4. Approche d'identité sociale et les stratégies identitaires Flashcards

1
Q

Quels sont les 2 approches pour les croyances individuelles vs collectives ?

A
  • Approche cognitive

- Approche sociale

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2
Q

Approche cognitive ?

A
  • Individu vu comme une entité

- Biais cognitif intra individuel

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3
Q

Approche sociale ?

A
  • Individu vu comme membre d’un groupe

- Processus intergroupe -> motivation

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4
Q

Comment fonctionnent ces deux approches ?

A

Les deux approches sont complémentaires. Elles étudient le même processus mais a des niveaux différents

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5
Q

Comment sont acquis les stéréotypes ?

A
  • biais cognitifs
  • mécanismes de l’apprentissage social
  • Source motivationnelle
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6
Q

Biais cognitifs ?

A

Biais cognitifs (déficience):

Les humains sont vulnérables à des biais qui ne correspondent pas à la réalité -> déficience cognitive (p.ex. Hamilton et collaborateurs)

P.ex., inférence du comportement aux dispositions de la personne

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7
Q

Mécanisme de l’apprentissage social ?

A

Mécanisme de l’apprentissage social (connaissances)

Transfert des stéréotypes par la culture par le moyen de communication, observation, et imitation

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8
Q

Source motivationnelle ?

A

Source motivationnelle (quel but ?):

Les stéréotypes servent à maintenir/créer une image positive de soi (p.ex., Tajfel et Turner, Brewer)

P.ex. favoritisme de l’intra-groupe : description plus positive de l’intra-groupe que du hors-groupe

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9
Q

Comment sont appliqué les stéréotypes ?

A

En plusieurs étapes:

Ø Perception de la personne : Première années ou on associe les visages que l'on voit avec l'ethnie qui nous est associé

Ø  Catégorisation de la personne: ex: pour les enfants une personne avec les cheveux long est une femme 

Ø Activation des stéréotypes: on cherche des typicalité entre le contexte et les personnes. 

Application des stéréotypes

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10
Q

Quels sont les théories qui étudient les relations intergroupes dans une perspective individuel ?

A

Perspectives individuelles ou inter-individuelles:
• Théorie de la personnalité autoritaire (Adorno et al., 1950)
• Théorie de la déprivation relative (Runciman, 1966)
• Théorie de la frustration-agression et ses prolongements (Dollard et al., 1939 ; Berkowitz, 1974)

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11
Q

Quels sont les théories qui étudient les relations intergroupes dans une perspective intergoupe ?

A

Perspective intergroupe - Théorie du conflit réel

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12
Q

Quelle est l’idée de la théorie du conflit réel ?

A

• Le conflit intergroupe découle d’une compétition autours des ressources ou une opposition d’intérêts.

• Cette théorie repose sur une perspective fonctionnaliste où la compétition se fait autours
d’objets et ressources réelles (ex: compétition pour des ressources matérielles : argent,
logement, emplois etc.)

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13
Q

Comment est mise en place les études pour la théorie du conflit réel par Shérif?

A

Recherche : Expériences des Camps d’Enfants 1954
Division de garçons en deux groupes ; jeux de compétition
- Hostilité envers le hors-groupe HG (dérogation du hors-groupe)
- Plus d’attachement à l‘intragroupe IG (identification)

Conclusion : La compétition réelle (p.ex. pour des ressources matérielles) est la condition
déterminante pour un biais HG et non pas des différences précoces (langage, nationalité,
etc.) entre les individus.
-> Théorie du conflit réel

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14
Q

Quels sont les critiques de l’étude de shérif ?

A

Critiques : Les explications au conflit intergroupe
Ø n’étaient pas assez focalisés sur les processus sociaux et contextuels (trop individualistes ou
inter-individuelles)
Ø estimaient que les aspects symboliques et identitaires liés au conflit intergroupe et à
l’appartenance groupale étaient des épiphénomènes

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15
Q

Que constate shérif lors de ses études ?

A

Exemple : Observation rapportée par Sherif et al. : Déjà quand les garçons apprennent qu’il y a d’autres enfants ils formulent de la hostilité (ils n’ont pas le droit d’utiliser leur étang etc.)

• La théorie d’identité sociale s’est développée avec la volonté d’expliquer les conflits
intergroupes sur la base de processus sociaux (groupaux) avec une focalisation plus centré
sur les aspects symboliques et identitaires !

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16
Q

Sur quel paradigme se base la théorie de l’identité sociale ?

A

Paradigme des groupes minimaux

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17
Q

Que cherche à montrer le paradigme des groupes minimaux ?

A

On cherche à montrer l’effet de la catégorisation en tant que telle sans présence de facteurs sociaux qui pourraient rendre compte de la situation en tant qu’alternative explicative

  • Production d’une simple catégorisation
  • Elimination de tous les facteurs sociaux liés aux groupes « réels » qui pourraient expliquer la discrimination
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18
Q

Quels sont les propriétés du paradigme des groupes minimaux ?

A

Pas d’interaction préalable, ou pendant expérience = ne se connaissent pas

  • Individus anonymes
  • Pas de lien instrumental entre catégorisation et réponses demandé lors de la tâche
  • Pas de bénéfice personnel : les individus ne choisissent pas bénéfice réel pour eux mêmes
  • Groupes basés sur l’aléatoire et pas sur caractéristiques réelles
  • Groupes existent pour la durée de l’expérience uniquement
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19
Q

Quel est la tâche à effectuer pour le paradigme des groupes minimaux ?

A

• Tâche : les participant-es vont faire la répartition de points à des membres de l’intra-groupe (IG) ou du hors-groupe (HG)

• Présentations d’une série de matrices différentes :
Chaque matrice comporte deux rangés – donc
des points pour deux individus => Sélection d’un pair de points

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20
Q

Quel est le choix effectué quand les deux membres font partit de IG m?

A

Choisissent l’égalité de la répartissions des points

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21
Q

Quel est le choix quand les 2 membres font partit de l’HG ?

A

Choisissent l’égalité de la répartissions des points

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22
Q

Quel est le choix lorsque le HG est en haut et IG en bas ? (dias 17)

A

Recherche le gain maximum pour l’IG (même si le gain maximum pour l’IG est aussi celui du HG tant que celui ci reste inférieur)

23
Q

Que ce passe t’il si on inverse et que l’on met le IG en haut et le HG en bas ?

A

Ils préfèrent que les membres du HG reçoivent moins de points que l IG si la différence entre le nombre de point est maximale. Ex: IG recoit 11 points et le HG 5 points, plutôt que 23 points pour IG et 29 points pour HG

= Différence maximal intergroupe

24
Q

Quels sont les résultats de l’expérience des matrices ?

A

• Les participants choisissent une division de points qui maximise la différence entre leur
groupe (intra-groupe) et l’autre groupe (hors-groupe) – et cela au dépend d’un gain
maximal pour l’intra-groupe.

• L’équité est choisie quand il s’agit de deux membres du même groupe

25
Q

Que peut on conclure sur le paradigme des groupes minimaux ?

A

La catégorisation de soi produit un biais HG et un favoritisme de l’IG (ingroup favouritism).

La compétition pour des ressources réelles n’est pas une condition nécessaire (comme le
pensait Sherif) pour qu’il y ait de la discrimination. Il suffit d’un conflit autour des ressources symboliques (compétition sociale) telles que l’identité sociale positive et l’estime de soi

26
Q

QU’est ce qui amènerait au comportement hostile ?

A

• L’apprentissage (socialisation) ne suffit pas pour comprendre la discrimination

• La catégorisation en « nous » (intragroupe) et « eux/elles » (horsgroupe) amenerait aux
attitudes (hostiles) et comportements intergroupes

27
Q

Quelle est l’interprétation intiale de Tajfel ?

A

Une norme génerique de comportement envers un hors groupe

28
Q

Qu’est ce qu’il entend par une norme générique de comportement envers un HG ?

A
  • Tout comportement est motivé mais il s’agissait d’une simplification d’attribuer cette motivation à des intérêts personnels ou des attributs comme l’agression
  • « Se comporter de manière appropriée est donc un puissant motif social, et tenter de le faire signifie se comporter selon sa meilleure compréhension de la situation. Les jugements sur ce qui est approprié sont déterminés par des normes sociales ou des ensembles d’attentes. » Tajfel (1970, p.102)

=> Selon ces récits il existera une norme sociétale qui prescrirait le rejet du hors-groupe

29
Q

Quels sont les conséquences de la norme générique ?

A
  1. La discrimination envers un hors-groupe même s’il n’y a pas d’intérêt personnel pour l’individu (ex. gagner des points) qui ressort de cette discrimination
  2. La discrimination existe même s’il n’y avait pas d’attitude négative envers le hors-groupe au paravent
  3. Cette norme générique peut se traduire directement en un comportement à l’encontre d’un hors-groupe avant la formation d’un préjugé ou d’une hostilité
30
Q

Qu’est ce qu’est devenu la norme générique ?

A

L’idée d’une norme générique qui conduit les comportements de discrimination n’a plus était mentionné dans les travaux plus tard de Tajfel.

L’interprétation de la différentiation intergroupe (discrimination) est par la suite plus attribuée à la recherche d’une identité sociale positive et distincte. (Tajfel & Turner, 1979) -> voir principes théorique plus tard dans ce chapitre

31
Q

Quels sont les 3 “affirmations” dans la théorie de l’identité social (TIS) ?

A

A/ Le conflit intergroupe doit être étudié dans un contexte des rapports intergroupes et non dans les rapports interpersonnels.

B/ La compétition autour d’objets réels/concrets n’est pas suffisant, ni nécessaire
pour expliquer les conflits intergroupes. Le contexte intergroupe est suffisant pour déclencher un conflit intergroupe.

C/ La notion identitaire, et surtout la quête d’une identité positive et distincte est
primordiale pour comprendre ce qui est sous-jacents aux conflits intergroupe.

32
Q

Quels sont les 3 continuums de la première affirmation ?

“A/ Le conflit intergroupe doit être étudié dans un contexte des rapports intergroupes et non dans les rapports interpersonnels.”

A
  • Des rapports interpersonnels aux rapports inter groupaux
  • De la mobilité sociale au changement social
  • Du groupe individualisé au groupe uniforme
33
Q

Qu’entend on par “Des rapports interpersonnels aux rapports inter groupaux” ? (dans affirmation A)

A

Il y a une distinction a priori entre les rapports interpersonnel vs. intergroupes qui se place sur chaque extrême d’un continuum. Le conflit intergroupe se situe/et doit être analysé dans un rapport et contexte intergroupe

=> on peut se retrouver sur différents niveaux.

Cette distinction n’existe pas de manière claire et nette dans la réalité

34
Q

Qu’est ce que les rapports interpersonnel ?

A

Rapport interpersonnel : caractéristiques individuelles des personnes concernées. (Ex : rapport entre deux individus
dans un couple amoureux)

35
Q

Qu’est ce que les rapports intergroupe ?

A

Rapport intergroupe : appartenances à des groupes ou catégories sociales. (Ex : rapport entre un homme et une femme)

36
Q

Qu’est ce qu’on entend par “de la mobilité sociale au changement social” ? (dans l’affirmation A)

A

Deux systèmes de croyances différents. Les deux extrêmes qui dépendent de la nature et de la structure (permeabilité, stabilité, et legitimité) des relations sociale

37
Q

Qu’est ce que le système de la mobilité social ?

A

Le système social est vu comme perméable et

flexible

38
Q

Qu’est ce que le système du changement social ?

A

Le système social est vu comme imperméable et rigide

39
Q

Comment sont perçue les relations dans la mobilité sociale ?

A

Rapport interpersonnel

L’individu, insatisfaite de son groupe, peut
bouger vers une autre catégorie plus
valorisante

Les frontières entres catégories sont perçues
comme flexibles et perméables (ex: The
American dream)

Stratégie individuelle (mobilité individuelle)

40
Q

Comment sont perçu les relations dans le changement social ?

A

Rapport intergroupal

Difficile voire impossible pour l’individu de
changer par lui-même son statut social et de
se détacher de son appartenance sociale

Pour aboutir à un changement une remise
en question des stratifications et hiérarchies
existantes

Stratégie collective (action collective, créativité sociale)

41
Q

Qu’entend ton par “du groupe individualisé au groupe uniforme” ? (dans l’affirmation A)

A

Une conséquence d’une perspective des rapports comme étant plutôt intergroupaux vs interpersonnels est que le groupe auquel on appartient sera vu comme étant plus ou moins uniforme et plus ou moins composé de membres interchangeables

groupe composé d’individu variable groupe uniforme

42
Q

Qu’est ce que la perspective interpersonnelle ?

A

On voit les autres individus comme étant définis par des caractéristiques idiosyncratique
/ personnels (plutôt que groupaux)

43
Q

Qu’est ce que la perspective intergroupale ?

A

On adopte un comportement non différencié et
uniforme envers les autres sur la base de leurs
appartenances groupales et les stéréotypes/prototypes liés au groupe

44
Q

Quel paradigme est associé à cette affirmation ?
“B/ La compétition autour d’objets réels/concrets n’est pas suffisant, ni nécessaire pour expliquer les conflits intergroupes. Le contexte intergroupe est suffisant pour déclencher un conflit intergroupe”

A

Paradigme des groupes minimaux

45
Q

Paradigmes des groupes minimaux ?

A
• Contrairement aux postulats de la Théorie des conflits réels, les conflits intergroupes ne
nécessitent pas:
Ø Une relation passée conflictuelle
Ø Un conflit objectif
Ø Des groupes sociaux réels

• Illustration par le paradigme des groupes minimaux que :
Ø La simple catégorisation suffit pour engendrer un conflit intergroupe et ce dernier repose sur des processus symboliques (identitaires et pas « réels /objectifs »)
Ø Il est donc possible d’engendrer des conflits dans des groupes socialement construit et qui
n’existe pas dans la réalité qu’on connaît (conditions minimales - groupe minimal).

46
Q

Catégorisation sociale et discrimination ?

A

• Des conflits d’intérêts préexistants ou une compétition au niveau des ressources
objectives/réelles n’est pas suffisante, ni nécessaire pour engendrer des conflits
intergroupes. La clé pour comprendre les conflits intergroupes se trouve dans le rapport
intergroupe lui-même : c’est-à-dire, la catégorisation sociale.

• Le simple acte de rendre saillant un hors-groupe suffit pour activer des processus de
discrimination.

• Le simple acte de départager des individus en groupes fictifs avec d’autres inconnus suffit
pour déclencher des processus de catégorisation et conséquemment de discrimination (paradigme des groupes minimaux).

47
Q

Quels sont les besoin fondamentaux relié a cette “affirmation” ?

“C/ La notion identitaire, et surtout la quête d’une identité positive et distincte est primordiale pour comprendre ce qui
est sous jacents aux conflits intergroupe”

A
  • estime de soi
  • appartenance
  • donner du sens
  • contrôle
48
Q

Comment peut on augmenter l’estime de soi selon la théorie de la comparaison social de Festinger ?

A

Réduction de l’incertitude et valorisation du soi -> comparaison social avec autrui (interindividuelle) -> recherche d’une estime de soi positive

49
Q

Comment peut on augmenter l’estime de soi dans la théorie de l’identité social et comparaison social ?

A

Besoin de valorisation du soi -> comparaison intergroupe -> identité valorisé vs dévalorisé -> impact sur l’estime de soi

50
Q

Que permet la catégorisation sociale ?

A
  • La catégorisation sociale permet de
  • classifier le monde qui nous entoure.
  • donner un sens au soi et son rôle dans le monde.
  • procurer une identité sociale.
51
Q

Qu’est ce que l’identité sociale ?

A

Définition identité sociale :
• Les aspects de l’image de soi de l’individu qui découlent des catégories sociales auxquels celui-ci perçoit qu’il/elle appartient.

52
Q

Comment est l’identité sociale ?

A

L’identité sociale n’est pas neutre, elle est comparative et relationnelle :
• On est toujours défini par rapport à quelqu’un d’autre. La définition de soi ne trouve que du sens dans la comparaison avec autrui.
• « Je suis différent de/similaire à…. » ; « Je suis meilleure/pire que…. ».

53
Q

Quels sont les principe théorique de la TIS

A
  1. L‘individu est à la recherche d‘une identité sociale positive
  2. L’identité sociale est positive si la comparaison sociale (entre intra- et horsgroupe) est favorable
  3. Si défavorable, deux stratégies possibles :
    Ø Quitter le groupe et joindre un groupe plus prestigieux (mobilité individuelle/sociale)
    Ø Changer l‘image du groupe (action collective, créativité sociale)
54
Q

Résumé TIS ?

A

L’identité sociale est le lien psychologique entre le contexte social et le comportement individuel.

La TIS explique les comportements intergroupes ET intragroupes par des processus identitaires.

Quelle est la motivation sous-jacente à l’essentialisation, aux stéréotypes et aux actes de discrimination ?
Ø Besoin d’estime de soi positive -> Les individus sont motivés à maintenir ou à obtenir une identité distincte et positive

Ø L’appartenance à un groupe peut nous procurer une identité sociale, positive et distincte (si le groupe est connoté positivement)

Ø Plusieurs stratégies afin de gérer une identité sociale qui n’est pas positive dépendant de la perception du système (ex. perméabilité)

Ø Selon la TIS, la discrimination et les préjugés intergroupes découleraient de ce besoin de maintien ou obtention de l’identité sociale (un contraste en faveur de l’intra-groupe = distinctivité positive).