Trouble de l'alimentation Flashcards
Les comportements oraux moteurs débutent durant
– Les comportements oraux moteurs débutent durant la période de gestation.
Reflexe de succion : quand à quand et c’est quoi
0 à 3-5 mois
Assure la prise du biberon ou allaitement de manière REFLEXE
Succion primaire : quand à quand et c’est quoi
Début vers 3-5 mois
Succion plus mature et VOLONTAIRE pour boire les liquides
Enfant débute la prise des aliment en purée vers l’âge de …
4 à 6 mois
Patron de déglutition primaire avec purée (suckLing) : (4)
- 4 à 6 mois
- Mouvement antéro-postérieure de la langue pour déplacer le bolus vers l’arrière
- Mouvement antéro-postérieur de la langue qui est indissocié du mouvement d’ouverture/fermeture de la mâchoire
- Patron encore immature, fait sortir la nourriture de la bouche un peu
Second patrons de déglutition avec purée (sucking) : (3)
- Vers 6 mois
- Mouvement plus maturede la langue vers le haut au palais pour pousser le bolus vers l’arrière
- Les lèvres sont aussi plus actives, moins de perte de nourriture.
Mâchonnement (3 : quand et quoi)
- Vers 7 mois
- Premier patron de mastication primaire.
- Début de la prise des morceaux mous écrasés au palais par la langue
Mastication (3 : quand et quoi)
- Vers 8-9 mois
- Début de la latéralisation linguale (les aliments sont déplacés sur le côté de la bouche par la langue) et mastication plus efficace
- Les mouvements de la mâchoire sont rythmés et coordonnées avec les mouvements de la langue.
Développement du positionnement (4)
0-4 mois Est nourri dans les bras en position de flexion.
4-6 mois Est nourri dans un siège d’alimentation incliné.
7-15 mois Mange assis dans une chaise haute à 90 degrés.
18-24 mois Peut s’asseoir à la table avec un siège d’appoint
Développement de l’autonomie (5)
0-2 mois L’enfant amène ses mains à sa bouche pour lécher ou sucer. L’enfant cherche à téter.
3 mois L’enfant amène un objet à sa bouche. Il reconnaît visuellement la bouteille.
4 mois Tient la bouteille à 2 mains.
5 ½ mois Peut tenir son biberon à une main.
18-24 mois L’enfant cesse de prendre le biberon.
Autonomie à la cuillère (7)
2 mois Porte sa main à sa bouche.
6-8 mois Apporte de la nourriture à sa bouche avec ses doigts.
9 mois Tient la cuillère et la cogne sur la table.
12-14 mois Porte la cuillère remplie à sa bouche (préhension palmaire) et peut la retourner à l’envers rendue à la bouche.
15-18 mois Mange à la cuillère malproprement.
24 mois Porte la cuillère à sa bouche avec une supination de l’avant-bras.
36 mois Utilise une fourchette.
Autonomie au verre (4)
6 mois Peut boire au verre tenu par l’adulte mais il perd du liquide de la bouche.
12 mois Il tient seul son verre et il peut boire en faisant des dégâts à cause des difficultés motrices à contrôler le débit. Il utilise plus adéquatement le verre à bec.
18 mois Boit mieux au verre. Capable de prendre le verre et de le reposer avec maladresse. Commence à boire à la paille
24 mois Boit au verre tenu à une main et le dépose de façon contrôlée.
L’humain est capable de respirer en même temps qu’il avale ?
NON
La respiration cesse durant une seconde durant la déglutition ?
OUI
L’humain cesse de respirer durant toutes les phases de la déglutition ?
NON
Combien de phases de la déglutition ? et nommer les
4 Phase pré-orale Phase orale Phase pharyngée Phase oesophagienne
Phase pré-orale
Débute lorsque l’enfant communique sa faim et qu’il apporte les aliments à sa bouche
Phase orale et ses sous phases
Processus complètement VOLONTAIRE : ERGO +++
Sous-phase 1 : Phase orale préparatoire :
o Manipulation de la nourriture en bouche pour former le bolus / bol alimentaire
o Se passe UNIQUEMENT dans la bouche
o Durée dépend de la texture de l’aliment
Sous-phase 2 : Phase orale de transport :
o Transport du bolus de l’avant de la bouche jusqu’au pharynx par l’élévation de la partie postérieure de la langue
o Enclenche processus mécanique de protection des voies respiratoires dans les prochaines phases
o Étape finit au début de l’action d’avaler/de déglutition
Phase pharyngée
Débute lorsque la déglutition est initiée et se termine à l’ouverture du sphincter œsophagien supérieur et du passage du bolus du pharynx à l’œsophage
o CONTRÔLE INVOLONTAIRE
o Arrêt de la respiration
Phase oesophagienne
Débute lorsque le bolus entre dans l’œsophage et se termine lorsqu’il arrive à l’estomac grâce au péristaltisme
CONTRÔLE INVOLONTAIRE
Les capacités oro-motrices sont reliées à ….
Sont reliées au contrôle et à la force :
– des lèvres,
– de la langue,
– des joues
– de la mâchoire
– et souvent reliées à des difficultés de contrôle axial (tronc, cou).
Les capacités oro-motrices : Tout est en lien avec
Tout est en lien avec LE CONTRÔLE POSTURAL (dév. proximal à distal)
L’activité de boire et manger est une des sources les plus importantes de
stimulation sensorielle
Les troubles sensoriels sont relié à
Relié à un trouble du traitement de l’information sensorielle.
Les troubles sensoriels peuvent se présenter sous forme de ….
d’hyperréactivité ou d’hyporéactivité.
Les troubles sensoriels peuvent affecter…
un ou l’ensemble des systèmes sensoriels reliés à l’alimentation ; vue, gôut, olfaction, toucher (texture, température des aliments) et proprioception
Les troubles sensoriels se définissent par …
Ils se définissent par une difficulté à faire une transition vers de nouveaux :
– Goûts;
– Textures;
– Températures;
– Modes d’alimentation (soit le passage de l’allaitement au biberon, l’acceptation de la cuillère, du verre ou de la paille)
HYPER RÉACTIVITÉ (6)
- Toute stimulation de la région faciale, orale ou pharyngée sera aversive et provoquera des comportements d’évitement.
- Le moindre changement de texture provoquera des haut-le-cœur ou des vomissements.
- Des réactions de rejet sont fréquentes à la vue, à l’odeur ou au contact avec certains aliments.
- Le moindre changement de température ou du goût des liquides ou des aliments sera noté et refusé.
- La transition normale vers les aliments solides vers 6 mois et l’introduction d’aliments texturés vers 8-12 mois sera problématique.
- L’approche du biberon, de la cuillère peut provoquer des réactions d’évitement.
HYPO RÉACTIVITÉ (6)
- Réduction de l’acuité à percevoir le goût des aliments qui apparaissent fades.
- Difficulté à pouvoir rejeter un aliment non-comestible (vue, odeur, goût).
- Difficulté à ajuster la mastication des aliments en fonction de leur dureté.
- Difficulté à rejeter un aliment trop chaud.
- Difficulté à percevoir la présence d’aliments au pourtour et dans les sulcus de la bouche.
- Diminution de la capacité à sentir la faim, la soif, la douleur et le besoin d’éliminer.
Les troubles de la déglutition =
La difficulté à avaler les liquides, les solides, la salive ou les médicaments peuvent causer des étouffements, des aspirations pulmonaires et même des asphyxies ou la mort.
Classification des aspirations
- Avant la déglutition Pré Perte du contrôle du bolus durant la phase préparatoire ou orale
- Durant la déglutition Per Passage du bolus dans la trachée au moment d’avaler
- Après la déglutition Post Sur résidus (aliment qui reste dans les structures du pharyns) ou reflux
Le délai du réflexe de déglutition se présente généralement par
L’accumulation du bolus dans les structures du pharynx.
– Ce matériel peut être aspiré avant la déglutition et causer une aspiration pulmonaire.
ASPIRATION
Partie du bolus dans la trachée EN DESSOUS des cordes vocales
PÉNÉTRATION
Partie du bolus dans le vestibule laryngée qui ne descend pas en dessous des cordes vocales
*AU DESSUS des cordes vocales
Évaluation (6 étapes)
1) Cueillette de données, lecture du dossier et informations médicales
2) Entrevue avec le parent ou l’intervenant
3) Évaluation clinique
4) Observation d’un repas, d’une collation ou essais alimentaires.
5) Analyse et interprétation des données, impressions cliniques et identification des capacités et incapacités.
6) Orientation du plan d’intervention (objectifs d’intervention, moyens, recommandations, orientations et conduite).
Informations entrevue sur l’alimentation actuelle : (10)
Quantité.
Consistance des aliments et des liquides à chaque repas et aux collations.
L’horaire des repas et collations.
La durée des repas.
Les ustensiles utilisés.
Les préférences alimentaires (goût, température, textures des aliments et des liquides).
L’appétit
L’autonomie
Le comportement en rapport avec l’alimentation (appétence, rejet, motivation)
L’aspect cognitif relié à l’alimentation (organisation, reconnaissance des signaux de satiété, éveil)
Informations entrevue sur facteurs environnementaux (6)
Contexte des repas à la maison, à la garderie ou à l’école, au travail, maison d’hébergement.
Positionnement
L’appétit durant la journée, est-elle variable et en fonction de quel(s) élément(s).
Comprendre les valeurs et la culture de la personne et de sa famille en rapport avec l’alimentation.
Évaluer l’impact des facteurs socio-économiques sur l’alimentation (choix et disponibilité des aliments).
Niveau de préoccupations (inquiétudes, stress) par rapport aux problèmes d’alimentation de la personne elle-même et des aidants.
Exemples de choses à observer : Observation de la bouche (4)
– Symétrie faciale
– Dentition 20/20
– Occlusion dentaire (distocclusion)
– Configuration du palais
Exemples de choses à observer : Mobilité (6)
– Fermeture labiale
– Force des joues et mobilité
– Réflexe de vomissement
– Mobilité de la mâchoire (mastication sur 20 cycles) : lent
– Mobilité langue (difficulté importante)
– Force de la mâchoire
Exemples de choses à observer : Observation de la mastication (2)
– Manque de contrôle postural
– Mastication présente mais laborieuse
Exemples de choses à observer : Autonomie (2)
– Difficulté d’organisation et de planification motrice lorsqu’il utilise la cuillère.
– Ferme un peu les lèvres sur la cuillère (manque de fermeture labiale et souvent associé à un manque de stabilité)
Informations entrevue sur aspect sensoriel (3)
Questionner le parent par rapport à l’hygiène buccale.
L’enfant a-t-il déjà fait de l’exploration orale (avant et maintenant).
Le parent identifie-t-il des problèmes généraux d’ordre sensoriel (tactile, vestibulaire, auditif).
Informations entrevue sur préférence au niveau tactile / proprioceptif (3)
Températures :
–Tolère liquide ou aliment tiède, froid, glacé ou chaud.
–Tolère son lait toujours à la même température ?
–Ne mange pas si les aliments sont chauds : hyper réactivité olfactive ?
Textures : purée lisse, grumeleuse, granuleuse, solide fondant ou mou ou dur, aliment cohésif, aliment croquant, aliment collant, …
Oral : prend de petites ou de grosses bouchées ?
Informations entrevue sur les goût de l’enfant
VOIR AVEC LE PARENT: Les préférences alimentaires en lien avec les différents goûts.
Il est possible de tester les goûts de l’enfant avec …
–Amer avec une essence d’amande,
–Acide avec du vinaigre ou du jus de citron,
–Sucré avec un mélange d’eau et de sucre
–Salé également avec un mélange d’eau et de sel
Examens par instrumentation de choix pour l’évaluation de la déglutition :
Vidéofluoroscopie et Endoscopie de déglutition
Vidéofluoroscopie permet d’évaluer…
permet d’évaluer la physiologie de la déglutition en visualisant par contraste, le passage des aliments avec le baryum, de la cavité orale vers le pharynx puis l’œsophage.
Endoscopie de déglutition permet d’évaluer …
permet la visualisation du nasopharynx et du larynx par l’insertion trans-nasale d’une fibre optique qui vient se positionner en amont des cordes vocales.
Autres paramètres évalués par la Vidéofluoroscopie (3)
- Visualiser les pertes prématurées du bolus avant la déglutition, les résidus post-déglutition, le passage du bolus vers l’œsophage et les reflux (œsophago-pharyngien, pharyngo-nasal).
- Documenter les pénétrations laryngées et les aspirations pulmonaires.
- Évaluer l’efficacité de la toux.
Sans traitement efficace, la dysphagie peut causer :
La malnutrition La déshydratation Pneumonies Hospitalisations et des coûts de santé importants Mort
Exemples de buts faisant référence à une habitude de vie reliée à l’alimentation : (8)
Améliorer la prise des liquides
Améliorer la prise des aliments solides
Améliorer le contrôle salivaire
Améliorer la prise des médicaments
Améliorer la diversité de l’alimentation
Améliorer le temps des repas
Améliorer le comportement alimentaire
Améliorer la prise des aliments texturés
Cibles plan d’intervention en ergothérapie (5)
- Positionnement
- Ajustement des aliments et des liquides
- Aides techniques
- Technique d’alimentation
- Thérapie
Positionnement : principes importants à respecter lors de l’alimentation (2)
avoir une bonne posture
être stable
Positionnement : règle du 90-90-90 :
- Bonne stabilisation du bassin avec un angle de 90-100.
- Genoux fléchis à 90 degrés.
- Pieds en appui et cheville à 90 degrés.
Positionnement : la tête doit être … et les membres supérieurs …
Tête alignée et en légère flexion
Membres supérieurs idéalement en appui sur une table ou tablette.
Positionnement : La position lors de l’alimentation doit tenir compte des ….
La position lors de l’alimentation doit tenir compte des capacités de l’enfant à soutenir sa tête (son cou) puis la position assise.
Positionnement : position qui sont NON (3)
Couché
Tête en extension
Table trop haute
Positionnement : La rectitude du corps, du cou et de la tête favorisent….
Stabilité du corps et des structures de la bouche
Positionnement : interventions générales (2)
Chaise haute bien ajustée selon le contrôle postural de l’enfant
Ajouter des serviettes roulées ou des morceaux de foam pour augmenter le support du tronc et de la tête
Positionnement : interventions pour personne ayant très pauvre contrôle de la tête :
Le fauteuil roulant peut être basculé vers l’arrière pour améliorer la position de la tête.
L’angle de bascule ne doit pas dépasser 45 degrés ou être en position complètement couchée.
Positionnement : interventions pour problème de posture / bascule du bassin
Ajout d’une ceinture au bassin, d’un coussin biseauté, d’un plastron au tronc et d’un appui-pied. **ATTENTION À NE PAS LIMITER LA RESPIRATION
Positionnement : interventions pour maximiser la protection des voies respiratoires dues à un réflexe de déglutition retardé
Une légère flexion antérieure de la tête permet d’augmenter l’espace au niveau des vallécules et des sinus piriformes du pharynx et favorise un meilleur contrôle du déplacement du bolus vers l’œsophage afin d’éviter des aspirations pulmonaires. L’extension du cou favorise au contraire l’ouverture des voies respiratoires et donc accroit le risque d’aspiration.
Positionnement : pour qui une légère extension de la tête peut être une intervention acceptable ?
Dans certains cas, il peut s’avérer nécessaire de tolérer une légère extension de la tête si la personne à de la difficulté à respirer, seulement si la phase pharyngienne de la déglutition est bien coordonnée.
L’ajustement des aliments et des liquides doit tenir compte … (3)
- des capacités oro-motrices de la personne
- des particularités sensorielles
- de la qualité et sécurité des mécanismes de déglutition.
Suite à l’évaluation clinique et l’observation du repas, l’ergo peut recommander ….
les aliments et liquides à offrir à la personne
Technique d’alimentation (5)
Offrir de petites bouchées à la fois
Attendre avec de donner une autre gorgée ou bouchée et s’assurer que la personne a bien avalé.
Offrir des aliments glacés pour stimuler la déglutition
Supporter les joues du bébé lors du boire
Bien placer la cuillère en bouche pour favoriser une bonne fermeture des lèvres sur la cuillère.
Thérapie : Stratégie de compensation ou de développement pour … :
Compensations pour rendre les repas plus efficaces
Développer des capacités pour rendre la personne plus habile)
Compensation (4)
- Modifier l’environnement physique (aidant/lieu)
- Choisir un positionnement optimal
- Ajuster les aliments/liquides présentés en termes de consistances, textures, volumes, goûts, quantités
- Choisir les aides techniques appropriées (biberon, verre, cuillère)
Développement (6)
- Améliorer le patron de succion (sein, biberon, verre, paille)
- Programme de stimulation orale
- Développer des habiletés de mastication
- Réduire les aversions alimentaires
- Thérapie sensorielle ou oral-motrice
- Stimuler la déglutition
Éveil sensoriel / stimulation buccale : permet quoi ?
Par des exercices de stimulations buccales, on peut améliorer l’acceptation des aliments en bouche.
Exercices oral-moteurs : pincement
–Tenir un bâton de bois entre les lèvres
–Tenir un sifflet à embout plat
–Prendre du Nutella sur un bâton
Exercices oral-moteurs : arrondissement
–Fermer les lèvres sur le mamelon, la tétine du biberon, le verre à bec ou la paille.
–Fermer les lèvres sur un sifflet à embout arrondi
–Tenir une paille et faire des jeux de souffle
Exercices oral-moteurs : difficulté à élever la langue au palais
–Mettre la brosse Nukau palais pour encourager l’élévation linguale.
–Aller placer un aliment collant au palais pour encourager l’enfant à aller le récupérer.
–Pratiquer aussi le claquement de la langue au palais (bruit du cheval).
Exercices oral-moteurs : latéralisation linguale
–Mouvement passif/actif : pousser la langue et s’éloigner vers la joue avec la brosse et demander à l’enfant de toucher à la brosse.
Un problème au niveau du contrôle de la mâchoire affectera … (3)
- sa position au repos (bouche fermée)
- la stabilité nécessaire pour utiliser les lèvres (pour boire ou pour fermer les lèvres sur la tétine ou la cuillère)
- la mobilité de la langue et la mastication
Quand aller vers l’alimentation non orale ?
Quand l’alimentation orale n’est plus compatible avec la condition de l’enfant
Rôle ergo pour l’alimentation non orale (2)
- Il faut accompagner le parent dans la décision d’aller vers une alimentation non-orale tout en considérant que cette option au plan éthique est considérée comme une mesure de traitement extraordinaire et qu’un parent est en droit de la refuser si sa décision est éclairée.
- Ergo peut aussi travailler à retirer le gavage
Buts visées par une alimentation non-orale : (3)
Assurer la sécurité de l’enfant en évitant des aspirations pulmonaires
Augmenter le statut nutritionnel par un apport calorifique considéré insuffisant
Augmenter la qualité de vie de l’enfant et de sa famille aux prises avec des problèmes graves d’alimentation.
Voies d’alimentation antérale (4)
- Oro-gastrique: insertion de la cavité buccale vers l’estomac
- Naso-gastrique: insertion de la cavité nasale vers l’estomac
- Gastrostomie: insertion directement à l’estomac
- Jéjunostomie: insertion à la partie proximale du petit intestin