Quiz Concepts De Base Et Hanche Flashcards

1
Q

Quel(s) est (sont), parmi les données suivantes, le(s) élément(s) qui est (sont) vrai(s) en ce qui concerne la nécrose avasculaire de la tête fémorale ?
A. Elle peut survenir suite à une fracture de la diaphyse fémorale.
B. La scintigraphie est l’examen de choix pour le diagnostic de la NAV.
C. Les gens atteints de PAR (polyarthrite rhumatoide) sont plus à risques de par la prise d’AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien).
D. Elle peut survenir suite à une luxation de la hanche.

A

D seulement

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2
Q

Quel(s) est (sont), parmi les énoncés suivants, les données discriminantes qui permettent de reconnaître un patron clinique de bursite trochantérienne ?

A. Une douleur augmentée en décubitus latéral du côté de la lésion.
B. Une douleur localisée à la partie antérieure de la hanche, à l’aine et à la cuisse médiale.
C. Le fait d’être une femme.
D. Le fait d’être une personne âgée entre 20 et 30 ans.

A

A et c

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3
Q

Quel(s) est (sont), parmi les énoncés suivants, celui (ceux) qui est (sont) vrais en ce qui concerne les fractures de stress ?

A. Elles sont attribuables à une augmentation subite de la charge d’entraînement (durée, intensité, fréquence des séances).
B. Elles comportent une histoire de microtraumatismes répétés en mise en charge.
C. Elles sont plus fréquentes chez les femmes dans la période post- ménopause.
D. L’incidence est plus grande chez les personnes sédentaires.

A

A, b et c

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4
Q

Parmi l’(les) énoncé(s) suivant(s) lequel (lesquels) est (sont) vrai(s) en ce qui concerne l’arthrose de la hanche ?

A. Elle peut se développer suite à une arthrite septique.
B. L’arthrose primaire est principalement due à une fracture.
C. L’obésité est un facteur de risque moins puissant dans l’arthrose de la hanche que du genou.
D. L’arthrose secondaire se développe habituellement chez la personne âgée.

A

À et c

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5
Q

réviser
Quel(s) est (sont) les énoncé(s) qui sont vrais en ce qui concerne les données recueillies au bilan par mise en tension sélective dans le cas d’une tendinopathie des adducteurs de la hanche ?

A. Douleur et limitation du mouvement d’abduction active.
B. Douleur, limitation et sensation de fin de mouvement élastique musculaire ou résistance du patient en fin d’abduction passive de la hanche.
C. Glissement inférieur coxo-fémoral normal.
D. Abduction résistée de la hanche faible et douloureuse.

A

A, B et c

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6
Q

Quel(s) est (sont), parmi les données suivantes, celles que l’on peut retrouver chez un client avec une ostéoarthrite avancée de la hanche ?

A. Une démarche avec un Trendelenburg.
B. Une difficulté à mettre ses bas.
C. Un test de FABERE positif.
D. Un résultat d’IRM confirmant le diagnostic

A

À, b et c

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7
Q

Quel(s) est (sont), parmi les énoncés suivants, les éléments qui sont vrais en ce qui concerne les déchirures du labrum ?

A. L’IRM est l’examen radiologique de choix pour le diagnostic d’une déchirure du labrum.
B. L’arthroscopie est le «gold standard» pour le diagnostic d’une déchirure du labrum.
C. Le test de FABER a une très bonne spécificité pour détecter une déchirure du labrum.
D. Le test de FADDIR est un bon test de dépistage des déchirures du labrum avec une sensibilité élevée mais une faible spécificité.

A

B et D

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8
Q

Parmi l’(les) énoncé(s) suivant(s) lequel (lesquels) est (sont) vrai(s) en ce qui concerne le labrum ?

A. Il augmente la stabilité de la hanche.
B. Il peut être source de douleur.
C. Il aide à maintenir un bas niveau de friction dans l’articulation .
D. Il ne peut guérir puisque non vascularisé.

A

À, b et c

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9
Q

Parmi les énoncés suivants, Lequel (lesquels) sont des facteurs de risque pour une fracture traumatique de la hanche ?

A. Être une femme.
B. Souffrir d’ostéoporose.
C. Être une personne âgée.
D. Être un coureur.

A

À, b et c

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10
Q

Parmi les énoncés suivants, lequel (lesquels) sont vrais en ce qui concerne la réadaptation des patients avec un abutement fémoroacétabulaire ou une déchirure du labrum ?

A. Il est important d’augmenter le contrôle musculaire des extenseurs et des rotateurs médiaux de la hanche.
B. Le renforcement de la ceinture abdominale doit être effectué.
C. La course à pied est indiquée pour maintenir une bonne condition cardio-vasculaire dans la phase aiguë.
D. Les mobilisations articulaires sont efficaces pour diminuer la douleur.

A

B et d

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11
Q

Parmi les types de médicaments de la liste suivante, lequel (lesquels) ont comme effet secondaire l’augmentation du risque de thrombophlébite ?

A. Agent contraceptif.
B. Médication anti-inflammatoire.
C. Hormone de remplacement.
D. Héparine.

A

A et c

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12
Q

Parmi les énoncés suivants, lequel (lesquels) sont vrais en ce qui concerne l’utilisation de l’ultrasonographie pour le diagnostic des lésions des tissus mous ?

A. Est plus performant chez les personnes minces.
B. Permet de visualiser les structures en temps réel.
C. Permet de visualiser des ruptures complètes d’un tendon.
D. Permet de visualiser le glissement des tendons dans sa gaine synoviale

A

À,b,c et d

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13
Q

Madame Leclerc a subi une arthroplastie de la hanche (remplacement des surfaces articulaires) hier. Vous faites la revue du dossier avant de vous rendre à sa chambre pour votre première intervention et vous notez que la patiente a une une TCA élevée à 137 secondes. Parmi les choix suivant(s), quelle(s) est (sont) les actions que vous devriez prendre pour faire en sorte de ne pas créer de préjudice à madame Leclerc ?

A. Vous contactez le médecin pour connaître d’éventuelles contre indications liées à une infection.
B. Vous donnez des repos fréquents à la patiente lors de votre intervention.
C. Vous évitez les activités trop brusques, à risque de chute.
D. Vous vérifiez régulièrement la présence ecchymoses au niveau de la peau.

A

C et d

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14
Q

Parmi les énoncés suivants, le(s)quel(s) sont des sensations de fin de mouvement anormales?

A. Étirement des tissus mous.
B. Résistance du patient.
C. Os à os.
D. Vide.

A

À,b,c et d

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15
Q

Quel(s) énoncé(s) sont vrais en ce qui concerne les patrons capsulaires?

A. En phase aiguë, sont associés plus souvent à des sensations de fin de mouvement vides, de spasmes musculaires ou à une résistance du patient.
B. Doivent être présents à l’examen pour conclure à une capsulite.
C. Se caractérisent par une diminution des amplitudes de certains mouvements dans des proportions qui sont typiques pour chaque articulation.
D. Suggèrent une atteinte de la capsule articulaire et de la membrane synoviale.

A

À,c et d

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16
Q

Germain a subi une fracture du fémur distal et a été plâtré pendant 6 semaines avant de venir vous consulter. Lors de votre examen, vous effectuez un bilan par mise en tension sélective qui vous amène à conclure à une limitation de mobilité d’origine capsulaire de l’articulation tibiofémorale ainsi qu’à une tendinopathie patellaire mineure. Quel(s) est (sont), parmi les énoncés suivants, les données que vous pourriez noter si vos hypothèses sont vraies ?

A. Mouvements actifs : • Limitation de 10 degrés de l’extension du genou avec douleur 1/10 au niveau du tendon patellaire et de 2/10 à la face postérieure du genou. • Limitation de 35 degrés de la flexion du genou (donc amplitude d’environ 105 degrés) avec douleur 3/10 à la partie antérieure du genou.
B. Mouvements passifs : • Limitation de 7 degrés de l’extension de genou avec douleur de 3/10 à la face postérieure du genou et sensation de fin de mouvement élastique ferme. • Limitation de 29 degrés de la flexion du genou (donc amplitude d’environ 111 degrés) avec douleur de 4/10 à la partie antérieure du genou à la fin du mouvement et sensation de fin de mouvement élastique ferme.
C. Mouvements résistés : Douleur de 3/10 à l’extension avec force musculaire de 5/5.
D. Mouvements accessoires : • Limitation du glissement tibiofémoral postérieur. • Amplitude de glissement tibiofémoral antérieur apparemment normale.

A

À,b et c

17
Q

Parmi les énoncés suivants, le(s)quel(s) sont vrais en ce qui concerne les étirements musculotendineux en mode excentrique?

A. Visent à renforcer le muscle.
B. Permettent de localiser la tension au niveau du muscle.
C. Sont utilisés pour le traitement des tendinites aiguës et chroniques.
D. Vise à créer une adaptation des tissus conjonctifs à la tension.

A

D

18
Q

Lors de l’exécution d’un squat unipodal (sur une seule jambe) pendant l’examen, laquelle des compensations suivantes ne vous permet pas de poser l’hypothèse d’une faiblesse des abducteurs ou des rotateurs latéraux de la hanche?

A. Abaissement du bassin du côté de la jambe libre.
B. Flexion antérieure du tronc de 60 degrés.
C. Inclinaison du tronc du côté de la jambe en appui.
D. Projection du genou médialement par rapport au deuxième orteil.
E. Rotation médiale du membre inférieur en appui.

A

B

19
Q

Quel élément, de la liste qui suit, n’est pas une donnée qui augmente la probabilité d’une pathologie sérieuse ?

A. Incapacité de modifier les symptômes au cours de l’examen.
B. La douleur est très bien localisée.
C. L’origine de la douleur est insidieuse.
D. Une histoire familiale de maladies graves.
E. Une présentation clinique qui ne correspond pas à un patron clinique connu.

A

B

20
Q

Vrai ou faux: La présentation clinique des signes et symptômes des cancers primaires ressemble généralement plus à des lésions du système musculosquelettique que les récidives de cancer (néoplasmes secondaires)?

A

B

21
Q

Certaines caractéristiques de la personne ou de son histoire peuvent être considérés pour justifier une hypothèse sur le diagnostic, énoncer un pronostic ou justifier de faire du dépistage. Associez chacun des facteurs personnels proposés dans la liste ci-dessous au processus de raisonnement correspondant.

  1. Âge de 65 ans
  2. Père décédé d’un cancer du colon
  3. Diabète de type 1 non contrôlé
A
  1. Établissement du diagnostic d’arthrose primaire
  2. Dépistage de cancer
  3. Pronostic de guérison d’une tendinopathie
22
Q

Associé chacune des propositions concernant la médication utilisée couramment par les clients consultant pour un problème musculosquelettique au type de médicament correspondant.

  1. Ont peu d’effets secondaires à doses normales et constituent une alternative pour soulager les personnes souffrant de douleurs chroniques qui sont intolérantes aux anti-inflammatoires non stéroïdiens.
  2. Peuvent créer une dépendance chez les patients pour qui le besoin de soulager des douleurs intenses n’existe plus.
  3. Augmentent le risque de fracture s’ils sont utilisés pour des périodes prolongées.
  4. Peuvent produire des nausées et des maux de tête.
A
  1. Acetaminophène
  2. Opioide
  3. Stéroïdes
  4. Agents contraceptifs
23
Q

Choisissez les énoncés qui sont vrais en ce qui concerne le cadre de collaboration de première ligne à l’intention des pharmaciens et des physiothérapeutes.

A. S’applique uniquement aux patients qui présentent une condition musculosquelettique.
B. Le physiothérapeute devrait communiquer au pharmacien son diagnostic et les mesures thérapeutiques qu’il a recommandées pour permettre à celui-ci de conseiller la thérapie médicamenteuse la plus appropriée pour le patient.
C. Les patients qui ont été pris en charge dans une clinique de physiothérapie privée à la suite d’une référence médicale peuvent être dirigés vers le pharmacien selon le cadre de collaboration de première ligne, mais le physiothérapeute doit aviser le médecin référant.
D. Dans le formulaire de référence au pharmacien, le physiothérapeute doit indiquer très précisément quel médicament il recommande.

A

A et b

24
Q

Associé chacune des propositions concernant les propriétés des tests médicaux à l’élément correspondant dans la liste.

  1. L’ajout d’un agent de contraste à l’intérieur de l’articulation lors de cet examen permet de révéler des dommages au fibrocartilages articulaires.
  2. Cet examen permet de visualiser le mouvement des tendons et des muscles lors de la contraction musculaire.
  3. Cet examen comporte un taux relativement élevé d’exclusion «à tort» (faux négatifs) de fractures occultes lorsque le traumatisme est récent.
  4. Cet examen permet de dépister la présence d’activité inflammatoire et d’infection mais ne permet pas d’identifier spécifiquement de quelle maladie il s’agit.
A
  1. Arthro IRM
  2. Ultrason
  3. Radio simple
  4. Vitesse de sédimentation
25
Q

Associée chacune des descriptions clinique proposées au type de symptôme ou phénomène correspondant.

  1. Un client se plaint de douleurs au genou apparues suite à une torsion du genou subie il y a 3 semaines lors d’un match de soccer. Il a été immobilisé dans une attelle qu’il a cessé de porter depuis 1 semaine sur recommandation du médecin, malgré une boiterie persistante. À l’encontre des recommandations du médecin, il marche peu parce qu’il a peur que sa condition se détériore. La douleur est maintenant ressentie jusqu’à la hanche. Le client porte des culottes courtes pour éviter le frottement du pantalon sur son genou douloureux.
  2. Le patient qui consulte pour un mal de dos et au haut de la fesse droite mentionne qu’il a l’impression que son gros orteil droit est constamment gelé. On pourrait lui marcher sur le gros orteil et il ne ressentirais rien.
  3. Le client mentionne que sa douleur à la hanche augmente à 8/10 dès qu’il marche 5 minutes le matin. Elle persiste alors à intensité élevée toute la journée et ne diminue d’intensité qu’avant d’aller se coucher s’il a passé la soirée assis à regarder la télé.
A
  1. Sensibilisation centrale
  2. Anesthésie
  3. Condition irritable
26
Q

Vous effectuez l’évaluation d’une personne qui a subi une chirurgie de reconstruction ligamentaire au genou droit il y a 3 jours.

Lors de l’entrevue, le client vous a mentionné que la douleur à son genou est constante à au moins 4-5/10 qui l’empêche de mettre de poids sur sa jambe. Vous avez envisagé la possibilité d’une infection postopératoire et lui avez demandé s’il avait l’impression de faire de la température. Il vous a répondu qu’il ne savait pas trop, mais qu’il avait souvent un frisson alors qu’il fait très chaud à l’extérieur.

La présence d’une douleur constante et d’un frisson vous amène à envisager la possibilité d’une infection. Vous devez cependant vous assurer de la distinguer d’un processus inflammatoire aigu commun après une chirurgie. Vous allez donc planifier votre examen physique en recherchant les signes qui vous laisseraient suspecter une infection, dans quel cas vous référeriez au médecin. L’absence de signes d’infection vous permettrait d’exclure cette hypothèse.

Dans la liste suivante, choisissez uniquement les signes que vous pourriez observer lors de votre dépistage qui vous permettraient de la distinguer d’un processus inflammatoire aigu aseptique (non infectieux). Pour répondre à cette question, vous pouvez lire le document intitulé «Signes et symptômes d’infection» déposé sur le portail du cours et référer à vos notes “ démarche clinique en physiothérapie “ portant sur les signes et symptômes d’inflammation.

A. Chaleur cutanée
B. Rougeur de la peau
C. Écoulement purulent de la cicatrice
D. Œdème intra-articulaire important
E. Élévation de température corporelle

A

C et e

27
Q

En examinant le genou du client à la question 6, vous avez constaté un oedème important, une augmentation de chaleur cutanée ainsi que des rougeurs au pourtour du genou. Vous n’avez cependant remarqué aucun signe d’infection, ce qui vous porte à exclure cette hypothèse. Vous pouvez donc poursuivre votre examen physique en restant toutefois attentif à l’évolution des symptômes, parce qu’une infection tardive, bien que très rare, demeure possible.

Suite à la chirurgie, le client a été placé dans une orthèse articulée limitant sa mobilité à -10 degrés d’extension et 90 degrés de flexion. Vous observez qu’il se déplace avec des béquilles en n’effectuant aucune mise en charge sur son membre opéré à cause de la douleur trop intense. L’orthopédiste autorise la mise en charge et les mobilisations articulaires selon tolérance.

Dans la liste suivante, choisissez les procédures de dépistage lors de l’examen physique qui seraient appropriées selon vous, en vous basant sur ce que vous connaissez des symptômes, des informations initiales qui vous sont fournies, des déficiences et incapacités anticipées et des directives de l’orthopédiste.

A. Examen postural debout
B. Appui debout sur un pied (signe de Trendelenburg)
C. Squat bipodal
D. Évaluation de la mobilité articulaire en non-mise en charge
E. Évaluation de la fonction musculaire

A

À,d et e

28
Q

Vous voyez en consultation un coureur de longues distances qui ressent une douleur au niveau de la partie médiane du tendon d’Achille qui le restreint dans ses entraînements d’intervalles lorsqu’il doit fournir un effort plus intense. La douleur est apparue progressivement quelques jours après qu’il ait commencé à courir sur des parcours avec davantage de dénivelés et perdure depuis un peu plus de 2 mois. Le client n’a aucun antécédent de blessure musculosquelettique aux membres inférieurs ou au tronc. Vous suspectez une tendinopathie d’Achille chronique, ce que confirmera votre examen.

Quel choix de réponse, parmi les suivants, est plus compatible avec les données recueillies lors du bilan par mise en tension sélective si l’hypothèse d’une tendinopathie d’Achille est vraie ?

A. Mouvements actifs : Douleur en flexion plantaire. Mouvements passifs : Douleur en flexion plantaire avec légère résistance du patient se superposant à la sensation élastique (capsulaire). Mouvements résistés: Douleur et faiblesse en flexion plantaire. Mouvements accessoires : Normaux au niveau de l’articulation talo-crurale.
B. Mouvements actifs : Douleur en flexion plantaire < dorsale. Mouvements passifs : Aucune douleur. Sensation de fin de mouvement élastique normale en flexion plantaire et dorsale. Mouvements résistés : Douleur et faiblesse en flexion plantaire. Mouvements accessoires : Normaux au niveau de l’articulation talo-crurale.
C. Mouvements actifs : Douleur et limitation d’amplitude d’environ 15 degrés en flexion dorsale. Douleur en flexion plantaire. Mouvements passifs : Douleur et limitation d’amplitude d’environ 10 degrés en flexion dorsale avec sensation de fin de mouvement élastique normale + légère résistance du patient. Mouvements résistés : Aucune douleur et faiblesse en flexion plantaire. Mouvements accessoires: normaux
D. Mouvements actifs : Douleur en flexion dorsale > plantaire sans limitation d’amplitudes. Mouvements passifs : Douleur en flexion dorsale plus importante si le genou est tendu, sans limitation d’amplitudes et avec sensation de fin de mouvement élastique normale + légère résistance du patient. Mouvements résistés : Douleur sans faiblesse en flexion plantaire. Mouvements accessoires : Normaux au niveau de l’articulation talo-crurale.

A

D

29
Q

Associez chacune des situations cliniques proposées à l’intervention visant à augmenter la mobilité qui vous semble la plus appropriée.

  1. Le client qui présente des limitations de mobilité à la cheville selon le patron capsulaire et avec des sensations de fin de mouvement élastiques capsulaires.
  2. Le client qui a une perte de mobilité de 30 degrés en flexion passive du genou (donc flexion de 110 degrés) et une flexion active non douloureuse de 93 degrés.
  3. Le client qui a une perte de mobilité active et passive en flexion et adduction de la hanche avec sensation de fin de mouvement capsulaire.
  4. Le client qui a une perte de mobilité en flexion plantaire et supination de la cheville avec une sensation de fin de mouvement ou la douleur domine
A
  1. Accessoire
  2. Actif assisté
  3. Passif
  4. Actif
30
Q

Vous avez procédé à l’examen d’un client qui a subi une fracture par avulsion de la tuberosité du cinquième métatarsien droit il y a 4 semaines. Ce type de fracture se produit habituellement par traction du court fibulaire lors d’un traumatisme en flexion plantaire et supination. Initialement, la cheville et le pied ont été immobilisés dans une attelle plâtrée pour une période de 2 semaines, puis l’orthopédiste a retiré l’immobilisation et autorisé la marche avec soulier à semelle rigide et mise en charge selon tolérance. Après 4 semaines, le patient éprouvait toujours une douleur importante à la marche qui disparaissait dès qu’il cessait la mise en charge. Comme la mobilité du pied et de la cheville restait fortement diminuée, l’orthopédiste vous a référé le client pour mobilisations progressives avec recommandation d’éviter la mise en tension excessive sur le court fibulaire pour les 4 prochaines semaines. La consolidation osseuse était d’environ 90%.

À l’examen, vous avez remarqué que le client marchait avec une canne et une forte attitude antalgique lors de la mise en charge sur le pied blessé. En faisant l’observation du membre inférieur, vous avez remarqué que l’oedème était abondant autour de la malléole latérale et sur la face dorsale du pied. Il y avait présence d’une légère ecchymose sur le côté de la cheville et du pied et la température de la peau était comparable au côté opposé.

L’examen par mise en tension sélective a révélé les éléments suivants:

Supination limitée de 50% activement et de 55-60% passivement à cause d’une douleur d’intensité 8/10 sur le côté du pied et de la cheville. Vous avez eu une sensation légère de résistance mécanique à la mobilisation passive (R1) débutant peu après la douleur. La force que vous avez appliquée sur le pied lors de l’examen du mouvement passif était légère à cause de la recommandation de l’orthopédiste d’éviter de mettre une tension excessive sur le court fibulaire.

Pronation active diminuée de 30% accompagnée d’une douleur d’intensité 4/10 sur le côté du pied. La pronation passive était complète avec SFM élastique.

La flexion dorsale était diminuée de 15 degrés activement et 10 degrés passivement par comparaison au côté sain avec SFM capsulaire.

La flexion plantaire était diminuée de 20 degrés activement et de 15 degrés passivement par rapport au côté sain avec SFM capsulaire et douleur d’intensité 2/10 sur le côté du pied et de la cheville.

Les mouvements résistés n’ont pas été testés pour éviter de mettre en tension le court fibulaire ou parce qu’ils n’étaient pas nécessaires en fonction des hypothèses que vous aviez en tête.

La mobilité accessoire talo-crurale était diminuée en antérieur et postérieur avec SFM capsulaire. Les glissements de l’articulation sous talaire étaient normaux.

Faites d’abord une analyse des informations disponibles dans cette vignette, puis sélectionnez les interventions qui vous semblent appropriées pour améliorer les problèmes de mobilité de la cheville de ce client.

A. Mobilisations physiologiques passives exécutées par le physiothérapeute en supination, pronation, flexion dorsale et flexion plantaire, grade IV, 2 séries de 15 répétitions, 3 séances par semaine.
B. Glissements tibio-talaires antérieurs et postérieurs de grade III, 2 séries de 30 répétitions à 1 Hz , 3 séances par semaine.
C. Glissements tibio-talaires antérieurs et postérieurs de grade II, 1 séries de 5 répétitions à 1 Hz , 3 séances par semaine.
D. Exercices de mobilisation active en supination et pronation avec douleur ne dépassant pas 2/10, 5 répétitions 4 fois par jour. La douleur ne doit pas être augmentée plus de 5 minutes après la fin des exercices.
E. Exercices de mobilisation passive exécuté par le client à la maison dans la résistance mécanique (sensation d’étirement confortable) en flexion dorsale et flexion plantaire, 5 répétitions maintenues 30 secondes, 4 fois par jour.

A

B, d et e