pharmaco UE X – CB X Flashcards

1
Q

La dénomination commune internationale d’un médicament Est attribué par l’Haute autorité de Santé (HAS).

A

FAUX. Elle est attribuée par l’OMS.

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2
Q

La dénomination commune internationale d’un médicament Est utilisé pour l’appellation générique

A

v

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3
Q

Les principes actifs sont des substances d’origines chimique ou naturelle facilitant
la fabrication, la conservation et l’utilisation du médicament.

A

FAUX. Un principe actif est une substance d’origine chimique ou naturelle possédant un
effet curatif ou préventif défini.

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4
Q

Les expiants n’ont aucun effet curatif ou préventif.

A

v

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5
Q

La DCI contient un segment clé commun à tous les médicaments appartenant à
une même classe pharmacologique

A

v

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6
Q

Le nom de specialité est le nom choisi par l’OMS.

A

FAUX. Le nom de spécialité est le nom choisi par l’industriel.

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7
Q

Le nom générique correspond au nom de l’industriel ainsi que la formule chimique
développé

A

FAUX. Le nom générique correspond à la DCI ainsi que le nom de l’industriel.

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8
Q

La classification thérapeutique regroupe tous les principes actifs ayant le même
mécanisme.::::

A

La classe thérapeutique regroupe tous les principes actifs ayant la même action

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9
Q

La classification pharmacologique regroupe tous les principes actifs ayant une
structure chimique similaire.::::

A

La classe pharmacologique regroupe tous les principes actifs ayant le même mécanisme.

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10
Q

La classe des inhibiteurs du canal calcique est une classe pharmacologique.

A

v

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11
Q

Les produits sanguins labiles sont considérer comme des médicaments

A

Ce sont les produits sanguins stable qui sont considérés comme des
médicaments.

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12
Q

Les médicaments de la liste 1 sont des Substances à risques toxicomanogènes et
quelques psychotropes.

A

FAUX. Les médicaments de la liste 1 sont des substances ou préparations ou
médicaments présentant des risques élevés pour la santé.

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13
Q

Les médicaments de la liste 2 sont Substances à risques toxicomanogènes et
quelques psychotropes

A

FAUX. Ce sont les stupéfiants qui sont des substances à risques toxicomanogènes et
quelques psychotropes.

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14
Q

Les princeps sont protéger par des brevets qui permettent une exclusivité de
commercialisation par l’inventeur pendant 20 ans.

A

v

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15
Q

Les préparations magistrales sont tous médicaments préparés selon une
prescription médicale destiné à un malade déterminé

A

v

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16
Q

l’administration d’un médicament par voie transdermique évite le premier passage hépatique.

A

v

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17
Q

Concernant l’administration d’un médicament par voie transdermique La résorption peut être augmentée en cas de fièvre.

A

v

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18
Q

l’administration d’un médicament par voie transdermique Est contre indiqué chez l’enfant

A

faux

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19
Q

Concernant l’administration d’un médicament par voie transdermique , Elle évite les effets indésirables systémiques.

A

FAUX. Car le médicament rejoint quand même la circulation systémique.

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20
Q

Parmi les formes galéniques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui se désagrége(nt) dans l’intestin ?

A. Glossette
B. Comprimé gastro-resistant
C. Comprimé effervescent
D. Comprimé dispersible
E. Gélule

A

A. FAUX.
B. VRAI.
C. FAUX.
D. FAUX.
E. FAUX

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21
Q

Le ligand est une molécule capable de se fixer sur une cible afin de produire un effet
pharmacologique.

A

v

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22
Q

Pour activer la cible, la fixation du ligand réduit l’activité du système visé.

A

il inhibe la cible.

FAUX. Lorsque la fixation du ligand réduit l‘activité du système visé, il inhibe la cible.

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23
Q

L’essentiel des médicaments sont des molécules endogènes capable d’interagir
avec les cibles.

A

FAUX. L’essentiel des médicaments sont des molécules exogènes capables d’interagir
avec les cibles

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24
Q

La fixation ligand-récepteur va induire une cascade d’évènements.

A

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25
Q

L’intensité de la liaison ligand-récepteur dépend d’une constante de différenciation
Kd.:::::::

A

FAUX. L’intensité de la liaison ligand-récepteur dépend d’une constante de dissociation
Kd

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26
Q

Plus la valeur du Kd est petite, plus l’intensité de la liaison est forte.

A

v

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27
Q

Les ligands peuvent se lier à plusieurs récepteurs.::::

A

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28
Q

La fixation préférentielle du ligand à son récepteur caractérise la spécificité:::::::::

A

FAUX. La fixation préférentielle du ligand à son récepteur caractérise la sélectivité.

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29
Q

La sélectivité du ligand pour son récepteur dépend de la dose utilisée.

A

v

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30
Q

La spécificité change selon les modifications de doses.

A

FAUX. La spécificité reste la même selon les modifications de doses. Elle dépend de la
nature intrinsèque de l’interaction ligand-récepteur.

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31
Q

La spécificité dépend de la nature extrinsèque de l’interaction ligand-récepteur.

A

FAUX. La spécificité dépend de la nature intrinsèque de l’interaction ligand-récepteur.

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32
Q

Un ligand est dit « agoniste » lorsqu’il ne produit pas d’effet.

A

FAUX. Un ligand est dit « agoniste » lorsqu’il déclenche une voie de signalisation.

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33
Q

Un ligand est dit « antagoniste » s’il déclenche une voie de signalisation.

A

FAUX. Un ligand est dit « antagoniste » lorsqu’il ne produit pas d’effet.

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34
Q

Un ligand est dit « antagoniste » lorsqu’il ne produit pas d’effet.

A

v

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35
Q

Les principaux récepteurs membranaires sont les RCPG.

A

v

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36
Q

Les RCPG ont 7 domaines transmembranaires.

A

v

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37
Q

Les canaux ioniques sont des protéines extra-membranaires qui permettent le
passage des ions.

A

FAUX. Les canaux ioniques sont des protéines membranaires qui permettent le passage
des ions.

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38
Q

Le récepteur de l’insuline est un canal ionique.

A

FAUX. Le récepteur de l’insuline est un récepteur-enzyme

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39
Q

Le récepteur GABA-A est un récepteur-enzyme.

A

Le récepteur GABA-A est un canal ionique.

40
Q

Un antagoniste non compétitif a une liaison réversible avec son récepteur.

A

FAUX. Un antagoniste non compétitif a une liaison irréversible avec son récepteur.

42
Q

Le Cmax et le Tmax sont utilisés pour évaluer la vitesse d’absorption d’un
médicament par voie IV.

A

FAUX PAS specialement iv

43
Q

La biodisponibilité (F) correspond à la fraction de la dose de médicament qui atteint
la circulation générale et la vitesse à laquelle elle l’atteint

44
Q

“La biodisponibilité relative compare une forme galénique à la forme de référence administrée en IV.”

A

fauc La comparaison avec la voie IV est utilisée pour la biodisponibilité absolue, pas relative.

45
Q

“On note F’ = 0 lorsque le médicament ne subit pas d’EPPH.”

A

’effet de premier passage hépatique (EPPH) désigne la dégradation partielle du médicament dans le foie avant d’atteindre la circulation systémique.
F′F′ représente souvent la fraction du médicament extrait par le foie lors du premier passage.
Si un médicament ne subit pas d’EPPH, F′F′ est faible voire nul, mais cela ne signifie pas que F′=0F′=0 dans tous les cas.

46
Q

À propos des principaux paramètres de quantification en pharmacocinétique,
quelle(s) réponse(s) est/sont juste(s) ?

A. Le volume apparent de distribution correspond au rapport de la quantité de médicament dans l’organisme à sa concentration plasmatique, une fois l’équilibre
atteint.

B. Une valeur de fb < 20% traduit une liaison aux protéines faible voire négligeable.

D. Un médicament qui diffuse rapidement et de façon importante dans les tissus

possède un Vd élevé.
E. Le volume de distribution des médicaments n’est très peu voire pas influencé par les
états physiologiques du patient
C. Le volume de distribution initial se traduit par la formule : Vd = t1/2 x ClT / 0,7

A

A. FAUX. La phase de distribution intervient avant la phase de métabolisme.
B. VRAI.
C. FAUX. L’irrigation des organes est un facteur majeur qui influe la distribution.
D. VRAI.
E. VRAI

47
Q

Il existe 2 manières pour l’organisme de se débarrasser d’une substance
médicamenteuse : élimination du médicament par les voies urinaire et biliaires et la
disparition du médicament par métabolisme dû à l’intestin au foie et d’autres
organes

49
Q

Si le coefficient d’extraction hépatique est important EH > 0,7, la concentration
intrinsèque hépatique (CIH) est dite flux-indépendante.

A

L’affirmation est fausse car pour EH>0,7EH​>0,7, l’élimination est flux-dépendante et non flux-indépendante. 🎯

50
Q

À 7 t1/2, il y a < 1% de la concentration de départ.

51
Q

Par convention, on estime que le médicament est quasiment totalement éliminé à
partir de 7 t1/2.

52
Q

La demi-vie est, pour un médicament donné, chez un sujet donné, une constante,
quelle que soit la dose administrée.

53
Q

Les médicaments dont la pharmacocinétique n’est pas linéaire sont difficiles à
manier.

54
Q

La biodisponibilité intervient dans l’étape de distribution.

A

D. Faux
👉 La biodisponibilité (FF) intervient dans l’absorption, pas dans la distribution. Elle représente la fraction de la dose qui atteint la circulation sanguine

55
Q

Un médicament qui a une concentration proportionnelle à la dose administrée a une
pharmacocinétique linéaire.

56
Q

F. Le Cmax et le Tmax sont utilisés pour évaluer la vitesse d’absorption d’un médicament par voie IV.

G. La biodisponibilité (F) correspond à la fraction de la dose de médicament qui atteint
la circulation générale et la vitesse à laquelle elle l’atteint.

H. La biodisponibilité absolue compare une forme galénique A et une forme galénique
B de référence.

A

A. FAUX. C’est la voie orale qui utilise la Cmax et le Tmax, la voie IV utilise le C0.

B. VRAI.

C. FAUX. Les 2 définitions sont inversées. Il s’agit de la définition de la biodisponibilité
relative.

57
Q

I. La biodisponibilité́ relative compare une forme galénique à la forme de référence
administrée en IV.

J. On note F’ = 0 lorsque le médicament ne subit pas d’EPPH.

A

D. FAUX. Il s’agit de la définition de la biodisponibilité absolue.

E. FAUX. On note F’ = 1 lorsque le médicament ne subit pas d’EPPH.

58
Q

La clairance d’un médicament uniquement filtré par le glomérule s’écrit ClR = fe x
ClT

A

FAUX. La formule est Clf = fu x DFG.

59
Q

H. Si le coefficient d’extraction hépatique est important EH > 0,7, la concentration
intrinsèque hépatique (CIH) est dite flux-indépendante.

I. À 7 t1/2, il y a < 1% de la concentration de départ.

J. Par convention, on estime que le médicament est quasiment totalement éliminé à
partir de 7 t1/2.

A

C. FAUX. Si le coefficient d’extraction hépatique est important EH > 0,7, la CIH est flux-dépendante.

D. VRAI.

E. FAUX. C’est 5 t1/2

60
Q

La demi-vie est, pour un médicament donné, chez un sujet donné, une constante,
quelle que soit la dose administrée.

61
Q

La biodisponibilité intervient dans l’étape de distribution

A

faux absorption

62
Q

A. La forme galénique n’a pas de rôle dans l’absorption.

B. Pour un comprimé dispersible, la désagrégation a lieu dans l’estomac et l’intestin.

C. La désagrégation, la dissolution ainsi que la résorption d’un comprimé gastro-
résistant s’effectuent au niveau de l’intestin.

A

A. FAUX. La forme galénique du médicament a un impact important au niveau de la phase
d’absorption.

B. FAUX. Pour un comprimé dispersible, la désagrégation s’effectue dans le verre d’eau.

C. VRAI

63
Q

D. Pour un comprimé sublingual, il y a un passage direct dans la circulation générale.

E. Pour une gélule, il n’y a pas de passage par le système porte

A

D. VRAI.

E. FAUX. Pour une gélule, la dissolution et la résorption s’effectuent au niveau de l’estomac
et de l’intestin avant d’atteindre le système porte, le foie et enfin la circulation générale.

64
Q

A. En coordonnées semi-logarithmiques, la pente de décroissance reflète la demi-vie d’élimination.

B. En coordonnées cartésiennes, la courbe de décroissance des concentrations
plasmatiques est linéaire.

C. La perfusion à débit constant est réalisée dans le but d’obtenir une concentration
plasmatique stable

A

A. VRAI.

B. FAUX. En coordonnées cartésiennes, la courbe de décroissance des concentrations
plasmatiques est de nature exponentielle. Elle est linéaire en coordonnées semi-logarithmiques.

C. VRAI.

65
Q

D. L’administration intraveineuse en bolus conduit à une élévation constante des
concentrations.

E. Il faut une perfusion d’une durée égale à 5 demi-vies pour obtenir le plateau de
concentrations

A

D. FAUX. C’est la perfusion à débit constant qui permet une élévation constante.

E. VRAI.

66
Q

C. L’administration chronique d’un médicament doit maintenir en permanence une concentration plasmatique très élevée.

D. Pour un rythme d’administration inférieur à 5 demi-vies, la quantité administrée
s’ajoute à la quantité non éliminée de la précédente administration.

E. En cas de modification de la posologie, il n’y a pas besoin d’attendre 5 demi-vies
pour atteindre de nouveau l’état d’équilibre

A

C. FAUX. L’administration chronique doit maintenir en permanence de maintenir les
concentrations dans l’intervalle thérapeutique. Si les concentrations sont trop élevées, on
sera dans la zone de toxicité.

D. VRAI.

E. FAUX. En cas de modification de la posologie, il faudra de nouveau attendre 5 demi-vies
pour atteindre l’état d’équilibre

67
Q

A. La variabilité interindividuelle comprend uniquement l’âge, le sexe, la taille, le poids.

B. En pédiatrie, les médicaments prescrits sont des médicaments conçus pour l’adulte
en majorité.

C. Chez les enfants, la variabilité pharmacocinétique à l’intérieur d’un même groupe
d’âge est faible.

D. Le vieillissement s’accompagne d’une augmentation de l’excrétion rénale des
médicaments.

E. Lors d’une grossesse, de nombreux médicaments peuvent passer la barrière
placentaire

A

A. FAUX. Il faut aussi considérer la pathologie, les paramètres biologiques et les caractéristiques génétiques.

B. VRAI.

C. FAUX. Chez les enfants, la variabilité pharmacocinétique à l’intérieur d’un même groupe
d’âge est importante, surtout chez les nourrissons. En effet, la vitesse de maturation des
différentes fonctions de l’organisme est variable selon les enfants.

D. FAUX. Le vieillissement s’accompagne d’une diminution de l’excrétion rénale des
médicaments.

E. VRAI

68
Q

Quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) exacte(s) concernant la variabilité de la réponse à un médicament ?

A. L’alimentation accélère la vidange gastrique.

B. L’influence de l’alcool est prépondérante sur l’absorption.

D. En cas d’insuffisance rénale, la demi-vie des médicaments à excrétion rénale
prédominante est diminuée.

E. Une cirrhose peut entraîner une diminution de l’effet de premier passage hépatique

A

A. FAUX. L’alimentation ralentit la vidange gastrique.
B. FAUX. L’influence de l’alcool est prépondérante sur le métabolisme et surtout sur les
cytochromes P450.
C. VRAI.
D. FAUX. Lors d’une insuffisance rénale, la demi-vie des médicaments à excrétion rénale
prédominante est augmentée. En effet, il y a une diminution de l’élimination du
médicament donc sa demi-vie est prolongée.
E. VRAI

69
Q

La rentabilité pour l’industrie pharmaceutique est une motivation pour développer
un médicament.

70
Q

B. Il existe 2 grandes démarches principales pour développer un médicament.

C. La synthèse d’une molécule analogue ne peut jamais faire l’objet d’un brevet.

D. La modification des propriétés physicochimiques peut permettre d’accroître la
biodisponibilité.

E. Alexander Flemming a découvert la pénicilline par hasard.

A

B. FAUX. Il existe 3 grandes démarches pour développer un médicament : la synthèse
d’analogues, l’exploitation d’effets observés et la conception basée sur des processus
biologiques.

C. FAUX. Si la molécule analogue est suffisamment différente de molécules existantes, elle
est considérée comme nouvelle et peut faire l’objet d’un brevet.

D. VRAI.
E. VRAI.

71
Q

A. La toxicité chronique se teste via des administrations répétées sur au moins 28
jours.

B. Lorsque l’on teste la toxicité subaiguë, l’examen histopathologique n’est pas
obligatoire.

C. Les propriétés pharmacodynamiques correspondent au devenir du médicament
dans l’organisme.

D. Pour étudier la cancérogénèse, la molécule d’intérêt est administrée à des primates
tout au long de leur vie.

E. La toxicité aiguë permet de déterminer la dose unique maximale tolérée

A

F. FAUX. La toxicité chronique se teste via des administrations répétées sur au moins 3
mois.

G. FAUX. Peu importe le type de toxicité étudié, l’étude histopathologique est toujours
obligatoire.

H. FAUX. Les propriétés pharmacodynamiques déterminent les mécanismes d’action de la
molécule et la liaison ligand-cible.

I. FAUX. La molécule d’intérêt est administrée à des rongeurs tout au long de leur vie.

J. VRAI.

72
Q

A. Les études de reprotoxicité sont toujours obligatoires.

B. Pour étudier l’embryo-foetotoxicité et la tératogénicité, les femelles sont exposées à
la molécule au cours de l’organogénèse.

C. La mutagénicité de catégorie 1 concerne les substances mutagènes chez l’homme.

D. En fonction de la cible du médicament, l’étude des grandes fonctions peut être
facultative.

E. La surveillance clinique du comportement des animaux, au cours des études, ne se
fait plus.

A

F. VRAI.
G. VRAI.
H. VRAI.
I. FAUX. L’étude des grandes fonctions est systématique.
J. FAUX. Elle est nécessaire, tout comme la surveillance de leur poids et de leur
consommation alimentaire

73
Q

A. Il y a 3 phases d’essais cliniques pré-commercialisation.

B. La phase 3 se fait en double aveugle.

C. La phase 1 permet de déterminer la dose optimale.

D. La phase 1 se fait sur des sujets sains.

E. La phase 4 correspond à la pharmacovigilance

A

F. VRAI.
G. VRAI.
H. FAUX. La détermination de la dose optimale est le rôle de la phase 2.
I. VRAI.
J. VRAI.

74
Q

A. La randomisation correspond à la répartition aléatoire des participants entre les 2
groupes d’études.

D. L’accord de l’ANSM est obligatoire pour la réalisation d’essais cliniques
.
E. Le “cross-over” correspond au fait qu’un même individu reçoit le traitement A puis le
traitement B.

A

F. VRAI.

I. VRAI.
J. VRAI

75
Q

B. Le SMR (service médical rendu) permet de fixer le prix du médicament.

C. Le taux de remboursement des médicaments est décidé par la Haute Autorité de
Santé (HAS).

D. Les préparations magistrales sont soumises à l’AMM.

E. Pour obtenir l’AMM, il y a trois critères sont fondamentaux.

A

B-FAUX. Le SMR permet de déterminer l’admission au remboursement.

C- FAUX. Le taux de remboursement est décidé par l’UNCAM (Union Nationale des Caisses
d’Assurance Maladie).

d- FAUX.

E- VRAI. La qualité, la sécurité (toxicité, dépendance) et l’efficacité.

76
Q

B. Les médicaments bénéficiant d’un accès précoce ou compassionnel sont pris en
charge à 100% par l’Assurance maladie.

C. L’accès compassionnel vise les médicaments initialement destinés à obtenir une
AMM.

D. L’ASMR (amélioration du service médical rendu) de niveau 1 est attribué lorsque
l’amélioration est nulle

E. Les ASMR de niveau 1 à 3 obtiennent un prix qui ne peut être inférieur au prix le
plus bas pratiqué dans un des 4 pays européens ayant un marché comparable.

A

B. VRAI.
C. FAUX.
D. FAUX. L’ASMR de niveau 1 est attribué lorsque le progrès thérapeutique est majeur.
E. VRAI.

77
Q

A. L’évaluation du SMR est valable 10 ans.
B. Pour un SMR majeur ou important, le taux de remboursement est de 65%.
C. Pour les médicaments du cancer ou du SIDA la prise en charge est de 100%.
D. La place du médicament au sein de la stratégie thérapeutique entre dans les
critères du SMR.
E. Le SMR est déterminer par l’ANSM.

A

A. FAUX. L’évaluation du SMR est valable 5 ans.
B. VRAI.
C. VRAI.
D. VRAI.
E. FAUX. Le SMR est déterminer par la Commission de la Transparence de la Haute Autorité
de Santé (HAS).

78
Q

B. Les médicaments biosimilaires sont des copies de médicaments issus de
biotechnologie qui ne sont plus couverts par un brevet d’invention.

C. Les génériques ne nécessitent pas d’étude pré-clinique.

D. Le pharmacien n’a pas de droit de substitution sur les génériques.

E. Les médicaments à marge thérapeutique étroite ont moins de chance d’entraîner
des modifications du rapport bénéfices/risques pour une faible variation.

A

L. VRAI.
M. VRAI. Les études pré cliniques ne sont pas nécessaires, en revanche il est important de
vérifier leur bioéquivalence aux princeps.
N. FAUX. Il a des droits de substitution sur les génériques mais pas sur les biosimilaires.
O. FAUX. Au contraire, une faible variation peut entraîner des modifications sur des
médicaments à marge thérapeutique étroite

79
Q

A. Les génériques sont de grandes molécules complexes issues du vivant.
B. La bioéquivalence est prouvée si les intervalles de confiance sont compris dans la
fourchette 90-115%.
C. Les plans de gestion de risque sont obligatoires pour tous les princeps.
D. Un princeps n’est plus protégé par son brevet au bout de 20 ans.
E. Un pharmacien peut délivrer une spécialité pharmaceutique différente de la
spécialité pharmaceutique prescrite par le médecin

A

K. FAUX. Les Biosimilaires sont de grandes molécules complexes issues du vivant. Les
génériques sont de petites molécules chimiques.
L. FAUX. Si les intervalles de confiance sont compris dans la fourchette 80-125%.
M. FAUX. Les plans de gestion de risque sont obligatoires pour tous les biosimilaires.
N. VRAI.
O. VRAI

80
Q

B. Les médicaments de liste I et II sont soumis à des ordonnances simples non
renouvelables.

C. La posologie est obligatoire sur toutes les ordonnances.

D. La délivrance en une fois est de 90 jours maximum.

E. Il est préférable de prescrire des médicaments en DCI.

A

b FAUX. Liste I : ordonnance simple non renouvelable sauf mention contraire. Liste II :
Ordonnance simple renouvelable sauf mention contraire.

C . VRAI.
D FAUX. Elle est de 30 jours maximum.
EVRAI.

81
Q

E. La prescription des stupéfiants dure entre 7 et 28 jours

82
Q

B. Il existe 3 types d’effets indésirables différents.
C. Les effets indésirables non évocateurs du rôle du médicament ne sont pas
mentionnées dans le RCP.
D. La pharmacocinétique est une discipline qui prend en charge les effets indésirables
des médicaments.
E. Les CRPV sont responsables de la coordination et mise en œuvre de la
pharmacovigilance au niveau nationa

A

B FAUX. Il en existe 2, effets indésirables de type 1 et 2

c VRAI.

D FAUX. Il s’agit de la pharmacovigilance.

E- FAUX. L’ANSM est responsable de la coordination et mise en œuvre de la pharmacovigilance au niveau national.

83
Q

A. Il existe 4 niveaux d’imputabilité.
.
C. L’utilisation des données du passeport biologique de l’athlète correspond à une
détection directe de dopage.

D. Il existe 4 groupes de substances psychoactives.

E. L’identification des effets indésirables au moment de l’AMM repose sur des études
réalisées in vitro

A

A. VRAI.

C. FAUX. Cela correspond à une détection indirecte.

D. FAUX. Il en existe 3 : sédatifs, hallucinogènes et stimulants.

E. VRAI

84
Q

La pénicilline a permis la mise au point d’antifongiques.

A

FAUX. La pénicilline a permis la mise au point d’antibiotiques et a révolutionné le traitement des maladies infectieuses.

85
Q

La ciclosporine prévient le rejet d’un greffon.

86
Q

La pénicilline a permis la mise au point d’antifongiques.

A

FAUX. La pénicilline a permis la mise au point d’antibiotiques et a révolutionné le traitement des maladies infectieuses.

87
Q

Le SMR (service médical rendu) permet de fixer le prix du médicament.

A

Faux SMR permet de déterminer l’admission au remboursement.

88
Q

La biodisponibilité absolue compare une forme galénique A et une forme galénique B de référence.

A

FAUX. Les 2 définitions sont inversées.
Il s’agit de la définition de la biodisponibilité relative.

89
Q

B. Pour un comprimé dispersible, la désagrégation a lieu dans l’estomac et l’intestin.

A

Faux dans un vers d’eau

90
Q

B. Il existe 2 grandes démarches principales pour développer un médicament.

A

FAUX. Il existe 3 grandes démarches pour développer un médicament: la synthèse
d’analogues, l’exploitation d’effets observés et la conception basée sur des processus biologiques.

91
Q

C. La phase 1 permet de déterminer la dose optimale.

A

Faux c’est la 2

92
Q

C. L’accès compassionnel vise les médicaments initialement destinés à obtenir une
AMM.

93
Q

A. La toxicité chronique se teste via des administrations répétées sur au moins 28
jours.

A

Faux sur au moin 3 mois

94
Q

D. La délivrance en une fois est de 90 jours maximum.

95
Q

E. Le SMR est déterminer par l’ANSM.