Séance 8 - Chapitre 7 (Val) Flashcards
Qu’est-ce que l’ATTITUDE? (3 définitions)
- concepts, modèles, mesures et stratégies de modification
- une évaluation générale et durable des gens (y compris de soi-même), des objets, des publicités ou de certaines questions
- une tendance générale ou une prédisposition à réagir face à un objet ou à une catégorie d’objets (sujets-personnes) et d’une manière favorables ou défavorable
(diapo 2-3)
(diapo 2)
Quelles sont les 4 FONCTIONS faisant parti de la théorie des fonctions des attitudes? (la nature des attitudes)
- fonction UTILITAIRE: atteinte des objectifs (liée aux principes de base de récompense et de punition)
- fonction EXPRESSION DE VALEURS: et son image (liée aux valeurs essentielles du consommateur ou à son idée de soi)
- fonction de DÉFENSE DU MOI (de l’égo): conflits émotifs (attitudes que l’on adopte pour se protéger et faire face aux pressions sociales)
- fonction de CONNAISSANCE (construction d’un système de référence): ordre, structure et signification (stéréotype, simplification de la réalité)
(diapo 4 et 26 et pages 160-161)
Quelles sont les 3 COMPOSANTES des attitudes? (dans le modèle à trois composantes des attitudes)
- COGNITIVE: réfère aux croyances et aux connaissances (favorables ou défavorables) relatives à l’objet de l’attitude
- AFFECTIVE: réfère aux émotions et concerne la manière dont un consommateur se sent à l’égard de l’objet de l’attitude
- COMPORTEMENTALE: a trait à ses intentions de poser une action à l’égard de l’objet de l’attitude; tendances comportementales (une intention ne mène pas toujours à un comportement concret)
(diapo 5 et pages 162-163)
Quelles sont les 3 hiérarchies des effets?
- la hiérarchie de L’APPRENTISSAGE NORMAL
- la hiérarchie de LA FAIBLE IMPLICATION
- la hiérarchie EXPÉRIENTIELLE
(diapo 6)
Explique moi la FORMATION de l’attitude selon la hiérarchie de L’APPRENTISSAGE NORMAL.
cognitif -> affectif -> comportemental -> attitude fondée sur LE TRAITEMENT DE L’INFORMATION COGNITIVE
- une personne envisage toute décision relative à un produit comme un processus de résolution de problème
- consommateur doit être fortement impliqué tout au long de la décision d’achat, beaucoup d’importance à l’achat, enclin de se renseigner, à évoluer soigneusement les différentes options et à prendre une décision réfléchie
(diapo 6 et page 164)
Explique moi la FORMATION de l’attitude selon la hiérarchie de LA FAIBLE IMPLICATION
cognitif -> comportemental -> affectif -> attitude fondée sur LES PROCESSUS D’APPRENTISSAGE COMPORTEMENTAUX
- le consommateur n’a au départ aucune préférence marquée par un produit ou un autre, achète à partir de connaissances réduites et ne procède à l’évaluation du produit qu’après en avoir fait l’acquisition
- plus souvent produit à faibles coûts
(diapo 6 et page 164)
Explique moi la FORMATION de l’attitude selon la hiérarchie EXPÉRIENTIELLE
affectif -> comportemental -> cognitif -> attitude fondée sur LA CONSOMMATION HÉDONISTE des effets
*les gens agissent sur la base de leurs réactions émotionnelles, accent sur l’idée que les attributs intangibles des produits tels que le design des emballages, la publicité, les noms de marque ainsi que la nature du cadre dans lequel se produit l’expérience peuvent aider à modeler les attitudes à l’égard des marques
(diapo 6 et page 165)
Explique moi ce qu’est le Aad (Attitude towards Advertising / Attitude envers la publicité)
C’est une prédisposition à répondre favorablement ou défavorablement à un stimulus publicitaire donné, à l’occasion d’un contact donné. Les sentiments générés par une publicité peuvent affecter directement l’attitude envers la marque.
(diapo 7)
Quels sont les 3 types de SENTIMENTS générés par une publicité?
- enthousiastes
- favorables
- négatifs
(diapo 7)
Qu’est-ce que la force des attitudes?
Une attitude peut être fortement ou faiblement ancrée chez un consommateur. Cela dépend de son degré d’investissement vis-à-vis l’objet.
(diapo 8)
Quels sont les 3 degrés d’engagement? (en ordre croissant selon le degré d’investissement) Détaillez.
1- CONFORMITÉ (le plus bas degré d’implication): reconnaissance par les autres, niveau très superficiel, permet à l’individu d’être considéré, lui évite d’être jugé négativement
2- IDENTIFICATION: pour se conformer à une personne ou à un groupe
3- INTÉRIORISATION (degré le plus élevé d’implication): niveau élevé d’investissement, fait partie intégrante du système de valeur du consommateur, difficile à faire évoluer car elle compte énormément
(diapos 8-9 et pages 161-162)
Explique moi qu’est-ce que le principe de COHÉRENCE COGNITIVE et le lien avec la théorie de la DISSONANCE COGNITIVE.
Le consommateur recherche l’harmonie et la logique dans ses pensées.
La théorie de la dissonance cognitive affirme que lorsqu’une personne fait face à des incohérences parmi ses attitudes ou comportements, elle prend des mesures pour résoudre cette dissonance: elle modifie son attitude ou son comportement pour rétablir la cohérence. La théorie est axée sur les situations dans lesquelles 2 éléments cognitifs entrent en contradiction. (on doit réduire les contradictions). Le consommateur cherche à éviter la tension psychologique entre deux croyances incompatibles.
(diapo 10-27 et pages 165-166)
Quels sont les 3 éléments dans le principe de cohérence que le consommateur peut modifier si nécessaire?
- pensées
- sentiments
- comportements
(diapo 10)
Explique moi qu’est-ce que la théorie du jugement social.
Le consommateur développe une attitude d’acceptation ou de rejet autour d’une attitude standard. Les attitudes initiales constituent un cadre de référence.
Les nouvelles informations sont classées en fonction du standard existant. Une forte implication est relié aux processus standards.
(situation fete de Béa)
(diapo 11 et pages 167-168)
Dans la théorie de jugement social, quels sont les 2 EXAGÉRATIONS? (2 effets possibles)
- effet d’ASSIMILATION: les gens tendent à percevoir les messages à l’intérieur de leur latitude d’acceptation comme étant plus compatibles avec leur positon qu’elles ne le sont en réalité
- effet de CONTRASTE: les individus tendent à voir les messages qui se classent dans leur latitude de rejet comme étant encore plus inacceptables qu’ils ne le sont en réalité
(diapo 11 et page 167)