Séance 4: perception Flashcards

1
Q

Le processus par lequel les consommateurs sélectionnent, organisent et interprètent les informations qui parviennent à leurs sens pas des stimuli internes et externes (nos sens).

A

perception

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2
Q

Seuils sensoriels

A

régissent notre capacité à capte les stimulus

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3
Q

Modèle de perception

A

sélection (ou attention), organisation, interprétation,

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4
Q

régissent notre capacité à capte les stimulus

A

Seuils sensoriels

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5
Q

Niveau minimal d’intensité requis pour qu’une personne puisse détecter un stimulus.

A

Seuil sensoriel inférieur :

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6
Q

Niveau d’intensité à partir duquel une augmentation d’intensité n’est plus perçue ou devient associée à la douleur.

A

Seuil sensoriel supérieur

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7
Q

représente la plus petite variation nécessaire pour distinguer deux stimulus. Nous sommes biologiquement limités par nos seuils sensoriels inférieur et supérieur. En revanche, nous pouvons développer nos seuils différentiels avec de l’entrainement. Ceux-ci varient d’une personne à l’autre et tendent à se détériorer avec l’âge.

A

Seuils différentiels

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8
Q

En tant que marketers : (seuil)

A
  • Comprendre les seuils sensoriels inférieurs et supérieurs de nos consommateurs pour orientes nos innovations. (la différence est trop petite le consommateur va pas voir la différence donc sert a rien de développer?)

-Éduquer nos consommateurs sur les sensations qu’ils ressentent et sur les caractéristiques de nos produits qui les provoquent, notamment lorsque distinguer deux stimuli provenant de caractéristiques différentes est difficile. (les consommateurs doivent objectivement ressentir la différence)

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9
Q

Sélection

A

parmi tous les stimuli les individus n’en sélectionnent (porter attention, prendre en compte, et interpréter) que quelques-uns. Peut-être volontaire ou involontaire, voire automatique

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10
Q

La sélection dépend de:

A

Facteurs structurels (relatif au stimuli) et motivationnels (relatifs à l’individu)

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11
Q

[taille, intensité, couleur, contraste, position, durée…]

A

Facteurs structurels

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12
Q

besoins, préférences, état affectif]

A
  • Facteurs motivationnels
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13
Q

En tant que marketers : (sélection)

A

 Comprendre quand/où/pourquoi les consommateurs sélectionnent tel ou tel stimulus.
Maximiser les chances que les stimuli de nos produits/services/communications soient sélectionnés par les consommateurs de nos segments-cible.

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14
Q

on va s’intéresser à l’étape de sélection.

A

publicité est une des sphères du marketing

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15
Q

les informations des stimuli qui parviennent aux consommateurs via des stimuli sont désordonnées. Les consommateurs organisent donc ces informations. Un processus quasi-automatique.

A

L’organisation

Exemple : J’écris au tableau et commente en même temps. Vous recevez deux stimuli différents et vous allez les organiser afin de pouvoir les interpréter conjointement.

Vous regardez devant vous une voiture. Naturellement vous vous dites que la voiture est un seul et unique stimulus visuel, c’est une voiture. Mais cette voiture est en fait un ensemble d’un grand nombre de stimuli visuels (des portes, des rétroviseurs, des roues, etc.) que vous organisez comme un tout cohérent : une voiture.

En marketing, on s’intéresse un peu moins à cette étape-là du processus. A tel point que certains modèles théoriques de la perception ne mentionnent même pas cette étape (par exemple, dans la lecture du livre de Solomon de cette semaine, bien que les auteurs parlent de l’organisation des stimuli, dans le modèle qu’ils présentent, ils passent directement de l’attention à l’interprétation).

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16
Q

le processus par lequel les consommateurs donnent des significations aux informations transmises par les stimuli. Il s’agit de la phrase de traitement des informations. Elle conduit à la formation de perceptions (croyances) subjectives à partir d’informations objectives issues de stimuli autour de nous.

A

L’interprétation

17
Q

L’interprétation se fait sur la base de….

A

L’interprétation se fait sur la base de schémas cognitifs que les consommateurs ont en mémoire. De manière simplifiée, ces schémas sont des associations de codes, concepts, d’idées, et d’attributs, que les consommateurs construisent pour comprendre le monde qui les entourent. Pour qu’un stimulus tactile d’un costume mène à la croyance qu’un costume est doux, il faut que le stimulus génère une sensation sensorielle que le consommateur a intériorisé comme étant quelque chose de doux. Ce genre de schémas, les individus les construisent tout au long de leur vie.

On ne peut pas observer sa qualité. Il faut le prendre

18
Q

pas tjrs facile de bâtir des perceptions

A

 Si l’information
-n’est pas observable/mesurable directement,
-manquante/indisponible,
- peut être obtenue mais cela nécessite de bcp de ressources………
demande des ressources alors les individus font des inférences : des critères intrinsèques (taille, matériel) et extrinsèques (prix, marque).

19
Q

stimuli audio du vendeur

A

perception de la taille du téléphone

20
Q

stimulis visuel la voiture

A

percpetion de sa couleur

21
Q

stimuli tactile du costume

A

perception de la douceur du costume

22
Q

processus de raisonnement logique par lequel on part de certaines assertion (faits/vérités) pour arriver à d’autres. Donc une manière d’interpréter certaines informations pour développer d’autres croyances.

manière d’interpréter certaines informations pour développer d’autres croyances

A

Inférence

23
Q

processus d’interférence se produit souvent lorsque…

A

-Nous ne sommes pas capables d’observer directement l’information.
-Obtenir l’information est trop couteux (en termes de ressource)
-L’information est tout simplement manquante

24
Q

3 catégories d’interférence

A
  1. Les inférences d’attribut
    2.Les inférences de catégorie (ou catégorisation
    3.Les inférences métacognitives
25
Q

Les inférences d’attribut: perception multi-crises

A

Développer une perception d’un attribut sur la base d’autres informations.

26
Q

Exemple de dinférences d’attributs

A

nb km, défauts visues, année production…. perception d’état de la voiture

On va donc bâtir notre perception de l’état de la voiture en fonction de plusieurs autres informations/perceptions. C’est ça l’inférence. Le fait de produire un résultat (ici la perception de l’état de la voiture) sur la base d’un raisonnement logique issu de plusieurs autres informations (ici les autres caractéristiques de la voiture).

27
Q

L’INFÉRENCE D’ATTRIBUT : QUELQUES HEURISTIQUES AUSSI

A

Là où dans la diapositive d’avant, on bâtit notre perception de l’état de la voiture sur la base d’un raisonnement logique avec plusieurs informations, dans cette diapositive, on est plutôt dans des raccourcis cognitifs sur la base d’un seul attribut (plastique => cheap, cher => mieux).

28
Q

Les inférences de catégorie (ou catégorisation)

A

Développer une perception d’un objet sur la base de catégories mentales

29
Q

Les inférences métacognitives

A

Développer une perception sur la base d’une réflexion sur ses propres pensées.

30
Q

En tant que marketers : interférence

A

 Comprendre comment les consommateurs interprètent les informations, et surtout, comprendre quand et comment ces derniers font des inférences.
 Que cherche-t-il à construire comme perception pour notre type de produit? Une perception de la qualité?
 Mieux comprendre comment les consommateurs catégorisent les produits et marques et comment ils construisent leur ensemble évoqué. Pouvons-nous proposer des catégories?
 Développer le marketing sensoriel afin de
- Renforcer des perceptions recherchées par la marque (qualité, aspect relaxant, innovant, dynamique) (Abercrombie)
- Valoriser l’expérience de consommation au moyen de sensations qui répondent à des motivations expérientielles
o Les consommateurs achètent des expériences, la manières dont les produits sont livrés, un facteur de différentiation
o Théâtre de l’expérience : l’atmosphère vend

31
Q

L’INFÉRENCE D’ATTRIBUT : ASSOCIATIONS LINGUISTIQUES ET SYMBOLIQUES

A

Association linguistique : sur la base du langage, des lettres, des mots.
Association symbolique : sur la base des signes, des symbôles (la sémiotique).

32
Q

catégorisation

A

Les consommateurs regroupent les choses pour former des catégories mentales.

En plaçant un objet dans une catégorie perceptuelle, on lui attribue les qualités de cette catégorie.
La catégorisation est importante et souvent utilisée par les consommateurs car elle facilite la compréhension de nouveaux produits.

33
Q

Musique dans les magasins, dans les spas, à l’embarquement dans les avions : elles influencent notre comportement et nos niveaux d’énergie.

A

exemples de marketing sensoriel

34
Q

-Naissance du “concept store”, de la consommation à thème et de la théâtralisation.

-Importance de la perception.

A

Pine et Gilmore avancent que l’atmosphère vend

35
Q

Objectifs des marketers

A

Offrir des expériences de consommation extraordinaires, unique et mémorables.
(Disney world)

36
Q

Pourquoi ?

A
  • Se différencier de la concurrence
  • Fidéliser le client
  • Augmenter les chances que le client nous recommande autour de lui