QCM. RAISONNEMENT Flashcards

0
Q

On peut distinguer trois catégories de raisonnement :

1) la déduction,
2) l’induction,
3) l’abduction.

A

VRAI

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1
Q

La déduction consiste à appliquer une règle à une situation particulière.

A

VRAI

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2
Q

L’induction consiste à généraliser des connaissances à un ensemble de situations.

A

VRAI

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3
Q

Le raisonnement par abduction consiste à trouver une règle explicative permettant de mettre en relation des faits connus, en formulant l’hypothèse la plus plausible possible.

A

VRAI

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4
Q

Dans un raisonnement par induction ou par abduction les propositions de départ ne permettent pas de garantir la vérité de la conclusion.

A

VRAI

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5
Q

Dans le cadre des théories du raisonnement déductif, il est possible de produire une conclusion en l’absence d’une prémisse.

A

FAUX

→ Dans le cadre d’un syllogisme, 2 propositions sont nécessaires pour produire la troisième.

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6
Q

Par convention, les propositions sont désignées par des lettres et les connecteurs sont désignés par un symbole.
La conclusion est introduite par le signe « ∴ ».

A

VRAI

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7
Q

Un argument valide est un argument qui accepte une seule conclusion, c’est à dire qu’il n’y a pas de conclusion alternative possible.

A

VRAI

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8
Q

Demander à des sujets d’évaluer, de produire ou de sélectionner une conclusion à partir de prémisses permet d’étudier les mécanismes de raisonnement.

A

VRAI

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9
Q

La tâche de Wason permet d’étudier les syllogismes conditionnels.

A

VRAI

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10
Q

Wason (1968) a imaginé une variante de la tâche d’évaluation de la table de vérité pour étudier les syllogismes conditionnels, tâche qui a connu un grand succès, tant pour l’étude des syllogismes dans la déduction que dans l’induction.

A

VRAI

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11
Q

La table de vérité proposée en logique propositionnelle démontre comment les individus raisonnent.

A

FAUX
→ Les individus n’aboutissent pas toujours à des conclusions valides.
→ La table de vérité permet de décrire formellement un certain nombre de règles de raisonnement aboutissant à une conclusion certaine.

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12
Q

La logique a dû s’inventer son propre langage pour exprimer les propositions et les connecteurs.
Le modus tollens, qui correspond à la négation du conséquent, s’écrit formellement :
p => q ; ¬ q ∴ ¬ p.

A

VRAI

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13
Q

Il est toujours possible de ramener un énoncé à une écriture formelle correspondant à un connecteur ou à un contenu logique, puisque le contenu des prémisses et les connecteurs employés par la logique formelle, correspondent bien à la richesse du langage.

A

FAUX
→ Le contenu des prémisses peut être problématique, comme dans le cas des connecteurs. En effet, il n’est pas toujours possible de ramener un énoncé à une écriture formelle correspondant à un connecteur ou à un contenu logique.

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14
Q

Voici une forme valide d’affirmation du conséquent :

Si A alors B, B est vrai, alors A.

A

FAUX

→ Ici l’affirmation du conséquent est fallacieux car 2 valeurs de vérités sont possibles.

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15
Q

Dans les syllogismes conditionnels, pour une même prémisse majeure, la combinaison des deux propositions simples et des deux valeurs de vérité nous permet de construire quatre arguments possibles.
Deux d’entre eux sont déductivement valides quelle que soit l’interprétation de la majeure. Les deux autres arguments ne sont valides qu’avec le connecteur de l’équivalence.

A

VRAI

16
Q

Dans son expérience, Wason (1968) montre à un groupe de sujets quatre cartes posées sur une table. Il leur explique que chacune de ces cartes comporte sur une face une lettre et sur l’autre un chiffre.
Puis il énonce la règle suivante : « s’il y a une voyelle d’un côté, alors il y a un chiffre impair de l’autre ».
Le sujet doit ensuite sélectionner les cartes nécessaires et suffisantes pour décider si la règle a bien été respectée.

A

FAUX
→ La règle correcte est la suivante :
« S’il y a une voyelle d’un côté, alors il y a un chiffre PAIR de l’autre ».

17
Q

Pour rendre compte des résultats obtenus auprès des sujets sur le raisonnement conditionnel (par ex : Wason, 1968 ; Rips & Marcus, 1977), de nombreuses hypothèses explicatives ont été avancées.
Dans une tâche de sélection comme celle de Wason, par exemple, ce ne sont pas les cas valides qui sont retenus. La validité apparaît comme un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs comme le contenu sémantique ou la référence à la réalité.

A

VRAI

18
Q

Proposés par Cheng et Holyak (1984) pour rendre compte du raisonnement déontique (relatif au respect de règles), les schémas pragmatiques ont surtout été étudiés dans les situations de permission et d’obligation.VRAI
Pour rendre compte des résultats obtenus auprès des sujets sur le raisonnement conditionnel (par ex : Wason, 1968 ; Rips et Marcus, 1977), de nombreuses hypothèses explicatives ont été avancées.
Dans une tâche de sélection comme celle de Wason, par exemple, ce ne sont pas les cas valides qui sont retenus. La validité apparaît comme un facteur secondaire par rapport à d’autres facteurs comme le contenu sémantique ou la référence à la réalité.

A

VRAI

19
Q

Les syllogismes catégoriques constituent une classe particulière de syllogismes propositionnels où les prémisses associent un prédicat à une catégorie ou à un membre d’une catégorie.

A

VRAI

20
Q

Il existe 4 sortes de propositions catégoriques. Lesquels ?

A
Les 4 sortes de propositions catégoriques :
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o A : Universelle Affirmative
–> Tous les S sont P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o E : Universelle Négative
–> Aucun S n’est P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o I : Particulière Affirmative
–> Quelques S sont P
\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
o O : Particulière Négative
–> Quelques S ne sont pas P
21
Q

On appelle « inférences immédiates » les propositions déduites facilement et rapidement.

A

FAUX

→ Les inférences immédiates sont déduites à partir d’une seule prémisse

22
Q

La relation de subalterne du carré d’Aristote se définit ainsi : “La vérité d’une universelle entraîne la vérité de la particulière de même qualité.”

A

VRAI

23
Q

Le syllogisme catégorique est un raisonnement à deux prémisses faisant appel à trois termes : le sujet, le prédicat et le moyen terme.
La majeure met en relation le sujet et le moyen terme.
La mineure met en relation le prédicat et le moyen terme.
La conclusion concerne la relation entre le sujet et le moyen terme.

A

FAUX
→La majeure met en relation le prédicat et le moyen terme.
→La mineure met en relation le sujet et le moyen terme.
→La conclusion concerne la relation entre le sujet et le prédicat.

24
Q

Dans le syllogisme catégorique 3 termes dans les prémisses déterminent 4 configurations appelées «figures syllogistiques» :

1) le sujet (S)
2) le prédicat (P)
3) le moyen terme (M)

A

VRAI