Troubles de dépendance Flashcards

1
Q

Définis ce qu’est la dépendance

A

Aucun consensus sur le sens exact du terme (c’est socialement construit, donc ca dépend de qui définit)
Le concept de dépendance est socialement construit:
Objectifs différents = différentes définitions , instruments, échelles utilisées, décisions politiques, traitements, programmes, etc.

Comprend généralement les éléments suivants :
Difficulté à mettre un terme à l’ activité
la substance ou l’activité = centre de l’existence
poursuite malgré des conséquences négatives

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2
Q

Qu’est-ce que la toxicomanie selon l’OSM?

A

désir ou besoin invincible de consommer une substance;
tendance à augmenter la dose (tolérance);
dépendance psychologique et souvent physique à l’égard des effets;
conséquences (émotives, sociales, économiques) nuisibles.

Variabilité culturelle (plus accessible selon les places)
Opium = Surtout en Chine
Cocaïne = Surtout en Amérique Latine
Cannabis = Amérique du Nord, Australie, Inde.

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3
Q

Quelles classes organisent les différentes drogues?

A

Stimulants, dépresseurs, hallucinogènes et perturbateurs.

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4
Q

Qu’est-ce qu’un stimulant? Donne des exemples

A

stimulent le fonctionnement du système nerveux. - favorisent temporairement un état d’éveil et d’excitation et réduisent la fatigue. Induisent un sentiment fallacieux d’assurance et de contrôle de soi, généralement suivi d’un état d’épuisement et de dépression.
 Conduisent fréquemment à la dépendance psychique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves : paranoïa, dépression importante, fatigue généralisée. Ils sont aussi la cause d’accidents par surestimation de ses capacités.


Ex: Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines et autres dopants, Ecstasy.

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5
Q

Qu’est-ce qu’un hallucinogène, perturbateur? Donne des exemples.

A

perturbent le fonctionnement du système nerveux. - provoquent une perturbation de la perception de l’environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l’espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons.
- A long terme, ils peuvent modifier durablement la personnalité du consommateur qui ne peut plus composer avec les éléments de la réalité.


Ex: Cannabis et produits dérivés, Produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, LSD, champignons hallucinogènes etc.

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6
Q

Qu’est-ce qu’un dépresseur?

A

ralentissent le fonctionnement du système nerveux. - entraînent une sensation de détente et de rêve ainsi qu’une perte d’inhibition.
- conduisent fréquemment à la dépendance physique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves (arrêt cardiaque ou respiratoire). Ils sont également la cause de multiples accidents par perte de vigilance et de contrôle de soi.

Ex: Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines…), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine… ).


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7
Q

Qu’est-ce qu’une dépendance physique?

A

état physiologique adaptatif qui accompagne la consommation régulière de drogue et cause un syndrome de sevrage lorsque cette consommation est interrompue. Elle est généralement associée à une accoutumance accrue. À elle seule, la dépendance physique n’est pas synonyme de toxicomanie.

ex: cigarette, LSD

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8
Q

Qu’est-ce que la tolérance, l’accoutumance?

A

état lorsqu’il faut prendre une dose plus forte d’une drogue pour ressentir le même effet que celui éprouvé lors de l’utilisation initiale. Souvent associée à la dépendance physique.
Ex: vouloir une plus forte de dose de morphine pour soulager la douleur chronique)
Souvent les patients ont tendance à s’accoutumer aux effets d’euphorie et diminution de l’angoisse mais non aux effets thérapeutiques

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9
Q

Qu’est-ce que le sevrage?

A
  • ensemble des symptômes et des signes qui se manifestent chez une personne lorsque la quantité de cette substance présente dans le cerveau diminue. Lorsque la consommation cesse, il faut des jours, voire des semaines, pour que les récepteurs du système nerveux central retrouvent leur état normal.
  • Les symptômes et les signes du sevrage sont l’inverse de l’effet principal de la drogue.
  • Sevrage de sédatif entraîne une hyperactivité du système nerveux autonome et des complications médicales dangereuses.
  • Sevrage d’opioïde crée de l’angoisse, un état de besoin intense et des symptômes qui ressemblent à la grippe.
  • Se sevrage de stimulant se manifeste sous forme de dépression, d’insomnie et d’état de besoin.

Les effets de sevrages sont souvent inverses aux réactions de la prise de la substance

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10
Q

Donne des exemples de dépendance avec et sans substance. Sont-elles considérées de la même façon?

A
  • Avec substance psychoactive :
    Alcool, Amphétamines, Opiacés , Cocaïne, Hallucinogènes, Solvants, Cannabis, Médicaments, Caféine, Nicotine, Tabagisme
- Sans substance:
Jeu pathologique			Achats compulsifs 
Cyberdépendance 		Dépendance au travail 
Dépendances sexuelles 		Dépendances alimentaires 
Dépendance relationnelle

Chaque dépendance présente des caractéristiques qui lui sont propres et nécessite une approche spécifique.
Question actuelle en psychopathologie; est-ce que la dépendance aux substances et à une activité est considérée comme pareille, comme un même trouble?

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11
Q

Quels sont les points communs à la dépendance à une substance vs à un jeu, activité?

A
  • le déni : minimiser, banaliser, la dépendance et effets
  • Difficulté à résister à l’impulsion avec agitation / irritabilité
  • Plaisir et soulagement au moment de l’action.
  • Préoccupation fréquente pour le comportement
  • Efforts pour réduire et pour arrêter
  • Temps considérable passé à l’activité
  • Réduction des autres activités, empêche les obligations
  • Poursuite malgré les problèmes
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12
Q

Qu’est-ce que la dépendance physiologique? Qu’en est-il de son sevrage?

A
  • réaction physiologique de l’organisme à l’état de manque. On parle de dépendance physique lorsque le métabolisme s’est habitué à une substance dont il a besoin pour fonctionner.
  • s’accompagne de symptômes physiques de sevrage, si on diminue ou arrête sa consommation.
  • État physique de dépendance et créé un effet de sevrage

Sevrage :
douloureux ou pénible, selon les substances
règle générale surmontée après quelques jours.
nécessite souvent un suivi médical ou milieu hospitalier
peut entraîner des complications et menacer la vie du patient.

Dans certains cas, la dépendance est tellement élevée qu’on ne peut pas arreter d’un coup car ca peut etre dangereux ( ex: LSD) Ce n’Est pas présent dans les dépendances psychologiques

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13
Q

Qu’est-ce que la dépendance psychologique?

A
  • Désir insistant et persistant de consommer. La personne ressent un sentiment de besoin extrême de consommer -
  • Lié au plaisir associé à l’objet de la dépendance et aussi lié au mal-être que la consommation vise à supprimer
  • Le plaisir est très court. On essai de retrouver ce plaisir
  • Repose sur les caractéristiques de l’individu (habitudes, états affectifs, styles de vie) plus que sur la substance.
  • Pas toujours relié au manque physique. Ex. cocaïne. - Toutes les substances ne provoquent pas une dépendance physique, mais toutes peuvent entraîner une dépendance psychique.
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14
Q

Quels sont les facteurs étiologiques biomédicaux?

A

Vulnérabilité génétique (étude de jumeaux et adoption)
Sensibilité à la drogue
Rythme métabolique
Seuil d’excitabilité
Hérédité (comprend plus large que la génétique; comprend le facteur social) (plus de risque si un proche parent..)

Vulnérabilité biologique et génétique ne conduit pas forcément à la dépendance

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15
Q

Quels sont les facteurs étiologiques neurologiques?

A
  • Interaction de drogues avec le cerveau
  • Stimulation du cerveau et sentiment de bien-être.
  • La gratification immédiate pousse à répéter l’expérience.
  • Renforcement positif au plan du cerveau
  • Circuit neurologique du plaisir
  • Toute substance susceptible d’engendrer une dépendance stimule la production de dopamine, associée à la récompense et au plaisir.
  • Le cerveau tente d’établir un équilibre en s’accoutumant à la drogue et réduit la quantité de dopamine.
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16
Q

Quels sont les facteurs étiologiques psychologiques?

A

Renforcement positif : association avec bien-être.
Croyance d’une meilleure performance (ex: désinhibition)

Renforcement négatif :échapper au situation désagréable
Adaptation aux situations pénibles et au stress
Survivre au traumatisme, guerre, pauvreté …
Évitement du manque
Auto-médication
Régulation des émotions.
Violence physique, psychologique, ou sexuelle

17
Q

Quels sont les facteurs accroissant le risque de dépendance?

A

problèmes liés à la consommation chez famille et amis
mauvais rendement scolaire/ travail
pauvreté
conflits et perturbations familiale
stress
absence d’intégration sociale
sévices psychologiques, physiques, sexuels
victimes de discrimination ou d’oppression
Comportement de dépendance lié à la déviance
Comportement de dépendance lié à la médicalisation
Consommation de drogues criminalisée

18
Q

Quels sont les facteurs de risque socioculturels?

A

Exposition à la substance
Disponibilité et accessibilité
Isolement social
Attitude des pairs : imitation et usage par les pairs
Attitude de la famille : imitation et usage
Attentes sociales et culturelles
Condition socio-économique
Chômage , pauvreté, exclusion, non-emploi
Média et Double message
Ex: Publicité sportive et alcool
Entreprise et lobby pharmaceutiques multinationales

19
Q

Qu’est-ce que l’étiologie existentielle de la dépendance?

A
  • Chacun porte en soi un vide existentiel
  • La dépendance est une condition existentielle lié à l’angoisse de mourir
  • Dépendance est une manière pauvre ou malsaine de calmer l’angoisse et de combler le vide existentiel
20
Q

Quelles sont les 2 catégories de troubles liés à la dépendance dans le DSM?

A

Troubles liés à une substances

Classe 16: Troubles d’abus de substance et d’addictions
Troubles non-liés à une substances
Inclut le Jeu pathologique
Mais pas n’inclut pas :
Cyberdépendance (Internet Gaming Disorder à l’étude) (pas tres clair encore…juste le jeu ou réseaux sociaux, ordi en général?)
Dépendance affective
Dépendance sexuelle ou hypersexualité
Kleptomanie et Pyromanie on les trouvera parmi les Troubles perturbateurs du contrôle des impulsions et des conduites

21
Q

Qu’est-ce que le jeu pathologique?

A

Pratique inadaptée, persistante et répétée du jeu, comme en témoignent au moins 4 des manifestations suivantes :

  • besoin de jouer avec des sommes croissantes pour atteindre l’excitation désiré
  • agitation ou irritabilité lors des tentatives de réduction ou d’arrêt
  • efforts répétés mais infructueux pour contrôler, réduire ou arrêter la pratique
  • préoccupation par le jeu (souvenir, désir d’arrêt, trouver de l’argent pour jouer..)
  • Jouer avec un sentiment de détresse
  • Retourner jouer après avoir perdu de l’argent au jeu pour recouvrer ses pertes
  • ment pour dissimuler l’ampleur réelle de ses habitudes de jeu
  • met en danger ou perd une relation affective importante à cause du jeu
  • Compte sur les autres pour financer la pratique du jeu

B. La pratique du jeu n’est pas mieux expliquée par un épisode maniaque.

Léger (4-5), moyen (6-7) ou sévère (8-9)
Épisodique Persistant En rémission

22
Q

Quels sont les critères diagnostiques du DSM 5 des troubles liés à l’utilisation d’une substance?

A

Mode problématique d’utilisation ou utilisation inadapté d’une substance caractérisé par deux (ou plus) des signes suivants:

  • Fréquente prise en quantité plus importante que prévu
  • Désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou arrêter
  • Beaucoup de temps passé à des activités pour obtenir la substance
  • Désir intense de consommer
  • Négligence des obligations majeures, au travail, école, maison …
  • Utilisation poursuivie malgré que cela cause des problèmes interpersonnels
  • Abandon ou réduction d’activités sociales, professionnelles …
  • Utilisation poursuivie en situation dangereuse physiquement
  • Effet de tolérance
  • Effet de sevrage
  • Le trouble est développé dans un délai d’un mois suivant une intoxication ou un retrait et la substance peut produire un trouble.
  • La maladie n’est pas mieux expliquée par un trouble mental primaire
  • Le trouble ne survient pas exclusivement au cours d’un délire.
  • Le trouble provoque une détresse ou une altération cliniquement significative de ou d’autres domaines importants de fonctionnement
23
Q

quels sont les degrés de sévérité d’un trouble liés à une substance?

A

léger: défini par la présence de 2 ou 3 symptômes
moyen: défini par la présence de 4 ou 5 symptômes
grave: défini par la présence de 6 symptômes ou plus

24
Q

Quels sont les critères diagnostiques généraux du DSM 5 pour l’intoxication à la substance?

A

Intoxication de la substance (x) est-ce réellement un trouble? Aucun critère temporel (arrivé 1 ou30 fois?)

  • Consommation récente significative
  • signes cliniques
  • souffrance ou altération du fonctionnement
  • pas dus à une maladie ou autre trouble mental
  • Avec Trouble lié à l’utilisation (léger, moyen, sévère)
  • Sans Trouble lié à l’utilisation
25
Q

Quels sont les critères diagnostiques généraux du DSM 5 pour le sevrage?

A
  • Cessation d’une consommation significative
  • Signes et symptômes …
  • détresse ou une altération significative du fonctionnement
  • pas mieux expliqués par condition médicale ou trouble mental. Avec perturbations perceptuelles ou sans perturbations perceptuelles
26
Q

Quels sont les critères d’une intoxication à l’alcool?

A
  • Ingestion récente d’alcool
  • Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés
  • Une (ou plus) des manifestations suivantes:
    Discours flou
    Incoordination
    Démarche instable
    Nystagmus
    Problème d’attention ou de mémoire
    Stupeur ou coma
  • Non attribuable à une affection médicale générale ou un autre trouble
27
Q

Quels sont les critères du sevrage d’alcool?

A
  • Cessation ou réduction récente et prolongée d’alcool
  • Deux (ou plus) des manifestations suivantes:
    Hyperactivité du système autonome
    Mains tremblantes
    Insomnie
    Nausée ou vomissement
    Hallucinations ou illusions temporaires
    Agitation psychomotrice
    Anxiété
    Crise épileptique
  • Cause une souffrance ou une altération du fonctionnement
  • Non attribuable à une affection médicale générale ou un autre trouble
28
Q

Nomme des facteurs de risque liés aux problèmes de l’alcool

A

être un homme
être célibataire
vivre seul
avoir un réseau de soutien inadéquat
vivre en milieu rural
vivre une perte importante (emploi, décès d’un conjoint, séparation)
vivre un stress chronique
avoir abusé d’alcool antérieurement
avoir des problèmes avec son conjoint ou ses amis
utiliser des stratégies d’évitement
augmenter ses consommations d’alcool suite à la retraite
avoir des amis qui abusent d’alcool
obtenir une approbation sociale de ses consommations
abuser de médicaments
avoir consommé de l’alcool à un jeune âge
avoir des problèmes de santé psychique comme dépression, anxiété, schizophrénie ou troubles bipolaires
fragilité génétique: des facteurs héréditaires basés sur étude de jumeaux

29
Q

Que dire sur la consommation d’alcool chez les ainés?

A

Au Canada, les aînés, comme les plus jeunes, sont susceptibles de consommer de l’alcool pour composer avec des problèmes personnels : stress, pauvreté, mauvaise alimentation et problèmes de logement, et, problèmes émotionnels, mauvais traitements, deuil, solitude et dépression.

Les aînés métabolisent l’alcool plus lentement, ils sont plus vulnérables à ses effets que les adultes plus jeunes.
La consommation d’alcool diminue le contrôle musculaire, ce qui augmente le risque de chute chez les aînés.
Les médicaments couramment prescrits aux aînés sont pris en combinaison avec de l’alcool, peuvent entraîner des problèmes.

30
Q

Quelles sont les conséquences de l’alcoolisme?

A

maladie du foie, cirrhose
perte de sensibilité au niveau des membres
lésions cérébrales - l’alcool tue les cellules du cerveau
lésions cardiaques, hypertension, arythmie
ulcères d’estomac, gastrite, béribéri (carence en B1)
diabète

31
Q

Quelles sont les solutions aux problèmes de dépendance?

A
  • Réduction autonome et aide par la famille et les amis
  • Abstinence
  • Traitement aversif : ajoute un effet désagréable
  • Traitement agoniste : substitution de drogue plus sure
  • Traitement antagoniste : contrer les effets recherchés
  • Médicaments (Suppression du besoin ardent de consommer. Diminution des symptômes associés au sevrage)
  • Programmes de traitement et thérapie (Structures résidentielles. Alcooliques Anonymes: programme en 12 étapes)
  • Groupes de soutien
  • Réduction des méfaits (Usage contrôlé / sécurisé)
  • Prévention de la rechute
  • traitement communautaire
32
Q

Donne les critères de l’alcoolisme en tant que maladie

A
  • Maladie primaire permanente et chronique,
  • Forme d’allergie physique doublée d’une obsession mentale Comportement pathologique avec des signes physiques, psychiques et biologiques permettant le diagnostic (L’idée des AA est de dire que l’alcoolisme est une maladie)
  • La personne qui abuse ne le fait pas toujours délibérément, mais parce qu’elle est malade.
  • Le dépendant demeure fragile, physiquement et psychologiquement.
  • Prédisposition génétique et facteurs psycho sociologiques (peut entrainer une déresponsabilisation)
  • Le traitement relève d’une intervention médicale ou de l’abstinence
33
Q

Pourquoi l’alcoolisme ne serait pas une maladie?

A

-phénomène multifactoriel
- On doit aussi s’intéresser aux problèmes sous-jacents
problème d’individu et de société
- tendance sociale à la pathologisation des comportements addictifs
- modèle biomédical nord-américain propice à la déresponsabilisation
- modalités de gestion ou de contrôle social.
- Étiquette de malade à vie
- Discours des mouvements d’entraide anonymes condamnent l’alcoolique à le rester toute sa vie.