2.A.1 Flashcards
Plante vivant dans un
milieu sec: L’oyat - contraintes, reponses phenotypiques + schema
Capacité de la feuille à s’enrouler pour exposer pour exposer une face
externe imperméable.
Présence de sillons, de crêtes et de nombreux poils sur la face interne
qui freinent la circulation de l’air, retenant l’humidité.
Feuilles réduites à de simples épines, cuticule imperméable, système
racinaire très développé pour tirer parti des moindres ressources en
eau disponibles.
Les feuilles ont un aspect velouté par la présence de poils qui
réfléchissent les rayons du soleil et servant d’isolant contre la chaleur,
et permettant de piéger l’humidité.
Les stomates ne s’ouvrent que la nuit pour éviter les pertes d’eau.
Les stomates sont enfoncés dans une crypte pilifère qui permet de
limiter les pertes d’eau
Plante poussant à l’ombre: arbre a ombrelles - contraintes, nom espece, reponses phenotypiques
Manque de lumière
(Schefflera actinophylla)
Grandes feuilles divisées en plusieurs folioles orientés de manière à
capter la lumière tout au long de la journée.
Plante vivant en haute altitude: renoncule des glaciers - contraintes, nom de l’espece, reponses phenotypiques
Froid
poids de la neige
ensoleillement important
(Ranonculus glacialis)
Tige courte, robuste, très ramifiée et parfois rampante pour résister
au poids de la neige.
Petites feuilles car les rayonnement UV sont intenses.
Production d’une protéine qui lui permet de ne pas geler
Eboulis: Xatardie - contraintes, reponses phenotypiques
Sol instable
Racine pivot se développant profondément entre les gros rocher pour résister aux risques d’arrachage en cas d’ éboulements
Sols plus ou moins riches: Mais
Disponibilité des nutriments
variable
Développement racinaire plus ou moins important qui permet à la
plante de puiser les nutriments en fonction de leur disponibilité
Strategie coloration des vaisseaux de phloeme et de xyleme
- Nous savons que les végétaux chlorophylliens produisent leurs molécules organiques au niveau des feuilles (parenchyme
palissadique)
<=> grâce à: - l’énergie lumineuse
- C02 atmosk (qui entre par les stomates)
- eau => acheminée depuis racines qui constitue avec les sels minéraux la sève brute
Nous savons que certains organes de la plante ne réalisent pas photosynthèse (= racines)
<=> organes sont
donc tributaires des MO qui sont acheminées par l’intermédiaire de la sève élaborée
Nous voulons donc montrer l’existence de 2 types de vaisseaux qui permettent :
* La circulation de la sève brute (= vaisseaux du xylème)
* La circulation de la sève élaborée (vaisseaux du phloème)
Nous savons que le vert carmin d’iode est un colorant qui colore spécifiquement:
- en vert les tissus lignifiés =
tissus conducteurs du xylème
- en rose la cellulose que l’on retrouve dans les tissus conducteurs du phloème.
Nous allons donc réaliser des coupes de tiges, de racines et de feuilles, les colorer au vert carmin d’iode, les observer au microscope afin d’identifier les caractéristiques de ces 2 type de vaisseaux dans les différents organes de la plante.
Protocole pour coloration
- deposer les coupes ds eau de javel pndt 15 min => detruit contenu cellules mais conserve parois
- rincage a eau pour eliminer trace eau de javel
- placer coupes dans carmino vert d’iode pndt 15 min
- rincer a l’eau excedent de colorant
Resultats (schema) + explotation xyleme phloeme
- Les vaisseaux du xylème sont constitués de cellules mortes très allongées dont les parois sont épaissies par des dépôts de
lignine.
Ces vaisseaux conduisent la sève brute constituées pour l’essentiel d’eau et de sels minéraux des racines vers les feuilles. - Les vaisseaux du phloème sont constitués de cellules vivantes dont les parois sont constituées de cellulose. Ces vaisseaux
conduisent la sève élaborée constituée d’eau, de sels minéraux mais aussi de molécules organiques (saccharose, acides aminés)
issus de la photosynthèse vers les organes non chlorophylliens. - Les vaisseaux du xylème et du phloème sont superposés dans la tige et la feuille et forment des faisceaux conducteurs.
- Ils sont alternés dans la racine.
Experience de Sachs - description et interpretation
Au début de l’expérience, une jeune racine est marquée à l’encre de chine par
des repères espacés de 1mm, la racine est ensuite photographiée toutes les
heures pendant 14 heures.
On peut constater:
- Que la taille du segment de racine a à peu près doublé en 14 heures
- Qu’il y a des zones de croissance surtout situées entre les repères 7 et 8 et
dans une moindre mesure entre les repères 6 et 7 et entre 5 et 6.
Observation racine d’ail au microscope => schema de l’apex d’une racine -> 2 phenomenes necessaire a croissances des racines
- zone de differenciation
- cellules se differencient et acquierent des caracteres specifiques a leur fonction = poils absorbants/ cellules tissus conducteurs - zone d’elongation
- cellules sont disposees en files paralleles + s’allongent progressivement - meristeme apical
- cellules se divisent activement (mitoses)
pour croissance il faut:
- des divisions cellulaires qui produisent de nouvelles
cellules au niveau du méristème apical
- une élongation ou allongement de chacune des
cellules produites
Croissance vs differenciation + dans le cas de l’ouverture d’1 bourgeon => chronologie diff + croissance d’1 rameau+ conseq
différenciation est l’acquisition de nouvelles caractéristiques :
=> par exemple, les cellules méristématiques deviennent après division des cellules racinaires
=> consequence = nouveaux organes
- croissance résulte d’une augmentation:
- nombre de cellules
- taille de chaque cellule sans que les caractéristiques des cellules ne changent fondamentalement
=> conséquence = augmentation de la taille des organes
Dans un bourgeon, les organes du rameau sont déjà formés
=> sont de taille très
modeste comparés au rameau totalement développé
<=> différenciation a donc lieu avant l’ouverture du
bourgeon
=> L’essentiel de la croissance des organes a lieu après l’ouverture
du bourgeon.
Rameau = structure repetitve + nom unite repetee
rameau feuillé de tilleul est constitué d’une alternance de feuilles et de fragments de tige qui se succèdent. L’unité qui se répète est nommée phytomère + mis en place par meristeme apical
Expériences de Charles et Francis Darwin (1880), sous éclairement anisotrope => Expérience Observation Interprétation => 5 ex
1/ Coléoptile témoin
= Croissance avec courbure en direction de la lumière
=> La lumière est un facteur permettant la croissance orientée du coléoptile
2/ Excision du sommet
= Pas de courbure en direction de la lumière
=> Le sommet du coléoptile est déterminant pour permettre la croissance en direction de la lumière
3/ Sommet recouvert d’un
capuchon opaque
= Pas de courbure en direction de la lumière
=> Le sommet du coléoptile est capable de percevoir le stimulus lumineux et gouverne la croissance orientée du coléoptile
4/ Sommet recouvert d’un
capuchon transparent
= Courbure en direction de la lumière
=> Le sommet du coléoptile est capable de percevoir le stimulus lumineux et gouverne la croissance orientée du coléoptile
5/ Base recouverte d’un
cylindre opaque
= Croissance avec courbure en direction de la lumière
=> La base du coléoptile n’est pas responsable de la courbure en direction de la lumière
Expériences de Boysen-Jensen (1913), sous éclairement anisotrope = Experience/ observation/ interpretation
1/ Coléoptile témoin
= Croissance avec courbure en direction de la lumière
=> La lumière est un facteur permettant la croissance orientée du coléoptile
2/ Sommet séparé par une
lamelle de gélose
= Croissance avec courbure en direction de la lumière
=> La communication entre le sommet et la zone de courbure se fait par
l’intermédiaire d’une substance capable de traverser la gélose mais
pas le mica, il s’agit donc d’une molécule hydrophile.
3/ Sommet séparé par une
lamelle de mica
= Pas de courbure en direction de la lumière
=> La communication entre le sommet et la zone de courbure se fait par
l’intermédiaire d’une substance capable de traverser la gélose mais
pas le mica, il s’agit donc d’une molécule hydrophile.
4/ Sommet séparé par une
demi-lamelle de mica
sur la face éclairée
= Croissance avec courbure en direction de la lumière
=> Cette substance circule depuis le sommet du coléoptile vers le bas,
du côté opposé à la lumière, ce qui permet l’allongement des cellules de ce côté opposé, et ainsi une courbure du coléoptile vers la
lumière.
5/ Sommet séparé par une
demi-lamelle de mica
sur la face non éclairée
= Pas de courbure en direction de la lumière
=> Cette substance circule depuis le sommet du coléoptile vers le bas,
du côté opposé à la lumière, ce qui permet l’allongement des cellules de ce côté opposé, et ainsi une courbure du coléoptile vers la
lumière.
Mode d’action de l’auxine dans le cas d’une lumière isotrope (à gauche) et d’une lumière anisotrope (à droite) + experiences de Sodig et de Went
Les expériences de Söding et Went prouvent que l’auxine, substance responsable de la croissance orientée des coléoptiles:
- est bien produite par la zone apicale du coléoptile
- que ce n’est pas un signal de nature électrique
- que cette substance est bien une substance hydrophile (soluble dans l’eau) et non lipidique
+ schema