Sciences cliniques des infections du SNC Flashcards

1
Q

Définir ce qu’est une méningite

A

Il s’agit d’une infection / inflammation de l’espace sous-arachnoïdien

L’étiologie est généralement infectieuse (bactéries, virus, champignons ou parasites)

La méningite est associée à une réaction inflammatoire importante, pouvant résulter en une altération de l’état de conscience, des convulsions, une HTIC ou un AVC

Non traitée, la méningite évolue inexorablement vers le décès du patient (sauf dans le cas de la méningite virale , la plus fréquente)

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2
Q

Savoir classifier les méningites selon leur chronologie

A

Méningite aiguë (10%)

< 24h (bactérienne

Méningite subaiguë

1 - 7 jours

Méningite chronique

> 4 semaines

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3
Q

Savoir classifier les méningites selon leurs caractéristiques microbiologiques

A
  • Bactérienne
  • Aseptique

Infectieuse ou non infectieuse

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4
Q

Quelles sont les 3 voies par lesquelles les microorganismes pénètrent le SNC lors d’une méningite bactérienne?

A
  • Hématogène (++)
  • Contigu (+)
  • Inoculation directe
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5
Q

Décrire la dissémination hématogène lors d’une méningite bactérienne

A

1) Infection à distance

2) Bactériémie

3) Pénétration de la barrière hématoencéphalique

4) Ensemencement du LCR (zone d’immunodéficience relative)

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6
Q

Nommer 2 facteurs favorisant la bactériémie

A
  • Virulence du germe
  • Immunité de l’hôte
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7
Q

Quelles sont les 2 principaux foyer contigus causant une méningite?

A
  • ORL (++)

Sinus

Mastoïdes

  • Crâne (très rare)
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8
Q

Quelles sont les 2 causes de méningites par inoculation directe?

A
  • Post-opératoire
  • Post-traumatique
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9
Q

Décrire le traitement de la méningite bactérienne

A

Le choix du traitement vise les germes les plus fréquemment rencontrés. Toujours commencer l’antibiothérapie empirique à large spectre

Le choix est déterminé en fonction de l’âge et de la présence (ou non) de facteurs cliniques prédisposants

  • Trauma crânio-facial avec fistule du LCR (Pneumocoque, récidives)
  • Post-op de neurochirurgie (Bâtonnets Gram – , Staphylococcus aureus)
  • Dérivation ventriculo-péritonéale/cardiaque (Staphylococcus sp)
  • Immunosupprimés (Listeria monocytogenes)
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10
Q

Qu’est-ce qu’une méningite aseptique?

A

C’est une méningite où la culture bactérienne est négative et l’examen direct (GRAM) ne montre aucune évidence de bactéries

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11
Q

Quelles sont les étiologies possibles de la méningites aseptiques?

A

Infectieuses

  • Méningite bactérienne décapitée
  • Foyer paraméningée
  • Virale

Non infectieuse (rare)

  • Néoplasique
  • Collagénose
  • Chimique
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12
Q

Nommer 5 caractéristiques clinique de la méningite

A

- Céphalée

- Fièvre

- Signes méningés

  • Altération de l’état de conscience
  • Nausées / vomissements
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13
Q

Quelles sont les 4 investigations à faire lors d’une suspicion de méningite?

A

Biologie générale

  • FSC bactérienne (GB > 15 000/mm3 et prédominance de polynucléaires)
  • Protéine C réactive augmentée

Hémocultures

  • Positivit élevée dans la méningite bactérienne (50-70%)

Analyse du LCR

  • Pression d’ouverture : généralement élevée
  • Aspect visuel : souvent d’apprence trouble
  • Examn direct (GRAM), décompte cellulaire, biochimie
  • Culture
  • Tests spéciaux (lactates, bandes oligoclonales, etc.)

Imagerie

  • Imagerie cérébrale par TDM devrait être pratiquée avant d’effectuer une ponction lombaire à la recherche d’indices d’hypertension intracrânienne ou de lésion occupant de l’espace tel un abcès cérébral.
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14
Q

Quelle est la conduite à tenir lors d’une suspicion de méningite bactérienne?

A
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15
Q

Définir ce qu’est une encéphalite

A

Il s’agit d’une inflammation sans suppuration d’une partie du parenchyme cérébral

Elle peut être associée à une atteinte des méninges (méningo-encéphalite)

L’origine peut être infectieuse ou « allergique », et peut être causée par un foyer primaire ou secondaire à un processus généralisé

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16
Q

Nommer 8 manifestations cliniques de l’encéphalite

A
  • Signes et symptômes de dysfonction du parenchyme cérébral isolés
  • Fièvre
  • Céphalées
  • Convulsions
  • Altération de l’état de conscience
  • Troubles du comportement / cognitifs
  • Atteintes motrices locales ou généralisées
  • Signes d’irritation méningée (si méningo-encéphalite)
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17
Q

Quelles sont les étiologies possibles de l’encéphalite?

A

* Diagnostic spécifique établi uniquement dans < 50% des cas *

Virale :

Invasion directe

  • Herpès simplex 1 ou 2 (HSV)
  • Autres virus (entérovirus, oreillons, etc)

Post infectieuse (ADEM)

Post vaccinale (ADEM)

Non virale :

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18
Q

Décrire l’encéphalite herpétique

A
  • Seule étiologie traitable d’encéphalite
  • Début brusque
  • Sévère
  • Il y a souvent présence de signes localisés particulièrement en fronto-temporal d’où l’importance de l’imagerie (Excepté nouveaux-nés)
  • Localisation temporale peut prendre quelques jours à apparaître sur les examens
  • Tableau clinique pas toujours aussi typique et diagnostic différentiel peut demeurer large
  • En PRATIQUE un traitement empirique de l’HSV est recommandé en attendant les résultats de l’investigation d’une encéphalite
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19
Q

Quel est le but de l’imagerie dans l’investigation d’une encéphalite?

A

L’imagerie a un rôle essentiel dans l’investigation précoce

. Elle permet d’éliminer d’autres diagnostics et de préciser si l’atteinte est diffuse / localisée, ou si elle se localise dans la substance blanche / grise. Elle permet également d’orienter une approche chirurgicale éventuelle

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20
Q

Quelles sont les 2 modalités d’imagerie utilisées dans l’investigation de l’encéphalite?

A

TDM

  • Initialement normal les premier 48-72h (majorité des cas)
  • Utile pour détecter les complications des méningites non virales et éliminer d’autres diagnostics

IRM

  • Premier choix pour le diagnostic de l’encéphalite
  • Apparition plus précoce des lésions que sur le TDM
  • La localisation des lésions est suggestive de l’agent étiologique, mais non-spécifique. (HSV néo-natal : présence de signes localisés particulièrement fronto-temporaux épargnant les ganglions de la base caractéristique)
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21
Q

Nommer 4 examens de laboratoire utilisés dans l’investigation de l’encéphalite

A

Bilan de base

Ponction lombaire

  • Étude du LCR habituellement anormale
  • Anomalies variables et peu spécifiques (cytologie 0-500 GB et protéines modérément élevées)
  • Possibilité de bandes oligoclonales dans l’encéphalomyélite aiguë disséminée

PCR (test de détection des acides nucléiques)

  • Nouveau standard
  • Disponible assez rapidement (HSV, autres virus herpes, entérovirus)
  • Sensibilité accrue
  • Excellente spécificité dans laboratoire expérimenté
  • Grande utilisé pour le diagnostic des infections SNC à herpes virus et entérovirus. Toutefois, en pratique, seul le résultat du PCR HSV aura un impact sur le traitement

EEG

  • Indicateur sensible de dysfonction cérébrale, mais non spécifique
  • Souvent anormal précocement (> 80% des HSV)
  • Présence de PLEDS ou Periodic Lateralised Epileptiform Discharges (Localisation temporale suggestive d’HSV mais non diagnostic . Intermittent (peut donc être absent lors de l’enregistrement EEG). Surtout présent entre les jours 5 et 10
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22
Q

Connaître les caractéristiques de la méningite et de l’encéphalite à l’histoire et à l’examen physique

A
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23
Q

Définir ce que sont les signes d’irritation méningée

A

Les signes d’irritation méningée se caractérisent par des spasmes musculaires douloureux lorsque les structures en état d’inflammation (racines nerveuses et méninges) sont mises sous tension ou sont étirées

24
Q

Nommer 2 étiologies courantes où il y a présence d’irritation méningée

A
  • Méningite infectieuse
  • Hémorragie sous-arachnoïdienne
25
Q

Quels sont les 3 signes d’irritation méningée?

A
  • Raideur de nuque
  • Signe de Brudzinski
  • Signe de Kernig
26
Q

Décrire ce qu’est une raideur de la nuque

A

C’est une contraction involontaire des muscles de la nuque à la mobilisation. En temps normal, le patient devrait être capable d’appuyer son menton sur son thorax

Il y a résistance passive et active à la flexion de la tête (les autres mouvements d’extension et de rotation sont préservés)

27
Q

Décrire le signe de Brudzinski

A

Le patient est en décubitus dorsal

Effectuer une flexion passive du cou du patient. Observer si cette manoeuvre produit une flexion réflexe des hanches et des genoux du patient, en plus d’occasionner de la douleur.

28
Q

Décrire le signe de Kernig

A

Patient en décubitus dorsal

  • Effectuer une flexion passive de la hanche et du genou, puis une extension du genou. Cette manoeuvre est positive si le patient a de la douleur et qu’il fléchit la nuque
  • L’extension du genou doit être > 135 degrés
29
Q

Nommer 5 causes de céphalées avec hyperthermie d’origine non-neurologique

A

Sinusite

  • Présentation clinique : fièvre, céphalées, douleur faciale, douleur à la percussion des sinus, névralgie dentaire, rhinite, sécrétions nasales épaisses jaunâtres, obstruction nasale, anosmie, etc.

Otite

  • Présentation clinique : fièvre, céphalées, douleur à l’oreille avec irradiation à la mâchoire, otorrhée, perte temporaire de l’audition, etc.

Mastoïdite

  • Inflammation de l’apophyse mastoïde, presque toujours suite à une otite moyenne.
  • Présentation clinique : fièvre, céphalée, otorrhée mucopurulente, douleur et sensibilité mastoïdienne, voussure de la paroi postéro-supérieure du CAE, etc.

Grippe

  • Présentation clinique : fièvre à 40°C, céphalées, courbatures, congestion broncho-pulmonaire, etc.
  • Évolution : début brusque avec évolution vers la guérison en quelques jours.

Infection systémique

  • Présentation clinique variée selon l’infection (PNA, pneumonie etc.)
30
Q

Nommer 8 signes et symptômes de la méningite bactérienne aiguë

A

** L’absence de signes méningés n’exclue pas le diagnostic de méningite. Ces derniers sont souvent absents chez les enfants, les personnes âgées et les immunosupprimés

Le tableau clinique est beaucoup moins spécifique chez les immunosupprimés et aux extrêmes de vie (vieillard et nouveau-né) **

31
Q

Décrire la présentation clinique de la méningite aseptique

A
  • La présentation clinique est moins impressionnante que la méningite bactérienne aiguë
  • Elle débute avec une phase prodromique de plus de 24 h avec malaises, anorexie, nausées, vomissements, douleur abdominale et parfois diarrhée.
  • La céphalée, la fièvre et la raideur de la nuque sont habituellement présentes.
  • Les atteintes neurologiques franches sont toutefois inhabituelles dans la méningite virale. Ainsi, une altération profonde de l’état de conscience, de la confusion, des convulsions ou des signes neurologiques focaux orientent fortement vers un autre diagnostic.
32
Q

Connaître les étiologies de la méningite bactérienne selon l’âge du patient

A
33
Q

Nommer 3 particularité de la méningite chez le nouveau-né

A

Forme précoce < 5 jours

  • Transmission verticale périnatale
  • Réservoir = voies génitales maternelles

Forme tardive (5-30 jours)

  • Transmission horizontale nosocomiale
  • Réservoir = enfants et personnels de pouponnières colonisés

Agents étiologiques différents

  • E. Coli
  • Streptocoque groupe B
34
Q

Connaître les étiologie de la méningite selon l’examen du LCR

A
35
Q

Décrire la conduite générale face à l’antibiothérapie lors d’une méningite

A
36
Q

Quels sont les principes généraux d’antibiothérapie pour la méningite bactérienne confirmée ou présumée?

A
  • Débuter très rapidement des antibiotiques empiriques et des corticostéroïdes
  • Dès que la sensibilité est connue, débuter une monothérapie spécifique
  • Une ponction lombaire de contrôle n’est habituellement pas nécessaire
37
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’antibiothérapie empirique donnée en début de suspicion de méningite?

A
  • Bonne pénétration de la barrière hémato-méningée
  • Posologie élevée
  • Voie parentéale (IV)
  • Choix bactéricide
  • Choix basé sur la probabilité clinique (Âge et facteurs de risque)
38
Q

Connaître le choix d’antibiothérapie empirique en fonction de l’âge du patient

A
39
Q

Quel est le traitement de la méningite en présence d’HTIC?

A

Des mesures visant à réduire l’HTIC sont parfois nécessaires pour prévenir des séquelles neurologiques et le décès.

On administre des stéroïdes pour réduire la réaction inflammatoire induite par la lyse bactérienne.

Administrer 15-20 minutes avant (jusqu’à 1h après) la 1ère dose d’antibiotiques

40
Q

Résumer la conduite lors d’une suspicion de méningite bactérienne

A
41
Q

Résumer la conduite lors d’une méningite aseptique

A
42
Q

Décrire comment se fait la prévention de la méningite bactérienne

A

La méningite bactérienne est une maladie à déclaration obligatoire.

Risque de transmission accru si

  • Méningocoque, haemophilus influenzae groupe B (Transmis par gouttelettes)
  • Contacts étroits > 4h dans les 5-7 jours précédents la maladie
  • Personnel soignant peut l’attraper jusqu’à 24h de traitement efficace

Prévention primaire : vaccination

  • Influenzae groupe b
  • Pneumocoque
  • Méningocoque
  • Haemophilus

Prévention secondaire

  • Précautions additionnelles contact-gouttelettes d’une durée de 24h après le début de l’antibiothérapie
  • Antibioprophylaxie lors de contacts étroits
43
Q

Quels sont les principes du traitement de l’encéphalite herpétique?

A

Mesures générales

  • Contrôle de la température
  • Contrôle des convulsions
  • Contrôle de l’oedème cérébral

Présumer qu’il s’agit d’une encéphalite herpétique jusqu’à preuve du contraire

  • Traitement : acyclovir IV pour 14-21 jours

En absence de diagnostic prouvé par PCR, effectuer un suivi étroit pour ne pas manquer un autre diagnostic traitable (ex : cérébrite)

44
Q

Quels sont les 3 facteurs améliorant le pronostic d’une patient traité pour encéphalite herpétique?

A
  • Une thérapie débutée précocement diminue les séquelles neurologiques et la mortalité (60-80% → 20-30%)
  • État neurologique au début du traitement
  • Âge du patient
45
Q

Quels sont les 3 facteurs faisant varier la présentation clinique de l’abcès cérébral?

A
  • Localisation anatomique
  • Stade de l’abcès
  • Facteurs prédisposant à rechercher (otite chronique, sinusite, abcès gencive)
46
Q

Nommer 9 caractéristiques cliniques de l’abcès cérébral

A

Tableau clinique peu spécifique

Triade

- Céphalée

- Fièvre / frissons

- Déficit neurologique localisé

Lésion occupant l’espace sans fièvre ni leucocytose dans la majorité des cas (50%)

47
Q

Quelle est la pathogénès des abcès cérébraux?

A
48
Q

Quelles sont les sources des abcès cérébraux?

A

Foyer contigu (40-50 %)

  • Sinus paranasaux
  • Otite/mastoïdite
  • Odontogénique
  • Méningite

Foyer hématogène (20-30 %)

  • Pulmonaire
  • Cardiopathie congénitale (Shunt D-G)
  • Endocardite
  • Autre infection à distance

Post-traumatique (10-25%)

Post-opératoire (neuro-chirurgie)

Autres

  • Post dilatation oesophagienne
  • Monitoring
  • TIC
  • Ostéite crânienne
49
Q

Quels sont les agents étiologiques des abcès cérébraux?

A

Bactéries anaérobies isolées très fréquemment

  • Flore polymicrobienne : si secondaire à un foyer contigu
  • Mono-microbien : si secondaire à une bactériémie ou méningite

Agents nosocomiaux si post-opératoire

  • Staph aureus
  • Bâtonnets GRAM négatif (Entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa )

* Déduction des agents étiologiques selon la localisation anatomique (foyer infection primaire) *

50
Q

Comment se pose le diagnostic d’abcès cérébral?

A
  • Diagnostic est établi par imagerie
  • Ponction lombaire contre-indiquée
51
Q

Décrire le traitement des abcès cérébraux

A

Antibiothérapie empirique

  • Selon la localisation de l’abcès, le foyer d’origine présumée
  • Doit pénétrer la BHE
  • Durée moyenne : 4-6 semaines
  • Ajustée selon les cultures per-opératoires
  • Exceptionnellement, régression abcès avec ATB seule (cérébrite précoce)

Chirurgie (nécessaire dans la grande majorité des cas)

  • L’abcès doit être mur et bien encapsulé
  • Aspiration par stéréotaxie beaucoup mieux que l’excision en bloc
52
Q

Quelles sont les 4 complications possibles des abcès cérébraux?

A
  • Engagement du cerveau
  • Atteintes neurologiques focales
  • Empyème sous-dural
  • Épilepsie
53
Q

Nommer 6 signes cliniques de complications aiguës et subaiguës des infections du SNC

A
  • HTIC
  • Oedème cérébral
  • Atteinte des nerfs crâniens
  • AVC
  • Effusion sous-durale infectieuse
  • Hydrocéphalie
54
Q

Nommer 5 signes cliniques des complications à long terme (séquelles) des infections du SNC

A

Causées par une compression, une ischémie ou une destruction des aires du cerveau

  • Séquelles motrices
  • Séquelles mentales
  • Séquelles épileptiques
  • Hydrocéphalie
  • Mort
55
Q

Nommer 3 causes des hémorragies sous-arachnoïdiennes traumatiques ou spontanées chez l’enfant

A
  • Traumatisme
  • Rupture de malformation artério-veineuse
  • Dyscrasie sanguine
56
Q

Nommer 3 causes des hémorragies sous-arachnoïdiennes traumatiques ou spontanées chez l’adulte

A
  • Traumatisme
  • Rupture d’anévrisme
  • Rupture de malformation artérioveineuse
57
Q

Résumer de la méningite bactérienne aiguë

A