UE 11.1 – CB 1 2024 Flashcards
Le domaine du visible est compris entre 400nm et 750nm
V
Une onde de 250nm appartient au domaine des infrarouges.
FAUX UV
La vitesse de la lumière dans l’eau est de 3.10⁸ m.s-1
FAUX. dans le vide
La pulsation, la fréquence et la période temporelle sont les paramètres intrinsèques
à l’onde.
V
Un photon est de nature uniquement ondulatoire
FAUX. Ondulatoire ET corpusculaire
Dans le vide l’énergie du photon est invariante.
V
Une onde de 520nm à une énergie E=2,4eV. ++++
VRAI. E(eV)= 1240/ƛ = 1240/520 ≅ 2,4eV
Une énergie E=2,4eV est égale à E=3,844×10-¹⁹ J +++
VRAI. 1 eV = 1,602×10-¹⁹ J ➔ Pour 2,4 eV : 2,4 x 1,602 ×10-¹⁹ J = 3,844×10-¹⁹ J
La scintigraphie utilise des noyaux lourds (A>80).
V
La thérapie nucléaire nécessite des émetteurs gamma
L’affirmation est fausse car la thérapie nucléaire n’a pas besoin d’émetteurs gamma. Ce sont surtout les émetteurs bêta et alpha
La TEP utilise deux photons d’énergie E=511eV
faux kev
Dans une TEP normale le cerveau est hyperfixant.
v
D0 définit la dose létale moyenne qui laisse 63% de cellules survivantes.+++++
FAUX 37%
L’augmentation de l’oxygénation des tissus diminue D0.
v
L’augmentation du TEL diminue D0.
v
La moelle osseuse et les épithéliums sont des tissus à renouvellement rapide et
radiosensibles.
v
Les effets hématologiques sont des signes précoces du syndrome aigu d’irradiation.
v
note 102
A. Le panneau 1 est moins atténuant que le panneau 2.
B. Le panneau 1 transmet plus de photons que le panneau 2.
C. CDA1=0,5.+++
D. CDA2/CDA1=0,6. ++++
E. Le coefficient d’atténuation de l’eau liquide est supérieur à celui de la vapeur.
A. VRAI. 2,1<3,5
B. VRAI. Comme il possède une attention plus faible, les photons interagissent moins et se transmettent plus
c : FAUX Ln/2,1= 0,7/2,1= 1/3= 0.3
d: VRAI. (Ln2/3.5)/(Ln2/2.1) = 0.6
e/ VRAI.
note 103
On donne : le coefficient d’atténuation du tissu =0,07 mm-1 et du plomb =7mm-1
A. Plus de la moitié des photons traversent le tissu.+++
B:Moins de la moitié des photons traversent le tissu.
C/N1 est supérieur à N2.
D/. N2= 0,2. +++
E. CDA1= 10mm.
A. VRAI. N1= e^(-0,07×1)= 0,9 ou N0/2^(x/CDA) donc 1/2^(1/10)= 0,9
b: faux
C/VRAI
D/FAUX N2= 0,125
E:E. VRAI.
Parmi les propositions suivantes concernant l’écho-doppler, quelle(s) est/sont
la/les bonne(s) réponse(s) ?
A. Le contraste dépend de l’interface entre deux milieux d’impédances Z1 et Z2.
B. Il n’existe qu’un seul mode de l’échographie : le mode doppler.
c :L’échographie permet de visualiser les différents tissus et en particulier la paroi des
vaisseaux.
D/L’impédance acoustique caractérise la propagation des ondes acoustiques dans un
milieu élastique donné
A. VRAI.
b: B. FAUX. Il existe plusieurs modes de l’échographie : A (amplitude), B (brillance),
bidimensionnel, TM (temps-mouvement) et Doppler
c: vrai
D / VRAI
Parmi les propositions suivantes concernant l’IRM
B. Le niveau de spin ½ est un niveau de basse énergie dans le sens antiparallèle à B0.
C. La fréquence caractéristique de rotation des μ autour de B0 est la fréquence de
Larmor.
D/ La différence d’énergie ΔE entre les niveaux ½ et -½ s’exprime en rad.s-1.++++
E. L’apparition d’un moment magnétique μ détermine l’aimantation microscopique.
B. FAUX. Le niveau de spin ½ est un niveau de basse énergie dans le sens parallèle à B0.
c/ VRAI
D. FAUX. La différence d’énergie ΔE entre les niveaux ½ et -1/2 s’exprime en joule.
E. VRAI
Parmi les propositions suivantes concernant l’IRM, quelle(s) est/sont la/les bonne(s) réponse(s) ?
A. Lors de la relaxation de l’aimantation, il y a un retour du système à son état d’équilibre ===
B. La constante T1 correspond au temps de relaxation transversale.
C. La constante T2 correspond au temps de relaxation longitudinale.
D. T2 est beaucoup plus court que T1
E Le signal est généré uniquement par la composante transversale Mxy ++++
A. VRAI.
B. FAUX. La constante T1 correspond au temps de relaxation longitudinale.
C. FAUX. La constante T2 correspond au temps de relaxation transversale.
D. VRAI.
E. VRAI
Parmi les propositions suivantes concernant les rayons X, quelle(s) est/sont la/les bonne(s) réponse(s) ?
A. L’énergie cinétique des électrons est le seul paramètre qui peut être modifié dans le
tube à rayons X.
B- le spectre des photons de freinage qui sont répartis selon un spectre continu
C. Le spectre des photons de fluorescence sont répartis selon un spectre continu.
D. L’augmentation de la tension permet la diminution de la pénétration des photons.
E. L’imagerie par rayons X est une imagerie de transmission.
A. FAUX. L’ampérage et l’énergie cinétique des électrons sont les 2 paramètres qui peuvent
être modifiés dans le tube à rayons X
B-vrai
C- L’affirmation est fausse car le spectre des photons de fluorescence est discret (et non continu).
D. FAUX. L’augmentation de la tension permet l’augmentation de la pénétration des
photons
e; vrai
Parmi les propositions suivantes concernant l’irradiation fœtale quelle(s) est/sont la/les bonne(s) réponse(s) ?
A. La radiosensibilité du foetus est très faible durant la phase de l’organogénèse.
B. Il a un risque de malformation prouvé pour une dose < 100 mGy.
C. Les radiothérapies externes et internes sont des contre-indications absolues.
D. Plus on s’approche du terme, moins le risque et la gravité de malformations
cérébrales sont importantes.
E. Les risques cancérologiques sont dans le domaine des effets stochastiques.
A. FAUX. La radiosensibilité du foetus est très élevée durant la phase de l’organogénèse.
B. FAUX. Il n’y a pas de risque prouvé de malformation pour une dose < 100 mGy.
c ; vrai
d: vrai
e, vrai
QCM 13. Parmi les propositions suivantes sur le magnétisme, lesquelles/laquelle est/sont exacte(s) ?
A. L’unité utilisée pour quantifier l’intensité du champ magnétique est le Tesla.
B. Deux pôles contraires se repoussent.
C. Le cryostat peut produire jusqu’à 2T maximum en champ continu.
A. VRAI.
b: FAUX. Deux pôles contraires s’attirent
C. FAUX. Le cryostat avec de l’hélium liquide peut produire jusqu’à 45T maximum en champ
continu
Concernant les principales transformations radioactives, quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) ?
A. D’après le diagramme de Segré, plus le noyau est proche de cette vallée, plus il y aura de transformations en cascade
B. Un excès de neutron peut se voir au-dessus de la vallée de stabilité.
C. La radioactivité alpha est une transformation isobarique.
E. La radioactivité β+ provoque l’émission d’une particule β+ appelée proton.
A. FAUX. D’après le diagramme de Segré, plus le noyau est éloigné de cette vallée, plus il y
aura de transformations en cascade
b ; B. Un excès de neutron peut se voir au-dessus de la vallée de stabilité.
c, FAUX. La radioactivité alpha est une transformation non isobarique.
e, FAUX. La particule béta + correspond à un positon.
C. Les malaises sont les principaux effets indésirables des imageries.
E. Les ondes infrarouges sont ionisantes.
C. FAUX. Le principal effet indésirable des imageries est l’irradiation du patient.
FAUX. Les UV, la lumière visible, les IR et les ondes hertziennes ne sont pas ionisants.
Par contre, les rayonnements électromagnétiques (photons) et particules chargées sont
ionisants.
B. Les rayonnements de particules non chargés sont indirectement ionisants.
C. La dosimétrie correspond à l’étude des transferts d’énergie entre les rayonnements
ionisants et la matière.
E. La densité linéique d’ionisation (DLI) correspond au nombre de paires d’ions
produites par unité de longueur de trajectoire.
B. VRAI.
C. VRAI.
E. VRAI.
Concernant la radiothérapie, quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) ?
A. Un accélérateur linéaire LINAC utilise le même principe que le tube à rayon X.
B. Il existe une étape de contourage dans la radiothérapie externe.
E. La curiethérapie est une technique de radiothérapie interne.
A. VRAI.
B. VRAI.
E. VRAI. Radiothérapie interne avec source scellé
A. L’étape pré-analytique d’une analyse de biologie médical concerne tout ce qui se passe entre le prélèvement et l’analyse complète de l’échantillon.
B. L’étape analytique peut inclure une étape de dosage des substrats par
électrophorèse.
D. L’EDTA est un tube anticoagulant qui contient du potassium.
A. FAUX. L’étape pré-analytique d’une analyse de biologie médical concerne tout ce qui se
passe depuis le prélèvement de l’échantillon jusqu’à ce que celui-ci soit prêt à être
analysé.
b: vrai
d: vrai
Concernant les dipôle-moments magnétiques quelle(s) est/sont la/les
proposition(s) exacte(s) ?
A. L’effet de la coupure du champ H pour une substance diamagnétique est que lesmoments induits disparaissent.
B. Les substances diamagnétiques sont des substances qui ne comportent que des
atomes magnétiques
C. Le magnétisme d’une substance paramagnétique provient des moments
magnétiques permanents de direction aléatoire portés par les atomes.
D. Le classement est : FERROmagnétique»_space;> PARAmagnétique > DIAmagnétique.
E. La Substance ferromagnétique Capable de s’aimanter en présence d’un champ H
magnétique et de conserver cette aimantation.
a vrai
B. FAUX. Des atomes non-magnétiques
c ; vrai
d ; vrai
e: E. La Substance ferromagnétique Capable de s’aimanter en présence d’un champ H
magnétique et de conserver cette aimantation.
A propos de la loi de décroissance radioactive quelle(s) est/sont la/les
proposition(s) exacte(s) ?
A. La désintégration d’un noyau est un phénomène possible à prédire.
B. Le Technétium 99 métastable a une demi-vie de 6 heures.
C. Le fluor 18 a une période de 30 minutes.
D. La constante radioactive peut être calculée à partir de la demi-vie de l’élément
radioactif et vice versa.
E. 1 Ci = 3,7.1010Bq
A. FAUX. C’est un phénomène impossible à prédire.
B. VRAI.
C. FAUX. Il a une période de 110 minutes.
D. VRAI.
E. VRAI.
A. Les ondes électromagnétiques du spectre visible s’étendent de 400 à 800m.
B. L’énergie des rayons gamma est inférieure à celle des rayons X.
C. Dans l’effet Compton, l’énergie initiale du photon incident se distribue entre celle de
l’énergie du photon diffusé et l’énergie cinétique de l’électron Compton.
D. Dans le choc tangentiel l’énergie cinétique de l’électron Compton est quasi nulle.
E. Pour l’effet photoélectrique, l’énergie du photon incident doit être supérieure à
l’énergie de liaison de l’électron
A. FAUX. 400 et 800 nm. (Voir correction item A QCM 1)
B. Elle est supérieure.
C. VRAI.
D. VRAI.
E. VRAI
À propos des éléments de dosimétrie quelle(s) est/sont la/les proposition(s)
exacte(s) ?
A. La dose efficace prend en compte le risque tardif total résultant de l’exposition des
tissus biologiques aux Rayonnements Ionisant.
B. La période physique Tp est le temps au bout duquel la moitié des noyaux radioactifs
s’est désintégrée.
C. Les doses pondérées Ht et Et s’expriment en joule.
D. Le Wt des gonades est de 0,08.
E. Les particules α et β qui ont des trajectoires longues
A. VRAI.
B. VRAI.
C. FAUX. En Sievert.
D. VRAI.
E. FAUX. Les particules α et β ont des trajectoires courtes.
Concernant la radioprotection quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) ?
A. La contamination est la situation où la source de rayonnement est externe.
B. L’irradiation est la situation où la source de rayonnement est interne.
C. Le principe de base de la radioprotection est le principe ALARA= « As Low AsReasonably Achievable ».
D. L’irradiation est directement proportionnelle au temps que dure l’exposition.
E. Les dosimètres servent à mesurer et contrôler les expositions pour la
radioprotection
A. FAUX. Interne.
B. FAUX. Externe.
C. VRAI.
D. VRAI.
E. VRAI.
À propos de l’hémogramme quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) ?
A. Le sang analysé est du sang artériel.
B. Une anémie chez la femme est un taux d’hémoglobine (Hb) inférieur à 12 g/dL.
C. La Concentration Corpusculaire Moyenne en Hb (CCMH) correspond à la proportion
moyenne d’Hb contenue dans un GR.
D. La valeur normale de la numération plaquettaire est identique chez l’homme et la
femme : 150 à 400 G/L.
E. La numération des réticulocytes fait partie de l’hémogramme.
A. FAUX. C’est du sang veineux.
B. VRAI.
C. VRAI.
D. VRAI.
E. FAUX. Elle n’en fait pas partie.
Les effets biologiques déterministes quelle(s) est/sont la/les proposition(s)
exacte(s) ?
A. Sont certains à une dose déterminée.
B. Surviennent à forte dose (>1 Gy).
C. Le syndrome aigu d’irritation n’existe pas dans ce cas.
D. Il existe une relation Dose / Effet.
E. Il y a apparition précoce des symptômes (jour/semaine).
A. VRAI.
B. VRAI.
C. FAUX. Si, elle existe et peut même causer le décès.
D. VRAI.
E. VRAI.
A. Les ondes sonores ont une double périodicité : spatiale et temporelle.
B. L’atténuation est plus forte pour des faibles fréquences.
C. L’impédance acoustique traduit la résistance du milieu à la propagation d’une
onde.
D. L’échographie est utilisée uniquement en diagnostic.
E. Dans le mode doppler, si l’objet s’approche, f’ augmente alors le son est plus aigu, on utilise le signe -, et si l’objet s’éloigne, f’ diminue alors le son est plus
grave, on utilise le signe +.
A, vrai
B. FAUX. L’atténuation est plus forte avec les grandes fréquences.
C. VRAI.
D. FAUX. L’échographie est aussi bien utilisée en diagnostic qu’en thérapeutique avec par
exemple la lithotripsie.
E. FAUX. Les signes sont inversés
Concernant l’effet Compton, quelle(s) est/sont la/les réponses(s) exactes ?
A. Lors d’un choc tangentiel, l’électron Compton possède une forte énergie.
B. Lors d’un choc frontal, le photon rétro-diffusé possède une forte énergie (E’ =
Emax).
C. Lors d’un choc tangentiel, l’angle entre le photon incident et l’électron de
Compton : θ = 90°.
D. L’énergie cédée par le photon incident à l’électron Compton dépend de la
géométrie du choc.
E. Il concerne seulement les électrons périphériques quel que soit le numéro
atomique de l’élément
A. FAUX. Possède une énergie quasi nulle.
B. FAUX. E’ = E min
C. VRAI.
D. VRAI.
E. FAUX. L’effet Compton concerne tous les électrons pour un élément de Z faible,
et seulement les électrons périphériques pour un élément de Z élevé.
A. Dans la création de paires, toute l’énergie du photon incident peut se matérialiser
à condition que l’énergie du photon soit suffisante pour permettre cette
matérialisation c’est-à-dire avec E= 511 keV.
B. A la fin de son parcours, le positon s’annihile avec un électron du milieu en
émettant 2 photons de 511 keV à 180°.
C. Dans l’effet photonucléaire, un neutron est émis et on aboutit à la formation d’un
isotope.
D. Pour l’effet Compton, le trou électronique qui se comble selon la cascade
fluorescence/effet Auger, est l’un de ses effets secondaires.
E. Dans l’effet photoélectrique, l’énergie du photon incident est totalement transférée
à l’électron.
A. FAUX. E=1,022 MeV.
B. VRAI.
C. VRAI. Attention à bien distinguer les effets nucléaires des effets électroniques !
D. VRAI.
E. VRAI.
A. Le nucléide radioactif possède un rapport N/A inadapté.
B. Pour un élément avec Z= 15, la stabilité est obtenue lorsque le nombre de proton
est égale au nombre de neutron
C. Pour un élément avec Z= 22, la stabilité est obtenue lorsque Z=n.
D. Les noyaux dont les protons sont trop nombreux par rapport au nombre de
nucléons se situe au-dessus de la vallée de stabilité du diagramme de Segré.
E. Les noyaux avec un excès de neutron se situe en dessous de la vallée de stabilité
du diagramme de Segré.
A. FAUX. Un rapport N/Z inadapté.
B. VRAI.
C. FAUX. Lorsque N>Z car Z>20.
D. FAUX. En dessous de la vallée de stabilité.
E. FAUX. Au-dessus
A. La biopsie est un prélèvement cytologique.
B. Les biopsies et les pièces opératoires sont des prélèvements tissulaires.
C. Pour poser un diagnostic plus précis, le pathologiste examine la pièce opératoire
en totalité quelle qu’en soit sa taille.
D. Les prélèvements cytologiques sont toujours contributifs
E. La cytoponction est plus invasive que la biopsie.
A. FAUX. Prélèvement tissulaire.
B. VRAI.
C. FAUX. Seulement zones d’intérêts.
D. FAUX. Seulement si le prélèvement est représentatif (=zone d’intérêt).
E. FAUX. Cytoponction= alternative entre cytologie et biopsie avec une aiguille plus fine
<1mm. Elle reste moins invasive que la biopsie
