processus cognitif Flashcards
Identifier les caractéristiques des concepts et des catégories, des scripts et des schémas, et comprendre leur importance dans le fonctionnement de l’individu
Comprendre comment l’individu catégorise la nouvelle information
Les connaissances peuvent être emmagasinées
sous forme de
Concepts et catégories
– Scripts et schémas
Comprendre comment l’information est organisée en mémoire sémantique
Catégorie :
regroupement concret d’objets représentant
le concept
Concept :
représentation mentale abstraite qui nous
permet de catégoriser les éléments (objets et individus)
du monde qui nous entoure.
– Abstrait : ne représente pas d’objet spécifique concret.
– Unité fondamentale de la connaissance, joue un rôle central
dans la cognition.
Les notions de concept et de catégorie sont très reliées.
La formation d’un concept permet de catégoriser.
formation concepts
– Formation de concepts « artificiels »
* Les premières recherches ont étudié cette question en
utilisant des concepts définis par des règles logiques.
– Règle logique : lien qui unit les attributs de 2 dimensions
– Par exemple, conjonction (et) / disjonction (ou)
* Étude classique de Bourne (1970)
– Les stimuli sont des formes géométriques qui varient selon différentes
dimensions.
* Par exemple, forme / couleur
– Le participant doit apprendre la règle logique entre 2 attributs qui
permet de catégoriser les stimuli.
fonction concepts et catégories
- Permet d’identifier rapidement des objets
– Par exemple, on réfère à la catégorie oiseau afin
d’identifier les objets dans l’image ci-dessous. - Réduit la complexité de l’environnement
– Permet de regrouper les objets en classes (p. ex.,
oiseau), plutôt que d’y référer en fonction de leur
singularité (p. ex., sarcelle à ailes vertes, serin de
Burton) - Permet d’identifier rapidement des objets
– Par exemple, on réfère à la catégorie oiseau afin
d’identifier les objets dans l’image ci-dessous. - Réduit la complexité de l’environnement
– Permet de regrouper les objets en classes (p. ex.,
oiseau), plutôt que d’y référer en fonction de leur
singularité (p. ex., sarcelle à ailes vertes, serin de
Burton)
Étude classique de Bourne (1970)
– Les stimuli sont des formes géométriques qui varient selon différentes
dimensions.
* Par exemple, forme / couleur
– Le participant doit apprendre la règle logique entre 2 attributs qui
permet de catégoriser les stimuli.
*conjonctive : rouge et carré
*disjonctive: rouge ou carré
*conditionnelle: si carré, rouge
*biconditionnelle: si carré rouge; si rouge, carré
catégorisation naturelle
floue, limites imprécises
par catégorisation: etre vivant, animal, chien. labrador
résultats bourne 1970
+ essai pour bidirectionnelle que conjonctive
4 règles appliquées avec même facilité
3 problemes pour apprendre la règle
procédure étude bourne 1970
- Le participant doit apprendre la règle afin
d’identifier correctement les formes faisant partie
de la catégorie.
– Le nombre d’essais nécessaires afin d’apprendre la
règle est calculé. - Chaque règle est présentée dans 9 problèmes
successifs.
– Seuls les attributs mis en relation changent (p. ex.,
Problème 1 : carré ET rouge, Problème 2 : rond ET
blanc, Problème 3 : carré ET bleu, etc.) : la règle ne
change pas.
organisation hiérarchique concepts roch
**supérieur (instrument de musique)
**de base (guitare, piano)È + couramment utilisé
**subrodonné (électrique, sèche)
résultat tanaka et taylor chien et oiseau experts
*Non expert + rapide pour catégoriser niv base que autres niv (chien + vite pour base oiseau)
*Expert : vit subordonné=base
Expertise augmente caractère distinct au niveau subrodonné
Activité de catégorisation influencée par expérience
pourquoi niveau de base privilégié? selon rosh
– Cohérence : nombre d’attributs communs entre les
membres de la même catégorie.
– Caractère distinct : nombre d’attributs différents
entre les membres des catégories différentes. (instrument vs veget)
* niveau supérieur: cohérence = faible,, caractère distinct = élevé
*niveau de base: cohérence élevée(guitare sèche ressemble à guitare),, caractère distinct élevé
*niveau subordonné: cohérence élevée,, caractère distinct faible
car similitude élevée entre mm
différencie des autres catégories
résultats rosh typiques non typique selon rosh
- Les membres typiques partagent plusieurs
attributs avec les autres membres. - Les membres atypiques partagent très peu
d’attributs avec les autres membres.
conclusion: Typicalité : membre d’une catégorie sera jugé typique en fonction du nombre d’attributs qu’il partage avec les autres membres de sa catégorie ET peu d’attributs avec ceux de catégories adjacentes
effets de typicalité
- Temps de réaction et précision
– Plus un item est représentatif d’une catégorie, plus
nous le catégorisons correctement et rapidement. - Tâche d’identification d’images
- Probabilité de production d’items
– Dans une liste, les items les plus représentatifs sont
toujours nommés en premier. - Tâche de production (fruit : pomme / outil : marteau)
- Des atténuants (presque, un peu, en quelque
sorte) sont utilisés pour les objets non typiques.
– Un pingouin est presque un oiseau.
2 modèles pour catégoriser nouv. objets:
– Modèle du prototype (moyenne des memb dune catégorie, classifié par comparaison)
– Modèle des exemplaires (ressemble à autres items en mémoire, appartient à catég)
définition schéma et script
- Schéma : ensemble de caractéristiques relatives à une
situation.
– P. ex., assister à un cours - Script : séquence structurée d’événements associés à
une situation.
– Forme de schéma
– P. ex., comportement au restaurant
prototypes d’une situation (permetttent inférences)
font partie mémoire sémantique
**Le schéma activé est déterminant pour la
mémorisation.
comment catégorisation simplifie la vie
donne un accès rapide à beaucoup
d’informations et permet de déterminer nos
actions envers des objets en fonction de leur
appartenance à une catégorie
comment connaissances organisées en mémoire sémantique
– Modèle de réseau hiérarchique
– Modèle de distribution de l’activation
le contenu de la mémoire sémantique
– Les concepts et les catégories
– Les scripts et les schémas
Plusieurs chercheurs croient que l’information en MLT est
structurée en une hiérarchie de catégories
réseau hiérarchie
3 niveaux
*caractéristiques partagées par la grande majorité des membres
de la catégorie sont emmagasinées à un niveau supérieur (principe
d’économie).
*caractéristiques divergentes précisées niv inf
hypothèses effet niveau hiérarchie collins et quillian
Si le réseau est hiérarchique, le temps de réponse augmentera en
fonction du nombre de niveaux entre les termes (l’effet de niveaux)
résultat niv hiérarchie collins et quillian
temps nécessaire afin de récupérer une propriété est additif au temps nécessaire afin de traverser un niveau.
plus long de vérifier une propriété (« possède ») que l’appartenance à une catégorie (« est un »).
– L’organisation doit donc être hiérarchique
probleme effet niveau hiérarchie collins et quillian + explication
L’effet d’inversion de niveaux
– Parfois, le jugement est plus rapide pour comparer des concepts
non adjacents (p. ex., un chimpanzé est un animal) que des
concepts adjacents (p. ex., un chimpanzé est un primate).
L’effet de typicalité
– Les membres d’une classe ne sont pas équivalents : certains
concepts plus typiques (p. ex., moineau) sont catégorisés plus
rapidement que d’autres concepts moins typiques (p. ex., poulet)
même si le nombre de niveaux à traverser est le même .
distribution de l’activation concepts
concept présenté->activé en mémoire
se propage à tous concepts reliés, qui peuvent activer autres concepts
activation s’affaiblit à mesure que propagée: « Camion » est plus activé que
« Véhicule » parce que la distance
sémantique est plus grande entre
« Véhicule » et « Ambulance »
qu’entre « Camion » et
« Ambulance »
**soutien organisation on hiérarchique
Les liens entre les concepts ne
sont pas tous de la même
force.
– La force d’association
(distance sémantique) est
représentée par la longueur
de la ligne.
– Par exemple, les concepts
« Voiture » et « Camion » sont
plus reliés que « Camion » et
« Rue ».
ambulance est un camion + rapide que ambulance est un véhicule (+grande distance)
pourquoi chien reconnu plus vite que monstre avec chat dans tache de Meyer et Schvaneveldt (1971)
- Lors de la lecture du mot « chat », le mot « chat » est activé en
mémoire. - Cette activation se propage aux concepts sémantiquement reliés
comme « chien » et « souris ». - Si le deuxième mot est « chien », il sera reconnu plus rapidement
que si le deuxième mot est « monstre » parce que le concept
« chien », mais pas le concept « monstre », a déjà été partiellement
activé par la lecture du mot « chat ».
effet de préparation sémantique
– La lecture du premier mot active la représentation de ce mot en mémoire. – Cette activation se propage aux concepts associés. – Conséquemment, lors de la lecture du deuxième mot, ce dernier est déjà activé en mémoire. Il est donc reconnu plus rapidement. (partiellement activé)
Comprendre ce qu’est le langage et en quoi il se distingue d’autres moyens de communication
Distinguer les trois hypothèses de la compréhension du langage écrit
Comprendre comment différentes langues sont représentées mentalement
Décrire les modèles de production du langage oral et les appliquer à certains phénomènes, comme les erreurs de production
Le langage c’est quoi + portée (4)
Le langage peut se définir comme un système de
communication qui nous permet de coder et
d’exprimer nos pensées, idées et expériences.
* Le langage est composé de symboles relativement
arbitraires, mais structurés de façon régulière.
* Le langage s’étudie selon différentes perspectives :
– Linguistique, anthropologique, développementale et cognitive.
* La compréhension (p. ex., lire) et la production
(p. ex., parler) du langage requièrent la contribution
d’un ensemble de processus cognitifs
interdépendance processus cognitifs - langage (3)
Le langage peut se définir comme un système de
communication qui nous permet de coder et
d’exprimer nos pensées, idées et expériences.
* Le langage est composé de symboles relativement
arbitraires, mais structurés de façon régulière.
* Le langage s’étudie selon différentes perspectives :
– Linguistique, anthropologique, développementale et cognitive.
* La compréhension (p. ex., lire) et la production
(p. ex., parler) du langage requièrent la contribution
d’un ensemble de processus cognitifs
Ce qui distingue le langage
- Le langage se distingue comme une forme de
communication unique avec des traits spécifiques : - Apprentissage
– Le locuteur d’une langue peut apprendre une autre langue. - Déplacement
– La possibilité de référer à des événements ou à des choses qui
ne sont pas présentes « ici et maintenant ». - Créativité ou récursivité
– La capacité de construire un nombre infini de messages à partir
des éléments de base de la langue.
Étude du langage
Skinner (1957) publie le livre « Verbal Behavior ».
– Le langage est appris à l’aide du renforcement (béhaviorisme).
* Chomsky (1957) réplique en publiant « Syntactic
Structures ».
– Les enfants produisent des phrases non renforcées (p. ex.,
« Maman, je te déteste ») et jamais entendues.
– Malgré la variabilité à travers les cultures, les bases du langage
sont les mêmes.
– Le lexique d’un adulte comprend entre 60 000 et 75 000 mots.
* Pinker (1994) publie « The Language Instinct ».
– Le langage a évolué de façon distincte via la sélection naturelle.
– Cette capacité est à la base du développement de la cognition
processus cognitif associé au langage
Chomsky vs Pinker cognition spécifique au langage?**
n seul aspect du langage est attribuable
à des processus spécifiques au langage : la récursivité.
Tous les autres aspects du langage sont expliqués par des
processus cognitifs non nécessairement liés au langage
le langage est une habileté unique avec des
fonctions spécifiques (pas seulement la récursivité)
2 unités de langage - compréhension du langage
Pour comprendre le langage, on doit d’abord
percevoir les unités de langage.
– Les phonèmes sont les unités du langage oral. Ils
correspondent aux sons du langage.
– Les graphèmes sont les unités du langage écrit. Ils
correspondent aux lettres.
* On doit ensuite regrouper les unités de langage en
mots, puis associer une signification à ces mots.
- Par exemple, dans le langage oral, le mot chat
sera compris comme suit :
– Les sons « ch » et « a » seront perçus et regroupés,
puis ils seront associés à la représentation d’un chat. - Il en est de même dans le langage écrit :
– Les lettres c, h, a et t seront perçues et regroupées, puis
elles seront associées à la représentation d’un chat.
alternative compréhension langage écrit
graphèmes traduits en phonèmes avant association à signification
lettres=>son=>associé à représentation
2 hypothèses de la compréhension du langage écrit
– L’hypothèse d’un accès direct propose que les graphèmes d’un
mot sont directement associés à la signification du mot.
– L’hypothèse d’une médiation phonologique propose que les
graphèmes d’un mot sont traduits en phonèmes avant d’être
associés à la signification du mot.
expliquer hypothèse (résultat) accès direct lecture mots paires neutres et hétérophones de Bradshaw et Nettleton (1974)
- Puisque les mots des paires hétérophones sont semblables, mais que leur prononciation est différente, la prononciation du 1er mot interfèrerait avec la prononciation du 2e mot. C’est ce qui causerait un délai dans la lecture du 2e mot.
Selon l’hypothèse d’un accès direct, les lettres ne sont
pas traduites en sons lors de la lecture silencieuse.
– Dans la 2e condition, il n’y aurait donc pas de prononciation,
même mentale, du 1er mot des paires.
* Ainsi, il ne devrait pas y avoir d’interférence dans les
paires de mots hétérophones.
– On ne s’attend donc pas à observer un délai dans la lecture
du 2e mot.
résultat L’hypothèse d’une médiation phonologique van orden
- Ce résultat est un appui à l’hypothèse d’une
médiation phonologique.
– En effet, selon l’hypothèse d’un accès direct, les
participants ne devraient pas confondre les
homophones puisque la représentation des mots
proviendrait de leur orthographe (différente) et non de
leur prononciation.
– Par contre, selon l’hypothèse d’une médiation
phonologique, les participants devraient confondre les
homophones puisque leur représentation des mots
proviendrait de leur prononciation (identique) et non de
leur orthographe.
Bradsh reaw et Nettleton (1974)**
hypothèses accès direct
expliquer hypothèses double voie
- Voie lexicale
– Lexique orthographique :
association d’un groupe de
lettres à un mot écrit.
– Système sémantique :
association du mot écrit à
une signification.
– Lexique phonologique :
association du mot écrit et
de sa signification à un mot
prononcé. - Voie non lexicale
– Conversion graphèmesphonèmes : traduction des
lettres en sons. - Voie lexicale :
– Elle correspond à l’hypothèse de l’accès direct.
– Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en parallèle.
– Elle est utilisée lorsque le mot écrit est connu. - Voie non lexicale :
– Elle correspond à l’hypothèse d’une médiation phonologique.
– Toutes les lettres d’un mot y sont traitées en série.
– Elle est utilisée lorsque le mot écrit est inconnu.
expliquer hypothèses double voie avec le mot bateau à la vue mot connu
- Par exemple, à la vue du mot bateau (mot connu),
la voie lexicale sera activée.
– Les lettres b, a, t, e, a et u seront associées
simultanément au mot écrit bateau.
– Le mot écrit bateau sera associé à sa signification.
– Le mot écrit bateau et sa signification seront associés
au mot prononcé « bato ».
– Le mot bateau pourra être prononcé.
L’hypothèse d’une double voie
* Toutefois, à la vue du mot zime (mot inconnu),
c’est la voie non lexicale qui sera activée.
– La lettre z sera traduite par le son « z ».
– La lettre i sera traduite par le son « i ».
– Les lettres m et e seront traduites par le son « m ».
– Le mot zime pourra être prononcé.
* Bref, l’hypothèse d’une double voie suggère que
les processus permettant de comprendre le
langage varieraient en fonction de la situation.
Toutefois, mis à part le cas des mots connus et
inconnus, les caractéristiques des situations
engendrant une médiation phonologique ou un
accès direct ne sont pas encore bien connues.
aspects bradshaw et van orden
On ne sait pas quels aspects de l’étude de Bradshaw
et Nettleton (1974) permettent aux participants de lire
les mots directement.
– On ne sait pas non plus quels aspects de l’étude de
van Orden (1987) font en sorte que les participants
effectuent une médiation phonologique.
autre méthode utilisée afin de
comprendre les processus mentaux
impliqués dans la lecture
l’analyse des
mouvements oculaires
vidéo de 14 min
anatomie oeil importante qui explique que on pense que lit lentement, mais vite et saccadé
fovéa(max cone pas batonnet) excellent vision définie
cone vision couleur meilleure définiton
batonnet noir blanc
décrire mouv oeil lecture
on pense que lit lentement, mais vite et saccadé
Pourquoi l’œil doit‐il être repositionné si
souvent?
Pour tirer profit de la structure de la rétine qui
présente une grande concentration de cônes
au niveau de la fovéa et ceux‐ci permettent
d’obtenir une bien meilleure définition de
l’image que les bâtonnets.
zones en fonction de point de fixation
fovéa: toutes infos extraites
parafovéa: quelques infos
périphérie: aucune info
- Pourquoi l’œil ne se déplace‐t‐il pas
doucement sur la ligne ?
car doit s’Arrête pour enregistrer infos
trop dur si tout le temps en mouvement
- Pourquoi a‐t‐on l’impression que l’œil se
déplace doucement sur la ligne ?
registre visuel
intégration infos lors fixation successives et éviter perception discontinuité dans univers visuel
comme image sur film cinéma, superposition de images donne impression de continuité
mouvement oculaire Mots Sautés
( pas tous mots fixés)
Une certain nombre de mots ne sont jamais
fixés. Il s’agit souvent de mots de fonction
courts.
mouvement oculaire Saccades
(vers l’avant)
dans moments pas de perception d’infos comme si lecteur aveugle, chercheurs changent texte sans que lecteur s’en rende compte
Régression
saccades vers l’Arrière
soit sur le mot lui meme ou sur un précédent
Environ 10 à 15% des saccades sont faites
vers l’arrière
prélecteur sensibilité à l’écrit
dire quel lettre dans bon sens
configuration illégales avec symbole
nge
table
$il**en)e
S
définir effet de niveau
affecte le temps de réponse dans le sens où, plus il y a de niveaux à traverser (de catégories), plus il sera long pour le participant de procéder à la tâche de vérification d’énoncés
qu’il est plus facile de juger la véracité d’un énoncé si les concepts sont situés à des niveaux adjacents plutôt que non adjacents. Puis, pour la dernière partie de ta question, un énoncé « est un » vise à vérifier l’appartenance à un concept, par exemple, un voilier est un bateau, tandis que l’énoncé « possède » vise à vérifier le fait de détenir une certaine propriété, par exemple, un bateau possède une coque