respiratoire
  2. acidose respiratoire
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14
Q

En asthme, que voit-on d’anormal à la FSC

A

Éosinophilie baby

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15
Q

Décrire les mesures d’obstruction bronchique en asthme (épreuves fonctionnelles respiratoires)

A
  1. CRF augmentée (piégeage d’air)
  2. Diminution VEMS et CVF
  3. Augmentation VR (piégeage d’air) : fermeture prématurée des petites voies respiratoires
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16
Q

Nommer 2 raisons expliquant pourquoi la CRF est augmentée en asthme

A
  1. Hyperinflation dynamique
    Plus de temps est nécessaire pour l’expiration lorsque les voies respiratoires sont obstruées, les patients peuvent ne pas avoir suffisamment de temps avant la respiration suivante pour expirer complètement
  2. Activité persistante des muscles inspiratoires au cours de l’expiration
    - Un avantage physiologique à respirer à une CRF supérieur à la normale est d’avoir des voies aériennes maintenues ouvertes à un plus grand diamètre.
    - Un inconvénient est un travail respiratoire accru
    Entraine ultime ment un diaphragme bas et plat = moins performant
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17
Q

Entre les crises d’asthme, la fonction pulmonaire est

a) augmentée
b) diminuée
c) normale

A

CCCCCCCCC

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18
Q

Définit l’hyperréactivité bronchique

A

Bronchoconstriction excessive en réaction à des multiples déclencheurs inhalés d’asthme, alors qu’ils n’auraient aucun effet sur des voies aériennes saines

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19
Q

Comment est mesurée l’hyperréactivité bronchique à l’hôpital

A

Test de bronchoprovocation à l’histamine ou à la métacholine

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20
Q

Quelle substance est mieux à utiliser pour un test de bronchoprovocation et pourquoi ?

A

Métacholine, car mois effets secondaires

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21
Q

Décrire le fonctionnement d’un test de bronchoprovocation

A

faire inhaler des solutions de méthacholine, de manière répétée et de concentrations connues et croissantes, jusqu’à l’atteinte d’une concentration entraînant une baisse de 20 % du volume expiratoire maximal par seconde (VEMS).

Plus la concentration est faible avant l’atteinte, plus le patient est hyperréactif

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22
Q

Quel autre test pourrait être effectué pour évaluer la réactivité bronchique

Dans quel contexte

A

Test de provocation à l’effort

Lorsque l’histoire de la maladie montre un asthme prépondérant à l’exercice

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23
Q

Quels sont les critères diagnostiques de l’asthme

A
  1. Histoire de DYSPNÉE ÉPISODIQUE, WHEEZING et TOUX
  2. Obstruction réversible des voies respiratoires documentée par des tests de fonction pulmonaire
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24
Q

Afin de poser le diagnostic d’asthme, il faut avoir une preuve de réversibilité à l’aide d’un tes de fonction pulmonaire. Quels sont les tests possibles ? Placer en ordre du meilleur au moins bon

A
  1. Spirométrie
  2. DEP
  3. Bronchoprovocation à la méthacoline
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25
Q

Quels sont les critères pour avoir une spiromètre positive pour l’asthme

A
  1. VEMS/CVF pré broncho < 0,7 à 0,8
  2. Augmentation VEMS post broncho > 12% et au moins 200 ml
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26
Q

Définir rhinite

A

Inflammation de la membrane muqueuse nasale, provoquant une congestion nasale, une rhinorrhée et plusieurs autres symptômes variables associés dépendamment de l’étiologie (prurit, éternuement, rhinorrhée aqueuse ou purulente, anosmie (perte totale de l’odorat), etc.).

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27
Q

Quelles sont les 2 grandes catégories de rhinite

A

Allergique et non allergique

28
Q

2 sous-types de rhinite allergique

A

Saisonnière

Continue (perreniale)

29
Q

Décrire la rhinite saisonnière

a. Causes
b. Symptômes
c. Complications

A

a. Allergènes végétaux qui varient avec les saisons
b. prurit, éternuements, rhinorrhée claire/abondante, obstruction nez/sinus, muqueuse nasale gonflée
c. sinusite

30
Q

Décrire la rhinite perreniale/chornique

a. Causes
b. Symptômes
c. Complications

A

a. Exposition continue à des allergènes inhalés continuellement OU forte réactivité au pollen de plantes dans les saisons successives
b. Mêmes que rhinite allergique, obstruction nasale chronique peut mener à OMA
c. Sinusite chronique et polypes nasaux

31
Q

Les causes non allergiques de rhinite sont habituellement _________1________, mais des _________2_______ peuvent aussi le causer

A
  1. Virales
  2. Irritants
32
Q

Décrire la rhinite non allergique aigue (infectieuse)

a. Causes
b. Symptômes

A

a. rhume commun, infection durant la saison froide
b. toux, fièvre de bas grade, confession nasale, rhinorrhée, éternuement, myalgie

33
Q

Décrire la rhinite non allergique chronique

a. Causes
b. Symptômes
c. Manifestation

A

a. Prolongation d’une rhinite virale infectieuse ou inflammatoire subaiguë

b. similaires à la rhinite aigue

c. formation de granule et destruction des tissus mous du cartilage et de l’os

34
Q

Nommer quelques sous-types de rhinite chronique non allergique

A
  1. Médicamenteuse
  2. Infectieuse
  3. Vasomotrices
  4. Atrophique
35
Q

Quel est le principal muscle inspiratoire

A

DIAPHRAGME !!!!!!!!!!

36
Q

Le diaphragme est constitué de combien de muscles et comment s’appellent-ils

A

CRURAL (post) É COSTAL (ant)

37
Q

Par quel nerf le diaphragme est-il innervé

A

phrénique

38
Q

Durant l’inspiration, le diaphragme se ________1_______ et ses fibres musculaires _________2__________

A
  1. contracte
  2. raccourcissent
39
Q

Quels sont les muscles accessoires de l’inspiration et quels sont leur rôle respectif

A

SCM : soulève le sternum
Scalène : soulève 2 premières côtes
Pectoraux et trapèzes : effet moindre

40
Q

Quels muscles sont sollicités lors d’une inspiration normale et profonde (autres que diaphragme)

A

Muscles intercostaux parasternal
Muscles intercostaux externes

41
Q

Quel(s) muscle(s) est/sont utilisé(s) lors de l’expiration normale

A

AUCUN LOL C’EST PASSIF

42
Q

Quels muscles sont utilisés lors d’une expiration forcée et profonde, lorsque la résistance est augmentée ou lorsqu’une personne tousse

Que permet l’activité de ces muscles

A
  • Intercostaux internes
  • Muscles abdominaux

Diminuer le volume de la cage thoracique

43
Q

Définir la détresse respiratoire

A

Impossibilité passagère de respirer normalement due à un problème cardiaque, pulmonaire, un accident ou une intoxication

URGENCE VITALEEEEEEE

44
Q

Signes d’une détresse respiratoire

A
  • Respiration irrégulière, rapide ou superficielle
  • Pouls accéléré
  • Respiration bruyante (wheezing)
  • Maux de tête
  • Angoisse
  • Cyanose
  • Trouble de conscience
  • Trouble de comportement
  • Utilisation des muscles accessoires
45
Q

Quelle est la différence entre détresse et insuffisance respiratoire

A

Détresse = respiration difficile

pouvant évoluer en

Insuffisance = mauvais échanges gazeux

46
Q

Définir fatigue des muscles respiratoires

A

Perte de la force contractile après le travail résultant principalement de l’inhabileté des processus contractiles et métaboliques des fibres musculaire à continuer à fournir le même rendement de travail

47
Q

Nommer et expliquer brièvement 3 causes de fatigue respiratoire

A

1 et 2. Quantité excessive de travail OU Réserves d’énergie limitées
Pour les patients ayant des maladies qui augmentent le travail de respiration, le diaphragme travaille à un niveau très près de la fatigue. Ainsi, lorsqu’une maladie aigue surimposée augmente encore plus le travail de respiration ou lorsqu’un problème intercurrent diminue l’apport en énergie au diaphragme, la fatigue du diaphragme peut contribuer au développement de l’hypoventilation et de l’insuffisance respiratoire

  1. Diaphragme inefficace
    Le diaphragme est aplati et que ses fibres sont raccourcies due à des poumons hyper-gonflé, la force ou la pression développée durant la contraction est moindre, peu importe le niveau de l’excitation diaphragmatique.
    Ainsi, un plus haut degré de stimulation est nécessaire pour générer une pression comparable par le diaphragme, ce qui augmente la consommation d’énergie
48
Q

Expliquer la respiration paradoxale

A

Si la contraction diaphragmatique est spécialement faible ou absente, la pression pleurale chute durant l’inspiration (majoritairement due à la contraction des autres muscles inspiratoires). La pression pleurale négative est transmise à travers le diaphragme relativement flasque jusqu’à l’abdomen, qui se déplace paradoxalement vers l’intérieur durant l’inspiration.

49
Q

Décrire l’évolution de la gazométrie lors d’une crise d’asthme

A
  1. Résistance accrue à la circulation d’air = hyperventilation compensatoire pour garder PaO2 N = chute PaCO2 et augmentation pH = ALCALOSE RESPI
  2. L’hyperventilation ne peut plus compenser, donc chute PaO2 et mismatch V/Q (PaCO2 diminue et pH augmente) = ALCALOSE RESPI
  3. L’élimination du CO2 diminue par aggravation bronchospasme ou épuisement muscles respiratoires = pH N ou diminué et PaCO2 N ou augmenté = ACIDOSE RESPIRATOIRE
  4. Insuffisance respiratoire très marquée = ACIDOSE RESPIRATOIRE
50
Q

Décrire le mécanisme d’hypoxie dans l’asthme

A

Inhomogénéité V/Q = abaissé

  1. Certaines bronches sont plus obstruées que d’autres = résistance au passe de l’air inégal = air pas réparti de façon homogène
  2. Perfusion reste relativement* la même dans toutes les régions = du sang avec une faible PaO2 sera mélangé avec du sang ayant une PaO2 normale
  3. Hyperventilation compensatoire = alcalose respiratoire
  4. Lorsque hyperventilatioon ne compense plus = acidose respiratoire

*● S’il y a hyperinflation, il peut aussi y avoir une diminution de perfusion, car l’hyperinflation peut élargir nos alvéoles, ce qui va comprimer les capillaires

51
Q

Spécifier les critères de maitrise de l’asthme suivants

a. Symptômes diurnes
b. Symptômes nocturnes
c. Activité physique
d. Exacerbations
e. Absence au travail ou à l’école
f. Besoin de BACA
g. VEMS ou DEP
h. Variabilité DEP
i. Eosinophilie dans expectorations

Combien en faut-il pour que l’asthme soit considérée comme non maitrisée

A

a. Symptômes diurnes : < 2 jours/sem
b. Symptômes nocturnes : <1 nuit/seb
c. Activité physique : normale
d. Exacerbations : légères, peu fréquentes
e. Absence au travail ou à l’école : aucune
f. Besoin de BACA : < 2 doses par sem
g. VEMS ou DEP : > 90% de meilleure valeur connue
h. Variabilité DEP : < 10-15% de variation diurne
i. Eosinophilie dans expectorations : < 2-3%

Un seul :(

52
Q

Traitement non pharmacologique de l’asthme

A
  1. Éducation des patients
    Ce qui déclenche une exacerbation, quel médicament utiliser quand, comment utiliser un espaceur avec un inhalateur-doseur et l’importance de l’utilisation précoce des corticostéroïdes dans les exacerbations
  2. Plan d’action écrit pour la prise en charge quotidienne et pour la prise en charge des exacerbations
53
Q

Traitements pharmacologiques de l’asthme

A
  • Bronchodilatateurs
  • Corticostéroïdes (anti-inflammatoires)
54
Q

Quels sont les bronchodilatateurs les plus utilisés en asthme ?

Sont-ils utilisés en combinaison avec un autre type

A

Agoniste bêta-2-adrnergique

Peut être combiné à anticholinergique qui inhibe le tonus cholinergique des VR, MAIS pas officiellement recommandé pour l’asthme (plutôt pour la MPOC)

55
Q

Classe de médicament bêta-2-adrénergique

A

Sympathicomimétique

56
Q

Mécanisme d’action des bêta-2-adrénergique

A
  1. Liaison au récepteur B2 adrénergique
  2. Activation adénylate cyclase
  3. Augmentation AMPc
    a) Activation protéine kinase A = phosphorylation protéines réglant bronchodilatation
    b) Inhibition de la relâche médiateurs chimiques causant bronchoconstriction
  4. BRONCHODILATATION
57
Q

Rôle des corticostéroïdes

A

Ils suppriment la réponse inflammatoire en diminuant le nombre d’éosinophiles et de lymphocytes qui infiltrent les voies respiratoires et diminuent la production de nombreux médiateurs inflammatoires

58
Q

Pourquoi faut-il éviter de prescrire des corticostéroïdes systémiques pour la gestion quotidienne de l’asthme

A

EFFETS SECONDAIRES ÉTENDUS

59
Q

Faire la prescription appropriée pour le patient suivant

Asthme mal contrôlé par bronchodilatateurs courte action PRN

A

BACA PRN
CSI

60
Q

Faire la prescription appropriée pour le patient suivant

Asthme non contrôlé par
- BACA PRN
- CSI

A
  • BACA PRN
  • CSI
  • BALA utilisés régulièrement
  • Autres options : agent antileucotriène, augmenter CSI
61
Q

Faire la prescription appropriée pour le patient suivant

Attaques d’asthme peu fréquentes
Périodes sans symptômes
Fonction pulmonaire normale entre attaques

A

BACA PRN

62
Q

Nommer quelques façon de contrôler les facteurs déclenchants/environnement pour réduire les symptômes de l’asthme

A
  • Oreillers en fibre synthétique, couvre matelas imperméables, laver fréquemment draps
  • Retirer meubles rembourrés, peluches, tapis, rideaux et animaux domestiques (au moins de la chambre à coucher)
  • Déshumidificateur
  • Traitement à vapeur de la maison
  • Nettoyage et extermination de la maison
  • Limiter exposition à la fumée de cigarette, odeur fortes, T froide, IVRS, etc.
63
Q

Qu’est ce que le RQESR

A

Réseau Québécois En Santé Respiratoire

Formation de thérapeutes (pharmaciens, inhalothérapeutes, infirmiers) œuvrant dans des centres d’enseignement voués à la promotion de la santé respiratoire des patients avec asthme et MPOC

64
Q

Comment traiter une exacerbation aigue d’asthme

A

BACA
CS systémique
Oxygénation

(morphine pas sur)

65
Q

Quel est l’impact des changements climatiques sur la rhinite allergique et l’asthme

A
  1. Allongement phase de croissance du pollen (chaud + longtemps ET plus de CO2)
  2. Augmentation du temps l’exposition et de la quantité de pollen (peut aussi rendre + allergisant)
  3. Augmentation de l’hyperactivité
  4. Augmentation de la prévalence de la rhinite allergique