VRAI OU FAUX Flashcards

1
Q

L’espace problème de l’expert correspond systématiquement à tous les états possibles d’un problème, c’est-à-dire à l’espace de base.

A

VRAI

Oui dans le cas de l’expert

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2
Q

Anderson s’accorde avec Thevenin & al., 1999 sur le fait que l’instruction directe permet d’aller des connaissances procédurales vers les connaissances déclaratives.

A

FAUX

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3
Q

L’inférence permet l’élaboration de nouveaux savoirs.

A

FAUX

C’est le raisonnement !

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4
Q

Les heuristiques sont des processus cognitifs innés irrépressibles activés automatiquement.

A

FAUX

Les heuristiques sont acquises avec l’expérience.

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5
Q

L’apprentissage explicite renvoie aux situations où les participants savent qu’ils devront ensuite rappeler tout ou partie des éléments.

A

VRAI

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6
Q

Selon Mc Koon & Ratcliff (1989,1992) les lecteurs parviennent à faire toutes les inférences possibles dans un texte.

A

FAUX

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7
Q

La compréhension d’un texte n’est possible qu’à partir de plusieurs cycles de construction d’un réseau propositionnel et de macropropositions.

A

FAUX

Un seul cycle suffit même si plusieurs cycles sont possibles. Kintch (1976)

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8
Q

Un problème est isomorphe à un autre lorsqu’il est équivalent et se résout de la même façon.

A

FAUX

Ils partagent simplement le même espace de base.

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9
Q

Un syllogisme conditionnel établit une relation logique d’implication entre 2 propositions au sein d’une proposition composée (prémisse majeure) alors que la proposition ou prémisse dite mineur est l’affirmation ou la négation de la majeure, ce qui permet de tirer une conclusion.

A

VRAI

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10
Q

L’utilisation d’un mode d’emploi est un apprentissage implicite.

A

FAUX

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11
Q

Il est impossible de réaliser l’espace de recherche des problèmes d’arrangements.

A

FAUX

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12
Q

L’inférence anaphorique est une inférence automatique.

A

VRAI

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13
Q

Le raisonnement à partir de prémisses permet d’arriver à un autre état de connaissance que l’on nomme conclusion.

A

VRAI

Cf. « Le raisonnement conditionnel »

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14
Q

Il est possible de faire toutes les inférences possibles dans un texte.

A

FAUX

Cf. Mc Koon & Ratcliff (1989,1992)

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15
Q

La construction de l’interprétation de l’énoncé d’un problème se fait en 5 étapes selon Hayes & Simon (1976)

A

VRAI

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16
Q

L’association (de graphèmes aux phonèmes), l’identification (des mots), la compréhension (l’élaboration de modèles mentaux) sont des activités mises en place lors de l’apprentissage.

A

FAUX

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17
Q

« Aucun homme n’est mortel » est une négation universelle.

A

VRAI

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18
Q

Les informations perçues doivent être en premier lieu encodées pour ensuite être placées en mémoire à long terme.

A

VRAI

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19
Q

La décomposition en but / sous-but est propre à la résolution de problème.

A

VRAI

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20
Q

Le déplacement dans un espace de recherche nous permet de résoudre un problème.

A

FAUX
Pour un résoudre un problème, on construit et on se déplace dans un espace de recherche mais rien ne garantit qu’on résolve alors le problème.

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21
Q

Le syllogisme suivant est un syllogisme catégorique :
Aucun homme n’est mortel ;
Certains enfants sont des hommes ;
Certains enfants sont mortels.

A

FAUX
La deuxième prémisse est dépourvue de moyen terme et la conclusion ne présente pas de prédicat. Mais le plus important est qu’aucune règle logique n’est appliquée. Ce n’est pas un syllogisme catégorique.

22
Q

Dans la tâche de Wason, « Si une carte porte un D sur une face alors elle porte un 5 sur l’autre face ». Les 4 cartes sont D, 7, 5 et K. Alors, les cartes devant être retournées pour vérifier que la règle est bien respectée sont les cartes portant le D visible et le 5 visible.

A

FAUX
C’est justement l’erreur que font les sujets. Ils n’appliquent pas le modus tollens qui devrait les conduire à retourner les cartes avec le D visible qui vérifie le modus ponens et le 7 visible qui vérifie le respect du modus tollens.

23
Q

Le raisonnement par abduction consiste à trouver une règle explicative permettant de mettent en relation des faits connus, en formulant l’hypothèse la plus plausible possible.

A

VRAI

24
Q

Les connecteurs employés par la logique formelle correspondent plutôt bien à la richesse du langage, c’est la raison pour laquelle traduire un énoncé langagier à l’aide des connecteurs formels est toujours possible.

A

FAUX
La réponse correcte est :
Les connecteurs employés par la logique formelle correspondent donc à des cas très limités par rapport à la richesse du langage. Par
ailleurs, traduire un énoncé langagier à l’aide des connecteurs formels n’est pas toujours
aisé. (Cf. p.39)

25
Q

La logique a donc dû s’inventer son propre langage pour exprimer les propositions et les connecteurs. Le modus tollens, qui correspond à la négation du conséquent, s’écrit formellement : p =>q ; ¬q ∴ ¬p.

A

VRAI

26
Q

Les modèles mentaux (Johson-Laird, 1983) font appel à des structures de connaissances de type schématique dans lesquelles un certain nombre de variables vont être instanciées.

A

FAUX
La réponse correcte est :
“Le mécanisme qui fait appel à des structures de connaissances de type schématique dans lesquelles un certain nombre de variables vont être instanciées est la particularisation d’un schéma.”
Les modèles mentaux ne sont pas de nature propositionnelle, mais de nature imagée et extrêmement détaillée.

27
Q

Un argument valide est un argument qui accepte une seule conclusion, c’est à dire qu’il n’y a pas de conclusion alternative possible.

A

?

28
Q

Lors de la résolution de problème de transformation d’états par un novice, l’espace problème du novice s’inscrit nécessairement dans l’espace de recherche, puisque ce dernier représente tous les états possibles.

A

VRAI

29
Q

Selon Greeno, les problèmes d’induction requièrent essentiellement des capacités de planification fondées sur des heuristiques.

A

FAUX
La réponse correcte est :
Les problèmes d’induction requièrent la capacité de faire des inférences et des mises en relation.

30
Q

Parmi les stratégies d’apprentissage qui ont été identifiées, la catégorisation consiste à mettre en relation les informations nouvelles avec les informations contenues en mémoire.

A

FAUX
La réponse correcte est :
La catégorisation consiste à organiser le matériel à apprendre.
C’est l’élaboration qui consiste à mettre en relation les informations nouvelles avec les
informations contenues en mémoire.

31
Q

L’apprentissage implicite correspond à « un mode d’adaptation dans lequel le comportement d’un sujet apparaît sensible à la structure d’une situation sans que cette adaptation soit imputable à l’exploitation intentionnelle de la connaissance explicite de cette situation » (Perruchet , 1998)

A

VRAI

32
Q

La particularisation d’un schéma,est un des mécanismes à l’œuvre dans la construction de la représentation. Elle fait appel à des structures de connaissances de type schématique dans lesquelles un certain nombre de variables vont être instanciées.

A

VRAI

33
Q

Q1 Dans les syllogismes conditionnels, pour une même prémisse majeure, la combinaison des deux propositions simples et des deux valeurs de vérité nous permet de construire quatre arguments possibles. Deux d’entre eux sont déductivement valides quelle que soit l’interprétation de la majeure. Les deux autres arguments ne sont valides que avec le connecteur de l’équivalence.

A

VRAI

34
Q

Les capacités métacognitives qui permettent à l’individu de contrôler ses activités mentales augmentent avec l’âge. Les jeunes enfants ont ainsi du mal à se rendre compte de l’efficacité et de la pertinence d’une stratégie d’apprentissage pour une situation donnée.

A

VRAI

35
Q

Dans la situation des anneaux chinois, où le but est d’enlever tous les pions, on observe fréquemment une réticence de la part des sujets à remettre des pions sur le jeu. Cette réticence peut être expliqué par l’application de l’heuristique « Ne pas revenir en arrière ».

A

VRAI

36
Q

Via un raisonnement par abduction comme dans le raisonnement déductif, les propositions de départ ne permettent pas de garantir la vérité de la conclusion.

A

VRAI

37
Q

Le passage de l’apprentissage déclaratif à l’apprentissage procédural se fait de façon rapide, inconsciente et automatique.

A

FAUX
La réponse correcte est :
“Le passage du déclaratif au procédural semble un apprentissage long, nécessitant un guidage destiné à renforcer les réussites et à prévenir les erreurs.”

38
Q

Lors de la particularisation de la représentation d’une situation à l’aide d’un modèle situationnel, la représentation construite est extrêmement détaillée. Elle n’est pas de nature propositionnelle, mais de nature imagée. C’est ce qu’on appelle les modèles mentaux (Johson-Laird, 1983) ou les modèles situationnels (Van Dijk et Kintsch, 1983).

A

VRAI

39
Q

La catégorisation consiste à organiser le matériel à apprendre et l’élaboration consiste à mettre en relation les informations nouvelles avec les informations contenues en mémoire.

A

VRAI

40
Q

Dans son expérience, Wason (1968) montre à un groupe de sujets quatre cartes posées sur une table. Il leur explique que chacune des ces cartes comporte sur une face une lettre et sur l’autre un chiffre. Puis il énonce la règle suivante : « S’il y a une voyelle d’un côté, alors il n’y a pas un chiffre pair de l’autre ». Le sujet doit ensuite sélectionner les cartes nécessaires et suffisantes pour décider si la règle a été respectée.

A

FAUX
Réponse correcte :
La règle est la suivante: « S’il y a une voyelle d’un côté, alors il y a un chiffre pair de l’autre ».

41
Q

Le syllogisme catégorique est un raisonnement à deux prémisses faisant appel à trois termes : le sujet, le prédicat et le moyen terme.

1) La majeure met en relation le sujet et le moyen terme.
2) La mineure met en relation le prédicat et le moyen terme.
3) La conclusion concerne la relation entre le sujet et le moyen terme.

A

FAUX
La réponse correcte est :
“Le syllogisme catégorique est un raisonnement à deux prémisses faisant appel à trois termes : le sujet, le prédicat et le moyen terme.
1) La majeure met en relation le prédicat et le moyen terme.
2) La mineure met en relation le sujet et le moyen terme.
3) La conclusion concerne la relation entre le sujet et le prédicat.

42
Q

Les modèles de situation sont des représentations «hybrides» car elles comportent à la fois des composantes imagées et des composantes propositionnelles, elles possèdent en outre un certain nombre de propriétés qui les distinguent des représentations propositionnelles.

A

VRAI

43
Q

Q1: Pour rendre compte des résultats obtenus auprès des sujets sur le raisonnement conditionnel (par ex : Wason, 1968; Rips & Marcus, 1977), de nombreuses hypothèses explicatives ont été avancées. Dans une tâche de sélection comme celle de Wason, par exemple, ce ne sont pas les cas valides qui sont retenus. La validité apparaît comme un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs comme le contenu sémantique ou la référence à la réalité.

A

VRAI

44
Q

La macrostructure correspondrait à une représentation globale des données textuelles et le modèle de situation correspondrait à l’intégration des connaissances du sujet à la représentation fournie par la macrostructure.

A

Les problèmes bien définis sont ceux pour lesquels on donne une information précise sur l’état initial et final du problème, ainsi que sur les actions licites (la procédure) permettant de passer de l’un à l’autre.

45
Q

Il existe quatre sorte de propositions catégoriques:

    • A : Universelle Affirmative – Tous les S sont P - - E : Universelle Négative – Aucun S n’est
    • I : Particulière Affirmative – Quelques S ne sont pas
    • O : Particulière Négative – Quelques S sont P
A

FAUX
Réponse correcte :
- - A : Universelle Affirmative – Tous les S sont P
- - E : Universelle Négative – Aucun S n’est P
- - I : Particulière Affirmative – Quelques S sont
- - O : Particulière Négative – Quelques S ne sont pas P

46
Q

L’apprentissage des connaissances procédurales demande du temps et progresse d’une phase dite associative, dominée par l’application contrôlée des connaissances déclaratives, à une phase dite autonome où le guidage est devenu minimal.

A

VRAI

47
Q

Dans le cas d’un expert, l’espace de recherche correspond à l’espace de base car sa représentation de la tâche est conforme aux instructions de la consigne (i.e. l’ensemble de règles à respecter ni plus ni moins). C’est-à-dire qui aucune contrainte implicite ne l’empêche de parcourir les états intermédiaires possibles pour passer de l’état initial à l’état final. Dans la plupart des cas, l’espace de recherche de l’expert correspond à la procédure optimale.

A

VRAI

48
Q

La construction d’une structure conceptuelle d’interprétation est un des mécanismes à l’œuvre dans la construction de la représentation. La représentation ainsi construite est un réseau propositionnel de relations entre les différents éléments du texte.

A

VRAI

49
Q

Selon Greeno, les problèmes de transformation requièrent essentiellement des capacités de planification fondées sur des heuristiques.

A

VRAI

50
Q

L’heuristique des « fins et moyens » consiste à identifier les différences entre l’état courant et l’état but et à rechercher les moyens de réduire ces différences. Si l’action n’aboutit pas à l’effet souhaité, on revient en arrière et on tente une autre action. Cette heuristique demande surtout d’importantes capacités de mémorisation des états du problème et des moyens mis en œuvre.

A

FAUX
Réponse correcte : l’heuristique des « fins et moyens » consiste à identifier les différences entre l’état courant et l’état but et à rechercher les moyens de réduire ces différences. Cette heuristique demande des capacités d’analyse plus importantes et donc une relative connaissance du domaine.