Santé mentale Flashcards
Quels ont été les conséquences importantes reliées aux asiles en 1860
-surpeuplement
-mesure de controle
-supression des droit des usagers
en quelle année a eu lieu la création du 1er psychotique
1953
quel est le 1er antipsychotique
chlorpromazine/largactil
que se passe-t-il dans la démédicalisation des désordres mentaux (1962-1988)
Introduction des déterminant de la santé
Reconnaissance des forces des patients
Création d’organismes communautaire
Mouvement de défense des droits des usagers en déploiement
caractéristique de santé mentale vs trouble mentaux
Problème de santé mental :
- durée courte
- perte importantes/evenemtn trauma.
- détresse psychologique moins intense
- perturbation mentale, émotionnelle et comportementale de moins grande intensité
Trbl mentaux:
- longue durée
- détresse significative
- doivent répondre au DSM-5
Facteur de protection de la santé mentale
- ressource personnelle de base
- estime de soi
- soutien social
- inclusion sociale
- environnement favorable
facteurs de risque de la santé mentale
- facteur biologique négatifs
- stress
- inégalité socioéconomique
- exclusion sociale
- environnement défavorable
Quel est le rôle infirmier en prévention primaire
éducation à la santé
Comment on fait pour faire l’éducation à la santé
- enseignement sur les facteurs de risques
- enseignement sur les facteurs de protection
- enseignement sur les stratégies d’adaptation
À quoi sert la prévention primaire
- diminuer l’incidence des troubles mentaux
- amont de l’apparition des troubles mentaux
- mesure universelles s’adressant à l’ensemble de la population
À quoi sert la prévention secondaire
- diminution de la prévalence des trouble mentaux
- dépistage et traitement
- vise une rémission complète et un retour à l’état de base
- milieu communautaire principal lieu de traitement, mais hospitalisation possible pour stabiliser l’état clinique et mettre des service en place lors du congé
quels est le rôle infirmier en prévention secondaire
dépister et traiter via des intervention précoces
EN prévention secondaire, que peut-on faire pour dépister et traiter via des intervention précoces
- échelle de mesure standardisé
- intervention pour soulager et maitriser les sx
- intervention pour prévenir les rechutes
À quoi sert la prévention tertiaire
- Diminuer la morbidité et les incapacités associées aux troubles mentaux
- Troubles mentaux chroniques, graves et persistants
- Réadaptation psychosociale
quel est le rôle infirmier en prévention tertiaire
soutenir la réadaptation
En prévention tertiaire, en quoi consiste de soutenir la réadaptation
En milieu hospitalier : encourager l’acquisition d’une routine de vie saine, favoriser l’autonomie, superviser l’acquisition de nouvelles habiletés, soutenir l’usager dans ses apprentissages, etc
- En milieu communautaire : supervision de la médication, surveillance des sx, enseignement sur l’impact de la consommation et les sx, soutenir l’usager dans ses démarches de retour à l’emploi/école, etc
Que sont les services de 1ere ligne en santé mentale
- premier accès aux soins de santé mentale
- promotion de la santé, prévention de la maladie, établissement du diagnostic, traitement, réadaptation
- GMF, CLSC, pharmacie communautaire
Que sont les services de 2eme ligne en santé mentale
- services spécialisés en santé mentale
- expertise spécialisé pour les troubles mentaux graves et persistants, complexes
- soutien aux intervenant de 1ere ligne
- CH/ milieu communautaire (SIV, SIM,SIF)
que sont les services de 3eme ligne en santé mentale
- service surspécialisé
- CH psychiatrique, CH psychiatrique spécialisé
quels habileté et compétence l’infirmière doit avoir
Holistique
pouvoir d’agir de la personne
soutien précieux des proches
lutter contre la stigmatisation et les préjugés
collaboration interdisciplinaire
établir les priorités de soins infirmiers
déterminer et consolider les forces de la personne
Que sont les enjeux reliés à l’infirmière en santé mentale
- crainte engendrée par la stigmatisation liées aux troubles mentaux (violence, croyance erronée )
Privilégier le +/- que le tout ou rien
Éviter les réactions évaluatives
(souligner les cmpt adéquat, éviter les hmm-hmm)
Proposer des solutions plutôt que de résoudre les problèmes (écoute active, suggérer des pistes de réflexion)
Distinguer nos observation de nos interprétations
Champs de compétence de l’infirmière en santé mentale
Relation thérapeutique
* Évaluation de la condition physique et mentale ainsi que l’évaluation
des troubles mentaux (IPSSM)
* Surveillance clinique des mesures de contention et d’isolement
* Suivi infirmier
* Continuité et qualité des soins
* Soutien et développement de la pratique infirmière
que faut-il privilégier lors de notes infirmières
- Observations, interventions, évaluation des résultats
- Examen de l’état mental
- Mettre en « » le verbatim du patient si nécessaire
- Synthétiser les informations
que faut-il éviter dans les notes infirmières en santé mentale
Nos interprétations
* Inscrire ce que le patient fait de non-pertinent à notre évaluation
* Nommer les autres patients
Nomme 3 objectifs de faire l’évaluation de la condition physique et mentale
- détecter les complications
- déceler les problèmes de santé
-déterminer le niveau de gravité
les 5 étapes de la démarche de soins systématique
- collecte de données
- analyse et interprétation des données
- planification des soins
- interventions
- surveillance clinique et eval. des résultats
nomme les stades de la quantité du langage
alogie (propos incohérents)
discours pauvre
discours spontané fluide
loquacité, discours élaboré
volubilité (maniaque)
logorrhée (diarrhée verbale)
nomme les stades de fluidité du langage
mutisme
aphasie
bradylalie (parler lentement)
discours spontané, fluide
discours accéléré
sous pression (incapable d’arrêter de parler, coupe la parole)
différence entre humeur et affect
humeur; ce qu’elle nous dit (émotion)
Affect ; ce qu’on voit
les stades de réactivité de l’affect
PLat
émoussé
mobilisable (nous)
modulé (être bien, penser à un evenemtn et se mettre a pleurer)
labile
Nomme les 4 caractéristiques du délire
Niveau d’organisation (systématisé, peu systématisé)
Congruence avec l’humeur (congruent, non congruent)
Évoluation (aigue ou chronique)
Niveau d’envahissement (envahissant, encapsulé)
c’est quoi quelqu’un qui devient tonique
quelqu’un de calme et qui devient raide, fachée
persévération ?
répond toujours la même chose
que sont les critères de l’alliance thérapeutique
- autonomie de la personne
- interaction axée sur la personne
- évolution de la personne
- neutralité
- interaction de durée limitée
- établir les étapes de la relation
Nomme moi des technique de communication
- Clarification (voulez-vous dire…?)
permet de valider les informations - Silence
apprendre à tolérer le silence
-Reflet (vous semblez fâché…)
verbalisé l’émotion démontrée
- Reformulation (vous vous sentez mal d’avoir perdu le contrôle…)
dire en d’autre mot ce que le patient a dit
Résumer
Toucher thérapeutique (peu recommander en santé mentale)
Humour (éviter le sarcasme, choisir bon moment, allège l’ambiance)
Dans quel contexte on utiliserait pas l’humour
incapacité à comprendre le deuxième degré. Épisode psychotique actif.
États dépressifs sévère
Enjeux de la communication thérapeutique
Résistance et transfert / contre-transfert
quand est-ce que quelqu’un présente une résistance
Estime de soi nécessitant validation extérieur. Déni.
Déresponsabilisation.
faibles confiance en soi
Que faire en cas de résistance
Mettre en évidence les rigidité cognitive. Expliquer qu’elles font obstacles au rétablissement.
Encourager à modifier la façon de penser
qu’est-ce qu’un transfert
Réaction inconsciente de la personne qui vous a associé à une personne
significative
* Peut être positif ou négatif
* Transfert d’émotions ressenties en lien avec la personne significative
* Transfert rôle parental
* Transfert amoureux
quelqu’un contre-transfert
Réaction émotionnelle de l’infirmière face aux émotions transférées par la personne
* Influencé par vos valeurs personnelles
étiologie des troubles dépressifs (facteur bio)
génétique :
- augm. risque 2-4x si parents du 1er degré de dépression récurrente
Neurophysiopathologie:
- amygdale et stress: influence axe hypothalamus-hypophysaire-surrénalien: augmentation cortisol chronique = modification de certaine structures cérébrales
sérotonine joue sur ?
bonheur
impact de la sérotonine
émotion, cognition, motivation, sommeil, appétit, analgésie, impulsivité, agressivité
dopamine joue sur …
le plaisir
la dopamine a un impact sur
motivation, système de récompense (dépendance), émotions, cognition
Quelle maladie engendre une diminution de la dopamine
parkinson (joue sur les mouvements)
la noradrnénaline joue sur …
l’éveil
La noradrénaline a un impact sur …
l’éveil, cognitions, appétit, réponse au stress, humeur , anxiété
étiologie des troubles dépressifs (psychosociale)
- théorie cognitive (impact des distorsions cognitives, pensées automatique, triade cognitive de Beck
- théorie de l’incapacité acquise
(succession d’événement négatif/échec contribuent à la passivité et la croyance qu’il est impossible d’améliorer son sort - théorie du stress
- théorie psychodynamique
Nomme les critère diagnostic du trouble dépressif caractérisée
- Humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours
- Anhédonie : ↓ de l’intérêt pour les activités ou du plaisir
- ↓ ou ↑ de l’appétit : variation de poids (5% en un mois), involontaire
- ↓ ou ↑ du sommeil : insomnie ou hypersomnie
- ↓ ou ↑ APM : doit être objectivée par les autres
- Fatigue ou ↓ énergie
- ↓ estime de soi ou culpabilité
- ↓ de la capacité à penser, se concentrer ou prendre des décisions
- IDS récurrentes, avec ou sans plan/TS
Critère diagnostic du trouble dépressif persistant (dysthimie)
Humeur dépressive >2 ans
* ↓ ou ↑ de l’appétit
* Insomnie ou hypersomnie
* Fatigue ou ↓ énergie
* ↓ estime de soi
* ↓ de la capacité à se concentrer ou prendre des décisions * Sentiment de perte d’espoir
* En 2 ans, jamais eu 2 mois consécutifs sans sx
(important) Les manifestations des troubles dépressifs
- Sx émotionnels
Anhédonie, tristesse, pleurs, indifférence, anesthésie affective, dysphorie, irritabilité,
anxiété, découragement, désespoir, impuissance, colère - Sx cognitifs
↓ attention/concentration/mémoire, difficulté à réfléchir/prendre décision, faible estime de soi, pensées de mort/IDS récurrentes, bradypsychie - Sx comportementaux
↓ ou ↑ APM, plus souvent ralentissement psychomoteur ou agitation anxieuse, anorexie ou hyperphagie, insomnie ou hypersomnie, négligence de l’hygiène/apparence, asthénie, évitement du contact visuel, ralentissement du débit verbal, ↓ loquacité, isolement social, conflits relationnels - Ralentissement psychomoteur :
Les traitements pharmacologiques des troubles dépressifs
- Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS)
- Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (ISRN)
- Autres classes
- Début d’action : 2-3sem, état d’équilibre 4-6sem
- Aucune molécule n’a été démontrée plus efficace qu’une autre
- Sx de sevrage
- Nausées, étourdissements, fatigue, sx d’allure grippale
- Syndrome sérotoninergique : rare mais risque de mortalité
- Fièvre, nausées, diarrhées, agitation, augmentation des réflexes, myoclonies, dystonie, choc cardiovasculaire, convulsions, mort
ISRS joue sur ?
sérotonine
ISRN joue sur
noradrénaline
Caractéristique du Celexa et cipralex
augmente le QTC
Caractéristique du Prozac
pas de libido
Caractéristique du Paxil
prise de poids
caractéristique du Zoloft
seul anti-depesseur qui doit être pris avec nourriture, car efficacité augmente de 40%
Caractéristique du Cymbalta
aide fibromyalgie
caractéristique Effexor
beaucoup de symptômes de sevrage
caractéristique du bupropion
joue sur la dopamine, insomnie (pas de prise de poids et pas de perte de libido)
traitement non-pharmaco des troubles dépressifs
- Activation comportementale
- Support psychosocial
- Objectifs clairs et SMART
- Écoute, support, validation des émotions
- Approche cognitivo-comportementale
- Mise en évidence des biais cognitifs
- Distraction
- Approche psychodynamique
- Mise en évidence des mécanismes de défense
- Approche orientée solution * Trouver l’exception
Épidémiologie des troubles bipolaires
Québec (MSSS, 2018)
* >15 ans : 2.2%
Canada
* Trouble bipolaire I : 1/100
* Trouble bipolaire II : 1/140
Âge général d’apparition
* Adolescence, début vie adulte
Importances des déterminants de la santé
étiologie des troubles bipolaire
Génétique
* 10x plus de risque si famille 1er degré atteint de TB
* Jumeaux homozygotes : 50-80% risque de développer la maladie * Jumeau hétérozygotes : 10-30%
* Plusieurs gènes étudiés
Neurobiologique
* Systèmes monoaminergiques→déséquilibre neurotransmetteurs
* Modification de certaines parties du cerveau
* Modification de l’activité cérébrale
* Rythmes circadiens
Stress
* Évènements de vie difficiles, traumatismes dans l’enfance
critère diagnostic, troubles bipolaire type 1 (épisode maniaque)
- Élévation de l’humeur >7jrs ou moins si hospit nécessaire
- ↑ estime de soi ou idées de grandeurs
- ↓ besoin de sommeil (sans fatigue diurne)
- ↑ volubilité
- Fuites des idées ou sensation subjective que les pensées défilent
- Distractibilité par stimuli extérieurs
- ↑ APM dirigée vers un but ou non
- Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables
- Parfois→Caractéristiques mixtes : sx dépressifs concomitants
Trouble bipolaire type II – Épisode hypomaniaque Critères Dx
- Élévation de l’humeur >4jrs
- ↑ estime de soi ou idées de grandeurs
- ↓ besoin de sommeil (sans fatigue diurne)
- ↑ volubilité
- Fuites des idées ou sensation subjective que les pensées défilent
- Distractibilité par stimuli extérieurs
- ↑ APM dirigée vers un but ou non
- Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables
- DOIT ÊTRE OBJECTIVÉ PAR LES AUTRES
- PAS D’IMPACT SUR LE FONCTIONNEMENT
- DOIT AVOIR VÉCU AU MOINS UN ÉDC
Trouble bipolaire – Manie et Hypomanie Manifestations
Sx émotionnels
*Euphorie,humeurexaltée,humeurexpansive,irritabilité,colère,labilité
Sx cognitifs
* ↑ estime de soi ou idées de grandeurs, impression d’être meilleur ou d’être invincible, croire être capable d’exploits ou d’accomplissements particuliers, croire avoir des dons ou être célèbre ou connaitre des célébrités, absence d’autocritique, jugement altéré, fuite des idées, relâchement des associations, discours parfois incohérent, distractibilité, altération de la fonction cognitive
Sx perceptuels
*Hallucinationsplussouventauditives,souventcongruentesàl’humeur,paranoïa
Sx comportementaux
* ↑ APM, logorrhée, pression du discours, débit verbal rapide, insomnie, changement dans l’apparence (vêtements, coiffure, maquillage), désorganisation, comportements dommageables, conflits relationnels
Troubles bipolaires - Traitements pharmacologiques
Stabilisateurs de l’humeur
* Lithium
* Anticonvulsivants
(Acide valproïque/Épival© * Lamotrigine/Lamictal©)
Trouble bipolaire type I
Traitements pharmacologiques – Lithium
Lithémie
* Index thérapeutique : 0.6-1.2 mmol/L
* Phase aigue : 0.8-1.2 mmol/L
* Maintien : 0.6-1.0 mmol/L
* Personnes âgées : 0.4-0.8 mmol/L
* Toujours 5jrs après changement de dose et ponction veineuse doit être 12hrs post-dose
Trouble bipolaire type I
Traitements pharmacologiques – Acide
valproïque/Épival©
- Métabolisme : hépatique→Attention insuffisance hépatique
- Mode d’action :
Action dans système limbique et lobe temporal
↓ transmission influx nerveux
Effet neuroprotecteur - Épivalémie
- Index thérapeutique : 350-700 umol/L
- Toujours 5jrs après changement de dose et ponction veineuse doit être 12hrs post-dose
a quoi faut-il faire attention avec l’épival
pour les convulsion mais joue sur les émotions
Trouble bipolaire type II
Traitements pharmacologiques –
Lamotrigine/Lamictal©
Mode d’action :
* Inhibition du recaptage sérotonine, noradrénaline, dopamine
* Effet neuroprotecteur
Syndrome Stevens-Johnson : 0.1%
* Souvent dans les 8 premières semaines de traitement
* Rare si respect de la titration très lente
* Risque augmenté si prise concomitante d’acide valproïque
* Nécrolyse épidermique toxique
* Paumes des mains, plantes des pieds, muqueuse buccale
* Cesser immédiatement et urgence
Troubles bipolaires
Traitements non-pharmacologiques
Psychoéducation
* Importance de respecter le rythme circadien et routine de vie
* Identification des sx et plan de rechute
Psychothérapie
* Objectifs clairs et SMART
Fonctions neurocognitives
Attention
* Sélective : capacité d’orienter nos ressources mentales vers un stimulus et
d’inhiber les informations non pertinentes.
* Divisée : capacité d’alterner entre 2 tâches en partageant notre attention
Fonctions exécutives
* Raisonnement
* Résolution de problèmes
Langage
* Production du langage
Mémoire
* Épisodique (rétrospective) : souvenirs autobiographiques
* Prospective : se souvenir de réaliser une intention dans le futur
* De travail : stockage d’information et manipulation de cette information pour
réaliser une tâche
* Procédurale : habiletés principalement motrices qui ont été apprises et qui se font automatiquement
Perception et orientation
Cognition sociale
* Se souvenir comment interagir socialement
les types de troubles de neurocognitifs
- Démence d’Alzheimer
- Démence à corps de Lewy
- Démence liée à la maladie de Parkinson
- Démence frontotemporale
- Démence vasculaire
Étiologie du délirium
- Intox/Sevrage substances ou rx
- Troubles métaboliques
- Traumas physiologiques
- Néoplasies
- Infections
- Affections neurologiques
/* Maladies auto-immunes - Troubles cardiaques
Critères dx du délirium
- Apparition soudaine
- Désorientation temps/espace
- Difficultés d’attention
- Fluctuation dans le temps
traitement du délirium
- URGENCE MÉDICALE
Pharmacologique
* Traiter la cause
* Antipsychotiques
* Halopéridol/Haldol©
* Rispéridone/Risperdal© * Olanzapine/Zyprexa©
* Parfois benzodiazépines * Lorazépam/Ativan©
Non-pharmacologiques
* Lunettes et appareils auditifs
* Orienter la personne
* S’identifier à chaque contact avec le
patient
* Calendrier, horloge
* Hydratation et nutrition
* Soulagement de la douleur
* Explications courtes et simples
* Diminuer stimuli
* Photos de la famille et objets personnel au chevet
étiologie de l’alzheimer
- ↓ acétylcholine
- Ainsi que d’autres neurotransmetteurs
- 10-30% de risque chez parent 1er degré
19.7%siapparitionprécoce50-54ans
1.2% si apparition tardive >85ans - Hypothèse de la réserve cognitive
- Atrophie de certaines parties du cerveau, dont l’hippocampe
manifestation du stade léger de l’alzheimer
- Apparition graduelle et
évolutive - ↓mémoire épisodique
- Problèmes mnésiques
- Perdre ses choses
- Répéterlesmêmes propos
- Chercher ses mots
- Désorientation
espace/temps
les manifestations du stade modéré de l’alzheimer
- Amnésie
- Désorientation * Apraxie
- Agnosie
- Aphasie
- Dépression
- Persévération
- Troubles sommeil
- Sx comportementaux et psychologiques liés à la démence (SCPD)
manifestation du stade avancée de l’alzheimer
Aphasie
* Néologisme
* Écholalie
* Ne se reconnait plus et ne reconnait plus les autres
* Changement personnalité
* Incontinence
* Perte de poids
* Immobilisation
étiologie du parkinson
- ↓ 80% de dopamine au niveau de
la substance noire - Perte neuronale
- Corps de Lewy
- Si apparue <50 ans→moins propices à développer des troubles cognitifs
Manifestation de la maladie du parkinson
Principalement motrices
* Posturevoutée
* Instabilitéposturale
* Bradykinésie
* Voix monocorde → mutisme
* Tremblements de repos asymétriques
* Faiblessemusculaire
* Rigidité
Sx psychiatriques, avec ou sans démence *Délire de persécution ou de jalousie
* Dépression
* Anxiété
* Troubles du sommeil
Sx psychiatriques avec démence
* Ralentissementpsychique
* Apathie
* ↓ attention et planification
* Troublesvisuospatiaux
* Hallucinations/délire
* Dans la 2ème moitié de l’évolution de la maladie
étiologie démence corps de lewy
- Agglomérats anormaux de protéines se formant dans les neurones
- ↓ acétylcholine et sérotonine
- ↓ 40-60% de dopamine
manifestation démence corps de lewy
- Sx caractéristiques
- Grande altération des fonctions exécutives et de l’attention
- Hallucinations auditives et visuelles dès le début de la maladie
- Démarche ataxique
- Évolution similaire à la démence d’Alzheimer
étiologie démence frontotemporale
- Atrophie des lobes frontaux et
temporaux - ↓ sérotonine, ↓ dopamine
- 20-40% des cas dans la même famille : mutation génétique
- Rapidement progressive
- Variante comportementale : 90%
des cas - Variante langagière
les manifestations de la démence frontotemporale
Sx cognitifs
* Difficulté à initier une
tâche
* Difficulté à planifier
* Persévération
* Jugement altéré
* Troubles fonctions exécutives
* Anosognosie
Sx comportementaux
* Désinhibition
* Affect émoussé, apathie
* Impulsivité
* Comportements antisociaux
* Alimentation excessive * Accumulation d’objets
Sx langagiers
* Erreurs de grammaire et
syntaxe
* Discours laborieux
* Difficulté à comprendre les phrases complexes
* Mutisme en fin de maladie
* Difficulté à comprendre et dire les mots
* Difficulté à reconnaitre les objets et les visages
* Dyslexie, dysgraphie * Logorrhée
* Écholalie, palilalie
Troubles neurocognitifs Traitements pharmacologiques
Inhibiteurs de la cholinestérase
* Donézépil/Aricept©
* Galantamine/Reminyl© * Rivastigmine/Exelon©
* Agoniste NMDA
* Mémantine/Ebixa©
Mode d’action
Inhibe le métabolisme de l’acétylcholine. ↑ de sa concentration
* Ne modifie pas l’évolution de la dégénérescence
Effets secondaires: diarrhée, vomissement, céphalées
Agoniste NMDA :
mélanine/ebixa
Mode d’action :
diminution concentration du glutamate qui entraine une diminution du potentielle de destruction neuronale
Effet secondaire:
* Étourdissements, constipation, anxiété, douleurs
On traite également les comorbidités
Processus de la crise suicidaire :
- Recherche active de solution
- Flash suicidaire
- Idéation suicidaire
- Rumination
- Cristallisation
- Passage a l’acte
un plan de