Psychométrie sociale CM Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la psychométrie ?

A

C’est la mesure de phénomène psychologique (traits, personnalité…)

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2
Q

Pourquoi les tests que l’on trouve dans les magazines n’ont rien de test psychométriques ?

A
  • ils n’ont pas de logique de structure (poser les questions dans n’importe quel sens)
  • pas de sensibilité (ne distingue pas les individus)
  • aucune fiabilité (possible de répondre, juste au hasard)
  • aucune validité (ne mesure rien)
  • aucune utilité
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3
Q

Quelle est la caractéristique d’un bon test ?

A

Un bon test doit chasser la réponse aléatoire et le hasard. On ne doit pas pouvoir répondre à un test au hasard.

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4
Q

Quelle est l’avantage de l’évaluation psychométrique ?

A

C’est utile pour mesurer un construit psychologique et pratique car ça donne lieu à un score numérique.

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5
Q

Qu’est-ce que l’erreur aléatoire ?

A

Dans un test, on peut hésiter à mettre trois ou quatre. Et si on refait un test un autre moment, on aurait pu peut-être mettre quelque chose de différent. Donc même le meilleur test est une approximation et tous les tests sont imparfait.

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6
Q

Un test psychométriques c’est quoi ?

A

C’est une mesure systématisé du degré auquel un individu manifeste une caractéristique qui permet de le comparer et de le positionner par rapport aux autres.

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7
Q

Quels sont les trois moyens que l’on utilise pour donner du sens à un test ?

A

L’étalonnage.
La standardisation.
La distribution normale.

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8
Q

En quoi consiste l’étalonnage ?

A

L’étalonnage consiste à établir un minimum, un maximum une moyenne et un écart type pour pouvoir donner du sens à un score brut en le comparant à d’autres scores. C’est se donner des normes et des repères pour pouvoir situer l’individu.

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9
Q

Comment fait-on un étalonnage ?

A

On prend un échantillon, on soumet cette échantillon à notre test. Ce qui nous donne un minimum, un maximum une moyenne et un écart type.

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10
Q

Quel est le problème de l’étalonnage ?

A

Le problème est que pour chaque dimension d’intérêt différente, il faudrait refaire tout le calcul. De plus, les repères varie d’une dimension à l’autre et d’une population à l’autre.

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11
Q

Qu’est-ce que la standardisation ?

A

Elle permet de simplifier les la procédure d’étalonnage en ayant à disposition un ensemble unique de repères. Quelque soit le score, le sexe ou l’âge du sujet, on peut le comparer à un ensemble de score standardisé.

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12
Q

Comment passe-t-on d’une note brute à un score standardisé ? Calcul …

A

On prend le score brut de l’individu - la moyenne / l’écart type.
On obtient alors le score standardisé = score centré réduit = Z score.

La moyenne est alors toujours de 0 et l’écart type est de 1.

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13
Q

Qu’est-ce que la note T ?

A

C’est une dérive du Z score. Pour l’obtenir, on fait le calcul suivant : 10XZ+50 et on obtient la note T.

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14
Q

Qu’est-ce que la distribution normale ?

A

Les notes se distribue selon une loi normale en forme de cloche. La distribution normale nous permet de savoir la proportion d’individu associée à telle ou telle score. Et avec combien d’individus on partage-t-elle ou tel trait. Quand une distribution est normal, on connaît automatiquement la proportion d’un individu associée à telle ou telle score parce que cette proportion est toujours la même.

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15
Q

Quelles sont les qualités d’un test psychométriques ?

A

La structuration factorielle.
La sensibilité/finesse discriminative.
La fiabilité.
La validité.

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16
Q

Structuration factorielle, explication.

A

L’enjeu est de vérifier l’adéquation entre le modèle théorique et les données empirique recueillie. On part du principe que la personnalité se structure en cinq facteurs, et on va chercher à voir si c’est le cas. Si les 240 réponses des gens aux 240 items ce synthétise bien c’est que c’est bon.

On analyse l’ensemble des corrélation entre les réponses du sujet aux items du questionnaire. Les items qui ont de fortes relations entre eux sont regroupés en facette et les facettes sont regroupés en facteur.

La chose que les items ont en commun, c’est ce qu’on appelle le facteur et si il y a une cohérence entre les items c’est qu’ils doivent aller dans le même facteur .

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17
Q

La sensibilité d’un test c’est quoi ?

A

C’est la capacité du test à classer les performances des individus en les différenciant nettement. Le but est d’avoir un score vrai qui ne dépend pas du hasard.

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18
Q

Quelles sont les indices qui nous permettent d’apprécier la sensibilité d’un test ?

A

Un nombre de score important : un test avec beaucoup d’items et des échelons de réponse variées et plus discriminant.

L’adaptation du test : le modèle en cinq facteurs évalue la personnalité normal, donc ce ne serait pas pertinent pour une personne pathologique.

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19
Q

Qu’est-ce que la fiabilité d’un test ?

A

La fiabilité, c’est la consistance des mesures, c’est-à-dire avoir un score vrai qui ne dépend pas du hasard.

Pour les individus : On observe alors les différences de réponse qu’il y a entre t1 et t2.
Pour les groupes : on regarde à quel point les différences entre les individus sont des vraies différences et pas dû au hasard.

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20
Q

Qu’est-ce que l’erreur aléatoire ?

A

Ce sont toutes les différences de réponse qu’il y a entre un t1 et un t2 sans raison particulière particulière.

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21
Q

Quelles sont les indices qui nous permettent de mesurer la fiabilité d’un test ?

A
  • Le test-retest ou fiabilité par constance.
  • L’équivalence ou fiabilité par version parallèle.
  • La cohérence interne ou fiabilité par bissection.
  • L’homogénéité ou fiabilité par consistance inter-items.
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22
Q

Test-retest ou fiabilité par constance, explication.

A

On administre le même test au même sujet après un certain intervalle de temps. Si les écarts de score entre t1 et t2 sont faibles. Le test est fiable. Il a une bonne constance.

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23
Q

Équivalence ou fiabilité par version parallèle, explication.

A

On administre deux versions parallèles d’un même test (même nombre de questions, même forme) au même sujet. Si les écarts entre les scores du test A et du test B sont faibles le test est fiable. Il a une bonne équivalence.

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24
Q

Cohérence interne ou fiabilité par bissection, explication.

A

On administre le même test à tous les sujets, puis on divise ce test en dessous partie équivalentes (items pairs versus items impairs).
Si les écarts de score entre les sous parties 1 et les sous partie 2 sont faible, le test est fiable, il a une bonne cohérence interne.

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25
Q

Homogénéité ou fiabilité par consistance inter-items, explication.

A

On a administre le même test au même sujet. On détermine ensuite à quel point les items qui sont censés relever d’une même dimension sont corrélée entre eux. Si les écarts entre les scores à ces items sont faibles, le test est fiable, il a une bonne consistance inter-item.

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26
Q

Quel est le moyen qui nous permet de savoir si les items sont consistant entre eux ?

A

On utilise l’alpha de Cronbach. Il va de 0 à 1. À partir de 0,7 c’est une bonne consistance.

A retenir texto : Plus l’alpha est proche de 1 plus la consistance est forte. Plus elle est forte plus notre mesure est fiable et plus l’erreur aléatoire est faible.

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27
Q

Qu’est-ce que l’ESM ?

A

C’est la partie du score observé, qui n’est pas le vrai score, c’est-à-dire la partie aléatoire.

Notre score vrai = le score qu’on observe + l’ESM.

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28
Q

Quel est l’intérêt de l’ESM ?

A

Le but est d’identifier le score vrai du sujet, ou plutôt la tranche de score dans laquelle se trouve le score vrai du sujet. S’approcher le plus possible du score vrai.

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29
Q

Comment calculer l’ESM ?

A

Le sujet a obtenu 100 à la composante N (névrosisme).
On nous dit que l’ESM de N est de 6,24.
On sait que 95 % des scores des sujets se situent à plus ou moins 1,96 écart type de la moyenne.

6,24x1,96 = 12,23.
Donc score vrai = 100 + ou - 12,23.
95% de chance que le score vrai = entre 88 et 112.

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30
Q

Qu’est-ce que la validité d’un test ?

A

C’est le degré auquel le test mesure ce qu’il est censé mesurer et pas autre chose. On utilise un coefficient de variabilité qui va de 0 à 1 plus il se rapproche de 1 meilleure et la validité.

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31
Q

Qu’est-ce que la fiabilité d’un test ?

A
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32
Q

Quelles sont les 3 indices qui nous permettent de mesurer la validité d’un test ?

A

La validité de contenu ou représentative.
La validité empirique ou de critère.
La validité théorique ou conceptuelle.

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33
Q

Qu’est-ce que la validité de contenu ?

A

Évaluation du degré auquel les items d’un test sont bien représentatif de la caractéristique visée. Des experts dans le domaine vont évaluer le degré de concordance.

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34
Q

Qu’est-ce que la validité empirique ?

A

Savoir à quel point l’inventaire qu’on utilise va être utile pour sa valeur diagnostique.

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35
Q

Qu’est-ce que la validité théorique ou conceptuelle ?

A

Technique qui nous permettent de savoir à quel point le test fourni, une mesure adéquate du concept théorique qu’il est censé mesurer.

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36
Q

Qu’est-ce que la validité convergente ?

A

On regarde la relation qu’il y a entre les scores obtenus à notre test et les scores obtenu à des tests plus anciens. Si les scores obtenus à notre test sont proches de se obtenu à des scores anciens, les deux tests vont dans le même sens et évaluent la même chose.

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37
Q

Qu’est-ce que la validité divergente ?

A

On regarde la relation qu’il y a entre les scores obtenus à notre test et les scores obtenus à des tests plus anciens qui mesurent une autre caractéristique.

Exemple : si notre test évalue le névrome, il devrait corréler avec des tests qui mesurent la dépression, mais il ne devrait pas y avoir de corrélation avec les facteurs d’agréabilité et d’ouverture.

38
Q

Qu’est-ce que la validité prédictive ?

A

Celle qui nous permet de prédire certains comportements. En fonction des scores obtenus, on peut prédire les conduites associées.

39
Q

Que faut-il pour que la validité théorique soit validée ?

A

Il faut que les validité convergentes et divergentes soient validées.

40
Q

Qu’est-ce que la personnalité ?

A

Il existe énormément de définition. Ensemble de très latin, permanent stable et relié entre eux, peut-être considéré comme le résultat de facteurs héréditaire et environnementaux…

41
Q

Définition du tempérament.

A

Base biologique, apparaît dès l’enfance et à une dimension affective.

42
Q

Définition du caractère.

A

Le caractère a une tonalité positive ou négative, mais n’a rien à voir avec la personnalité. C’est simplement un jugement de valeur qui est trop réducteur.

43
Q

Les traits de personnalité, c’est quoi ?

A

Prédisposition, tendance à…
Pas directement observable.
En interaction avec l’environnement.

On peut avoir certains traits, mais ils ne vont pas forcément s’exprimer. Cela va dépendre de l’impact de l’environnement.

Exemple : on est pas complètement introverti ou complètement extraverti. Le contexte a un impact.

44
Q

Qu’est-ce que le type de personnalité ?

A

Il s’agit d’une configuration de trait.
Il représente une combinaison de facteurs.
Le type est trop catégoriel.
Ne permet pas d’être démontré de manière empirique.

45
Q

Quel est l’objectif des tests de personnalité ?

A

Décrire la personnalité de manière exhaustive et parcimonieuse.
Expliquer l’émergence de certains traits de personnalité.
Prédire les conduites.

46
Q

Quelles sont les grandes questions que l’on se pose autour de la personnalité ?

A

Disposition (hérédité) ou situation (environnement) ?
Stable (dans le temps) ou évolutive ?

47
Q

Thèse héréditariste et auteur.

A

Cattell et Eysenck.
La personnalité issue de facteurs génétiques et biologique. Si il y a présence du trait il y a présence de la conduite.

48
Q

Thèse situationniste et auteur.

A

Mischel.
La personnalité dépend des situations. Il y a de faibles corrélation entre les traits de personnalité et les conduites observées. La personnalité n’est pas génétique mais contextuelle.

Aujourd’hui, cette thèse est démodé, mais elle a permis de comprendre que les situations pouvaient avoir un impact non pas sur les traits de personnalité, mais sur les conduites.

49
Q

Conception interactionniste.

A

Le trait de personnalité existe et se manifester en conduite selon sa force. Plus le trait est fort moins la situation joue. Moins le trait fort. Plus la situation va jouer.

50
Q

Description de la personnalité en 3 mots :

A

Génétique–milieu–interaction.

51
Q

Concernant l’impact de l’hérédité sur la personnalité, qu’est-ce que les études ont montré ?

A

Les jumeaux monozygotes se comporte de manière plus similaire que les dizygotes.
Les enfants adopter ont des traits de personnalité plus proche de leurs parents biologiques.

52
Q

Est-ce que la personnalité est stable ou évolutive ?

A

La personnalité est globalement stable dans le temps et au cours des situations.

53
Q

Qu’est-ce que la stabilité relative ?

A

Correspond au classement d’un individu par rapport aux autres. Si je suis le 89ème le plus extraverti à un autre temps, je serai peut-être le 84 ème, mais je serai toujours quelqu’un d’extraverti.

54
Q

Qu’est-ce que la stabilité absolue ?

A

Cela correspond aux fluctuations chez un même individu. Si l’individu a un score très élevé en extraversion un T1, il y a peu de chances qu’il n’est pas un score élevé en extraversion un T2. Peu probable de passer d’un extrême à l’autre.

55
Q

À propos de la structure de la personnalité, qu’est-ce qui fait consensus chez les auteurs ?

A

Tous les auteurs partagent l’idée que la personnalité se structure de façon hiérarchique.

56
Q

À propos de la structure de la personnalité, quelles sont les désaccords entre les chercheurs ?

A

Le nombre nécessaire et suffisant de facteurs : pour Eysenck c’est 3, pour le FFM c’est 5, pour Cattell c’est 16.

L’intitulé des facteurs.

La composition des facteurs : même pour les facteurs qui font consensus, les items sont parfois différents + Certains facteurs n’ont pas de facettes.

57
Q

Contexte de la création du test de Cattell.

A

Théorie des traits (héréditaire) + approche lexicale.

Analyse factorielle (synthèse d’un grand nombre de données) + démarche exploratoire (observation, recueil, analyse, déduction théorique)

58
Q

En quoi consiste l’approche lexical dans le test de Cattell ?

A

Il a regardé tous les termes qui servent à décrire la personnalité. Cela a abouti à 16 facteurs primaires.

59
Q

Comment Katel a-t-il pu obtenir les 16 facteurs primaires ?

A

Il a fait passer un Life Data, c’est-à-dire qu’il a fait passer le test à des individus qui connaissent bien la cible qu’ils évaluent. Cela lui a permis d’obtenir 12 traits primaire, nommé de A à O.

Puis il a complété cela par un questionnaire Data, c’est-à-dire un test ou les sujets répondent à un questionnaire pour eux-mêmes. Cela lui a permis d’obtenir 4 autres traits primaires, nommé de Q1 à Q4.

Donc il est arrivé à la conclusion, que la personnalité se structure en 16 facteurs.

60
Q

Quelles sont les différences entre le test de Cattell et le test de Costa et Mcray ?

A
  • Chez Cattell on parle de trait de personnalité et la personnalité se structure en 16 facteurs.
  • Chez Costa et Mcray on parle de facteurs ou de dimension et la personnalité se structure en 5 facteur.
  • Le test de Cattell est moins sensible car il y a seulement 3 échelon de réponse.
  • Chez Cattell chaque trait peut être composé de 10 à 15 item. Alors que chez Costa et Mcray chaque facteur est composé de 6 facettes, et que chaque facette a 8 items. S’explique par le fait que Costa et Mcray n’ont pas utilisé l’approche lexical, et que Cattell défend l’idée qu’il n’y a pas de raison que chaque trait soit composé du même nombre d’items.
61
Q

Comment est composé le test de Cattell ?

A

16 traits primaires dont 1 de raisonnement. Chaque trait est désigné par une lettre de l’alphabet et composé de 10 à 15 items.

170 items valencés positivement ou négativement + 15 items de raisonnement.

Échelle de réponse en 3 points : a, b et c. A et C correspondent à vrai ou faux. B correspond à ne se prononce pas.

En même tant que le remplissage transformation des réponses en point. Exemple : a = 2, b = 1 et c = 0.

62
Q

Pourquoi Cattell a-t-il choisi d’introduire 15 items de raisonnement et quelle question cela pose ?

A

Cela pose la question de la validité car avec le raisonnement on mesure autre chose que la personnalité.

Mais pour lui si on met en lien la personnalité et le raisonnement, ça donne des informations importantes car cela permet de pouvoir prédire le comportement, ce qui est l’objectif de Cattell.

63
Q

Quels sont les 5 grands facteurs mis en évidence par Cattell + explication.

A

Attention, selon lui, la personnalité se structure bien en 16 traits primaire. Mais il a remarqué que ses 16 traits pouvait se synthétiser en quelque chose de plus restreint. chez lui, des traits peuvent être présents dans d’autres facteurs. Ce sont les traits qui doivent être distingués et pas les facteurs.

Ces 5 facteurs sont : extraversion–anxiété–dureté–indépendance–contrôle de soi.

64
Q

Quels sont les 4 échelles utilisées par Cattell ?

A

Le raisonnement.
La désirabilité sociale.
Les réponses rares.
La tendance à l’acquiescement.

65
Q

Validité : le raisonnement chez Cattell

A

15 des 185 se réfère au raisonnement et pas à la personnalité. Le but est d’enrichir le profil de l’individu avec d’autres informations.

66
Q

Validité : la desirabilité sociale chez Cattell

A

12 items parmi les 185 permettent de détecter quand il y a trop de réponses positives.

67
Q

Validité : les réponses rares chez Cattell

A

Permet de savoir si le sujet a répondu au hasard.

68
Q

Validité : tendance à l’acquiescement chez Cattell

A

94 items valencés différemment pour s’assurer que la personne ne répond pas vrai à tout même quand les questions se contredisent.

69
Q

Quelles sont les qualités psychométriques du test de Cattell ?

A

Structuration factorielle.
Fiabilité par test retest et homogénéité.
Validité de critère et convergente.

70
Q

Introduction au test d’Eysenck…

A

Expliquer et prédire les conduites.
Analyse factorielle.
Organisation hiérarchique de la personnalité.
Le trait est un déterminant majeur de la personnalité.

71
Q

Quelle approche Eysenck a-t-il utilisé ?

A

Approche hypothético déductive. Il a observé quelques patients en hôpital psychiatrique.

72
Q

Origine de la personnalité selon Eysenck.

A

C’est un vrai théoricien des traits. Pour lui, la personnalité héréditaire, et elle est en relation avec les systèmes biologiques.

Exemple : il y a un lien entre le système limbique et le neuroticisme.

73
Q

Quelles sont les différents tests proposés par Eysenck ?

A
  • MPI : neuroticisme et extraversion.
  • EPI : neuroticisme, extraversion et mensonges.
  • EPQ : neuroticisme, extraversion, mensonges et psychoticisme.
  • EPQR neuroticisme, extraversion, psychoticisme/inflexibilité et mensonges.
74
Q

Description du test d’Eysenck.

A

3 facteurs + une échelle de mensonge.
Extraversion, neuroticisme, psychoticisme/inflexibilité, échelle de mensonge.
100 items valencés et réponse binaire de type oui/non.
Pas de facettes dans son test. On passe des items aux facteurs.
Pas le même nombre d’items pour chaque facteur.

75
Q

Version raccourci du test EPQR :

A

EPQ-RS : 48 items ; 12 items par dimension + 12 items de mensonges.

EPQ-RA : 24 items ; 6 items par dimension + 6 items de mensonges.

76
Q

Quelles sont les qualités psychométriques de l’EPQR ?

A

Structuration factorielle : en analysant les réponses sans item du questionnaire. On a mis en évidence les quatre facteurs.

Fiabilitétest retest, homogénéité, coefficient à 0,8.

Validité convergente : neuroticisme de l’EPQR est corrélé au neuroticisme du NEOPI et pareil pour l’extraversion.

77
Q

FIN

A

🎉🎉🎉🎉

78
Q

Dans un commentaire de profil de personnalité, quelles sont les informations à déduire d’un score extrême obtenu par un sujet sur tel trait ou tel facteur de personnalité ? Annales.

A

Le sujet se différencie fortement de l’individu moyen de son groupe pour ce trait au facteur.

Le sujet partage, ce trait ou facteurs, avec une très faible proportion d’individus de son groupe.

Les conduites associées à ce trait/facteur saillant et distinctifs sont systématique et dépendent très peu des situations

79
Q

À propos de la viabilité et de la fiabilité d’un test, annales.

A

Un test valide est forcément fiable.
Un test fiable peut ne pas être valide.
Un test non fiable est forcément non valide.

80
Q

Un test non fiable et forcément non valide, pourquoi peut-on dire cela ? Annales

A

Parce qu’un test non fiable laisse trop de place à l’erreur aléatoire et au hasard. Il ne peut donc pas mesurer ce qu’il est censé mesurer et rien d’autre.

81
Q

Quelles sont les différences entre le questionnaire de Cattell et le questionnaire d’Eysenck ?

A

2 échelles de réponses chez Eysenck et 3 chez Cattell.
1 échelle de mensonge chez Eysenck et 4 échelles chez Cattell.
3 facteurs chez Eysenck et 5 chez Cattell (16 traits primaires).
L’intitulé et le contenu des facteurs.
Nombre d’items nécessaires (100 pour Eysenck et 185 pour Cattell).

82
Q

Après avoir fait passer l’inventaire de personnalité étudié en TD à un individu, vous constatez qu’il a un score standardisé pour le facteur N de z=2,01.

Vous savez que dans cet inventaire les scores associés à ce facteur se distribue normalement. Après avoir appelé pourquoi cette information est fondamentale, vous indiquerez ce que vous pouvez déduire d’un tel score ?

Annales

A

Savoir que les scores se distribuent normalement, permet de connaître automatiquement la proportion d’individus qui partagent le score du sujet, car c’est toujours la même.

On peut déduire d’un tel score que N représente une caractéristique saillante et distinctive chez cette individu, partagée avec moins de 2,5 % de sa population de référence et présent quelque soit le contexte.

83
Q

Après avoir conçu un nouvel inventaire de personnalité et l’avoir testé auprès de 1000 personnes, un chercheur souhaite savoir si les réponses obtenus se répartissent de façon attendue. Après vérification, il observe que pour le facteur extraversion la répartition et la suivante : 25,8 % autour de la moyenne, 47,4 % au-dessus de la moyenne, et 26,8 % au-dessus de la moyenne.

Qu’est-ce que le chercheur souhaite connaître à travers cette répartition ? La répartition qui observe est-elle conforme à l’attendu ? Justifiez votre réponse, et si celle-ci est négative, indiquer qu’elle devrait être la répartition observée.

Annales.

A

Le chercheur souhaite connaître la distribution de score.
Ce n’est pas ce qui était attendu, car ce n’est pas une distribution normale dans laquelle les scores se répartissent de manière équilibré autour de la moyenne.

Si la distribution des scores avait été normal, la répartition observée aurait été la suivante : 38 % autour de la moyenne, 31 % au-dessus et 31 % au-dessus de la moyenne.

84
Q

Suite à la passation de l’inventaire de personnalité, un individu obtient un score de 90 au facteur agréable habilité. Après avoir rappelé le calcul ayant permis d’aboutir à ce score, vous indiquerez si ce score est informatif. Si oui, quelles informations peut-on tirer ? Sinon, quelles éléments doit-on associer à ce score pour qu’ils devienne informatif ? Que représente l’ensemble de ces éléments ?

Annales.

A

Pour obtenir ce score facteur, il faut d’abord additionner les notes obtenus à chacun des items des facettes constituant le facteur, puis additionner les scores obtenus aux facettes.

Non, ce n’est pas un score informatif pour qu’il soit il faut lui associer un ensemble de repères comme par exemple, une note minimal et une note maximale, une, une moyenne, une dispersion autour de celle-ci, ou encore des éléments de quantilage.

C’est ce que l’on appelle l’étalonnage.

85
Q

Après avoir conçu un nouveau test, un psychologue, le test sur 100 personnes. Les résultats qu’il obtient montrent qu’une large majorité des répondant à un score équivalent. Que peut-on en déduire sur le plan psychométriques ? Quel effet le psychologue a-t-il vraisemblablement observé ? Que lui conseillerez-vous pour améliorer son test ?

A

Sur le plan psychométrique, on peut en déduire que ce test n’est pas sensible. C’est-à-dire qu’il n’a pas la capacité à discriminer les individus et à classer leurs performances en différent nettement les uns des autres.

Ce test est soit victime d’un effet plafond (test trop facile) soit un effet plancher (teste trop difficile).

Ce psychologue peut améliorer son test en augmentant le nombre d’items et le nombre de possibilités dans son échelle de réponse.

86
Q

Après avoir fait passer un test de personnalité à 1000 individu, un psychologue cherche à savoir s’il est possible et pertinent de regrouper des réponses entre elles. Quelle analyse conseillez-vous à ce psychologue ? Pourquoi ? Que peut-il espérer ?

Annales.

A

Il faut utiliser l’analyse factorielle.

C’est elle qui va permettre d’identifier les grandes dimensions, qui structurent un ensemble de données en se basant sur les relations qu’elle partage.

Le psychologue peut espérer trouver une correspondance entre la structure observée et la structure théorique attendue.

87
Q

Après avoir fait passer un test de personnalité à 100 individu, un psychologue cherche à savoir si il est pertinent de regrouper sur la base des réponses obtenue, les items de 14 27 58 et 69. Quelles indices doit-il convoquer pour cela et pourquoi ? À partir de quelle valeur de cet indice le regroupement souhaitée est-il acceptable ?

A

Il faut utiliser l’alpha de chronbach car il permet de tester l’homogénéité ou la consistance entre les items et de s’assurer que les items sont très collés entre eux.

Le seuil satisfaisant pour cet indice est de 0,7.

88
Q

Lors de la passation d’un test de personnalité, un psychologue constate que son patient a eu un score de sang en extraversion lors d’une première passation et de 45 lors d’une seconde passation. Après avoir précisé ce que le psychologue a cherché à vérifier par cette procédure, vous indiquer ce qui peut être déduit d’un tel résultat.

A

Par cette procédure test, teste le psychologue a cherché à vérifier la constance est stabilité des scores dans le temps.

Les résultats montrent que le score ne sont pas stables d’un temps, un entendu, et que les réponses de l’individu ne peuvent pas être considéré comme fiable et donc comme valide et exploitable.

89
Q

Compléter les deux phrases :

L’étalonnage permet…

Standardiser des scores brut permet…

A

L’étalonnage permet de disposer d’un ensemble de repères permettant de situer l’individu par rapport à ses pères de comparer les scores d’un individu, à ceux de sa population de référence.

La standardisation des score brut permet de disposer d’une seule distribution de référence, d’un ensemble unique de repère de moyenne 0 et d’écart type 1, quelque soit le facteur d’intérêt.

90
Q

Schéma et description de la fiabilité et de la validité.

A

Fiabilité : reproductibilité de la mesure : pas d’erreur aléatoire.

Validité : pertinence de la mesure : pas d’erreur systématique.