AINS Flashcards
Pyrazolés
Phénylbutazone
Indolés
Indométacine
Sulindac
Aryl carboxyliques
Diclofénac
Aceclofénac
Acide tiaprofénique
Kétoprofène
Ibuprofène
Naproxène
Acide tiaprofénique
Aryl carboxyliques
Naproxène
Aryl carboxyliques
Ibuprofène
Aryl carboxyliques
Fénamates
Acide méfénamique
Acide niflumique
Mobic
Méloxicam
Ponstyl
Acide méfénamique
Algantil
Ibuprofène
Profénid
Kétoprofène
Surgam
Acide tiaprofénique
Cataflam
Diclofénac potassique
Voltarène
Diclofénac sodique
Aspégic
Acétylsalicylate de lysine
inhibiteurs sélectifs de la COX-
(Aspirine à faible doses 100 à 300 mg), à visée antiagrégante plaquettaire.
Les AINS à demi-vie courte
- inférieure à 6 heures
- ibuprofène, flurbiprofène, kétoprofène, diclofénac et acide niflumique
- imposant à priori 2 à 3 administrations journalières
Les AINS à demi-vie longue
- supérieure à 12 heures
- oxicams, phénylbutazone
- ne nécessitant en principe qu’une seule prise quotidienne
Forme liée
Forme libre
Forme liée 95%
Demi vie longue >40h
Pyrazolés Oxicams
Une seule administration par jour
Intermédiaire 8-18h
Certains propioniques Certains indoliques
Administration intermédiaire
Demi vie Courte <8h
Tous les autres AINS
2-3 prises /jour
Métabolisme hépatique
en composés inactifs ce qui facilite leurs élimination.
EI Mineurs (10-30%) :
nausées, vomissements, anorexie, dyspepsie, gastralgies,…Ils sont dose-dépendants
EI Plus significatifs :
saignement occulte révélé par une anémie hypochrome hyposidérémique.
Graves (0,5-3%) :
Ulcères gastro-duodénaux, perforations hémorragies graves
Facteurs de risque
ATCD d’ulcère, l’âge>65 ans, posologie élevée, association à un anticoagulant, à un antiagrégant ou à un autre AINS.
- Prévention
: association aux protecteurs gastriques.
effets indesirables
Hépatiques
Rénaux
Dermatologiques
Hématologiques
Neuro-psychiques et sensoriels
Materno-foetaux
effets indesirables rénaux
- Insuffisance rénale fonctionelle
- Rétention hydrosodée, œdème, HTA
- Perturbations hydro-électrolytiques: Hyperkaliémie
effets indesirables dermatologiques
- Mineurs : éruption allergique, prurit, urticaire…
- Majeures : risque de syndrome de Lyell, de Stevens Johnson, érythème polymorphe.
- Manifestations d’hypersensibilité : Malaise général, œdème de Quinck, bronchospasme…
Asthme déclenché par l’aspirine ou tout AINS, et fréquemment associé à une polypose nasale: Syndrome de WIDAL
effets indesirables Hématologiques
Les atteintes des lignées sanguines sont rares : pyrazolés
L’association pyrazolés et autres médicaments myélotoxiques (méthotrexate…) est formellement contre- indiquée.
EI Neuro-psychiques et sensoriels
- Céphalées, vertiges, acouphènes (indométacine…)
- Neuropathies exceptionnelles (indométacine, phénylbutazone..)
- Exceptionnellement: méningite aseptique sous ibuprofène.
EI Materno-foetaux
- Effet tératogène potentiel
- Fermeture prématurée du canal artériel
- Hémorragie néo-natale
- ↑ durée de gestation et dutrava
EI cardio-vasculaires
Tous les AINS semblent susceptibles de favoriser les accidents thrombotiques,
Les coxibs comporteraient un surcroit de risque→ prudence chez le patientcardiaque;
Traitement de la spondylarthrite ankylosante réfractaire
Pyrazolés
CONTRE-INDICATIONS : Absolues
- Allergie aux AINS et aux substances apparentées
- Ulcère gastroduodénal évolutif
- Insuffisance hépatique ou rénale, sévères
Il n’y a pas lieu de poursuivre un traitement par un AINS au-delà d’une période de - dans les lombalgies aiguës et/ou lombo-sciatalgies aiguës et dans les rhumatismes abarticulaires en poussée, sans une réévaluation clinique
Il n’y a pas lieu de poursuivre un traitement par un AINS au-delà d’une période de une à deux semaines dans les lombalgies aiguës et/ou lombo-sciatalgies aiguës et dans les rhumatismes abarticulaires en poussée, sans une réévaluation clinique
Pyrazolés ttt de
Traitement de la spondylarthrite ankylosante réfractaire
Il n’y a pas lieu de prescrire un AINS par voie intramusculaire au- delà - de traitement, la voie orale prenant le relais. La voie parentérale ne diminue pas le risque digestif, comporte des risques spécifiques et n’est pas plus efficace, dépassé ce délai
Il n’y a pas lieu de prescrire un AINS par voie intramusculaire au- delà des trois premiers jours de traitement, la voie orale prenant le relais. La voie parentérale ne diminue pas le risque digestif, comporte des risques spécifiques et n’est pas plus efficace, dépassé ce délai
Il n’y a pas lieu d’associer deux AINS par voie générale, y compris l’aspirine (sauf - ). Ceci s’applique aussi bien aux autres AINS qu’ils soient employés en tant qu’antalgiques, antipyrétiques ou anti- inflammatoires
Il n’y a pas lieu d’associer deux AINS par voie générale, y compris l’aspirine (sauf aux doses faibles à visée anti-agrégantes plaquettaires). Ceci s’applique aussi bien aux autres AINS qu’ils soient employés en tant qu’antalgiques, antipyrétiques ou anti- inflammatoires
Il n’y a pas lieu, particulièrement chez le sujet âgé, en raison du risque - , de prescrire un AINS à un patient recevant un traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion, diurétiques ou antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, sans prendre les précautions nécessaires.
Il n’y a pas lieu, particulièrement chez le sujet âgé, en raison du risque d’insuffisance rénale aiguë, de prescrire un AINS à un patient recevant un traitement par inhibiteur de l’enzyme de conversion, diurétiques ou antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, sans prendre les précautions nécessaires.
Il n’y a pas lieu, en raison du risque hémorragique, de prescrire un AINS chez un patient sous
Il n’y a pas lieu, en raison du risque hémorragique, de prescrire un AINS chez un patient sous anti-vitamine K, sous héparine ou ticlopidine