Psychométrie Du Développement TD Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la corrélation en mathématiques ?

A

C’est un moyen d’évaluer la relation entre deux variables.

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Q

Qu’est-ce qu’une corrélation ?

A

C’est le lien qu’il y a entre deux variables. La corrélation va de +1 à -1 en passant par 0.

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3
Q

Quels sont les trois types de corrélation ?

A

Positive, négative, aléatoire.

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4
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation positive ?

A

C’est une corrélation proche de 1. On observe ça qu’en deux variables évolue dans le même sens.

Exemple : corrélation entre longueur des bras et longueur des jambes : plus la personne a le bras long, plus ses jambes sont longues.

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5
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation négative ?

A

C’est une corrélation qui est proche de -1. On observe ça lorsque les deux variables évoluent dans le sens inverse.

Exemple : plus le bras est long moins les jambes sont longues ou plus le bras est long plus les jambes sont courtes.

L’homme monte et l’autre descend.

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6
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation aléatoire ?

A

C’est une corrélation qui est proche de 0. Il n’y a pas de lien entre les deux variables.

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7
Q

Comment interpréter un schéma de corrélation ?

A

Courbe qui va vers le haut = corrélation positive.
Courbe qui va vers le bas = corrélation négative.

Plus les points sont rapprochées plus la corrélation est forte.
Plus les points sont dispersés, plus la corrélation est faible.

On parle donc de corrélation positives/négative faible, moyenne ou forte !

Pour savoir la mesure exacte de la corrélation, on regarde les indices du graphique de haut en bas sur la gauche sur la droite.

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8
Q

Qu’est-ce que le test de significativité ?

A

Nous permet de savoir si il y a une différence significative ou un lien entre deux variables. Va de -1 à +1.

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9
Q

Tableau des degrés de corrélation

A

De 0,20 à 0,40 = corrélation faible.
De 0,40 à 0,60 = corrélation moyenne.
De 0,60 à 1 = corrélation forte.

Ps : cela vaut que la corrélation soit positive ou négative.

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10
Q

Quelles sont les différentes possibilités d’explication lorsque l’on observe une corrélation entre deux variables ?

A

A cause B.
B cause A.
A cause B et B cause A (interaction).
Absence de lien entre A et B.

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11
Q

À quoi doit-on faire attention lorsque l’on observe une corrélation ?

A

Il faut se méfier des corrélation illusoire, c’est-à-dire de celles qui ont un lien mathématique mais pas logique. Ex : Plus il y a d’église plus les gens sont alcooliques.

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12
Q

Qu’est-ce qu’un facteur latent ?

A

Ce sont des variables qu’on ne voit pas dans une expérience, mais qui ont une influence sur les résultats. Le facteur l’attend va causer/expliquer le lien entre les variables observer.

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13
Q

Quelles sont les trois versions de la WISC en fonction de l’âge ?

A

WAIS pour les adultes.
WISC pour les enfants et les adolescents.
WPPSI pour les très jeunes enfants.

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14
Q

Description de la WISC.

A

De 6 à 16 ans.
15 subtests regroupés en 5 indices.
Difficulté croissante des items.
Chaque subtest a un item d’exemple et un item d’entraînement.

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15
Q

Quels sont les 5 indices de la WISC ?

A

Indice de compréhension verbale (icv).
Indice visuo-spatial (ivs).
Indice de raisonnement fluide (irf).
Indice de mémoire de travail (imt).
Indice de vitesse de traitement (ivt).

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16
Q

Qu’est-ce que l’indice de compréhension verbale évalue ?

A

Évaluer les aptitudes verbales en sollicitant le raisonnement, la catégorisation, la compréhension et la conceptualisation.

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17
Q

Quelles sont les subtestd de l’indice de compréhension verbale ?

A

Similitudes.
Vocabulaire.
Informations.
Compréhension.

Informations et compréhension sont des subtests complémentaires.

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18
Q

Quel est l’intérêt des subtests complémentaires ?

A

Permet d’échanger avec un autre test si on a pas pu le faire pour une raison pour une autre.
Permet d’investir davantage une compétence.

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19
Q

En quoi consiste le subtest des similitudes ?

A

On donne deux mots à l’enfant et il doit dire en quoi ils se ressemblent. On passe des concepts concrets à des concepts beaucoup plus abstrait.

Exemple : en quoi équerre et compas se ressemblent ?

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20
Q

En quoi consiste le Subtest du vocabulaire ?

A

Composé de 29 items, dont 4 en images. On donne des mots à l’enfant et il doit dire ce que chaque mot veut dire.

Exemple : c’est quoi un savon ? (Item 5). Que veut dire prolixe ? (Item 28).

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21
Q

En quoi consiste le Subtest information ?

A

Composé de 31 items. L’enfant répond oralement à des questions lues par le psychologue, en lien avec des thèmes de culture générale.

On ne va pas utiliser les réponses pour calculer calculer le cuit, mais pour enrichir notre observation.

Exemple : de quel pays proviennent les pandas ?

Attention, cela peut être biaisé dépend de la culture et du pays.

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22
Q

En quoi le subtest compréhension consiste-t-il ?

A

L’enfant répond à diverses questions, à partir de sa compréhension, des règles ou des concepts de la vie sociale.

Exemple : pourquoi faut-il se brosser les dents ? (1). Pourquoi est-il bon pour les enfants de participer aux tâches ménagères de la maison ? (9).

Attention dépend aussi de la culture.

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23
Q

Qu’est-ce que l’indice visuo-spatial évalue ?

A

Mesure la capacité du sujet à analyser, à encoder à manipuler physiquement ou mentalement des objets et des formes pour leur donner du sens.

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24
Q

Quelles sont les subtests de l’indice visuo-spatial ?

A

Cubes.
Puzzle visuel.

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25
Q

En quoi consiste le Subtest cube ?

A

13 items de difficulté croissante. Chronométrage. L’enfant utilise des cubes pour reproduire une construction en temps déterminé.

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26
Q

En quoi consiste le Subtest puzzle visuel ?

A

29 items. Temps chronométré : 30 secondes par items. On demande à l’enfant quels sont les 3 pièces qui vont ensemble pour former ce puzzle ?
L’enfant voit une image et doit sélectionner 3 images parmi les 6 pour reconstituer l’image.

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27
Q

Qu’est-ce que l’indice de raisonnement fluide évalue ?

A

Évalue la capacité du sujet dans la résolution de problèmes en évaluant la clé logique de celui-ci.

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28
Q

Quelles sont les tests du raisonnement fluide ?

A

Matrice.
Balance.
Arithmétique.

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29
Q

En quoi consiste le Subtest matrice ?

A

32 items. L’enfant voit dans le livret des stimuli, une matrice incomplète et choisi la partie manquante parmi 5 réponses possible. 30 secondes par item.

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30
Q

En quoi consiste le Subtest balance ?

A

34 items. Chronométré. On demande à l’enfant, qu’est-ce qui parmi ses réponses pèse la même chose que celle-ci ?

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31
Q

En quoi consiste le Subtest arithmétique ?

A

35 items dont 5 en images. On lit un problème à l’enfant et il doit le résoudre.

Ce sub à la particularité d’être saturé par plusieurs variables. C’est subtest complémentaire.

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32
Q

Qu’est-ce que l’indice de mémoire de travail évalue ?

A

Évalue les facultés mnésique à court terme et le traitement d’information maintenue pour effectuer une tâche.

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33
Q

Quelles sont les tests de l’indice de mémoire de travail ?

A

Mémoire des chiffres.
Mémoire des lettres.
Séquence lettre chiffre.

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34
Q

En quoi consiste le Subtest de mémoire des chiffres ?

A

L’enfant doit répéter et mémoriser une séquence de chiffres d’abord dans l’ordre direct, puis dans l’ordre indirect et enfin par ordre croissant.

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35
Q

En quoi consiste le S test de mémoire des images.

A

On expose les images à l’enfant pendant cinq secondes et on lui demande ensuite de nous les montrer dans l’ordre dans lesquelles elle lui ont été exposés.

36
Q

En quoi consiste le subtest séquence chiffre-lettres ?

A

On donne une séquence de chiffres et de lettres oralement. L’enfant doit ensuite restituer les chiffres par ordre croissant, puis les lettres par ordre alphabétique.

37
Q

Qu’est-ce que l’indice de vitesse de traitement évalue ?

A

Mesure la rapidité cognitive du sujet, et mets l’accent sur la performance du sujet dans les domaines nécessitant une rapidité, une précision d’exécution.

38
Q

Quelles sont les testes de l’indice de vitesse de traitement ?

A

Code.
Symbole.
Barrage.

39
Q

En quoi consiste le Subtest code ?

A

L’enfant doit copier des symboles apparié à des formes géométriques simples ou des chiffres.

40
Q

En quoi consiste le subtest des symboles ?

A

Dans un temps limité, l’enfant observe 1 ou 2 symboles isolé et une série de 3 ou 5 symboles. Il doit indiquer s’il retrouve les symboles isolés dans la série de symboles.

41
Q

En quoi consiste le subtest barrage ?

A

L’enfant voit un arrangement d’image et doit barrer les images cibles en même temps limité.

42
Q

Quelles sont les trois manières d’étudier l’intelligence ?

A

Selon les situation (psychologie expérimentale).
Selon les âges (psychologie du développement).
Selon les individus (psychologie différentielle).

43
Q

Quelles sont les trois types de différence que l’on observe dans l’intelligence ?

A
  • Différence interindividuelle (entre individus).
  • Différence intraindividuelle (chez un même individu, au cours du temps et selon les situations).
  • Différence intergroupe (groupe sociaux, professionnel, culturel, ethnique).
44
Q

Comment les différences d’intelligence peuvent-elles être envisagée ?

A

Quantitative : Paul est plus intelligent que Rémi.
Qualitative : Paul et Rémi ne présente pas la même forme d’intelligence.

45
Q

Quelles sont les études qui vont dans le sens d’une intelligence liée au patrimoine génétique ?

A

Les études sur les jumeaux monozygote et dizygote.
Les études sur les enfants biologiques versus adopté.
Les études sur la trisomie 21 qui montre que les trisomiques ont un QI moyen de 40 à 45.

46
Q

Quelle est la limite des travaux sur les jumeaux et sur les parents adoptifs et leurs enfants ?

A

Les jumeaux ont tout de même partagé, le milieu intra utérin. Les enfants adoptés ont partagé l’environnement de leurs parents au moins dans leur ventre.

47
Q

Qu’est-ce qu’à montré l’étude qui a comparé les enfants occidentaux Israéliens ?

A

Les scores des Israéliens étaient plus faibles aux matrices de Raven, car les enfants ne lisent pas dans le même sens que nous.

48
Q

Étude sur les compétences arithmétique des enfants issus de favelas.

A

Les enfants des favelas ont des performances très faibles aux mathématiques, classiques et abstrait. Mais si ils utilisent les mêmes problèmes dans la vie du quotidien, ils arrivent parfaitement.

Ils ne sont pas initié au même langage et ne l’iront pas les problèmes de la même façon que nous.

49
Q

Qu’est-ce que les études sur les enfants occidentaux Israéliens ainsi que sur les enfants issus des favelas nous montre ?

A

On ne peut pas faire un test d’intelligence sans tenir compte. D’où vient la personne. Importance des différences entre les groupes et les ethnies.

50
Q

Qu’est-ce que le probabilisme ?

A

Idée qu’un facteur ne détermine pas l’intelligence, mais augmente ou diminue les chances d’avoir tel degré d’intelligence.

51
Q

Étude : qu’est-ce qui va avec la pomme de terre : le chou ou le couteau ?

Qu’est-ce que cela montre ?

A

En fonction de l’endroit, d’où viennent les gens, ils vont catégoriser les concepts de manière différente.

52
Q

Quelles sont les 4 types de catégorisation que l’on a observé sur l’expérience de la pomme de terre ?

A

Catégorisation de couleur (même couleur, même objet, même concept)
Catégorisation taxinomique (Même famille d’objets : chou et pommes de terre)
Catégorisation fonctionnelle (couteau pour couper la pomme de terre)
Catégorisation situationnelle (sujet catégorie en fonction de son expérience)

53
Q

Qu’est-ce que les travaux sur l’effet du stéréotype pour montrer ?

A

On a tendance à confirmer nos actions par les stéréotypes qui caractérisent notre groupe d’appartenance.

54
Q

Comment expliquer les différences de Q.I. entre les enfants de milieu élitiste et les enfants de milieu populaire ?

A

L’autonomie, la prise de responsabilité et la fonction de liberté leadership sont des valeurs plus forte dans les milieux favorisés.
Le respect des normes, la cohésion de groupe et l’action collective sont des valeurs plus forte dans les milieux des défavorisés.

55
Q

Qu’est-ce que l’étude sur l’impact des pratiques éducatives familiales sur l’intelligence à montré ?

A

Les chercheurs ont comparé trois types d’environnement : une. Éducation laxiste, une éducation, très stricte, et une éducation souplement structurée.

Les enfants du troisième groupe ont des meilleurs performances aux épreuves d’intelligence et ce type d’éducation est souvent observé dans les milieux sociaux, les plus favorisés.

56
Q

Qu’est-ce que le coefficient d’héritabilité ?

A

C’est un coefficient qui détermine la part héréditaire et environnemental dans l’intelligence intelligence. Exemple, si le coefficient est de 60 % on suppose que c’est la part qui détermine les facteurs génétiques dans l’intelligence du sujet.

57
Q

Quelles sont les défauts du coefficient d’héritabilité ?

A

Les facteurs génétiques et environnementaux ne s’additionne pas, ils sont en interaction.
C’est un calcul à l’échelle de la population, et qui n’est pas généralisable à tous les individus.

58
Q

Qu’est-ce que l’effet Flynn et comment l’expliquer ?

A

Augmentation du Qi moyen de la population depuis le début du 20ème siècle, donc on est plus intelligent qu’avant.

S’explique par le développement du pays (santé, économie, éducation).

Le cuit baisse dans les générations récentes.

59
Q

Qu’est-ce qui explique la baisse du QI sur les dernières générations ?

A

C’est la théorie de la dégénérescence, qui explique qu’il y a une déviation naturelle, de l’espèce, à cause de la mal bouffe, de la dégradation, de l’environnement et de l’immigration.

60
Q

Qu’est-ce que l’effet Flynn inversé et explications ?

A

C’est une baisse du QI dans les pays occidentaux en ce moment.

Cela s’explique par le fait que l’on touche aux limites de la physiologie humaine. Il y aurait aussi un lien avec l’hypothèse hygiénique selon laquelle les gens ayant les meilleurs prédisposition génétiques pour l’intelligence se reproduisent moins.

61
Q

Exemple d’une étude qui montre que le coefficient d’héritabilité n’est pas valable et que tout n’est pas génétique ?

A

La grande variabilité de QI chez les trisomiques 21.
La maladie du cancer qui a une probabilité génétique, mais où l’environnement a un réel impact dans le déclenchement de la maladie et il est impossible de départager la part expliquer par l’environnement et par la génétique

62
Q

Quel est l’objectif du bilan psychologique ?

A

L’objectif est de faire un examen approfondi du fonctionnement de la personne. À la fois de son fonctionnement cognitif, son fonctionnement psycho affectif, et l’impact de ce fonctionnement dans son activité quotidienne.

63
Q

Quel est l’objectif d’un bilan sur un enfant ?

A

L’objectif objectif est de l’aider et de préciser ses difficultés.

Permet d’éclaircir une situation problématique.
Permet de prendre une décision concernant l’orientation scolaire.
Identifier un ou des troubles des apprentissages.
Orienter l’enfant vers un accompagnement socio médical.
Réactualiser une situation.
Déterminer le degré de handicap.
Préciser au confirmer un diagnostic.

64
Q

De quoi dépend le choix des épreuves proposées à l’enfant ?

A

Dépend de son âge et de son niveau de développement cognitif et psycho affectif (capacité à verbaliser, maturité, habileté grapho motrice).
Dépend des objectifs de l’évaluation (motif de consultation, hypothèse, diagnostic).

65
Q

Comment peut-on définir un bilan ?

A

C’est une situation intersubjective médiatisée, qui implique trois partenaires : l’enfant, le test et le psychologue.

66
Q

Quels sont les limites des tests ?

A

Il faut interpréter les données dans une perspective dynamique développementale. Le modèle factuel qui se cache derrière le risque n’est pas dynamique. Développement mental donc il faut aller mobiliser d’autres modèles.

Il y a un risque inhérents à toutes mesure.

Nécessité de contextualiser le bilan car les données sont recueillis dans un contexte inter, subjectif et émotionnel particulier

67
Q

Quelles sont les devoirs du psychologue lors de la passation d’un test ?

A

Les sujets doivent avoir le consentement libre et éclairé. il doit les informer de façon claire et intelligible des objectifs modalités et limite de son intervention. Il ne doit pas tirer de conclusion, réductrice ou définitive.

68
Q

Quelles sont les critiques que l’on peut faire au modèle de l’intelligence multiple de Garner ?

A

Ce n’est pas un modèle dimensionnel.
Les qualités psychométriques sont médiocre.
Difficultés de définir une norme dans les domaines émotionnels relationnels. Ces domaines s’évaluent classiquement avec des méthodes comme l’observation et l’entretien.

69
Q

Quelles sont les questions que le psychologue est amené à se poser lors de la passation d’un test ?

A

Quel est le rapport à la réalité de l’individu ?
Comment rentre-t-il en contact avec le monde et les autres ?
Est-ce que les performances obtenus au test reflètent les compétences réelles de l’enfant ?
Quelles sont les représentations que l’enfant a de lui ?

70
Q

Quels sont les éléments que le psychologue doit observer lors de la passation d’un test et qui lui permettent d’avoir des éléments de compréhension ?

A

L’enfant est-il enthousiaste ?
L’enfant manifeste-t-il un manque d’intérêt pour les épreuves ?
Quel est son rapport autant de latin et au silence ?
Quelles sont les signes d’anxiété repérable ?
L’enfant est-il sensible à la prise de notes ?

71
Q

Quelle est la mission du psychologue lorsqu’il est face un résultat de test ?

A

Le psychologue doit interpréter, donner du sens au résultat du test et pouvoir expliquer les résultats en identifiant les processus qui semblent être à l’origine des performances.

72
Q

Qu’est-ce que la validité d’un test ?

A

Auquel un test Mesures, ce qui est censé mesurer et rien d’autre.

73
Q

WISC est question de la validité…

A

Idée qu’une épreuve donnée, ne mesure jamais un processus psychologique unique. Les performances sont déterminées par un ensemble vaste de processus.

Exemple : les cubes et les puzzles visuels mobilisent tous les deux la vitesse de traitement des informations, l’analyse et la synthèse vision spatiale, les procédures non verbale abstraite et la gestion de l’anxiété face au chronomètre.

Exemple : la mémoire des chiffres et la mémoire des images mobilise toutes les deux l’attention sélective, le contrôle intentionnel, et l’endurance cognitive.

74
Q

Quel est le souci de la validité dans le WISC ?

A

La question n’est pas tant ce que mesure le test, mais surtout comment est-ce qu’on peut interpréter les résultats.

Exemple 10 enfants peuvent échouer à un subtest de mémoire à court terme et avoir les mêmes scores, mais pas pour les mêmes raisons.
Certains vont échouer parce qu’ils ont une efficience en mémoire de travail (validité OK car c’est bien ce qui est mesuré).
Un autre va échouer parce qu’il trouve le psychologue pas sympa.
Un autre, parce qu’il n’est pas motivé à réussir le test.
Un autre, parce qu’il a une déficience auditif qui lui empêcher de percevoir les stimuler auditif.

Bref : au cas par cas.

75
Q

Si on observe une corrélation positive entre dépression et sommeil, que va-t-on observer ?

A

Plus la personne sera dépressive. Plus elle va dormir. On est alors sur une corrélation proche de 1 avec des valeurs qui augmentent dans le même sens.

76
Q

Si on observe une corrélation négative entre joie et dépression, que devrait-on observer ?

A

Plus une personne est joyeuse, moi elle est dépressive. On est sur une corrélation qui s’approche de -1. Les variables évoluent dans un sens inverse.

77
Q

En psychologie, à partir de combien une corrélation est considérée comme forte ?

A

À partir de 0,4.

78
Q

Comment expliquer le fait que l’on trouve une corrélation positive entre l’épaisseur des vêtements et la quantité de fromage absorbée ?

A

On vient chercher un facteur que l’on a pas mesuré, mais qui semble être à l’origine de la corrélation entre les deux variables. c’est ce que l’on appelle un facteur latent, c’est-à-dire un facteur que l’on observe pas, mais que l’on présume.

La température ressentie est ici un facteur latin, dont les variables quantités de raclette et épaisseur des des vêtements constituent des manifestations directement observables.

79
Q

Qu’est-ce que l’analyse factorielle ? + objectif

A

Technique statistiques, qui permet de résumer un ensemble de variables corréler par un plus petit nombre de facteurs.

L’objectif est de regrouper les variables en facteurs.

80
Q

Quel a été la démarche de Spearman pour démontrer le facteur latent «intelligence» ?

A

il a fait passer diverses épreuves mentales à des individus et se sont rendus compte que les corrélation entre les différentes matières étaient toutes positives.

Il a expliqué qu’il existait un facteur commun à toutes ces épreuves appelées intelligence. L’intelligence serait donc la cause principale des performances observée.

Le facteur latin, le facteur à l’origine des corrélation entre les différentes matières = intelligence.

81
Q

Qu’est-ce que la saturation ?

A

Désigne le pouvoir explicatif d’un facteur sur une variable. Varie entre -1 et 1. Plus la saturation est proche de 1 plus le facteur commun explique la corrélation entre les variables.

Lorsqu’une variable est très fortement corrélée aux autres variables, elle sera fortement saturée (expliquée) par le facteur commun à ces variables.

82
Q

Quelle est la différence entre corrélation et saturation ?

A

La saturation désigne le pouvoir explicatif d’un facteur sur une variable. Puis la saturation est proche de 1 plus, le facteur explique la corrélation entre les variables. Plus la saturation est proche de -1, moins le facteur explique le lien entre les deux variables.

La corrélation estime le lien entre deux variables observer. Elle va également de 1 à -1.

83
Q

Facteur latent et dimension…

A

Lorsqu’un facteur latent peut être interprété sur le plan théorique (intelligence, mémoire de travail) on appelle cela une dimension.

Une dimension et un facteur, c’est la même chose.

84
Q

Qu’est-ce que l’intelligence ?

A

Capacité à apprendre, à acquérir des connaissances et les utiliser.
Capacité d’adaptation.
Capacité d’élaborer une pensée abstraite.
Capacité capacité à résoudre des problèmes.

85
Q

Quelles sont les subtests complémentaires de la WISC ?

A

Information.
Séquence lettre chiffre.
Barrage.
Compréhension.
Arithmétique.

86
Q

Quelle est la différence entre un facteur et une variable ?

A
87
Q

Interprétation des scores T.

A

20-34 = très faible.
35-45 = moyenne faible.
45-55 = moyenne (puisque la moyenne du score T est de 50).
56-65 = moyenne élevée.
65-80 = très élevé.